COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (4,2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (4,2)
Pourquoi ce matin, je décide d’aller au collège, moi, qui pour mon plus grand plaisir me suis habitué à faire l’école buissonnière ?
Je l’ignore, mais ce que je sais c’est que mes absences ont été remarquées par monsieur le proviseur qui ironie du sort me colle trois jours de mise à pied.
« Monsieur, je baise Émelyne votre prof d’anglais !
Mieux, je l’ai dépucelé alors que je suis certain qu’elle vous faisait bander. »
« Jeune homme, oui je bande pour elle, mais vous êtes un malotru. »
Ces deux phrases sont entre guillemets, car ce sont elle que je voudrais lui sortir, mais par respect pour Émelyne, je ris en mon fort intérieure et je me tais.
Une fraction de seconde j’ai envie d’ajouter « prof principal qui s’est prostitué pour mon seul plaisir et que j’ai baisé de toutes les façons la journée d’hier »
Il va de soi que je reste muet, je fais profil bas, ne souhaitant pas m’éterniser dans ce bureau.
Dès que je sors, je quitte le collège, le gardien m’interpelle à la porte de sortie.
• Où allez-vous ?
• Vieux con, je t’emmerde !
Là, je le dis vraiment, qu’ai-je de plus à perdre.
• Je vais de ce pas, voir le proviseur, vous êtes un jeune insolant.
• Je vous emmerde deux fois, dite lui que je l’emmerde aussi, à pied à cheval et en voiture.
Il va de soi, mais c’est mieux de le dire, que je viens de prendre un déscion capital, pour mon avenir avec obligation d’affronter mon père.
Je suis dehors, ils ne veulent pas de moi pendant trois jours, je ne veux pas d’eux à partir de maintenant.
Une journée a glandé, que puis-je faire ?
Je décide de prendre le premier bus passant devant moi à l’arrêt de la mairie.
Je le prends pour découvrir que je monte au centre commercial de Champigny.
Le bus me dépose et j’entre dans une allée ou de nombreux commerçants ont des boutiques.
Je bois un café, mais rapidement l’ennuie me gagne.
Qu’y a-t-il de passionnant à se promener entre des sacs à main, un coiffeur semblant s’emmerder assis sur son fauteuil à attendre le client et le centre par lui-même où j’en ai fait vite le tour ?
Je décide d’aller faire un tour ailleurs.
Sur le parking, j’aperçois une femme de couleur qui pousse difficilement son caddy très plein d’une main en tenant son bébé sur sa poitrine plantureuse de l’autre au risque de le faire tomber.
Elle porte un vêtement traditionnel noué sous ses seins et qui lui cache tout le corps.
Chevaleresque, je lui propose de l’aider.
• Soyez sans crainte, je veux simplement vous aider, je vois que vous avez peur que je ne J’aille me sauver avec vos provisions !
Que ferais-je de lait pour bébé, de couches premières âges, et je vois aussi des carottes et des navets ?
Semblant un instant réticent, le bébé manquant de lui échapper, elle accepte mon aide.
Mon acte de bravoure est de courte durée, sa voiture se trouve à vingt mètres de ce point de départ où j’ai commencé à pousser.
Je lui prends les clefs et ouvre le coffre.
Je range les cabas pendant qu’elle place le bébé dans un couffin sur le siège arrière.
• Voulez-vous que je vous accompagne pour vous aider à décharger votre voiture à votre domicile ?
• Vous êtes gentil, mais ça va vous déranger !
• Je suis libre comme l’air et entièrement dispo pour vous servir !
• Vous ne travaillez pas !
• Je me suis engagé dans la marine et je pars pour Toulon en mars.
La marine nationale avec ses pompons pour les marins, j’ai constaté que ça avait une grande influence sur la gent féminine, alors j’en abuse et en ré-abuse.
• Peut-être irez-vous dans mon pays ?
• J’espère que je voyagerais, d’où êtes-vous, plus précisément !
• De Dakar au Sénégal où j’ai toujours de la famille, principalement ma maman et ma sœur. Il y a dix ans mon père est décédé.
Monter, je vous remercie de m’aider, c’est difficile avec le bébé. Il faut que je me dépêche, c’est l’heure de la téter de Diarra ma fille.
• Je m’appelle Christophe et toi !
• Fatou !
Nous prenons la route vers le Bois-l’Abbé quartier cosmopolite de Chennevières principalement construit de tours.
Elle habite dans un immeuble de huit étages.
• J’habite au 5e, je monte changer ma fille, elle doit être mouillée à la façon dont elle pleure et je reviens t’aider !
• Allez-y, je vous suis avec vos paquets.
Qui est ce con qui ces farcis deux voyages de cinq étages, sans compter l’entre sol, par simple charité chrétienne, l’éducation quand ça vous tient ?
