COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (7/10)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (7/10)
Que va-t-il m’arriver ?
C’est ce que je pense à la fin de ce sixième chapitre, suis-je meilleur que William ?
Ce chapitre VII va peut-être nous le démontrer et nous départager !
• Tu me juges mal, d’avoir amené cet homme chez moi mon cœur.
Alors que dans ma tête je viens de dire le contraire, j’entends ma bouche répondre l’inverse.
• Non, à quel titre !
Ou l’as-tu rencontré ?
Une amie a une boutique de vêtements féminins de grande classe sur les Champs-Élysées.
Depuis des années, elle grossit son chiffre d’affaires en nous proposant de nous faire raccompagner par William qui officiellement est là pour porter nos achats jusqu’à nos domiciles.
J’ai fait appel à ses services aujourd’hui, car j’ai des besoins sexuels que Samy s’il est bon amant a du mal à satisfaire, surtout car il travaille trop.
De plus il aime savoir que sa jolie épouse plait, tu as pu le constater lors de notre première rencontre.
Si j’avais su que tu serais là à mon retour, pense bien que c’est toi que j’aurais privilégié, tu viens encore de me le démontrer, j’ai rarement eu un amant étant aussi résistant.
La belle Ophélie reprend mon sexe dans sa main et me masturbe délicatement tout en me pénétrant la bouche.
Au bout de plusieurs minutes, je la repousse et je l’allonge en lui faisant écarter ses cuisses afin de lui brouter la minette.
Sa vulve couverte de poils, elle parfaitement entretenue, taillé en triangle.
Les triangles, les carrés, sans compter les triangles équilatéraux, à l’école, toutes ces figures géométriques, m’horripilaient alors que là, sur le corps de ma maîtresse, je deviens fort en géométrie.
J’avance ma bouche et avec mes mains j’écarte ses lèvres vaginales.
Elle possède un bouton déjà bien développé et qu’il m’est facile d’aspirer.
Je le fais rouler sur ma langue et lorsque je l’enfourne au fond de sa grotte, des sécrétions bien sympathiques me sont délivrées.
Il faut que je la saisisse par les flancs tellement elle rue du cul.
• Eh ! bien, mon bel étalon, il y a bien longtemps que je n’ai eu un amant me donnant autant de plaisir.
Malaurie a de la chance de t’avoir rencontré.
Elle a de plus en plus de mal à terminer ses mots tellement le plaisir semble l’envahir.
Une fois de plus sans l’avoir pénétré, sa jouissance démarre.
Elle semble ne plus pouvoir revenir d’où elle est montée rapidement.
Ses yeux se révulsent un long moment jusqu'à ce qu’elle redescende.
Elle me tire par la tête sur son corps, elle souhaite que je la recouvre en m’ordonnant de rester sans bouger.
Elle doit sentir ma verge tendue sur son ventre.
Nous restons comme cela de longues minutes jusqu’à ce qu’elle reprenne ma bouche.
Ma bite malgré la chaleur que lui procure le corps d’Ophélie est retournée se reposer.
• J’aimerais boire ton sperme, j’adore boire mes amants, chacun à son propre goût.
Tu as tellement bandé depuis que je t’ai fait entrer que tes bourses doivent dégorger de ton jus bien chaus, je vais me régaler et ainsi nous serons pleinement amant.
Dans le futur, lorsqu’une femme te fera une fellation et te boira, tu sauras qu’elle t’appartient à jamais.
Je veux tout avaler et te pomper jusqu’à ta dernière goutte.
• Je suis partant, mais donne-moi ta chatte, je vais te brouter.
Je pivote, lui présente ma bite qu’elle place immédiatement au fond de sa gorge.
Dans le même temps, j’écarte sa vulve pour dégager son bouton.
Je sens que mon poids sur elle, la dérange.
• Attends !
Mon ordre est direct, je veux rester maître de nos jeux, je pivote et l’attire sur moi.
• Merci mon cœur !
Je progresse dans la soumission de cette femme magnifique, « d’étalon, » je passe à « son cœur, » je suis fière du garçon qu’en peu de temps je suis devenu, moi qui manquais d’expérience avec les femmes.
Placé sur moi, elle reprend en bouche la sucette qu’elle a un moment interrompu.
Sa fente vient naturellement se souder à mes lèvres, je me sers de ma langue comme un petit sexe qui entre et sort dans son vagin.
De mon côté les affaires sont de nouveau à la hausse.
Il faut dire que ma pompeuse est experte dans son pompage de bite dans nos jeux érotiques.
