COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (4,3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (4,3)
Avant de séduire ma prof d’anglais, en faissant même une parfaite soumise depuis mon dépucelage par maîtresse Chantal, j’étais un jeune Français de souche ouvrière loin de penser que je côtoierais des gens comme Samy et Ophélie.
Fatou rencontrée au supermarché sur les hauteurs de Champigny et que j’aide à charger puis monter ses commissions dans son 5e étage du Bois-l’Abbé sans ascenseur.
Quelle belle poitrine surtout en ces moments ou elle allaite.
Son boubou au sol, je mets deux doigts dans sa chatte, moins femme fontaine que Malaurie.
• Oui, prends-moi, ma chatte est en feu.
Sa chatte est loin d’être mon objectif, je me dirige plus spécifiquement vers sa rondelle.
J’introduis un doigt, puis deux au centre de ma cible.
• Que fais-tu, je refuse ; même à mon mari de me prendre comme cela, je lui ai toujours refusé depuis qu’il me baise même avant notre mariage ?
• Veux-tu être une vraie pute qui se fait prendre par la première queue qui te le demande ?
J’attrape mon jean que j’ai enlevé lorsque je suis entré et récupère les 100 francs donnés par ma mère pour faire un cadeau à Malaurie.
• Tiens voilà 100 francs, une salope doublée d’une pute se fait payer mais n’a plus rien à refuser à son client.
• Alors, prends-moi !
Je lui place le billet dans la main qu’elle glisse sous l’oreiller de son mari.
L’argent qu’elle prend m’ouvre les portes de son cul si généreux pour mes mains.
Je lui assène quelques claques aussi appuyés qu’à Malaurie sur son joufflu.
Il est si ferme que ma main rebondie sur sa surface.
Rapidement Fatou émet les mêmes petits cris de plaisir que précédemment.
Je me surprends à accélérer la cadence comme si je voulais la punir de tromper son mâle même s’il refuse de la baiser comme j’ai décidé de le faire.
• Fait attention, Christophe, j’ai l’impression que je prends goût à ces fessées.
Des fessées, j’en ai reçu par mon père lorsque j’étais réticente à ses volontés.
Mais la rouste que tu m’as mis me fait mouiller.
Met tes doigts tu vas voir !
Il ne faut jamais refuser à une femme une chose qu’elle vous demande surtout si c’est sexuel, mes premiers rapports avec elle dans ma jeune vie, m’ont appris cette vérité.
Je passe ma main sous son ventre et plonge directement la pointe de mes cinq doigts dans son vagin.
Fatou est si ouverte et sa fente si mouillée que je les introduis aux trois quarts bien au fond de son vagin.
À cette pénétration, elle creuse ses reins ce qui fait pénétrer mon gland dans son fondement.
Le oh ! De surprise de la dame ne s’attendant pas à cette pénétration me vient aux oreilles.
Le plus gros morceau est passé, je parle de mon gland.
En disant gros, suis-je un peu à mon avantage, je suis simplement avec une bite de taille normale et fonctionnelle.
Je pousse mon avantage et je la pénètre de quelques centimètres supplémentaires.
Un coup sec, la totalité de ma verge entre au fond de son cul.
Elle se trémousse tellement sur cette intrusion, qu’il me suffit de l’empêcher de me désarçonner pour la faire démarrer dans les plaisirs qu’elle s’est toujours refusée à pratiquer.
Son mâle habituel même s’il est devenu un cocu aura gagné une femelle qui lui demandera elle-même de la sodomiser.
Je sors de son cul et j’attends sa réaction.
• Pourquoi tu t’enlèves, j’allais jouir ?
• Si tu veux que je te la remette, ce sera à une seule condition !
• Mets-moi là, je suis d’accord !
Je réintroduis mon prépuce dans sa rondelle, elle recule pour gagner du chemin.
• Je finis de te l’introduire à une seule condition.
• Laquelle ?
• À quelles heures ton mari va rentrer ce soir !
• Dix-neuf heures !
• Tu l’attendras derrière la porte nue, en position de levrette et tu lui demanderas de t’enculer !
