COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (4,4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (4,4)
J’ai trompé, Malaurie avec Fatou sur les hauteurs de Champigny ou j’habite avec mes parents non loin des bords de marne.
C’est le jeune coq que je suis devenu qui l’a fait, sans penser à celle à qui je fais porter des cornes.
Est-ce pour me faire pardonner, malgré que j’ignore ma culpabilité que revenant vers ma soumise ?
Je lui prépare un repas de gala avec l’argent qu’il reste sur les passes qu’Ophélie et Malaurie ont pratiqué pour nous amuser dans une allée du bois de Vincennes.
Je la vois aller dans la cuisine, je l’entends dans la salle de bain elle ouvre même l’armoire de la chambre pour revenir dans la salle.
Un léger fou rire m’échappe ce qui lui permet de me découvrir.
Je la prends dans mes bras et lui plaque un baiser à réchauffer la pièce malgré les radiateurs.
Comme je suis nu, elle place sa main sur mon sexe qui a ce contact relève la tête.
Sa main s’en empare et de mon côté, je lui prends les lèvres dans un baiser me rappelant l’amour que j’ai pour cette jeune femme un peu spéciale dans sa courbe de vie.
Tout en m’embrassant, sa poitrine dénudée vient de se coller à la mienne, je sens mes tétons certes riquiqui, sur les siens bien plus développés.
Elle a respecté notre convention et n’a rien pour entraver cette jolie poitrine.
En entrant dans la chambre elle a remis son collier d’esclave.
Je lui passe ma main sur sa chatte, elle est prête de nouveau à être mienne.
Je me baisse et je pénètre sa chatte avec ma langue.
Qu’elle est belle ma jolie conquête nue dans mes bras !
• Viens, suis-moi !
Soumise, c’est ça une soumise, vous lui demander une chose, même sexuellement hors du commun et elle vous suit sans vous vous opposer la moindre résistance.
Je l’amène vers ma chaise en la soulevant comme un sac de plume, je m’assieds et je dépose sa fente sur mon vit.
Je la lâche et elle vient s’ajuster autour de ma bite.
Nous sommes face à face ce qui nous permet de nous embrasser amoureusement.
Je prends un de ses seins dans ma main.
Elle me la saisit et en me regardant dans les yeux, elle me tourne le poignet m’obligeant à lui vriller le mamelon.
Plus je résiste et plus avec ses yeux elle me défie.
Plus elle tourne ma main et plus la douleur doit être forte dans son corps.
J’ai tellement mal pour elle que pour la première fois de ma vie je détourne les yeux.
Comme une petite-fille contente d’avoir vaincu le grand méchant loup, lèvre contre lèvre dans un souffle, elle me dit.
• Je t’ai eu !
Pour la punir d’avoir voulu me défier, je la soulève et lui fait sortir ma verge de sa chatoune pour la faire retomber sur sa rosette qui explose de joie à cette pénétration.
Dans le même temps, je lui claque fortement les fesses qui la font chanter de plus belle.
J’attends qu’elle jouisse du fondement pour la faire ressortir.
• Mon cœur, j’en ai marre, il ne m’est plus possible de te punir.
Plus je te propose de te soumettre plus je te fais plaisir.
Ton collier est un cadeau qui se retourne contre moi.
Je crois que je vais me le mettre.
Tu pourras ainsi me dominer et m’apprendre à te faire du mal, qui pour toi me semble ressembler à du plaisir.
• Pourquoi te dire que je n’aime pas alors que j’aime bien, mieux j’adore ?
• Non, mon cœur garde les choses comme tu as voulu qu’elle soit.
La seule chose que je te demande c’est de ne pas te freiner lorsque tu me corriges, car bien souvent je l’ai mérité.
Je l’embrasse et je la repose au sol.
• À table, je t’ai préparé un repas pour fêter ta promotion au rang de prostitué du bois de Vincennes.
J’ai tout acheté avec les 1 000 francs que vous avez gagnés et j’ai donné le solde à un SDF qui vit dans la gare du RER.
• J’adore ton idée, que nous as-tu achetée ?
Je vais chercher la bouteille de champagne mise au frais à mon arrivée, accompagné de saler pour l’apéritif froid.
• Veux-tu me saouler ?
• Comment supportes-tu l’alcool ?
• Tu verras bien surprise pour toi.