De mon côté l’avantage d’une langue par rapport à une verge, c’est que je peux la déplacer dans tous les coins.
Une bite frotte longitudinalement le conduit féminin en écrasant le petit bouton.
Mon travail crée des vagues qui déferlent dans le bas-ventre d’Ophélie.
Au moment où elle est au sommet de son plaisir je lâche les vannes et j’inonde la glotte de la suceuse de bite.
Mon sperme est si abondant que lorsqu’elle se retourne une petite partie de mon foutre coule aux commissures de ses lèvres.
Elle souhaite éviter de perdre la moindre goutte, elle passe sa jolie langue et récupère l’intégralité de mon foutre.
Elle finit par se lover contre moi, voyant que ma queue a encore des parcelles de sperme, elle passe son doigt, le récupère et suce son doigt jusqu’à ce que ma bite soit entièrement propre.
Nous restons plusieurs minutes les yeux dans les yeux.
• Au fait et l’école ?
• C’est terminé, je n’ai plus envie d’y retourner.
Je lui explique que je viens de signer un précontrat afin de rentrer au sein de la marine nationale et que je pars au 1er mars pour Toulon.
• Un marin avec un pompon rouge ?
• Oui !
• Tu viendras me voir dès ta première perm, tu réaliseras l’un de mes vieux fantasmes de faire l’amour avec un marin et en mettant son pompon sur ma tête.
• Juré, à ma première perme je viendrais te le poser sur la tête.
• Que vas-tu faire jusqu'à ton départ !
• Déjà affronter mon père qui souhaite que je continue jusqu'à ce que je parte, il refuse de me nourrir à ne rien faire.
• Eh ! si je te proposais un travail jusqu'à ton départ entièrement dans tes compétences !
• Trouver un job pour trois mois qui ne soit pas chiant, c’est impossible.
• Eh ! s’il était parfaitement dans tes cordes !
• Je le prends de suite à n’importe quel tarif.
• William que je viens de renvoyer est lui aussi appelé sous les drapeaux pour son service militaire.
Il part en fin de semaine et Christine ma copine la proprio de la boutique dont je t’ai parlé et où il travaillait, tout à l’heure, ma demandé de l’aider à le remplacer.
Je l’appelle et si je lui vante tes compétences et ta résistance, elle sera enchantée de t’embaucher.
• Appelle-la, je crois difficilement à une telle aubaine, ce serait le pied !
• Avant je dois te dire qu’il faudra l’honorer car c’est elle aussi une dévoreuse. Tu as tout à gagner c’est une jolie femme qui a une chatte qui démarre au quart de tour.
• Comment le sais-tu, c’est une brouteuse de chatte ?
• Oui, j’y vais souvent pendant l’heure de midi quand la boutique est fermée et nous nous aimons sur un lit qui se trouve dans une pièce contiguë.
• Toutes les deux, nous sommes bi-sexuelles.
Elle a même fait installer une cabine de douche pour que l’on puisse se rafraîchir.
Elle se lève magnifique dans sa nudité, mais je l’ai déjà dit.
J’ai déjà entendu parler d’escortboys, pour trois mois, qu’ai-je à perdre d’essayer ?
Elle téléphone et me rejoint rapidement.
• Habile toi, elle t’attend pour déjeuner à midi, je t’appelle un taxi.
Je pars sous la douche et en un rien de temps je suis prêt.
• Tiens, c’est pour toi, j’aurai été ta première cliente et j’espère ainsi te porter bonheur.
Je prends la liasse de billets que je glisse dans mon jean sans regarder à combien elle a estimé ma prestation.
Je l’embrasse en lui promettant de revenir rapidement.
• Pendant trois mois, je pense que mon budget vêtements va exploser les comptes de Samy et chaque fois, tu porteras mes paquets.
Tu seras certainement le marin le plus riche de la flotte engagée au service de la France.
Un baiser et je reprends l’ascenseur.
Le taxi arrive, me conduit sur les Champs et m’arrête devant la boutique qui s’appelle simplement « CHRISTINE »
J’entre, j’ai devant moi une autre très belle jeune femme bon chic bon genre.
• Monsieur, que puis-je pour vous, vous voulez voir les petites culottes, j’en ai quelques modèles qui iront très bien sur vos hanches effilées !
• Je viens de la part d’Ophélie mon amie voir madame Christine !
• Vous êtes Christophe, je vous reconnais à la description quelle m’a fait de vous, je plaisantais pour les petites culottes, suivez-moi dans mon bureau !
