COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (42/42)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (42/42) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (42/42)
Intérieurement je rigole bien, tous ceux qui ont subi mon traitement on finit par me haïr.
En sera-t-il de même avec Patou.
Mais, c’est bon signe ma poupée a réagi.
Je remonte la température de l’eau et c’est tout son corps qu’elle tend vers moi.
Enfin, dans la limite du possible avec son handicap.
L’eau chaude ravive mon désir et c’est une flèche au sommet de son envie que je plante dans le vagin de cette petite peste qui m’en fait voir de toutes les couleurs.
Pour la prendre, je la prends dans mes bras, la soulève en profitant pour l’embrasser et de la laisser se planter sur ma verge.
Mon traitement est très efficace, car son regard est redevenu clair.
Il est vrai, que celles avec qui je l’ai pratiqué n’auraient certainement pas accepté que je leur plante ma verge même dans l’anus.
Même la fille d’une amie qui s’est retrouvée dans cette situation et que j’ai été obligé de déshabiller avant de la baigner n’a pas reçu mon pieu comme le reçoit la vulve de ma petite perle des îles.
Alors que Patou, celle qui n’a jamais été aussi près de recevoir une bague qui va l’engager et m’engager pour la vie a le droit de crier son plaisir.
Je décharge pris par l’atmosphère et le moment ou je vais lui demander d’être ma femme lorsqu’une fois de plus au moment de son orgasme, une bourrasque de sperme emplit son intimité.

• Chérie, je te haïs, mais je t’aime, j’ai faim.
• Tu peux manger autant que tu le veux, mais interdiction de toucher aux bouteilles !
• Es-tu vraiment sur et de quel droit, peux-tu me l’interdire…

Une volée de claques sur ses fesses l’a calme pour un moment.
Je la rassieds dans son fauteuil, sortie de la baignoire, je lui sers une grande tasse de café et lorsque je lui beurre une tartine elle la dévore ainsi que les trois autres qui suivent.

• Pat, veux-tu que nous retournions sous la douche pour que tu te nettoies après le sperme que j’ai déversé en toi ?
• Non, surtout pas, nous serons seuls tous les deux à savoir que mon vagin déborde de ton bon jus.
Tiens, regarde, je l’aime trop.

Vicieuse elle se place deux doigts bien au fond et les porte à sa bouche pour les lécher.

• Mon Dieu, je viens d’apprendre que tu es une belle cochonne !
• Non, amoureuse, viens m’embrasser.
• Après mon sperme que tu as mis dans ta bouche, lave-toi les dents !

Elle s’exécute, je la prends dans mes bras et je l’embrasse.

• Christophe, j’ai quelque chose à te dire !
• Je t’écoute !
• Hier, si tu savais comme j’ai aimé avoir vos deux sexes en moi, on pourrait recommencer !
• Tu es vraiment une immense cochonne, viens t’habiller, la gondole va nous attendre.

J’ai réussi, comme à mon habitude grâce à ma douche froide et à sa suffocation de la remettre sur pied.
Pardon, mille fois pardon, en forme ou en état et à l’heure nous descendons.
Sur le quai nos amis sont là ainsi que Mona Lisa et son copain qui conduisait le canot hier.
Il est en tenue comme tous les gondoliers jusqu’au chapeau de paille avec un ruban rouge.
Il prend Pat dans ses bras et au moment où il la pose sur le cousin, elle attrape son canotier et le met sur sa tête.
Un beau sourire du bel italien la conforte, elle peut le garder.
Jacqueline lui tend la main qu’il a tendance à garder plus longtemps que nécessaire avec un regard langoureux qui doit faire mouiller notre copine telle que je la connais.
Comme hier, Mona Lisa leur place la couverture et va s’asseoir face à nous.
Elle est magnifique dans un manteau très épais, il fait légèrement froid.
Sur sa tête, elle a ces boules de poils, qui sont souvent sur la tête des dirigeants Russes lors de la grande parade sur la Place Rouge.
Qui est le dirigeant soviétique en cette année 1967, Nikita Khrouchtchev, c’est le seul nom que j’ai retenu après qu’il est pris sa chaussure pour taper avec sur le pupitre, derrière lequel il était.
À part lui mon inculture est grande, alors j’admire Mona Lisa avec cette toque, pourquoi me tarabuster l’esprit.