Deux voyages et tout est monté, avec un léger essoufflement, hé ! mec, tu te laisses aller, l’amour serait-il la cause de ce manque d’entrain.
Je mets tout dans la cuisine et entre dans la salle.
• Entre Christophe, je donne le sein à Diarra, maintenant que je l’ai changé et après l’avoir couché, je te ferais un café, assieds-toi là !
Elle me montre la place libre sur le canapé à ses côtés.
Elle a dénoué son vêtement, ses seins magnifiques et plantureux m’apparaissent dans leurs intégralités.
Le sein que tête la petite de mon côté est gorgée de lait maternel qu’elle aspire goulûment.
Fatou la change de sein et je suis obnubilé par les gouttes de lait qui continuent à perler de ce sein abandonné.
Elle s’aperçoit que mon regard ne décolle pas de ses mamelles qui laissent couler ces gouttes de lait fabriquées par la maman pour son bébé.
• Veux-tu goûter ?
Sans me poser de questions, je penche la tête et je prends en bouche ce mamelon qui m’attire tant.
Je le suce, je devrais dire, je l’aspire espérant récolter le nectar laissé par Diarra qui me regarde avec ses gros yeux de bébé, semblant se demander ce que ce mec vient faire à boire son casse-croute.
• C’est bon, tu as le bon mouvement avec ta bouche mais tire plus doucement, tu vas me l’arracher.
Dans le même temps, avec sa main libre, elle appuie sur son sein pour m’envoyer en bouche des petits jets qui viennent caresser ma glotte avant de descendre dans mon estomac.
Ce que je bois est bien différent du lait de vache que je bois très rarement, il est vrai.
Plus épais, plus onctueux mais un tantinet fade, il doit bien rassasier Diarra.
Le bébé a sa dose de lait maternel, sa maman doit lui faire faire son rôt.
Je libère ce sein que j’aimais tant pour qu’elle prenne la petite sur son épaule.
Les mêmes gouttes perlent sur la deuxième mamelle.
Dommage, il m’est impossible d’y accéder !
Son rôt fait, Fatou se lève et tient sa tunique à hauteur de ses seins.
Elle emmène la petite certainement vers les chambres où elle doit la coucher.
Je me lève et je rejoins la cuisine où elle va certainement ranger ses courses.
Elle arrive et se rajuste, elle sert simplement son boubou autour de sa poitrine et passe le bout sous son bras, pourquoi me dis-je que ça pourrait servir de savoir ça.
Je l’aide en lui passant les différentes denrées pour les mettre soit au frigo, soit dans les placards.
Alors que je lui passe le dernier paquet de gâteaux, il m’échappe et en essayant de le rattraper, nos têtes se percutent.
Je passe ma main dessus et une trace de sang apparaît sur mes doigts.
• Viens, je vais te soigner, j’ai simplement une bosse, nous les femmes africaines nous avons la tête dure, tu viens de t’en apercevoir !
Elle m’emmène dans la salle et me fait reprendre place sur le canapé.
Elle part dans la même direction d’où elle a conduit Diarra, certainement vers la salle de bain.
Elle en revient rapidement ramenant du coton et du liquide dans un flacon.
Elle se place ses jambes contre mes jambes pour dominer mon crâne.
Ses seins sont à la hauteur de mon visage à quelques centimètres.
• Attention ça va piquer !
Malgré qu’elle m’ait prévenu la brûlure de l’alcool me fait faire un geste brusque.
• Mon boubou !
Comment le morceau de tissu coloré, se retrouve-t-il autour de sa taille, assez plantureuse, après s’être détaché me présentant sur un plateau ses magnifiques seins ?
Est-ce la vision de son rajustement qui m’a fait penser le tirer vers le sol ?
Ma bouche en profite pour engamer le plus proche, c’est celui qu’il m’a été impossible de téter.
• Oh ! Christophe, que fais-tu, je suis très sensible en ce moment et je sens que tu cherches à en profiter !
• Laisse, le moi, je veux aussi goûter celui-là !
Profitant du léger avantage que je viens de marquer, je tire légèrement sur le tissu qui tombe au sol définitivement au sol.
Fatou m’apparaît dans son plus simple appareil, nue, libre de toute protection, les mèches bouclées qui couvrent sa chatte m’apparaissent commençant à me faire bander.
Normal à mon âge, bander est le principe même de ma fonction de mâle que je découvre depuis quelque temps, Chantal en passant par Émelyne, Ophélie et j’espère aujourd’hui Fatou !
Je la prends par les reins et alors que je lui suce le sein, je plonge mes doigts dans sa chatte, elle est ruisselante, mais différemment d’Émelyne ma petite femme fontaine...
