COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (5/10)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2382 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 928 378 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 252 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (5/10)
Au matin, Malaurie me présente sa tête d’un lendemain de beuverie.
Aspirine et café noirs la remettent un peu sur pied.
Hier après l’avoir fessée avec délectation, quoi qu’il en soit Malaurie restera ma prof d’anglais que j’ai eu la chance de la dépuceler.
À neuf heures elle est prête à partir au boulot, l’œil vide.
• Je crois que je vais leur faire une interrogation aujourd’hui.
Juré, c’est la dernière fois de ma vie que je bois.
Je l’embrasse et la laisse partir, prof principal pour ma classe, elle doit avoir été prévenue de ma mise à pied.
Malaurie partie, je flâne, je m’occupe de la chambre, malgré l’alèse, nous l’avons dévasté pour mon plus grand plaisir.
Comme me l’a dit Chantal, j’ai pu voir que cette jeune femme, est complètement à ma botte.
L’appartement en état, je me prépare à sortir, j’adore la liberté que je me suis octroyé, aidé par ce con de proviseur.
La journée d’hier est passée plus rapidement que je ne le craignais, que va m’apporter celle d’aujourd’hui.
Je descends sur les bords de la marne et je remonte côté Saint-Maur.
Une fois de plus, mon subconscient a guidé mes pas au pied de l’immeuble de Samy et Ophélie.
Je pousse la porte principale qui refuse de s’ouvrir, elle est bloquée par un système d’appel par Interphone.
C’est le premier que je vois de ma courte vie, que je vois ce genre de système, on voit le standing que mes amis peuvent se permettent grâce au travail de Samy.
Les noms sont indiqués à côté des boutons.
J’ignore le nom de famille de mes amis.
Ma chance est toujours là, une mémé sort avec son petit chien.
Je lui tiens la porte et j’en profite pour me glisser à l’intérieur.
L’ascenseur me dépose au dernier étage.
Je sonne à la porte.
Deux trois minutes, pas de chance, personne.
Je retourne à l’ascenseur.
Au moment d’ouvrir la porte il descend.
Je cherche du regard la porte de l’escalier de secours.
Ma flemme naturelle m’incite à attendre.
La cabine arrive à notre étage, Ophélie en sort accompagnée d’un garçon d’environ de mon âge portant quatre ou cinq paquets.
Un peu gêné, je pense à m’éclipser.
Elle vient d’ouvrir sa porte et me demande d’entrer.
Le porteur de sacs en papier sur lesquels des noms de grandes marques sont marqués nous suit.
• William posez tous sur ce fauteuil.
Elle vient vers moi, se pend à mon bras et vient se coller à moi.
• Je te manquais Christophe !
• Si je suis là !
Devant William elle me prend la bouche dans un baiser qui est loin d’être chaste.
D’un geste elle incite William à nous rejoindre.
Il s’approche sans poser la moindre question.
Aurait-il l’habitude de monter les paquets de ma belle ?
Sa bouche rejoint celle de notre amie et j’assiste de très près à un baiser aussi passionné que celui qu’elle vient de me donner.
Le garçon a de l’expérience, prestement il dégrafe le chemisier d’Ophélie qui se laisse faire comme si se dévêtir devant deux jeunes garçons s’était pour elle naturelle.
Elle me redonne ses lèvres.
Il lui enlève en un tournemain son soutien-gorge ce qui me permet de retrouver son sein toujours aussi appétissant.
Un sein, car la bouche de mon nouveau compagnon de jeu s’occupe du deuxième.
Ils sont si beaux qu’elle les tend vers nous pour que nous en profitions au maximum.
Pour la première fois, je coupe une femme en deux.
Il faut apprendre, mais voulant éviter de passer pour un ignare je cherche la fermeture de la robe que je fais tomber laissant la dévoreuse en petite culotte.
J’ai fait le travail pour la robe, j’en profite pour descendre ma main vers sa fourche que j’invertis sans aucune résistance.
Mes doigts glissent sous l’élastique et viennent caresser sa chatte, toujours aussi mouillée la salope.
Elle s’écarte légèrement de nous et nous tirant par les mains elle nous emmène vers les chambres.
• Suivez-moi, je sens que vous allez me faire passer un moment de grande intensité lorsque je vois vos queues bandées dans vos pantalons.