• Mona Lisa, viens t’asseoir au milieu de nous, nous allons, nous serer et vous aurez chaud sous la couverture.

En disant cela Jacqueline l’ouvre et la jeune femme vient se blottir entre les deux.

• Comment s’appelle notre gondolier Mona ?

C’est Jacqueline qui se renseigne.
Aurait-elle des vues sur le bel italo ?

• Muzio.

Entendant son prénom l’homme nous regarde sans comprendre pourquoi on a cité son nom, Mona lui traduit et il nous salue.

• Grazie signori, signorina per serv…

Je ne comprends pas son dernier mot, mais il parle comme s’il chantait.

• Nous allons passer à droite en sortant sur le grand canal et tourner rapidement à droite dans de petits canaux qui vont nous faire remonter vers le pont Rialto.

La remontée se passe très bien jusqu'à ce que j’entende notre jolie guide se retenir de haleter.
Que se passe-t-il sous la couverture ?
Je regarde Jacqueline et son sourire mutin me renseigne.
Mona-Lisa subit l’asseau d’une ou de deux de nos comparses.
Au-dessus d’elles, Muzio ne peut voir ce qu’il se passe.
En peu de temps, mes garces l’amènent vers une jouissance qu’elle ne peut pas complètement cacher.
Là, le beau gosse a entendu mais quand il baisse la tête, sa copine a réussi à la garder en elle.
Deux fois dans tout le parcours elles vont lui donner du plaisir, mais elle aussi doit avoir recours à la même méthode et une fois Patou et une fois Jacqueline se trouve à la limite de crier leurs plaisirs.
Muzio accoste la gondole au pied du Rialto et nous sautons à terre pour monter sur le ponton.
Je récupère le fauteuil de Patou que nous avons emporté et je le dépose sur le quai.
Faire monter ma petite était périlleuse, mais la descente est pire.
Il ne manquerait plus qu’elle plonge la tête la première dans les eaux un peu boueuses.
Les perches des gondoliers fouillant la vase, des bateaux à moteur passant à vive allure sans oublier les vaporettos font de ces eaux un bouillon indigeste.
De retour vers la gondole, nous entrons dans un café pour boire des boissons chaudes.
Mona-Lisa semble au mieux avec nos femmes.
J’avais peur que Patou ne tombe amoureux de Christophe et que dire, si c’est une femme qui devient ma nouvelle ennemie.
Je pouvais lutter avec un homme, mais une femme qui voudrait me la prendre, je suis désarmé.
Il est vrai que toutes les cinq minutes je regarde l’heure et je mets ma main dans ma poche pour sentir une petite boîte me rassurant en partie.
Mona nous entraîne dans les ruelles jusqu’à une place où un magasin propose de vrais masques fabriqués à Venise dans les quelques ateliers qui sont encore ouverts.

Nos trois dames, car notre guide s’en mêle, choisissant tellement de pièces pour leurs différents amis que la gondole risque de couler sous le nombre.
Je m’en occupe aussi en leur demandant de penser à ma mère et son amie, sans oublier Chantal, Malaurie, Ophélie.
La commerçante voyant la recette du siècle pour elle nous propose de tout mettre dans un colis et de nous expédier-le tout à Paris.
Elle va même jusqu'à prendre en charge le transport.
La note est salée mais le portefeuille de Patou et de Jacqueline est presque illimité, surtout si tous les croquis qu’elle a déjà faits, se transforment en tableaux dans son atelier.

Nous récupérons notre embarcation et c’est à la nuit tombante que nous passons le pont des Soupirs dans le sens opposé à hier.
De retour à l’hôtel, nos amis nous quittent, ils ont programmé un petit repas en amoureux pour leurs dix ans de mariage.
C’est bien légitime de vouloir avoir des moments de têtes à têtes.
Mona-Lisa semble triste de nous quitter jusqu'à demain.
Le pourboire sous la forme d’un gros billet, met Musio en joie.
Je suis un peu son père Noël avant l’heure fatidique qui se rapproche.