Je l’ignore, mais ce que je sais c’est que mes absences ont été remarquées par monsieur le proviseur qui ironie du sort me colle trois jours de mise à pied.
« Monsieur, je baise Émelyne votre prof d’anglais !
Mieux, je l’ai dépucelé alors que je suis certain qu’elle vous faisait bander. »
« Jeune homme, oui je bande pour elle, mais vous êtes un malotru. »
Ces deux phrases sont entre guillemets, car ce sont elle que je voudrais lui sortir, mais par respect pour Émelyne, je ris en mon fort intérieure et je me tais.
Une fraction de seconde j’ai envie d’ajouter « prof principal qui s’est prostitué pour mon seul plaisir et que j’ai baisé de toutes les façons la journée d’hier »
Il va de soi que je reste muet, je fais profil bas, ne souhaitant pas m’éterniser dans ce bureau.
Dès que je sors, je quitte le collège, le gardien m’interpelle à la porte de sortie.
• Où allez-vous ?
• Vieux con, je t’emmerde !
Là, je le dis vraiment, qu’ai-je de plus à perdre.
• Je vais de ce pas, voir le proviseur, vous êtes un jeune insolant.
• Je vous emmerde deux fois, dite lui que je l’emmerde aussi, à pied à cheval et en voiture.
Il va de soi, mais c’est mieux de le dire, que je viens de prendre un déscion capital, pour mon avenir avec obligation d’affronter mon père.
Je suis dehors, ils ne veulent pas de moi pendant trois jours, je ne veux pas d’eux à partir de maintenant.
Une journée a glandé, que puis-je faire ?
Je décide de prendre le premier bus passant devant moi à l’arrêt de la mairie.
Je le prends pour découvrir que je monte au centre commercial de Champigny.
Le bus me dépose et j’entre dans une allée ou de nombreux commerçants ont des boutiques.
Je bois un café, mais rapidement l’ennuie me gagne.
Qu’y a-t-il de passionnant à se promener entre des sacs à main, un coiffeur semblant s’emmerder assis sur son fauteuil à attendre le client et le centre par lui-même où j’en ai fait vite le tour ?
Je décide d’aller faire un tour ailleurs.
Sur le parking, j’aperçois une femme de couleur qui pousse difficilement son caddy très plein d’une main en tenant son bébé sur sa poitrine plantureuse de l’autre au risque de le faire tomber.
Elle porte un vêtement traditionnel noué sous ses seins et qui lui cache tout le corps.
Chevaleresque, je lui propose de l’aider.
• Soyez sans crainte, je veux simplement vous aider, je vois que vous avez peur que je ne J’aille me sauver avec vos provisions !
Que ferais-je de lait pour bébé, de couches premières âges, et je vois aussi des carottes et des navets ?
Semblant un instant réticent, le bébé manquant de lui échapper, elle accepte mon aide.
Mon acte de bravoure est de courte durée, sa voiture se trouve à vingt mètres de ce point de départ où j’ai commencé à pousser.
Je lui prends les clefs et ouvre le coffre.
Je range les cabas pendant qu’elle place le bébé dans un couffin sur le siège arrière.
• Voulez-vous que je vous accompagne pour vous aider à décharger votre voiture à votre domicile ?
• Vous êtes gentil, mais ça va vous déranger !
• Je suis libre comme l’air et entièrement dispo pour vous servir !
• Vous ne travaillez pas !
• Je me suis engagé dans la marine et je pars pour Toulon en mars.
La marine nationale avec ses pompons pour les marins, j’ai constaté que ça avait une grande influence sur la gent féminine, alors j’en abuse et en ré-abuse.
• Peut-être irez-vous dans mon pays ?
• J’espère que je voyagerais, d’où êtes-vous, plus précisément !
• De Dakar au Sénégal où j’ai toujours de la famille, principalement ma maman et ma sœur. Il y a dix ans mon père est décédé.
Monter, je vous remercie de m’aider, c’est difficile avec le bébé. Il faut que je me dépêche, c’est l’heure de la téter de Diarra ma fille.
• Je m’appelle Christophe et toi !
• Fatou !
Nous prenons la route vers le Bois-l’Abbé quartier cosmopolite de Chennevières principalement construit de tours.
Elle habite dans un immeuble de huit étages.
• J’habite au 5e, je monte changer ma fille, elle doit être mouillée à la façon dont elle pleure et je reviens t’aider !
• Allez-y, je vous suis avec vos paquets.
Qui est ce con qui ces farcis deux voyages de cinq étages, sans compter l’entre sol, par simple charité chrétienne, l’éducation quand ça vous tient ?
Deux voyages et tout est monté, avec un léger essoufflement, hé ! mec, tu te laisses aller, l’amour serait-il la cause de ce manque d’entrain.