La chambre d’amis nous reçoit, William semblant assez expert se retrouve nu en un éclair.
Il est déjà près à l’attaque pour satisfaire Ophélie.
Je fais tomber mes affaires et je me présente au pied du lit où Ophélie s’est allongée.
Un point pour moi, je bande autant que lui, mais la taille et la grosseur me donne un certain avantage.
Je suis loin d’être un étalon, mais mes parents mon bien doté.
À ce moment de ma vie, le grand manque d’expérience bien que je fonce à fond la caisse pour le rattraper, je crois que plus elle est grosse et plus elle fait jouir les femmes.
Petite, mais vigoureuse, l’expérience de ma vie va me faire changer d’avis.
Elle nous tend les bras, écartant ses cuisses nous invitant à nous occuper de sa chatte que je sais accueillante.
Nous nous plaçons de chaque côté.
Gagné, c’est du côté de mon membre qu’elle se penche pour embrasser ma verge. Elle s’occupe de mon prépuce qu’elle suce comme si c’était une boule de glace.
Sa langue tourne à droite, s’aperçoit qu’elle n’a pas assez nettoyé à gauche et lorsque tout est parfait, elle l’enfourne au fond de sa gorge.
Fière qu’elle m’est choisie pour s’occuper de moi en premier, on s’accroche au moindre détail afin de garder ma primauté de mâle dominant.
Je me concentre sur ce qu’elle me faisait et j’en oublie mon concurrent.
Il est loin d’avoir perdu du temps, il est déjà en train de lui brouter la chatte.
Pour lui facilité la pénétration, elle a déplacé sa jambe lui présentant béante son abricot dégoulinant de cyprine.
La belle semble apprécier et de plus en plus souvent elle enlève sa bouche de ma verge pour nous faire savoir le plaisir qui doit monter dans ses reins.
Me sucer ou se faire brouter, est loin d’être suffisant.
Elle se remet sur le dos et me tend les bras.
Pourquoi refuser l’invitation, j’écarte sans ménagement William et je me place pour la pénétrer ?
Son sexe est avide de ma bite, il m’aspire jusqu’à ce qu’elle la sente entièrement en elle.
Le frottement de mon pieu sur son clito lui entraîne une jouissance presque immédiate.
Elle m’attrape par le dos et je sens ses ongles me labourer.
C’est la première fois que je ressens une douleur en faisant l’amour.
Je comprends mieux Malaurie lorsqu’elle prend du plaisir en recevant la fessée.
Je m’entends même dire.
• Recommence, mon dos me brûle, mais recommence, descend encore plus bas jusqu'à mes reins.
• Tu y prends goût, mon salop, je ne vais pas tarder à te mettre un collier comme celui que tu as mis à ta copine.
Elle recommence à descendre ce qui me procure des frisons jusqu’au fond de mes lombaires.
J’accélère le rythme bien décidé à ne pas laisser la place à la gravure de mode qui l’accompagnait.
Pendant ce temps, la place étant prise, il se laisse branler par la main experte de notre hôtesse.
Je lui fais atteindre une nouvelle fois les cimes de son plaisir.
Je suis doublement satisfait, car pendant qu’un orgasme la traverse, elle délaisse la queue de celui qui est devenu carrément un adversaire.
De plus, j’ai réussi à éviter de décharger au fond de sa vulve.
C’est loin d’être le cas de mon adversaire et néanmoins colistier qui projette des jets de sperme sur la hanche d’Ophélie et sur mon dos simplement en nous voyant baiser.
Je libère notre amie et je m’allonge à son côté.
William qui a éjaculé dans le vide met un certain temps à reprendre de la vigueur.
Je le vois se palucher en regardant l’entrejambe d’Ophélie pour qu’il arrive à nous présenter un pieu susceptible de rendre hommage à cette dame tellement accro au sexe.
• William, allonge-toi !
• Attends, je me masturbe encore un peu, je manque de vigueur.
• Regarde Christophe, quand je te disais que quelquefois tu me décevais, lui au moins il est très résistant pour m’apporter du plaisir !
Il baisse la tête, quel point je viens de marquer, à d’autres moments, je dirais que je gagne par k.o, d’un crochet du droit.
William se positionne comme le joli toutou qu’il semble être et notre femelle vient s’empaler par sa chatte sur la tige qui lui est présentée.
Je la laisse monter et descendre sur ce vit.