Je la sers et reprends ma place, elle soulève la serviette de fête que j’ai placée sur son cadeau qu’elle n’a toujours pas vu.
Elle aperçoit le paquet l’ouvre et découvre le flacon de 5 de Chanel.
Elle se lève et me saute au cou.
• Crois-tu que je le mérite ?
J’ai été une ignoble fille, hier, je me suis même prostitué !
• Quoi, tu as vendu ton corps et tu te présentes à moi, nue, pour que je te fasse l’amour mon amour.
Tu devrais avoir honte, de t’être ainsi comportée.
À la parfumerie, la vendeuse m’a dit qu’avec un soupçon de ce parfum sur ton corps, tu pourrais rester nue.
Tu en mettras demain et tu iras nue au collège.
• Tu veux que je déclenche une émeute !
Je la fais s’asseoir à la table où les chandelles brûlent éclairant la pièce, je sers la demi-langouste prévue par personne.
• J’adore la langouste, tu me gattes.
• Non, c’est toi si tu n’avais pas fait la pute et sucé ces hommes, je n’aurais pas eu l’argent pour t’offrir ce festin, je suis un pauvre élève de collège !
• Veux-tu que nous y retournions ce soir ?
• Tu mériterais une nouvelle fois une punition, à croire que tu les cherches.
Pour aller jusqu’au bois, il faut une voiture, je suis trop jeune pour le permis et à ce que je sache, tu marches comme moi à pied ou en transport en commun.
Reste Samy et Ophélie, après l’exploit de Samy hier dans la nuit, ça m’étonnerait qu’il recommence son jeu dès ce soir.
Tu es prof, tu es donc très intelligente et je pense que tu le savais, tu mérites donc une punition.
En plus sur le plan personnel, surtout pas, te voir suivre des inconnus pour les satisfaire m’a suffi une fois dans ma vie.
Je préfère te donner une jolie fessée même si je dois me forcer plutôt que de te partager avec des inconnus.
Elle se lève, viens se placer le ventre sur mes genoux et les fesses légèrement lever.
• Évite les promesses fesse moi.
Je la repousse et la laisse tomber à terre sur ses belles fesses.
• Tu es vraiment insatiable, tu veux que je te mette la laisse et que je t’attache toute la nuit au radiateur.
• Me mettras-tu une couverture par terre ?
• Non, tu resteras à même le sol.
• Comme une petite chienne ?
Alors je vais être sage tout le reste de la soirée.
J’amène la forêt noire et je lui ressers du champagne.
Je prends de la crème sur mon doigt et lui badigeonne son bout de nez.
• Tu ressembles à un clown ma chérie avec ton bout de nez blanc.
Nous dirions un clown blanc !
• Feras-tu l’Auguste ?
• Tu me cherches mon bébé, mais je résisterais, tu risquerais de porter pleine pour maltraitance.
Oui, je vais te donner un ordre, viens sur le lit et allonge-toi.
• Attends, j’enlève la couverture et le drap.
J’ai mis une alèse étanche pour ne pas laver les draps chaque fois que nous faisons l’amour !
Je m’allonge, elle me rejoint avec la forêt noire et le reste de la bouteille de champagne.
Elle me suce la tige pour qu’elle durcisse et me badigeonne le bas du ventre avec la crème du gâteau.
Ses yeux brillent, l’alcool commence à faire certainement son effet.
• J’ai soif, mon amour !
Elle lève la bouteille et me la vide dans le trou formé par mon nombril et bois une grande rasade.
• J’ai faim !
Elle plonge sur ma bite pour lécher le gâteau.
• Je veux que tu me baises !
Elle me présente sa chatte à hauteur de ma verge et s’empale carrément dessus.
En même temps qu’elle monte et qu'elle descend le long de ma tige, elle ingurgite des rasades de champagne.
Heureusement celle-ci est plus qu’entamée, la dernière goutte coule dans son gosier.
• Mon petit taureau chéri qui me baise bien, ma chatte a trop chaud, je vais la refroidir.
Elle renverse la bouteille et la verse sur nos intimités, elle retourne la bouteille et met le goulot sur son oeil.
• La bouteille doit être percée, elle est vide et on a à peine bu !
Il n’y en a plus, tu dois avoir tout bu, maintenant on peut baiser comme des bêtes mon amour.
Je suis patient, mais là, m’accuser d’avoir tout bu alors que c’est elle qui s’est pochetronnée, je lui prends le bras sans lui faire mal et d’une main ferme, je la couche sur mes genoux.
