COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (8/10)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (8/10)
Je rentre dans un monde inconnu, mais si ça me permet de quitter cette putain d’Éducation nationale, je suis partant.
C’est ce que je me dis lorsque Ophélie me propose de remplacer William, comme escorte boy chez « CHRISTINE » une femme qui aide ses clientes à ce que l’on porte leurs paquets et plus si affinités.
C’est elle qui me reçoit, me faisant croire que je suis un jeune homme adepte des petites culottes.
Je salue une jolie brunette d’une vingtaine d’années rangeant des robes sur des ceintres en les sortant de carton.
• Amélie m’a vendeuse !
Nous nous saluons, l’étincelle qui s’allume au fond de son oeil me promet des moments agréables, si je passe le test de la patronne.
• Ophélie m’a dit qu’elle vous a expliqué le travail en remplacement de William qui nous quitte fin de semaine.
Venez, nous allons déjeuner, Amélie, je m’absente, vous fermerez, je serais de retour rapidement.
Nous traversons les Champs et nous entrons au restaurant mythique Fouquet’s, que j’ai souvent regardé en me promenant au moins une fois par an avec mes parents sans jamais pensé y entrer un jour.
• Bonjour madame Christine !
• J’ai réservé un salon.
• C’est exact, on vous attendait, comme d’habitude nous vous avons mis dans le salon vert, suivez-moi !
Elle me montre qu’elle est cliente régulièrement du restaurant, le maître d’hôtel connaît son nom.
• Voulez-vous me suivre !
Le petit salon comprend une table qui est dressée et une petite banquette rouge.
Le tout, style ancien, je suis dans l’incapacité de dire le style de ce salon.
Des tentures de velours rendent la pièce chargée et d’un goût que je suis loin d’apprécier, je suis plus moderne style, nous sommes au temps du Formica.
Nous arrivons devant la table et avant que le majordome ait le temps de le faire, je saisi le dossier du fauteuil de la belle et en même temps qu’elle s’assoit, je l’avance.
• Merci Christophe, acceptez-vous que je vous appelle par votre prénom.
• Vous me feriez un insigne honneur.
Je contourne la table et il m’avance ma chaise, il m’apporte la carte.
• Je crois que l’on fait honneur aux dames en priorité !
• Excusez-moi !
Il présente la carte à Christine puis ouvre la mienne.
J’ai nettement la conviction qu’il a volontairement fait cette erreur pour que Christine puisse voir mon degré d'éducation, je suis loin d'oublier que je passe un examen, même sexuel.
• Prenez votre temps je reviens.
Sur la table, de chaque côté de l’assiette une série de couverts impressionnants sont alignés.
Dans ma jeunesse mon parrain allait avec moi aux Henri IV ou à l’orée du bois de Boulogne avec ma tante.
J’ai connu le même nombre de couvert et je me souviens qu’il fallait commencer par ceux à l’extérieur et revenir vers l’assiette.
• Que souhaitez-vous manger ?
• Comme vous Christine !
J’aime tous, permettez-vous que je vous appelle Christine !
• Oui mon cher, si nous sommes amenés à travailler ensemble ce sera plus facile, buvez-vous du vin !
• Peu, j’en prends seulement les jours de fête !
Le serveur vient prendre la commande.
Pas de chance, elle choisit un plat avec des carottes et c’est loin d’être un légume que j’apprécie.
Faux cul, ai-je dit que j’aimais tout ?
En entrée du poisson, je prends le couteau à poisson évitant de faire un impair.
Le plat, j’avale la purée de carottes rapidement, oubliant de respirer.
Bref, repas que je juge sans fausse note de ma part, je l’espère.
Après le dessert, Christine se lève et se dirige vers la banquette rouge.
Au passage je lui prends la main et l’attire vers moi.
• Vous voulez que je vous montre ce que mon sexe sait faire !
• Oui, sur la prestance et le savoir-vivre vous venez de faire un sans-faute, que me proposez-vous ?
• Non c’est à vous Christine de me dire ce que vous aimez !
• Il faut que vous me surpreniez !
Aussitôt dit aussitôt fait, je la fais asseoir sur mes genoux et j’investis sa bouche.
Ma langue titille la sienne qui apprécie mon traitement.
Ma main se pose sur sa poitrine que je libère et viens sucer sans enlever son soutien-gorge.
Ses pointes réagissent à ma langue, la dame se pâme.
• Je peux aussi être un peu plus dur !
Je reviens sur le mamelon que je prends entre mes dents.
Je le mordille serrant de plus en plus fort sans risquer de le marquer.
Ce simple geste suffit à la faire jouir.
• Tu m’as fait partir, ma chatte mouille !
Je veux constater moi-même, je glisse ma main sous le tailleur et je me retrouve sur une vulve sans slip et rasé.
Quatre de mes doigts la pénètrent et constatent qu’elle est en dessous de la réalité en déclarant qu’elle mouille, elle est carrément trempée.
Dans cette manœuvre je n’oublie pas sa bouche pour étouffer ces râles qui risquent de s’entendre dans les salons voisins.
Je la fais se relever et lui demande de ce placer sur les genoux les seins sur le dossier du fauteuil.
Je soulève sa jupe et je remets mes doigts dans sa grotte.
Je la taraude quelques secondes et je descends mon jean.