Je rentre dans un monde inconnu, mais si ça me permet de quitter cette putain d’Éducation nationale, je suis partant...
C’est ce que je pense à la fin de ce sixième chapitre, suis-je meilleur que William ?
Ce chapitre VII va peut-être nous le démontrer et nous départager !
• Tu me juges mal, d’avoir amené cet homme chez moi mon cœur.
Alors que dans ma tête je viens de dire le contraire, j’entends ma bouche répondre l’inverse.
• Non, à quel titre !
Ou l’as-tu rencontré ?
Une amie a une boutique de vêtements féminins de grande classe sur les Champs-Élysées.
Depuis des années, elle grossit son chiffre d’affaires en nous proposant de nous faire raccompagner par William qui officiellement est là pour porter nos achats jusqu’à nos domiciles.
J’ai fait appel à ses services aujourd’hui, car j’ai des besoins sexuels que Samy s’il est bon amant a du mal à satisfaire, surtout car il travaille trop.
De plus il aime savoir que sa jolie épouse plait, tu as pu le constater lors de notre première rencontre.
Si j’avais su que tu serais là à mon retour, pense bien que c’est toi que j’aurais privilégié, tu viens encore de me le démontrer, j’ai rarement eu un amant étant aussi résistant.
La belle Ophélie reprend mon sexe dans sa main et me masturbe délicatement tout en me pénétrant la bouche.
Au bout de plusieurs minutes, je la repousse et je l’allonge en lui faisant écarter ses cuisses afin de lui brouter la minette.
Sa vulve couverte de poils, elle parfaitement entretenue, taillé en triangle.
Les triangles, les carrés, sans compter les triangles équilatéraux, à l’école, toutes ces figures géométriques, m’horripilaient alors que là, sur le corps de ma maîtresse, je deviens fort en géométrie.
J’avance ma bouche et avec mes mains j’écarte ses lèvres vaginales.
Elle possède un bouton déjà bien développé et qu’il m’est facile d’aspirer.
Je le fais rouler sur ma langue et lorsque je l’enfourne au fond de sa grotte, des sécrétions bien sympathiques me sont délivrées.
Il faut que je la saisisse par les flancs tellement elle rue du cul.
• Eh ! bien, mon bel étalon, il y a bien longtemps que je n’ai eu un amant me donnant autant de plaisir.
Malaurie a de la chance de t’avoir rencontré.
Elle a de plus en plus de mal à terminer ses mots tellement le plaisir semble l’envahir.
Une fois de plus sans l’avoir pénétré, sa jouissance démarre.
Elle semble ne plus pouvoir revenir d’où elle est montée rapidement.
Ses yeux se révulsent un long moment jusqu'à ce qu’elle redescende.
Elle me tire par la tête sur son corps, elle souhaite que je la recouvre en m’ordonnant de rester sans bouger.
Elle doit sentir ma verge tendue sur son ventre.
Nous restons comme cela de longues minutes jusqu’à ce qu’elle reprenne ma bouche.
Ma bite malgré la chaleur que lui procure le corps d’Ophélie est retournée se reposer.
• J’aimerais boire ton sperme, j’adore boire mes amants, chacun à son propre goût.
Tu as tellement bandé depuis que je t’ai fait entrer que tes bourses doivent dégorger de ton jus bien chaus, je vais me régaler et ainsi nous serons pleinement amant.
Dans le futur, lorsqu’une femme te fera une fellation et te boira, tu sauras qu’elle t’appartient à jamais.
Je veux tout avaler et te pomper jusqu’à ta dernière goutte.
• Je suis partant, mais donne-moi ta chatte, je vais te brouter.
Je pivote, lui présente ma bite qu’elle place immédiatement au fond de sa gorge.
Dans le même temps, j’écarte sa vulve pour dégager son bouton.
Je sens que mon poids sur elle, la dérange.
• Attends !
Mon ordre est direct, je veux rester maître de nos jeux, je pivote et l’attire sur moi.
• Merci mon cœur !
Je progresse dans la soumission de cette femme magnifique, « d’étalon, » je passe à « son cœur, » je suis fière du garçon qu’en peu de temps je suis devenu, moi qui manquais d’expérience avec les femmes.
Placé sur moi, elle reprend en bouche la sucette qu’elle a un moment interrompu.
Sa fente vient naturellement se souder à mes lèvres, je me sers de ma langue comme un petit sexe qui entre et sort dans son vagin.
De mon côté les affaires sont de nouveau à la hausse.
Il faut dire que ma pompeuse est experte dans son pompage de bite dans nos jeux érotiques.
