COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (40/42)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (40/42) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (40/42)
Au pied du pont des Soupirs, Patou comme à son habitude fait des croquis de tout ce qu’elle voit, lorsque l’on me frappe sur l’épaule.

• Mes amis, vous avez eu la même idée !

Christophe et Chantal sont derrière nous et semblent très satisfaits de nous trouver là. Nous restons encore quelques minutes le temps pour mon petit peintre de se déplacer de l’autre côté du pont souhaitant nous croquer regardant la beauté de ce lieu qu’est le pont des Soupirs à quelques mètres de là.

• Le petit pont enjambant le petit canal a dû être construit afin que les tourismes que nous sommes puissent admirer le pont des Soupires.
• Eh non, Christophe, tu te trompes, mais soit rassurer, nous avons fait la même erreur la première fois ou nous sommes venus.
Le pont où nous sommes est le pont de la Paglia.
Il a été construit en 1360 et rénové en 1460 environ puis agrandi en 1854.
Le pont des Soupires, c’est plus facile à s’en souvenir, c’est en 1600 qu’il a été érigé.
• Merci mon ami, tu es une véritable encyclopédie !
• Non, simplement un lecteur du « petit futé. »

Le temps passe et ma promesse me pose problème, aller manger ou aller faire un tour de gondole.
J’ai prévu de manger au restaurant de l’hôtel.
Je décide de garder le plan initial.

• Mes amis, je vous confie Patou, je retourne rapidement à l’hôtel cadrer notre soirée.
Revenez jusqu’au café Florian où je vous rejoindrais.

Je pars rapidement et pour éviter la foule sur la place San-Marco, je continue les quais jusqu’au petit canal de l’hôtel.
La solution à mes soucis m’est apportée à la réception, pour un hôtel de cette classe tout est fait pour satisfaire le client.
Il me propose de faire la promenade de nuit en gondole et de revenir à notre chambre où un repas froid, sera servi, les cuisines fermant à 22 heures 30.
Nous composons le menu et je repars retrouver mes amis.
Nous avons le temps, il leur faut une demi-heure pour tous préparer.

Les trois sont là, installés et devant une bouteille de champagne, ça pétille dans leurs coupes.
Non, c’est du « Prosecco » vin lui aussi pétillant du nord de l’Italie.
Après Christine, c’est Christophe qui est branché vin.

• J’ai une cave aménagée chez nous et j’ai fait venir ce vin depuis notre premier voyage il y a dix ans.

Je goûte, il est loin d’avoir tort, c’est très agréable à boire, mais...
Rien n’égale nos vins de Champagne, près de Reims, cette ville a le champagne et Raymond Kopa, véritable légende du foot français.
Une seule ombre au tableau, il a été obligé de s’expatrier en Espagne pour remporter la Coupe d’Europe.
À l’heure prévue, nous arrivons sur le quai.
Nous sommes assez nombreux pour que Pat soit rapidement installé sur le siège recouvert de velours rouge placé devant le gondolier.
Jacqueline se place à ses côtés.
Des couvertures sont mises à notre disposition.
Le gondolier les donne à ses dames qui apprécient beaucoup de s’en recouvrir presque jusqu’au cou.
Avec Christophe, nous nous asseyons à leur pied sur les plats-bords ou des petits coussins ont été placés.
La gondole est exceptionnelle.
Une véritable œuvre d’art.
Comme toutes celles croisées, elle est laquée noir et brille sous la lune !
Depuis que je suis installé, Patou a déjà fait trois croquis de notre gondole.
Mais, elle veut profiter du voyage et la nuit étant venue, elle le range dans son sac prévu à cet effet.
Malgré ça, à notre retour, elle aura l’embarras du choix pour peindre la série de toiles qu’elle souhaite appeler « voyage à Venise, » du moins c’est ce qu’elle m’a dit.
Comment demain va-t-elle traduire en peinture ma demande en mariage ?

C’est le passage sous le pont des Soupirs qui nous impressionne le plus.
D’autant qu’avec celui qui le précède ce sont les deux premiers que nous passons.
Nous baissons la tête fréquemment et le gondolier doit être un vrai acrobate à certain moment du parcours.
La largeur des petits canaux que nous suivons l’oblige à des prouesses avec sa perche surtout dans des virages serrés ou lors du croisement avec une autre gondole.
Les touristes que nous croisons qui nous disent sûrement « bonjour » sont impressionnants.
Le monde entier est venu fêter Noël ici.
Ayant traversé le quartier San-Marco de bout en bout, c’est vers le pont Rialto que nous récupérons le grand canal que nous redescendons, jusqu’à notre hôtel.

Je remercie le gondolier qui apprécie beaucoup par un gros billet en lire bien sûr.
Dans l’enveloppe que Christine m’a confiée, une liasse de billets italiens nous évite de nous préoccuper du change.
Nous montons à notre chambre.
Nos amis sont éblouis devant celle-ci.
La table installée au centre de la pièce préalablement prévue pour le petit déjeuner nous donne envie de dévorer.