Je lui donne la fessée de sa vie, du moins je le pense...
C’est le jeune coq que je suis devenu qui l’a fait, sans penser à celle à qui je fais porter des cornes.
Est-ce pour me faire pardonner, malgré que j’ignore ma culpabilité que revenant vers ma soumise ?
Je lui prépare un repas de gala avec l’argent qu’il reste sur les passes qu’Ophélie et Malaurie ont pratiqué pour nous amuser dans une allée du bois de Vincennes.
Je la vois aller dans la cuisine, je l’entends dans la salle de bain elle ouvre même l’armoire de la chambre pour revenir dans la salle.
Un léger fou rire m’échappe ce qui lui permet de me découvrir.
Je la prends dans mes bras et lui plaque un baiser à réchauffer la pièce malgré les radiateurs.
Comme je suis nu, elle place sa main sur mon sexe qui a ce contact relève la tête.
Sa main s’en empare et de mon côté, je lui prends les lèvres dans un baiser me rappelant l’amour que j’ai pour cette jeune femme un peu spéciale dans sa courbe de vie.
Tout en m’embrassant, sa poitrine dénudée vient de se coller à la mienne, je sens mes tétons certes riquiqui, sur les siens bien plus développés.
Elle a respecté notre convention et n’a rien pour entraver cette jolie poitrine.
En entrant dans la chambre elle a remis son collier d’esclave.
Je lui passe ma main sur sa chatte, elle est prête de nouveau à être mienne.
Je me baisse et je pénètre sa chatte avec ma langue.
Qu’elle est belle ma jolie conquête nue dans mes bras !
• Viens, suis-moi !
Soumise, c’est ça une soumise, vous lui demander une chose, même sexuellement hors du commun et elle vous suit sans vous vous opposer la moindre résistance.
Je l’amène vers ma chaise en la soulevant comme un sac de plume, je m’assieds et je dépose sa fente sur mon vit.
Je la lâche et elle vient s’ajuster autour de ma bite.
Nous sommes face à face ce qui nous permet de nous embrasser amoureusement.
Je prends un de ses seins dans ma main.
Elle me la saisit et en me regardant dans les yeux, elle me tourne le poignet m’obligeant à lui vriller le mamelon.
Plus je résiste et plus avec ses yeux elle me défie.
Plus elle tourne ma main et plus la douleur doit être forte dans son corps.
J’ai tellement mal pour elle que pour la première fois de ma vie je détourne les yeux.
Comme une petite-fille contente d’avoir vaincu le grand méchant loup, lèvre contre lèvre dans un souffle, elle me dit.
• Je t’ai eu !
Pour la punir d’avoir voulu me défier, je la soulève et lui fait sortir ma verge de sa chatoune pour la faire retomber sur sa rosette qui explose de joie à cette pénétration.
Dans le même temps, je lui claque fortement les fesses qui la font chanter de plus belle.
J’attends qu’elle jouisse du fondement pour la faire ressortir.
• Mon cœur, j’en ai marre, il ne m’est plus possible de te punir.
Plus je te propose de te soumettre plus je te fais plaisir.
Ton collier est un cadeau qui se retourne contre moi.
Je crois que je vais me le mettre.
Tu pourras ainsi me dominer et m’apprendre à te faire du mal, qui pour toi me semble ressembler à du plaisir.
• Pourquoi te dire que je n’aime pas alors que j’aime bien, mieux j’adore ?
• Non, mon cœur garde les choses comme tu as voulu qu’elle soit.
La seule chose que je te demande c’est de ne pas te freiner lorsque tu me corriges, car bien souvent je l’ai mérité.
Je l’embrasse et je la repose au sol.
• À table, je t’ai préparé un repas pour fêter ta promotion au rang de prostitué du bois de Vincennes.
J’ai tout acheté avec les 1 000 francs que vous avez gagnés et j’ai donné le solde à un SDF qui vit dans la gare du RER.
• J’adore ton idée, que nous as-tu achetée ?
Je vais chercher la bouteille de champagne mise au frais à mon arrivée, accompagné de saler pour l’apéritif froid.
• Veux-tu me saouler ?
• Comment supportes-tu l’alcool ?
• Tu verras bien surprise pour toi.
Je la sers et reprends ma place, elle soulève la serviette de fête que j’ai placée sur son cadeau qu’elle n’a toujours pas vu.