• S’il refuse de me sodomiser !
• Demain tu prends ta gosse une valise et tu le quittes.
S’il accepte, je viendrai t’honorer mercredi matin et si tu es là, c’est que tu auras gagné.
Un homme normalement constitué est dans l’impossibilité devant un derrière aussi somptueux de te refuser de l’honorer.
A le voir, moi-même, je n’ai pas pu résister !
Maintenant que j’ai donné mes directives, je peux finir le travail commencé.
J’entre jusqu’aux couilles dans son séant et je la lime jusqu’à ce que son bas-ventre explose.
Je la sens plier sur ses jambes, je quitte son cul et je présente ma bite à sa bouche.
Elle recommence à me sucer avec application.
Elle a bien gagné mon divin jus que je lui envoie au plus profond de ses entrailles.
Épuisée-elle tombe sur le côté et je vois ses yeux clos pour récupérer.
Prestement, je saisis l’oreiller où monsieur posera sa tête ce soir.
J’y essuie ma queue avant de reprendre mon pantalon pour lui permettre un repos bien mérité.
Des pleurs réveillent Fatou.
Diarra fait savoir à sa mère qu’elle a à nouveau faim.
J’embrasse ma nouvelle maîtresse et la quitte en lui promettant mon retour pour mercredi matin.
Elle a passé de si bons moments avec moi, que ses yeux me disent de revenir le plus vite possible et que tout son corps me sera offert.
Je reprends le bus pour retrouver la mairie et l’appartement de Malaurie.
Je passe devant une parfumerie.
D’un coup, je me souviens que j’ai glissé les 1 000 francs gagnés par Ophélie et ma petite pute préférée dans la poche à billets de mon portefeuille.
J’entre et je choisis un flacon de parfum.
La vendeuse me conseille du 5 de Chanel !
Elle me fait un paquet avec un joli nœud, j’en ai pour un montant de 560 francs.
J’entre dans la charcuterie près de chez ma puce et j’achète de quoi préparer un repas en amoureux pour ce soir, je veux lui en mettre plein la vue.
Elle ignore que je l’ai trompé avec Fatou, mais au fond de moi, dans ce repas je veux y mettre tout l’amour que j’ai pour elle.
La boutique suivante est une boutique de décoration pour la table.
J’achète tout ce qu’il faut pour lui préparer un souper aux chandelles.
Les comptes sont vite faits, sur les 1 000 francs qu’elles ont gagnés, il me reste 5 francs 30 centimes.
Avec mes achats, j’entre dans la gare du R.E.R, je sors du fond de ma poche ces dernières pièces et je les mets dans la sébile d’un vieil homme qui fait la manche.
• Merci beau prince, Dieu vous le rendra au centuple.
Ce vieil homme, je l’avais vu quand j’étais venu surveiller l’arrivée de celle qui n’était encore que ma professeur d’anglais.
Je monte dans le logement qui est vide, elle ne doit pas revenir avant dix-neuf, vingt heures après un conseil des professeurs comme elle me l’a dit au moment où nous nous sommes momentanément séparés.
Je prends ma douche et je m’allonge sur le lit pour recharger mes batteries.
Avant que l’odeur du savon efface l’odeur poivrée de cette fille africaine, je repense à celle qui va recevoir son mari comme une vieille salope.
Fera-t-elle ce que je lui ai demandé au risque que son mari, pense qu’elle l’a trompé, ce qui est bien sûr le cas.
Je passe le savon sur ma peau, ce qui me permet de revenir dans cette chambre et sous cette douche.
Par la pensée, moi le futur porteur d’un pompon rouge de Marin, je reviens de mon voyage au Sénégal pour retrouver la monotonie parisienne.
Dans la chambre que j’ai rejointe, une étrange impression me fait relever le dessus-de-lit.
Sur les draps, Malaurie a placé une alèse en plastique, c’est elle que j’ai sentie en m’allongeant en pensant à elle.
Elle doit prévoir pour nos jeux prochains de ne plus avoir à changer les draps après ses éjaculations vaginales.
