COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (41/42)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (41/42)
Jalousie quand tu me tiens !
Un instant j’ai peur de voir Patou dans les bras de l’autre Christophe.
Mais je surmonte ma peur.
Je crois en ma petite et je dois reconnaitre que je suis mal placé avec tout ce que j’ai fait depuis les semaines ou j’ai pris ma décision de rejoindre la Toulon et la marine nationale.
Les deux amants sont couchés côte à côte.
Leur seul point de contact c’est leurs mains qu’ils tiennent l’une dans l’autre.
Jacqueline doit sentir le trouble qui est en moi, car elle me pousse vers Patou.
Je tombe à son côté, le regard qu’elle me porte et sa main qu’elle a libérée la tendant vers moi, balaye toute mon appréhension.
Je jure que plus jamais je ne douterais de son amour.
Doute-t-elle de moi quand je travaille chez Christine ?
Doute-t-elle de moi lorsqu’elle accepte que je fasse un garçon à Chantal et une fille à Malaurie ou une fille pour Chantal et un garçon pour Malaurie ?
Lorsqu’elle se penche pour prendre ma tige avec sa bouche alors que Jacqueline en fait de même avec celle de Christophe, le sien, je vois qu’elle n’a pas eu assez de sexe pour ce soir.
À mon oreille elle me fait une demande.
• Christophe, je voudrais vous avoir ensemble dans mon ventre !
Aidé par Jacqueline, Patricia se trouve sur lui prise par son sexe dégageant son petit trou que je ne mets pas longtemps à investir.
Les deux femmes s’embrassent tendrement.
Nos deux couples sont en osmoses.
Sentir la verge de Christophe à travers la légère paroi séparant les deux conduits de ma belle que nous avons investie décuple mon plaisir.
C’est Patou qui déclenche les orgasmes qui nous atteignent tous les quatre.
Tous les quatre, par ce que Pat a mis ses doigts dans le vagin de Jacqueline ce qui la fait partir en même temps que les Christophe, à la fraction de seconde ou nos jets de sperme l’atteignent.
Toutes ces émotions nous ont achevés, nous sombrons tous les quatre emmêlés.
Sans s’en rendre compte la lumière reste allumée jusqu’au matin où je me réveille.
Mes amis non pas émergés.
Je m’habille et je descends à la réception en prenant soin de fermer les portes de communication entre la chambre et la salle où nous avons dîner.
À la réception, j’ai la chance que Mona Lisa soit là.
• Que voulez-vous, Christophe ?
Son accent italien est un enchantement surtout lorsqu’elle prononce Christophe.
• Vous pouvez desservir le repas d’hier et servir le petit déjeuner pour quatre personnes nous avons des invités.
Je voudrais organiser notre après-midi.
Vu l’heure, il vaut mieux cadrer l’après-midi que le matin plus qu’entamé.
Mona Lisa me propose de faire les canaux par des chemins qui sont méconnus des touristes car les gondoliers préfèrent passer dans les plus célèbres et où le tour est plus rapide.
Plus vite, ils les ramènent à l’embarcadère de départ et plus le nombre de tourismes est grand et plus ça leur rapporte de revenues.
C’est souvent le cas dans les villes touristiques.
• Je suis comme prévue à votre disposition, je viendrais avec vous et je vous expliquerais les palais et autres choses intéressantes à voir.
• Pourrons-nous voir une fabrique de Gondoles ou de masques vénitiens ?
• En gondoles impossibles, il faudrait trop de temps.
Part compte demain en partant avec le canot à moteur, vous pourriez visiter une fabrique de gondole et sur l’île de Murano, vous visiterez les souffleurs de verre vénitien.
Elle prononce Murano en disant Murano quand je dis que sa voix est chantante !
• Pouvez-vous prévoir cette visite pour quatre ?
• Oui, si ce sont vos amis qui ont dormi avec vous cette nuit.
Excusez mon incorrection, vous êtes tous majeurs et je n’ai aucun droit à me mêler de votre vie privée.
Je vous en supplie si vous voyez notre directeur, éviter de lui mentionner l’impaire que je viens de faire, je serais licenciable immédiatement.
Vos amis, donc, nous passerons les chercher en partant, la fabrique est dans leur direction.
• Merci, pour eux, soyez sans crainte, ce sont ceux qui ne disent ou ne font rien, qui sont sûrs de ne pas se tromper.
À quelle heure c’est après midi !
• Quatorze heures ici à la réception, nous nous arrêterons dans la plus belle boutique de masques fabriqués à Venise.
Vous pourrez en acheter.
À tout à l’heure et n’ayez aucune crainte pour votre directeur !