Quant à nous, nous allons nous changer et j’entraîne mon myosotis vers une ruelle où un restaurant italien nous sert un très bon repas. Je prendrais bien du Chianti mais l’expérience du verre de champagne m’a dissuadé de recommencer à quelques minutes de l’événement de ma vie.
À 23 heures 30, nous sortons du restaurant et à 23 heures 50 je l’arrête en plein centre de la place San-Marco.
A 5 minutes de minuit, la neige commence à tomber.
Je sors de ma poche un pompon que je lui fixe sur son revers pour me porter chance.
Celui que je porte depuis la sortie du restaurant et que j’ai placé sans qu’elle le remarque multiplie par deux mes chances.
Je m’agenouille comme le veut la tradition, je sors de ma poche une lettre marquée marine nationale.
Elle l’ouvre mais avec le monde, je me rends compte qu’il lui est impossible de lire la moindre ligne.

• Christophe, tu es gentil, c’est pour cela que je t’aime, mais je suis dans l’impossibilité de voir ce qui est marqué !
• Patou, je vais te le dire, il est marqué que je suis réformé P4 !
• Depuis quand me parles-tu en javanais, qu’est-ce que cela peut bien vouloir dire ?
• La marine refuse mon incorporation dans ses rangs, je reste près de toi jusqu’au bout des temps !

Cette lettre mérite quelques explications.
Lorsque j’ai joué les idiots lors des tests, on aurait pu penser qu’il m’aurait suffi de repartir ou de refuser de signer.
En prenant la décision de passer pour le dernier des fêlés, je restais incorporable pour faire mon service militaire.
Un cousin au moment de la guerre d’Algérie avait voulu se faire porter incompétent pour tenir une arme.
Il a fait l’Algérie, il s’est retrouvé au milieu d’un des points chauds en pays berbère.
Il a été blessé à la tête et depuis il est incapable de donner le total d’un plus un.
Certes l’Algérie, c’est fini mais après 39-45, l’Indochine ou l’Algérie, que vont nous trouver nos politiques pour que nous prenions à notre tour des balles.
À la télé ils nous ont montré le mur à Berlin, ils appellent ça la guerre froide.
En choisissant d’entrer dans la marine, j’évitais la dictature de mon père et le risque de me retrouver en train de crapahuter dans des terrains exposés aux balles.
Grâce à mon renoncement, j’évite tout cela et je suis entièrement à la disposition de ma petite Patou.

• Oh, mon chéri, tu as fait cela pour rester avec moi, que se serait-il passé s’il avait dit que tu étais bon pour au minimum faire ton service militaire.
• Bonne question du plan B qui a fonctionné, je revenais au plan A, mais je me fracturais une jambe, mieux je me serais amputé en mettant ma jambe dans une scie circulaire.

Abasourdi, les larmes lui viennent aux yeux.

• Tu te fiches de moi Christophe, tu profites d’une faible femme pour te moquer d’elle !

Les cloches de la basilique et toutes celles des églises de la ville en cœur sonnent minuit.

• Pas du tout, je vais te le prouver !
Patricia veux-tu être ma femme ?

Je laisse en suspens sa réponse.

Fin du tome I, le tome II s’écrie en ce moment et dès qu’il sera en forme, je vous le ferais savoir.
Ainsi vous aurez la réponse à cette interrogation.

Les avis des lecteurs

Merci Daniel d'avoir été fidèle des fidèle à cette histoire...
Le tome 2 est en parti écrit mais je dois le remettre en forme avec les outils à ma disposition depuis que je l'ai écrit
Certainement courant Mai ou Juin car des textes sont déjà programmé ces mois là

Histoire Erotique
Bravo Chris t’a réussi ton coup ton récit était parfait et maintenant tu nous tient on devra attendre ton bon vouloir pour la réponse j’avais en partie deviné et là encore je pense à 95% que le oui va l’emporter mais avec toi je pense que.on aura droit à de sacrés péripéties. Daniel



Texte coquin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (42/42)
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