Vers 18 heures, je commence à préparer la table.
J’ai mis la bouteille de champagne que j’ai achetée à la charcuterie au frigo et j’ai préparé les plats.
Repas entièrement froid comme me la proposer la charcutière afin de n’avoir qu’à amener les plats sur la table sans avoir à perdre de temps à s’occuper de la cuisson.
Je surveille par la fenêtre l’arrivée de ma belle, d’un coup, je la vois qui contourne le coin et s’avancer souplement vers notre chez-nous.
C’est beau de contempler une femme heureuse de son retour chez elle, surtout sans savoir la surprise que je lui ai préparée.
Elle approche d’un pas alerte, elle lève ses yeux vers l’appartement voulant certainement s’assurer que je suis là.
Je me recule rapidement et je pense qu’elle ne m’a pas vu, la pièce étant dans le noir.
Il ne me reste sur le corps que mon caleçon que j’enlève afin de la recevoir nu. J’allume les bougies, que j’ai disséminées dans la pièce dont deux sur la table dans des bougeoirs avec sur chacune des bougies les deux lettres de nos prénoms M & C.
Au moment où elle ouvre la porte, j’ai juste le temps de me cacher derrière le long rideau de la fenêtre.
• Christophe mon cœur où es-tu ?
• Tu es là, je vois les bougies allumées, j’avais regardé vers notre fenêtre, la pièce était noire, tu viens de les allumer.
C’est féérique mon chéri, sort de ta cachette, sinon j’ouvre cette bouteille et je me saoule jusqu’à ne plus tenir debout.
J’ai une idée pour te faire sortir, je me déshabille, l’homme qui me rejoindra trouvera une femme soumise prête à se faire baiser.
Dommage, j’aurais espéré qu’il s’appelle Christophe.
Je lui laisse le temps de se déshabiller et voyant que c’est fait, je sors de ma cachette. L’attrapant par le bras, je la plaque contre moi lui prenant la bouche dans un baiser lui montrant l’amour que j’ai pour elle.
Comment peut-elle ignorer l’amour que j’ai pour elle, on a compris, je bande comme un véritable taureau prêt à saillir sa femelle vache...
Fatou rencontrée au supermarché sur les hauteurs de Champigny et que j’aide à charger puis monter ses commissions dans son 5e étage du Bois-l’Abbé sans ascenseur.
Quelle belle poitrine surtout en ces moments ou elle allaite.
Son boubou au sol, je mets deux doigts dans sa chatte, moins femme fontaine que Malaurie.
• Oui, prends-moi, ma chatte est en feu.
Sa chatte est loin d’être mon objectif, je me dirige plus spécifiquement vers sa rondelle.
J’introduis un doigt, puis deux au centre de ma cible.
• Que fais-tu, je refuse ; même à mon mari de me prendre comme cela, je lui ai toujours refusé depuis qu’il me baise même avant notre mariage ?
• Veux-tu être une vraie pute qui se fait prendre par la première queue qui te le demande ?
J’attrape mon jean que j’ai enlevé lorsque je suis entré et récupère les 100 francs donnés par ma mère pour faire un cadeau à Malaurie.
• Tiens voilà 100 francs, une salope doublée d’une pute se fait payer mais n’a plus rien à refuser à son client.
• Alors, prends-moi !
Je lui place le billet dans la main qu’elle glisse sous l’oreiller de son mari.
L’argent qu’elle prend m’ouvre les portes de son cul si généreux pour mes mains.
Je lui assène quelques claques aussi appuyés qu’à Malaurie sur son joufflu.
Il est si ferme que ma main rebondie sur sa surface.
Rapidement Fatou émet les mêmes petits cris de plaisir que précédemment.
Je me surprends à accélérer la cadence comme si je voulais la punir de tromper son mâle même s’il refuse de la baiser comme j’ai décidé de le faire.
• Fait attention, Christophe, j’ai l’impression que je prends goût à ces fessées.
Des fessées, j’en ai reçu par mon père lorsque j’étais réticente à ses volontés.