• Nous vous amenons de quoi vous substanter !
Je la sens à deux doigts de me dire, que baiser ça ouvrait l’appétit, mais est-ce simplement une vue de mon esprit, je finis par penser sexe plus que de raison.
Je remonte à la chambre où le personnel débarrasse et prépare le petit déjeuner.
C’est dans la baignoire que je retrouve tout mon petit monde.
C’est la fête, ça chante, ça rit et ça boit, tous les trois ont une coupe de champagne en main.
Il semble qu’ils aient décidé de vider le frigo !
• Mais c’est la fête !
• Oui youpi !
Patricia semble être très joyeuse, est-ce ses exploits sexuels de la nuit dernière ajoutée au champagne qui la met en joie, les deux je pense.
• Christophe, je suis toute saoule, viens, je fête notre rencontre et celle de nos amis qui m’ouvrent à la vie.
Youpi.
Champagne, Christophe, j’ai soif !
En me disant cela elle me tend sa coupe qui est aux trois quarts vide.
• Assez bu petite ivrogne.
• Petite ivrogne, nous une grande ivrogne, une immense ivrogne, vive le champagne italien.
• Et le mal de crâne que tu vas avoir alors que je viens de mettre au point notre promenade de cette après-midi.
Nous retournons avec Mona Lisa sur les canaux tout à l’heure, je ne voudrais pas que tu sautes par-dessus bord !
• Tu es bête, sauter par-dessus bord, je ne peux pas, je ne peux pas !
L’humour de Patricia sur ses incapacités me montre, même avec un peu d’alcool, que j’ai raison de l’épouser.
Une fille qui a une telle force de caractère mérite mon amour.
Je la sors du bain et je l’assieds sur une chaise pour l’essuyer.
Je la porte jusqu’au lit où je la couche pour la laisser récupérer.
• J’ai soif !
Dernier soubresaut d’une femme qui commence à cuver.
Je rejoins nos amis qui s’excusent de lui avoir donné à boire.
Au départ, une seule coupe a suffi pour la mettre dans cet état et les autres ont suivi.
Le petit déjeuner terminé, pour nous et surtout moi qui me suis bien gardé de reprendre de l’alcool après ce que j’avais bu tout au long de la soirée.
J’embrasse Jacqueline et je prends Christophe dans mes bras en lui donnant de grandes claques dans le dos.
Se frotter la verge l’une contre l’autre ça crée des liens, essayez, vous verrez.
Ils me quittent pour retourner à leur hôtel se changer.
Je leur donne rendez-vous pour le départ à l’embarcadère où nous les avons laissés, hier, à notre arrivée.
Nous nous embrasons, Jacqueline amoureusement et Christophe en bon camarade que nous sommes devenus.
Ne partageons nous pas, femmes ou maîtresses depuis notre rencontre !
Lorsqu’ils sont partis, je m’installe devant la télé pour quelques minutes.
Dans peu de temps j’ai du travail à faire pour remettre en état ma petite et pour que nous passions un bon après-midi.
Treize heures au travail, j’essaye de la réveiller, mais elle émet quelques borborygmes et continue à dormir ou à cuver.
Je la prends dans mes bras avec du mal car dans son état c’est un poids lourd.
En temps normal elle m’aide alors qu’à ce moment elle ne présente aucune réaction.
Je la dépose dans la baignoire et après mettre mise nu, je la rejoins.
De temps en temps elle ouvre un œil et chaque fois, la même demande arrive à mes oreilles.
• J’ai soif !
Bébé, j’ai soif !
Ce n’est pas possible, je vais épouser une poivrote, une alcoolique.
J’ouvre l’eau tiède au début et de plus en plus froide.
J’insiste sur son visage et sur sa bouche afin de l’obligé à suffoquer et ainsi éliminer les effets de l’alcool.
J’avais l’habitude, lors de booms, avec des copains de les remettre en état avant qu’ils ne retournent auprès de papa et maman.
La seule différence c’est que je n’étais pas nu dans la baignoire avec le sujet à traiter.
Quelques minutes de ce traitement et Patricia commencent à éructer pour recracher l’eau.
• Tirant, assassin, je te hais…
Appelle marraine qu’elle vienne me chercher, inutile, beurk...
Elle recrache de l’eau, le jet lui ayant forcé la bouche, mais je vois très nettement que son état s’améliore.
Je sens que même si elle appelle sa marraine à la rescousse, elle récupère de plus en plus.
Intérieurement je rigole bien, tous ceux qui ont subi mon traitement on finit par me haïr.
En sera-t-il de même avec Patou...