De mon côté l’avantage d’une langue par rapport à une verge, c’est que je peux la déplacer dans tous les coins.
Une bite frotte longitudinalement le conduit féminin en écrasant le petit bouton.
Mon travail crée des vagues qui déferlent dans le bas-ventre d’Ophélie.
Au moment où elle est au sommet de son plaisir je lâche les vannes et j’inonde la glotte de la suceuse de bite.
Mon sperme est si abondant que lorsqu’elle se retourne une petite partie de mon foutre coule aux commissures de ses lèvres.
Elle souhaite éviter de perdre la moindre goutte, elle passe sa jolie langue et récupère l’intégralité de mon foutre.
Elle finit par se lover contre moi, voyant que ma queue a encore des parcelles de sperme, elle passe son doigt, le récupère et suce son doigt jusqu’à ce que ma bite soit entièrement propre.
Nous restons plusieurs minutes les yeux dans les yeux.
• Au fait et l’école ?
• C’est terminé, je n’ai plus envie d’y retourner.
Je lui explique que je viens de signer un précontrat afin de rentrer au sein de la marine nationale et que je pars au 1er mars pour Toulon.
• Un marin avec un pompon rouge ?
• Oui !
• Tu viendras me voir dès ta première perm, tu réaliseras l’un de mes vieux fantasmes de faire l’amour avec un marin et en mettant son pompon sur ma tête.
• Juré, à ma première perme je viendrais te le poser sur la tête.
• Que vas-tu faire jusqu'à ton départ !
• Déjà affronter mon père qui souhaite que je continue jusqu'à ce que je parte, il refuse de me nourrir à ne rien faire.
• Eh ! si je te proposais un travail jusqu'à ton départ entièrement dans tes compétences !
• Trouver un job pour trois mois qui ne soit pas chiant, c’est impossible.
• Eh ! s’il était parfaitement dans tes cordes !
• Je le prends de suite à n’importe quel tarif.
• William que je viens de renvoyer est lui aussi appelé sous les drapeaux pour son service militaire.
Il part en fin de semaine et Christine ma copine la proprio de la boutique dont je t’ai parlé et où il travaillait, tout à l’heure, ma demandé de l’aider à le remplacer.
Je l’appelle et si je lui vante tes compétences et ta résistance, elle sera enchantée de t’embaucher.
• Appelle-la, je crois difficilement à une telle aubaine, ce serait le pied !
• Avant je dois te dire qu’il faudra l’honorer car c’est elle aussi une dévoreuse. Tu as tout à gagner c’est une jolie femme qui a une chatte qui démarre au quart de tour.
• Comment le sais-tu, c’est une brouteuse de chatte ?
• Oui, j’y vais souvent pendant l’heure de midi quand la boutique est fermée et nous nous aimons sur un lit qui se trouve dans une pièce contiguë.
• Toutes les deux, nous sommes bi-sexuelles.
Elle a même fait installer une cabine de douche pour que l’on puisse se rafraîchir.
Elle se lève magnifique dans sa nudité, mais je l’ai déjà dit.
J’ai déjà entendu parler d’escortboys, pour trois mois, qu’ai-je à perdre d’essayer ?
Elle téléphone et me rejoint rapidement.
• Habile toi, elle t’attend pour déjeuner à midi, je t’appelle un taxi.
Je pars sous la douche et en un rien de temps je suis prêt.
• Tiens, c’est pour toi, j’aurai été ta première cliente et j’espère ainsi te porter bonheur.
Je prends la liasse de billets que je glisse dans mon jean sans regarder à combien elle a estimé ma prestation.
Je l’embrasse en lui promettant de revenir rapidement.
• Pendant trois mois, je pense que mon budget vêtements va exploser les comptes de Samy et chaque fois, tu porteras mes paquets.
Tu seras certainement le marin le plus riche de la flotte engagée au service de la France.
Un baiser et je reprends l’ascenseur.
Le taxi arrive, me conduit sur les Champs et m’arrête devant la boutique qui s’appelle simplement « CHRISTINE »
J’entre, j’ai devant moi une autre très belle jeune femme bon chic bon genre.
• Monsieur, que puis-je pour vous, vous voulez voir les petites culottes, j’en ai quelques modèles qui iront très bien sur vos hanches effilées !
• Je viens de la part d’Ophélie mon amie voir madame Christine !
• Vous êtes Christophe, je vous reconnais à la description quelle m’a fait de vous, je plaisantais pour les petites culottes, suivez-moi dans mon bureau !
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