Mais la rouste que tu m’as mis me fait mouiller.
Met tes doigts tu vas voir !
Il ne faut jamais refuser à une femme une chose qu’elle vous demande surtout si c’est sexuel, mes premiers rapports avec elle dans ma jeune vie, m’ont appris cette vérité.
Je passe ma main sous son ventre et plonge directement la pointe de mes cinq doigts dans son vagin.
Fatou est si ouverte et sa fente si mouillée que je les introduis aux trois quarts bien au fond de son vagin.
À cette pénétration, elle creuse ses reins ce qui fait pénétrer mon gland dans son fondement.
Le oh ! De surprise de la dame ne s’attendant pas à cette pénétration me vient aux oreilles.
Le plus gros morceau est passé, je parle de mon gland.
En disant gros, suis-je un peu à mon avantage, je suis simplement avec une bite de taille normale et fonctionnelle.
Je pousse mon avantage et je la pénètre de quelques centimètres supplémentaires.
Un coup sec, la totalité de ma verge entre au fond de son cul.
Elle se trémousse tellement sur cette intrusion, qu’il me suffit de l’empêcher de me désarçonner pour la faire démarrer dans les plaisirs qu’elle s’est toujours refusée à pratiquer.
Son mâle habituel même s’il est devenu un cocu aura gagné une femelle qui lui demandera elle-même de la sodomiser.
Je sors de son cul et j’attends sa réaction.
• Pourquoi tu t’enlèves, j’allais jouir ?
• Si tu veux que je te la remette, ce sera à une seule condition !
• Mets-moi là, je suis d’accord !
Je réintroduis mon prépuce dans sa rondelle, elle recule pour gagner du chemin.
• Je finis de te l’introduire à une seule condition.
• Laquelle ?
• À quelles heures ton mari va rentrer ce soir !
• Dix-neuf heures !
• Tu l’attendras derrière la porte nue, en position de levrette et tu lui demanderas de t’enculer !
• S’il refuse de me sodomiser !
• Demain tu prends ta gosse une valise et tu le quittes.
S’il accepte, je viendrai t’honorer mercredi matin et si tu es là, c’est que tu auras gagné.
Un homme normalement constitué est dans l’impossibilité devant un derrière aussi somptueux de te refuser de l’honorer.
A le voir, moi-même, je n’ai pas pu résister !
Maintenant que j’ai donné mes directives, je peux finir le travail commencé.
J’entre jusqu’aux couilles dans son séant et je la lime jusqu’à ce que son bas-ventre explose.
Je la sens plier sur ses jambes, je quitte son cul et je présente ma bite à sa bouche.
Elle recommence à me sucer avec application.
Elle a bien gagné mon divin jus que je lui envoie au plus profond de ses entrailles.
Épuisée-elle tombe sur le côté et je vois ses yeux clos pour récupérer.
Prestement, je saisis l’oreiller où monsieur posera sa tête ce soir.
J’y essuie ma queue avant de reprendre mon pantalon pour lui permettre un repos bien mérité.
Des pleurs réveillent Fatou.
Diarra fait savoir à sa mère qu’elle a à nouveau faim.
J’embrasse ma nouvelle maîtresse et la quitte en lui promettant mon retour pour mercredi matin.
Elle a passé de si bons moments avec moi, que ses yeux me disent de revenir le plus vite possible et que tout son corps me sera offert.
Je reprends le bus pour retrouver la mairie et l’appartement de Malaurie.
Je passe devant une parfumerie.
D’un coup, je me souviens que j’ai glissé les 1 000 francs gagnés par Ophélie et ma petite pute préférée dans la poche à billets de mon portefeuille.
J’entre et je choisis un flacon de parfum.
La vendeuse me conseille du 5 de Chanel !
Elle me fait un paquet avec un joli nœud, j’en ai pour un montant de 560 francs.
J’entre dans la charcuterie près de chez ma puce et j’achète de quoi préparer un repas en amoureux pour ce soir, je veux lui en mettre plein la vue.
Elle ignore que je l’ai trompé avec Fatou, mais au fond de moi, dans ce repas je veux y mettre tout l’amour que j’ai pour elle.