Je mets tout dans la cuisine et entre dans la salle.
• Entre Christophe, je donne le sein à Diarra, maintenant que je l’ai changé et après l’avoir couché, je te ferais un café, assieds-toi là !
Elle me montre la place libre sur le canapé à ses côtés.
Elle a dénoué son vêtement, ses seins magnifiques et plantureux m’apparaissent dans leurs intégralités.
Le sein que tête la petite de mon côté est gorgée de lait maternel qu’elle aspire goulûment.
Fatou la change de sein et je suis obnubilé par les gouttes de lait qui continuent à perler de ce sein abandonné.
Elle s’aperçoit que mon regard ne décolle pas de ses mamelles qui laissent couler ces gouttes de lait fabriquées par la maman pour son bébé.
• Veux-tu goûter ?
Sans me poser de questions, je penche la tête et je prends en bouche ce mamelon qui m’attire tant.
Je le suce, je devrais dire, je l’aspire espérant récolter le nectar laissé par Diarra qui me regarde avec ses gros yeux de bébé, semblant se demander ce que ce mec vient faire à boire son casse-croute.
• C’est bon, tu as le bon mouvement avec ta bouche mais tire plus doucement, tu vas me l’arracher.
Dans le même temps, avec sa main libre, elle appuie sur son sein pour m’envoyer en bouche des petits jets qui viennent caresser ma glotte avant de descendre dans mon estomac.
Ce que je bois est bien différent du lait de vache que je bois très rarement, il est vrai.
Plus épais, plus onctueux mais un tantinet fade, il doit bien rassasier Diarra.
Le bébé a sa dose de lait maternel, sa maman doit lui faire faire son rôt.
Je libère ce sein que j’aimais tant pour qu’elle prenne la petite sur son épaule.
Les mêmes gouttes perlent sur la deuxième mamelle.
Dommage, il m’est impossible d’y accéder !
Son rôt fait, Fatou se lève et tient sa tunique à hauteur de ses seins.
Elle emmène la petite certainement vers les chambres où elle doit la coucher.
Je me lève et je rejoins la cuisine où elle va certainement ranger ses courses.
Elle arrive et se rajuste, elle sert simplement son boubou autour de sa poitrine et passe le bout sous son bras, pourquoi me dis-je que ça pourrait servir de savoir ça.
Je l’aide en lui passant les différentes denrées pour les mettre soit au frigo, soit dans les placards.
Alors que je lui passe le dernier paquet de gâteaux, il m’échappe et en essayant de le rattraper, nos têtes se percutent.
Je passe ma main dessus et une trace de sang apparaît sur mes doigts.
• Viens, je vais te soigner, j’ai simplement une bosse, nous les femmes africaines nous avons la tête dure, tu viens de t’en apercevoir !
Elle m’emmène dans la salle et me fait reprendre place sur le canapé.
Elle part dans la même direction d’où elle a conduit Diarra, certainement vers la salle de bain.
Elle en revient rapidement ramenant du coton et du liquide dans un flacon.
Elle se place ses jambes contre mes jambes pour dominer mon crâne.
Ses seins sont à la hauteur de mon visage à quelques centimètres.
• Attention ça va piquer !
Malgré qu’elle m’ait prévenu la brûlure de l’alcool me fait faire un geste brusque.
• Mon boubou !
Comment le morceau de tissu coloré, se retrouve-t-il autour de sa taille, assez plantureuse, après s’être détaché me présentant sur un plateau ses magnifiques seins ?
Est-ce la vision de son rajustement qui m’a fait penser le tirer vers le sol ?
Ma bouche en profite pour engamer le plus proche, c’est celui qu’il m’a été impossible de téter.
• Oh ! Christophe, que fais-tu, je suis très sensible en ce moment et je sens que tu cherches à en profiter !
• Laisse, le moi, je veux aussi goûter celui-là !
Profitant du léger avantage que je viens de marquer, je tire légèrement sur le tissu qui tombe au sol définitivement au sol.
Fatou m’apparaît dans son plus simple appareil, nue, libre de toute protection, les mèches bouclées qui couvrent sa chatte m’apparaissent commençant à me faire bander.
Normal à mon âge, bander est le principe même de ma fonction de mâle que je découvre depuis quelque temps, Chantal en passant par Émelyne, Ophélie et j’espère aujourd’hui Fatou !
Je la prends par les reins et alors que je lui suce le sein, je plonge mes doigts dans sa chatte, elle est ruisselante, mais différemment d’Émelyne ma petite femme fontaine...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Christophe veut partir dans la marine, il a voulu gouter au minou noir en France avant d'aller faire de même en Afrique...
Ahhh une belle aventure avec une africaine 🤩🤩😍😍😍
Cyrille
Cyrille