Un instant j’ai peur de voir Patou dans les bras de l’autre Christophe.
Mais je surmonte ma peur.
Je crois en ma petite et je dois reconnaitre que je suis mal placé avec tout ce que j’ai fait depuis les semaines ou j’ai pris ma décision de rejoindre la Toulon et la marine nationale.
Les deux amants sont couchés côte à côte.
Leur seul point de contact c’est leurs mains qu’ils tiennent l’une dans l’autre.
Jacqueline doit sentir le trouble qui est en moi, car elle me pousse vers Patou.
Je tombe à son côté, le regard qu’elle me porte et sa main qu’elle a libérée la tendant vers moi, balaye toute mon appréhension.
Je jure que plus jamais je ne douterais de son amour.
Doute-t-elle de moi quand je travaille chez Christine ?
Doute-t-elle de moi lorsqu’elle accepte que je fasse un garçon à Chantal et une fille à Malaurie ou une fille pour Chantal et un garçon pour Malaurie ?
Lorsqu’elle se penche pour prendre ma tige avec sa bouche alors que Jacqueline en fait de même avec celle de Christophe, le sien, je vois qu’elle n’a pas eu assez de sexe pour ce soir.
À mon oreille elle me fait une demande.
• Christophe, je voudrais vous avoir ensemble dans mon ventre !
Aidé par Jacqueline, Patricia se trouve sur lui prise par son sexe dégageant son petit trou que je ne mets pas longtemps à investir.
Les deux femmes s’embrassent tendrement.
Nos deux couples sont en osmoses.
Sentir la verge de Christophe à travers la légère paroi séparant les deux conduits de ma belle que nous avons investie décuple mon plaisir.
C’est Patou qui déclenche les orgasmes qui nous atteignent tous les quatre.
Tous les quatre, par ce que Pat a mis ses doigts dans le vagin de Jacqueline ce qui la fait partir en même temps que les Christophe, à la fraction de seconde ou nos jets de sperme l’atteignent.
Toutes ces émotions nous ont achevés, nous sombrons tous les quatre emmêlés.
Sans s’en rendre compte la lumière reste allumée jusqu’au matin où je me réveille.
Mes amis non pas émergés.
Je m’habille et je descends à la réception en prenant soin de fermer les portes de communication entre la chambre et la salle où nous avons dîner.
À la réception, j’ai la chance que Mona Lisa soit là.
• Que voulez-vous, Christophe ?
Son accent italien est un enchantement surtout lorsqu’elle prononce Christophe.
• Vous pouvez desservir le repas d’hier et servir le petit déjeuner pour quatre personnes nous avons des invités.
Je voudrais organiser notre après-midi.
Vu l’heure, il vaut mieux cadrer l’après-midi que le matin plus qu’entamé.
Mona Lisa me propose de faire les canaux par des chemins qui sont méconnus des touristes car les gondoliers préfèrent passer dans les plus célèbres et où le tour est plus rapide.
Plus vite, ils les ramènent à l’embarcadère de départ et plus le nombre de tourismes est grand et plus ça leur rapporte de revenues.
C’est souvent le cas dans les villes touristiques.
• Je suis comme prévue à votre disposition, je viendrais avec vous et je vous expliquerais les palais et autres choses intéressantes à voir.
• Pourrons-nous voir une fabrique de Gondoles ou de masques vénitiens ?
• En gondoles impossibles, il faudrait trop de temps.
Part compte demain en partant avec le canot à moteur, vous pourriez visiter une fabrique de gondole et sur l’île de Murano, vous visiterez les souffleurs de verre vénitien.
Elle prononce Murano en disant Murano quand je dis que sa voix est chantante !
• Pouvez-vous prévoir cette visite pour quatre ?
• Oui, si ce sont vos amis qui ont dormi avec vous cette nuit.
Excusez mon incorrection, vous êtes tous majeurs et je n’ai aucun droit à me mêler de votre vie privée.
Je vous en supplie si vous voyez notre directeur, éviter de lui mentionner l’impaire que je viens de faire, je serais licenciable immédiatement.
Vos amis, donc, nous passerons les chercher en partant, la fabrique est dans leur direction.
• Merci, pour eux, soyez sans crainte, ce sont ceux qui ne disent ou ne font rien, qui sont sûrs de ne pas se tromper.
À quelle heure c’est après midi !
• Quatorze heures ici à la réception, nous nous arrêterons dans la plus belle boutique de masques fabriqués à Venise.
Vous pourrez en acheter.
À tout à l’heure et n’ayez aucune crainte pour votre directeur !
• Nous vous amenons de quoi vous substanter !