La boutique suivante est une boutique de décoration pour la table.
J’achète tout ce qu’il faut pour lui préparer un souper aux chandelles.
Les comptes sont vite faits, sur les 1 000 francs qu’elles ont gagnés, il me reste 5 francs 30 centimes.
Avec mes achats, j’entre dans la gare du R.E.R, je sors du fond de ma poche ces dernières pièces et je les mets dans la sébile d’un vieil homme qui fait la manche.
• Merci beau prince, Dieu vous le rendra au centuple.
Ce vieil homme, je l’avais vu quand j’étais venu surveiller l’arrivée de celle qui n’était encore que ma professeur d’anglais.
Je monte dans le logement qui est vide, elle ne doit pas revenir avant dix-neuf, vingt heures après un conseil des professeurs comme elle me l’a dit au moment où nous nous sommes momentanément séparés.
Je prends ma douche et je m’allonge sur le lit pour recharger mes batteries.
Avant que l’odeur du savon efface l’odeur poivrée de cette fille africaine, je repense à celle qui va recevoir son mari comme une vieille salope.
Fera-t-elle ce que je lui ai demandé au risque que son mari, pense qu’elle l’a trompé, ce qui est bien sûr le cas.
Je passe le savon sur ma peau, ce qui me permet de revenir dans cette chambre et sous cette douche.
Par la pensée, moi le futur porteur d’un pompon rouge de Marin, je reviens de mon voyage au Sénégal pour retrouver la monotonie parisienne.
Dans la chambre que j’ai rejointe, une étrange impression me fait relever le dessus-de-lit.
Sur les draps, Malaurie a placé une alèse en plastique, c’est elle que j’ai sentie en m’allongeant en pensant à elle.
Elle doit prévoir pour nos jeux prochains de ne plus avoir à changer les draps après ses éjaculations vaginales.
Vers 18 heures, je commence à préparer la table.
J’ai mis la bouteille de champagne que j’ai achetée à la charcuterie au frigo et j’ai préparé les plats.
Repas entièrement froid comme me la proposer la charcutière afin de n’avoir qu’à amener les plats sur la table sans avoir à perdre de temps à s’occuper de la cuisson.
Je surveille par la fenêtre l’arrivée de ma belle, d’un coup, je la vois qui contourne le coin et s’avancer souplement vers notre chez-nous.
C’est beau de contempler une femme heureuse de son retour chez elle, surtout sans savoir la surprise que je lui ai préparée.
Elle approche d’un pas alerte, elle lève ses yeux vers l’appartement voulant certainement s’assurer que je suis là.
Je me recule rapidement et je pense qu’elle ne m’a pas vu, la pièce étant dans le noir.
Il ne me reste sur le corps que mon caleçon que j’enlève afin de la recevoir nu. J’allume les bougies, que j’ai disséminées dans la pièce dont deux sur la table dans des bougeoirs avec sur chacune des bougies les deux lettres de nos prénoms M & C.
Au moment où elle ouvre la porte, j’ai juste le temps de me cacher derrière le long rideau de la fenêtre.
• Christophe mon cœur où es-tu ?
• Tu es là, je vois les bougies allumées, j’avais regardé vers notre fenêtre, la pièce était noire, tu viens de les allumer.
C’est féérique mon chéri, sort de ta cachette, sinon j’ouvre cette bouteille et je me saoule jusqu’à ne plus tenir debout.
J’ai une idée pour te faire sortir, je me déshabille, l’homme qui me rejoindra trouvera une femme soumise prête à se faire baiser.
Dommage, j’aurais espéré qu’il s’appelle Christophe.
Je lui laisse le temps de se déshabiller et voyant que c’est fait, je sors de ma cachette. L’attrapant par le bras, je la plaque contre moi lui prenant la bouche dans un baiser lui montrant l’amour que j’ai pour elle.
Comment peut-elle ignorer l’amour que j’ai pour elle, on a compris, je bande comme un véritable taureau prêt à saillir sa femelle vache...
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