• Christophe, j’adore être prise en double pénétration, viens m’enculer...
Aspirine et café noirs la remettent un peu sur pied.
Hier après l’avoir fessée avec délectation, quoi qu’il en soit Malaurie restera ma prof d’anglais que j’ai eu la chance de la dépuceler.
À neuf heures elle est prête à partir au boulot, l’œil vide.
• Je crois que je vais leur faire une interrogation aujourd’hui.
Juré, c’est la dernière fois de ma vie que je bois.
Je l’embrasse et la laisse partir, prof principal pour ma classe, elle doit avoir été prévenue de ma mise à pied.
Malaurie partie, je flâne, je m’occupe de la chambre, malgré l’alèse, nous l’avons dévasté pour mon plus grand plaisir.
Comme me l’a dit Chantal, j’ai pu voir que cette jeune femme, est complètement à ma botte.
L’appartement en état, je me prépare à sortir, j’adore la liberté que je me suis octroyé, aidé par ce con de proviseur.
La journée d’hier est passée plus rapidement que je ne le craignais, que va m’apporter celle d’aujourd’hui.
Je descends sur les bords de la marne et je remonte côté Saint-Maur.
Une fois de plus, mon subconscient a guidé mes pas au pied de l’immeuble de Samy et Ophélie.
Je pousse la porte principale qui refuse de s’ouvrir, elle est bloquée par un système d’appel par Interphone.
C’est le premier que je vois de ma courte vie, que je vois ce genre de système, on voit le standing que mes amis peuvent se permettent grâce au travail de Samy.
Les noms sont indiqués à côté des boutons.
J’ignore le nom de famille de mes amis.
Ma chance est toujours là, une mémé sort avec son petit chien.
Je lui tiens la porte et j’en profite pour me glisser à l’intérieur.
L’ascenseur me dépose au dernier étage.
Je sonne à la porte.
Deux trois minutes, pas de chance, personne.
Je retourne à l’ascenseur.
Au moment d’ouvrir la porte il descend.
Je cherche du regard la porte de l’escalier de secours.
Ma flemme naturelle m’incite à attendre.
La cabine arrive à notre étage, Ophélie en sort accompagnée d’un garçon d’environ de mon âge portant quatre ou cinq paquets.
Un peu gêné, je pense à m’éclipser.
Elle vient d’ouvrir sa porte et me demande d’entrer.
Le porteur de sacs en papier sur lesquels des noms de grandes marques sont marqués nous suit.
• William posez tous sur ce fauteuil.
Elle vient vers moi, se pend à mon bras et vient se coller à moi.
• Je te manquais Christophe !
• Si je suis là !
Devant William elle me prend la bouche dans un baiser qui est loin d’être chaste.
D’un geste elle incite William à nous rejoindre.
Il s’approche sans poser la moindre question.
Aurait-il l’habitude de monter les paquets de ma belle ?
Sa bouche rejoint celle de notre amie et j’assiste de très près à un baiser aussi passionné que celui qu’elle vient de me donner.
Le garçon a de l’expérience, prestement il dégrafe le chemisier d’Ophélie qui se laisse faire comme si se dévêtir devant deux jeunes garçons s’était pour elle naturelle.
Elle me redonne ses lèvres.
Il lui enlève en un tournemain son soutien-gorge ce qui me permet de retrouver son sein toujours aussi appétissant.
Un sein, car la bouche de mon nouveau compagnon de jeu s’occupe du deuxième.
Ils sont si beaux qu’elle les tend vers nous pour que nous en profitions au maximum.
Pour la première fois, je coupe une femme en deux.
Il faut apprendre, mais voulant éviter de passer pour un ignare je cherche la fermeture de la robe que je fais tomber laissant la dévoreuse en petite culotte.
J’ai fait le travail pour la robe, j’en profite pour descendre ma main vers sa fourche que j’invertis sans aucune résistance.
Mes doigts glissent sous l’élastique et viennent caresser sa chatte, toujours aussi mouillée la salope.
Elle s’écarte légèrement de nous et nous tirant par les mains elle nous emmène vers les chambres.
• Suivez-moi, je sens que vous allez me faire passer un moment de grande intensité lorsque je vois vos queues bandées dans vos pantalons.
La chambre d’amis nous reçoit, William semblant assez expert se retrouve nu en un éclair.