Elle aperçoit le paquet l’ouvre et découvre le flacon de 5 de Chanel.
Elle se lève et me saute au cou.
• Crois-tu que je le mérite ?
J’ai été une ignoble fille, hier, je me suis même prostitué !
• Quoi, tu as vendu ton corps et tu te présentes à moi, nue, pour que je te fasse l’amour mon amour.
Tu devrais avoir honte, de t’être ainsi comportée.
À la parfumerie, la vendeuse m’a dit qu’avec un soupçon de ce parfum sur ton corps, tu pourrais rester nue.
Tu en mettras demain et tu iras nue au collège.
• Tu veux que je déclenche une émeute !
Je la fais s’asseoir à la table où les chandelles brûlent éclairant la pièce, je sers la demi-langouste prévue par personne.
• J’adore la langouste, tu me gattes.
• Non, c’est toi si tu n’avais pas fait la pute et sucé ces hommes, je n’aurais pas eu l’argent pour t’offrir ce festin, je suis un pauvre élève de collège !
• Veux-tu que nous y retournions ce soir ?
• Tu mériterais une nouvelle fois une punition, à croire que tu les cherches.
Pour aller jusqu’au bois, il faut une voiture, je suis trop jeune pour le permis et à ce que je sache, tu marches comme moi à pied ou en transport en commun.
Reste Samy et Ophélie, après l’exploit de Samy hier dans la nuit, ça m’étonnerait qu’il recommence son jeu dès ce soir.
Tu es prof, tu es donc très intelligente et je pense que tu le savais, tu mérites donc une punition.
En plus sur le plan personnel, surtout pas, te voir suivre des inconnus pour les satisfaire m’a suffi une fois dans ma vie.
Je préfère te donner une jolie fessée même si je dois me forcer plutôt que de te partager avec des inconnus.
Elle se lève, viens se placer le ventre sur mes genoux et les fesses légèrement lever.
• Évite les promesses fesse moi.
Je la repousse et la laisse tomber à terre sur ses belles fesses.
• Tu es vraiment insatiable, tu veux que je te mette la laisse et que je t’attache toute la nuit au radiateur.
• Me mettras-tu une couverture par terre ?
• Non, tu resteras à même le sol.
• Comme une petite chienne ?
Alors je vais être sage tout le reste de la soirée.
J’amène la forêt noire et je lui ressers du champagne.
Je prends de la crème sur mon doigt et lui badigeonne son bout de nez.
• Tu ressembles à un clown ma chérie avec ton bout de nez blanc.
Nous dirions un clown blanc !
• Feras-tu l’Auguste ?
• Tu me cherches mon bébé, mais je résisterais, tu risquerais de porter pleine pour maltraitance.
Oui, je vais te donner un ordre, viens sur le lit et allonge-toi.
• Attends, j’enlève la couverture et le drap.
J’ai mis une alèse étanche pour ne pas laver les draps chaque fois que nous faisons l’amour !
Je m’allonge, elle me rejoint avec la forêt noire et le reste de la bouteille de champagne.
Elle me suce la tige pour qu’elle durcisse et me badigeonne le bas du ventre avec la crème du gâteau.
Ses yeux brillent, l’alcool commence à faire certainement son effet.
• J’ai soif, mon amour !
Elle lève la bouteille et me la vide dans le trou formé par mon nombril et bois une grande rasade.
• J’ai faim !
Elle plonge sur ma bite pour lécher le gâteau.
• Je veux que tu me baises !
Elle me présente sa chatte à hauteur de ma verge et s’empale carrément dessus.
En même temps qu’elle monte et qu'elle descend le long de ma tige, elle ingurgite des rasades de champagne.
Heureusement celle-ci est plus qu’entamée, la dernière goutte coule dans son gosier.
• Mon petit taureau chéri qui me baise bien, ma chatte a trop chaud, je vais la refroidir.
Elle renverse la bouteille et la verse sur nos intimités, elle retourne la bouteille et met le goulot sur son oeil.
• La bouteille doit être percée, elle est vide et on a à peine bu !
Il n’y en a plus, tu dois avoir tout bu, maintenant on peut baiser comme des bêtes mon amour.
Je suis patient, mais là, m’accuser d’avoir tout bu alors que c’est elle qui s’est pochetronnée, je lui prends le bras sans lui faire mal et d’une main ferme, je la couche sur mes genoux.
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