COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (6/10) - histoire érotique

De retour chez Samy et surtout Ophélie, son épouse grande baiseuse devant l’éternelle à qui je crois de moins en moins, elle arrive avec un bellâtre se prénommant William.
Avec un prénom pareil, il ferait partie de ce peuple ce croyant supérieur, car les rares fois où j’ai été éveillé en cours d’histoire, ce peuple ayant battu Napoléon à Waterloo, me sortent par les yeux.
Et que dire, du tournoi des cinq nations ou ils nous mettent régulièrement la pâtée.
Cette année, j’ai pu voir les images, mon père ayant offert à notre famille la télévision à trois chaînes, mais seulement en noir et blanc.
Avant nous écoutions le match sur Radio Luxembourg, nous serrant les poings à chaque action de l’une ou de l’autre équipe.
J’ai appris qu’à Toulon ou je serais en Mars avec mon pompon sur la tête, l’un des joueurs de Toulon, s’appelle Christian Carrère.
William donc, qui est arrivé en portant les paquets d’Ophélie et qui devient mon partenaire d’un moment afin de satisfaire cette belle et grande salope d’Ophélie.
Je la baise, mais elle en veut plus, elle donne des ordres à William qui s’allonge avant qu'elle vienne s’empaler par la chatte.
À moi le privilège de l’enculer afin de la prendre en double pénétration.
Je me présente pour percuter sa rondelle.
Elle me prend la bite en mettant sa main en arrière et me positionne sur son petit trou.
Si j’avais un doute sur ses envies, après ce qu’elle vient de m’ordonner et ce geste m’ouvrant les portes à des plaisirs qu’il y a quelques années l’on disait défendu et contre nature.
Je suis le roi de cette fête du sexe, menant le jeu entre nous trois.

Encore des souvenirs très récents de mes cours d’histoire, Barbara, ma prof d’histoire, particulière tête à claques, car madame « je sais tout » nous a fait un cours sur l’inquisition.
Là encore ces curés se croyant tout permis en ont empalé pour moins que ça pendant les guerres de religion.
Chez mes grands-parents, il y a une encyclopédie où j’ai pu voir des images, être un homo et avoir un pieu entrant par votre fondement et sortant par votre bouche, ce sont vraiment des méthodes barbares.

Je sais depuis notre passage avec Malaurie, au retour du bois de Vincennes, qu’elle aime ces pénétrations anales.
Sans hésiter, je la pourfends de ma dague qui a retrouvé de la vigueur simplement en la regardant s’empaler sur William.
Pour la première fois de ma vie, je sens la verge d’un garçon coulisser le long de la mienne au travers du périnée de notre maîtresse.
Je sais ou ai-je appris ce mot de périnée, bien sûr dans l’encyclopédie de ma grand-mère, l’ignorant au moment où j’en parle.
Très vite, la double pénétration que nous lui infligeons la font monter dans les gammes.
J’ai parlé de Tintin, elle chante, aussi bien et même mieux que dans l’album « les bijoux de la Castafiore » que je collectionne.

Encore une nouvelle expérience pour moi, lorsque je disais foncer pour apprendre à devenir le meilleur amant de ces dames.
Tout ça grâce à ma mise à pied par mon conard de proviseur, je sais, c’est manquer de respect à cette fonction.
Mais me virer du collège pour avoir séché les cours, qui peut dire que c’est une punition à la hauteur de ma décision de sécher.
Me promener et parfaire mon éducation sexuelle, c’est à ça que je passe mon temps en glandant toute ma journée.
C’est mieux que Marignan 1515 ou Jeanne d’arc a botté le cul des soldats anglais avant de servir de barbecue à l’abbé Cochon.
Lorsque qu’on s’appelle Cochon, c’est lui qui aurait dû être mis à la broche.
Si vous avez des doutes sur ce que j’ai retenu de cette période, demandez à Barbara, elle a réponse à tout.
Il est drôle que je pense à elle en sodomisant Ophélie, cette prof se fait-elle enculer si elle est mariée, ce que j’ignore, ce qui est sûr c’est qu’aucune alliance n’orne son doigt.

Sortant de chez Malaurie, c’est ainsi que je me dirige vers les bords de Marnes, plus précisément Saint-Maur-des-Fossés.
En passant qui a pu donner des noms de villes ou de pays aux endroits français.
Depuis que je me promène dans cette ville, les fossés mont toujours été caché.
Saint-Maur, certainement une histoire de curé comme il en existe tellement dans notre pays construit sur la religion catholique.
Je suis de la génération d’après-guerre, mes parents m’ont baptisé et faire mes communions, j’ai suivi, mais comme bon nombre de mes copains et copines pour les cadeaux le jour de la solennelle.
À midi, repas de famille, panique au moment de partir aux vêpres de 16 heures, ma mère a constaté une tache de sauce tomate à côté de la croix en bois.
Tantes et maman se sont mises en quatre pour faire partir la tache aggravent le problème, si je montre des photos à la sortie de cette cérémonie.
Ce sera la dernière à laquelle j’ai participé, j’ai appris qu’il existait des athées, comptez-moi parmi eux.
Sur les photos, je suis le seul à avoir une aube avec du rouge sur le devant.

Lorsque sa jouissance est au sommet je sens ses sprinters se resserrer autour de ma verge.
Il me faut un effort cérébral énorme pour éviter d’arroser le fondement de mon amie.
Il est hors de question que j’offre le plaisir au sexe que je masturbe avec ma queue chaque fois que je donne un coup de rein de rendre les armes avant lui.
Tout à coup, je sens que la panique s’empare du côté du vagin d’Ophélie.
Les râles qui me viennent aux oreilles m’incitent à faire un dernier effort pour espérer, si elle le désire pouvoir recommencer à besogner notre plus que belle salope.
À travers la paroi, je sens de petits traits de sperme sortir de la bite de mon concurrent.
Plus aucun mouvement ne se fait ressentir dans les parties intimes de la belle que nous avons dans nos bras.

Par les mouvements de son corps, je comprends qu’elle souhaite que je la libère.
Je bascule sur le dos et laisse la place pour qu’elle s’installe entre nous.
Je ne vois pas William mais à son souffle j’ai l’impression qu’il dort.
Ophélie vient prendre ma bouche tout en me plaquant sa main sur la verge.
Dans un souffle.

• Je vais le faire partir.

Aussitôt elle se lève ce qui le réveil.

• William, prépare-toi, j’appelle un taxi.

Il doit sentir qu’il a été loin d’être à la hauteur, à ma hauteur.
Il se lève, se dirige vers la salle de bain et revient s’habiller.
Ophélie l’ayant suivi, revient de la salle avec son sac à main.
Elle en sort une liasse de billets qu’elle lui tend.

• Le taxi arrive, descend l’attendre en bas.

Contrairement à nous samedi, il part sans qu’elle lui marque la moindre trace d’affection.
William devait être un gigolo qui était juste là pour satisfaire la dame.
Pourquoi une si belle femme capable même pour jouer, sent-elle le besoin de payer et de s’abaisser à rémunérer de jeunes hommes pour s’envoyer en l’air ?
Le sexe sur pied parti, Ophélie toujours nue et toujours aussi belle vient me rejoindre.
Que va-t-il m’arriver ?...