Il est déjà près à l’attaque pour satisfaire Ophélie.
Je fais tomber mes affaires et je me présente au pied du lit où Ophélie s’est allongée.
Un point pour moi, je bande autant que lui, mais la taille et la grosseur me donne un certain avantage.
Je suis loin d’être un étalon, mais mes parents mon bien doté.
À ce moment de ma vie, le grand manque d’expérience bien que je fonce à fond la caisse pour le rattraper, je crois que plus elle est grosse et plus elle fait jouir les femmes.
Petite, mais vigoureuse, l’expérience de ma vie va me faire changer d’avis.
Elle nous tend les bras, écartant ses cuisses nous invitant à nous occuper de sa chatte que je sais accueillante.
Nous nous plaçons de chaque côté.
Gagné, c’est du côté de mon membre qu’elle se penche pour embrasser ma verge. Elle s’occupe de mon prépuce qu’elle suce comme si c’était une boule de glace.
Sa langue tourne à droite, s’aperçoit qu’elle n’a pas assez nettoyé à gauche et lorsque tout est parfait, elle l’enfourne au fond de sa gorge.
Fière qu’elle m’est choisie pour s’occuper de moi en premier, on s’accroche au moindre détail afin de garder ma primauté de mâle dominant.
Je me concentre sur ce qu’elle me faisait et j’en oublie mon concurrent.
Il est loin d’avoir perdu du temps, il est déjà en train de lui brouter la chatte.
Pour lui facilité la pénétration, elle a déplacé sa jambe lui présentant béante son abricot dégoulinant de cyprine.
La belle semble apprécier et de plus en plus souvent elle enlève sa bouche de ma verge pour nous faire savoir le plaisir qui doit monter dans ses reins.
Me sucer ou se faire brouter, est loin d’être suffisant.
Elle se remet sur le dos et me tend les bras.
Pourquoi refuser l’invitation, j’écarte sans ménagement William et je me place pour la pénétrer ?
Son sexe est avide de ma bite, il m’aspire jusqu’à ce qu’elle la sente entièrement en elle.
Le frottement de mon pieu sur son clito lui entraîne une jouissance presque immédiate.
Elle m’attrape par le dos et je sens ses ongles me labourer.
C’est la première fois que je ressens une douleur en faisant l’amour.
Je comprends mieux Malaurie lorsqu’elle prend du plaisir en recevant la fessée.
Je m’entends même dire.
• Recommence, mon dos me brûle, mais recommence, descend encore plus bas jusqu'à mes reins.
• Tu y prends goût, mon salop, je ne vais pas tarder à te mettre un collier comme celui que tu as mis à ta copine.
Elle recommence à descendre ce qui me procure des frisons jusqu’au fond de mes lombaires.
J’accélère le rythme bien décidé à ne pas laisser la place à la gravure de mode qui l’accompagnait.
Pendant ce temps, la place étant prise, il se laisse branler par la main experte de notre hôtesse.
Je lui fais atteindre une nouvelle fois les cimes de son plaisir.
Je suis doublement satisfait, car pendant qu’un orgasme la traverse, elle délaisse la queue de celui qui est devenu carrément un adversaire.
De plus, j’ai réussi à éviter de décharger au fond de sa vulve.
C’est loin d’être le cas de mon adversaire et néanmoins colistier qui projette des jets de sperme sur la hanche d’Ophélie et sur mon dos simplement en nous voyant baiser.
Je libère notre amie et je m’allonge à son côté.
William qui a éjaculé dans le vide met un certain temps à reprendre de la vigueur.
Je le vois se palucher en regardant l’entrejambe d’Ophélie pour qu’il arrive à nous présenter un pieu susceptible de rendre hommage à cette dame tellement accro au sexe.
• William, allonge-toi !
• Attends, je me masturbe encore un peu, je manque de vigueur.
• Regarde Christophe, quand je te disais que quelquefois tu me décevais, lui au moins il est très résistant pour m’apporter du plaisir !
Il baisse la tête, quel point je viens de marquer, à d’autres moments, je dirais que je gagne par k.o, d’un crochet du droit.
William se positionne comme le joli toutou qu’il semble être et notre femelle vient s’empaler par sa chatte sur la tige qui lui est présentée.
Je la laisse monter et descendre sur ce vit.
• Christophe, j’adore être prise en double pénétration, viens m’enculer...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...