La table ronde nous permet de ne pas nous poser de questions sur qui se met à côté de qui.
Tout part de Patou, le service a prévu sa place, aucune chaise n’est à la place pour y glisser son fauteuil.
Une femme, un homme, une femme un homme.
La garce, Jacqueline à peine installée place sa jambe sur mes genoux.
La table n’est pas très grande, mais si je place ma main sous la nappe immaculée, tous sauront où elle est passée.
Pourtant je suis sur et j’espère le vérifier rapidement avant la fin de la nuit, notre amie a dû une fois de plus oublier de se couvrir la chatte.

Le repas composé de mets très fins se déroule dans une bonne ambiance.
J’ai l’impression que cela fait des années que nous nous connaissons alors qu’il y a moins de 48 heures que j’ai baisé avec Jacqueline.
Au cours de nos conversations, sur le vin, leur travail et leur logement ainsi que leurs souhaits dans les mois prochains, chaque fois que Christophe le peu, il prend la main de Patou.
Deux à trois fois, il se penche pour lui déposer un baiser.
J’ai mis ma serviette étalée sur mes genoux et sous couvert de m’essuyer la bouche je caresse la jambe qui est posée sur moi.
De temps en temps, sa jambe doit se tétaniser, car elle la repose pour rapidement la remettre à sa même place.
Mince ma serviette est tombée.
Je me baisse pour la ramasser et avec l’autre main, je la fais glisser au plus loin et j’ai le temps de constater que j’aurais pu parier, sa vulve est nue.
Mince au moment de me redresser je laisse échapper ma serviette une deuxième fois et j’arrive à lui faire entrer deux doigts dans sa fente.
Assis normalement je suis satisfait de ce que je pense être un exploit car la conversation entre ma chérie et son amoureux n’a pas dévié, il se regarde toujours les yeux dans les yeux.
Jacqueline, elle, est rouge comme une pivoine.
Seulement sa chatte m’a fait comprendre qu’elle aussi attend une bite le plus rapidement possible.
La bûche de Noël glacée conservé dans un petit réfrigérateur ainsi que les bouteilles de champagne italien est succulente.
Depuis que je suis petit, la fête de Noël est liée à ce gâteau que ma mère préparait elle-même et où je traînais dans ses jambes pour lécher la ganache au chocolat qui était si bonne.
Je suis jeune, je sais que mon père avant de nous dire adieu se faisait soigner pour du cholestérol, j’espère y échapper.

Je pense qu’en maître de maison, je dois prendre une initiative.
Je me lève pour servir le café et pour le boire, je prends ma chaise et je l’approche de celle de Jacqueline.
Il est facile de m’approcher de celle qui hier, dans le train ne m’a pas refusé de la pénétrer devant son mari alors qu’il y avait moins d’une heure que nous nous connaissions.
Je prends sa bouche qui ne se refuse pas.
Comme je suis placé en l’embrassant, je ne vois que le bras et l’épaule de Christophe.
Je place ma main sur la chatte de mon amie qui écarte largement ses cuisses.
Elle est trempée, l’attente de recevoir ou mes doigts ou ma bite au fond de son ventre l’ont préparée à la suite de notre soirée, elle dégouline de cyprine.
Je quitte sa bouche et je vois Christophe partir vers la chambre avec Patou dans ses bras laissant son fauteuil vide.
Ma petite ne l’embrasse pas mais la manière dont ses bras sont placés autour de son cou, cela ne va pas tarder.
C’est la première fois que je regarde ma chérie partir rencontrer le sexe d’un autre homme que le mien.
J’ai un moment de panique.
Si demain lorsque je vais lui demander d’être ma femme, ce sexe qui n’a jamais été aussi près de la posséder la subjugue ne va-t-elle pas me dire « non »
Rapidement je balaye toutes ces mauvaises pensées après ce qu’elle m’a dit au café Florian qu’elle souhaite avoir un bébé de moi.
Malgré les grands risques qu’elle va prendre à cause de son handicap, elle va mettre au monde notre fils.

Ayant balayé ces idées noires, la chatte de Jacqueline doit retenir toute mon attention.
Est-ce le départ de ma petite, partie prendre du plaisir ou son plaisir qui me fait bander sans qu’il soit nécessaire de me toucher ?
Pour le moment, c’est Jacqueline qui est celle que je vais honorer.
Je recule ma chaise et sans rien ne lui enlever, je la fais venir à la place de sa jambe que j’ai eu sur mes genoux une grande partie du repas.
Elle me saisit le sexe de sa main pour mieux pointer sa petite chatte.
C’est empalé entièrement que j’entends ses cordes vocales quand mon sexe est au fond de sa grotte.
Elle chante, Patou chante, le duo de Christophe même s’ils ont interverti leur rôle réussit à rendre heureuse ces jolies femmes qui nous ont donné leur cœur.
Moi qui aime prendre mon temps au risque de tomber en panne pendant la nuit que je sens chaude, je donne tout mon sperme disponible à mon amie.

Quand elle se relève, elle me prend la main pour me tirer vers la chambre.
Je dis bien tiré, car j’ai peur de la vue de ma petite prise sous le corps d’un autre homme...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Encore un joli chapitre empli de romantisme et peu à peu on arrive au sexe et aux appréhensions de Christophe
Toujours aussi agréable à lire et on suit l’évolution de Patou depuis sa perte de virginité. On attend la suite de cette partie qui semble évoluer vers le carré parfait. Daniel



Texte coquin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (40/42)
Histoire sexe : Une rose rouge
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