Je la sens à deux doigts de me dire, que baiser ça ouvrait l’appétit, mais est-ce simplement une vue de mon esprit, je finis par penser sexe plus que de raison.
Je remonte à la chambre où le personnel débarrasse et prépare le petit déjeuner.
C’est dans la baignoire que je retrouve tout mon petit monde.
C’est la fête, ça chante, ça rit et ça boit, tous les trois ont une coupe de champagne en main.
Il semble qu’ils aient décidé de vider le frigo !
• Mais c’est la fête !
• Oui youpi !
Patricia semble être très joyeuse, est-ce ses exploits sexuels de la nuit dernière ajoutée au champagne qui la met en joie, les deux je pense.
• Christophe, je suis toute saoule, viens, je fête notre rencontre et celle de nos amis qui m’ouvrent à la vie.
Youpi.
Champagne, Christophe, j’ai soif !
En me disant cela elle me tend sa coupe qui est aux trois quarts vide.
• Assez bu petite ivrogne.
• Petite ivrogne, nous une grande ivrogne, une immense ivrogne, vive le champagne italien.
• Et le mal de crâne que tu vas avoir alors que je viens de mettre au point notre promenade de cette après-midi.
Nous retournons avec Mona Lisa sur les canaux tout à l’heure, je ne voudrais pas que tu sautes par-dessus bord !
• Tu es bête, sauter par-dessus bord, je ne peux pas, je ne peux pas !
L’humour de Patricia sur ses incapacités me montre, même avec un peu d’alcool, que j’ai raison de l’épouser.
Une fille qui a une telle force de caractère mérite mon amour.
Je la sors du bain et je l’assieds sur une chaise pour l’essuyer.
Je la porte jusqu’au lit où je la couche pour la laisser récupérer.
• J’ai soif !
Dernier soubresaut d’une femme qui commence à cuver.
Je rejoins nos amis qui s’excusent de lui avoir donné à boire.
Au départ, une seule coupe a suffi pour la mettre dans cet état et les autres ont suivi.
Le petit déjeuner terminé, pour nous et surtout moi qui me suis bien gardé de reprendre de l’alcool après ce que j’avais bu tout au long de la soirée.
J’embrasse Jacqueline et je prends Christophe dans mes bras en lui donnant de grandes claques dans le dos.
Se frotter la verge l’une contre l’autre ça crée des liens, essayez, vous verrez.
Ils me quittent pour retourner à leur hôtel se changer.
Je leur donne rendez-vous pour le départ à l’embarcadère où nous les avons laissés, hier, à notre arrivée.
Nous nous embrasons, Jacqueline amoureusement et Christophe en bon camarade que nous sommes devenus.
Ne partageons nous pas, femmes ou maîtresses depuis notre rencontre !
Lorsqu’ils sont partis, je m’installe devant la télé pour quelques minutes.
Dans peu de temps j’ai du travail à faire pour remettre en état ma petite et pour que nous passions un bon après-midi.
Treize heures au travail, j’essaye de la réveiller, mais elle émet quelques borborygmes et continue à dormir ou à cuver.
Je la prends dans mes bras avec du mal car dans son état c’est un poids lourd.
En temps normal elle m’aide alors qu’à ce moment elle ne présente aucune réaction.
Je la dépose dans la baignoire et après mettre mise nu, je la rejoins.
De temps en temps elle ouvre un œil et chaque fois, la même demande arrive à mes oreilles.
• J’ai soif !
Bébé, j’ai soif !
Ce n’est pas possible, je vais épouser une poivrote, une alcoolique.
J’ouvre l’eau tiède au début et de plus en plus froide.
J’insiste sur son visage et sur sa bouche afin de l’obligé à suffoquer et ainsi éliminer les effets de l’alcool.
J’avais l’habitude, lors de booms, avec des copains de les remettre en état avant qu’ils ne retournent auprès de papa et maman.
La seule différence c’est que je n’étais pas nu dans la baignoire avec le sujet à traiter.
Quelques minutes de ce traitement et Patricia commencent à éructer pour recracher l’eau.
• Tirant, assassin, je te hais…
Appelle marraine qu’elle vienne me chercher, inutile, beurk...
Elle recrache de l’eau, le jet lui ayant forcé la bouche, mais je vois très nettement que son état s’améliore.
Je sens que même si elle appelle sa marraine à la rescousse, elle récupère de plus en plus.
Intérieurement je rigole bien, tous ceux qui ont subi mon traitement on finit par me haïr.
En sera-t-il de même avec Patou...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Chris ton texte est encore sublime on attend toujours la suite tu nous fais languir pour la demande de mariage. Daniel