• Tu vois deux solutions pour moi comme cela !
Je lui plante mon pieu dans la chatte et je la lime quelques minutes.
• Plus virile !
Je prends mes doigts et je les plante dans son anus.
Ils rentrent comme dans du beurre, la dame doit pratiquer.
Je ressors ma bite et la fais entrer dans son fondement, sans aucun égard pour la dame.
En la sodomisant, je prends le risque de louper la place dans sa boutique.
• Christophe tu es surprenant, tu es embauché, peux-tu commencer dès maintenant ?
En m’embauchant, ses sprinters se contractent et elle prend un joli plaisir.
Je la prends par les hanches et je m’assois, l’empalant encore plus profondément.
Elle prend quelques minutes de repos, je suis sorti de son fondement.
Ma verge étant à la portée de sa bouche elle l’engame.
Dès qu’elle est assez dure, elle la plonge dans sa bouche et me fait une gorge profonde.
• Christine vous avez vu l’heure, vous avez dit à votre vendeuse que vous ouvrirez votre boutique.
• Mon dieu, tu as raison, je prenais tellement de plaisir avec toi que j’en oublie l’heure.
Nous nous rajustons et nous quittons l’établissement, Christine ouvre la boutique.
• Viens, je te fais visiter.
Elle vient de passer du vouvoiement au tutoiement.
Je visite la remise, la salle de repos où nous pouvons nous faire du café et la petite pièce où se trouve le lit dont Ophélie m’a parlé.
• Ton travail hormis l’accompagnement des clientes pour leur porter les paquets si elles nous le demandent, est d’aider Amélie à rentrer et déballer les colis dans la remise.
Une grande femme entre et va directement vers les sous-vêtements féminins.
Elle choisit des strings avec soutiens-gorge assortis.
Amélie lui conseille un ensemble qui va bien dans son style.
À l’entendre parler, elle doit avoir des origines anglaises.
Elle la dirige vers la cabine d’essayage, je suis appuyé à la caisse.
Amélie sort de la cabine pour changer la taille de la veste.
Le mouvement du rideau me permet de voir dans la glace, la partie haute de la dame. Ses seins ressemblent à des petits œufs sur le plat mais avec un mamelon surdimensionné.
Elle passe en caisse pendant que la vendeuse prépare les paquets.
• Christine, William est partie en course, j’étais venue de bonnes heures pour être sûr qu’il porte mes paquets !
• Non, il est parti, mais il est remplacé par Christophe qui va vous aider à porter vos paquets jusque chez vous.
• Joli boy, venez Christopher.
Je vais voir réellement ce dont je suis capable, baiser Christine puis Ophélie a été facile, cette femme semble être d’une autre pointure...
C’est ce que je me dis lorsque Ophélie me propose de remplacer William, comme escorte boy chez « CHRISTINE » une femme qui aide ses clientes à ce que l’on porte leurs paquets et plus si affinités.
C’est elle qui me reçoit, me faisant croire que je suis un jeune homme adepte des petites culottes.
Je salue une jolie brunette d’une vingtaine d’années rangeant des robes sur des ceintres en les sortant de carton.
• Amélie m’a vendeuse !
Nous nous saluons, l’étincelle qui s’allume au fond de son oeil me promet des moments agréables, si je passe le test de la patronne.
• Ophélie m’a dit qu’elle vous a expliqué le travail en remplacement de William qui nous quitte fin de semaine.
Venez, nous allons déjeuner, Amélie, je m’absente, vous fermerez, je serais de retour rapidement.
Nous traversons les Champs et nous entrons au restaurant mythique Fouquet’s, que j’ai souvent regardé en me promenant au moins une fois par an avec mes parents sans jamais pensé y entrer un jour.
• Bonjour madame Christine !
• J’ai réservé un salon.
• C’est exact, on vous attendait, comme d’habitude nous vous avons mis dans le salon vert, suivez-moi !
Elle me montre qu’elle est cliente régulièrement du restaurant, le maître d’hôtel connaît son nom.
• Voulez-vous me suivre !
Le petit salon comprend une table qui est dressée et une petite banquette rouge.
Le tout, style ancien, je suis dans l’incapacité de dire le style de ce salon.
Des tentures de velours rendent la pièce chargée et d’un goût que je suis loin d’apprécier, je suis plus moderne style, nous sommes au temps du Formica.
Nous arrivons devant la table et avant que le majordome ait le temps de le faire, je saisi le dossier du fauteuil de la belle et en même temps qu’elle s’assoit, je l’avance.
• Merci Christophe, acceptez-vous que je vous appelle par votre prénom.
• Vous me feriez un insigne honneur.
Je contourne la table et il m’avance ma chaise, il m’apporte la carte.
• Je crois que l’on fait honneur aux dames en priorité !
• Excusez-moi !
Il présente la carte à Christine puis ouvre la mienne.
J’ai nettement la conviction qu’il a volontairement fait cette erreur pour que Christine puisse voir mon degré d'éducation, je suis loin d'oublier que je passe un examen, même sexuel.
• Prenez votre temps je reviens.
Sur la table, de chaque côté de l’assiette une série de couverts impressionnants sont alignés.
Dans ma jeunesse mon parrain allait avec moi aux Henri IV ou à l’orée du bois de Boulogne avec ma tante.
J’ai connu le même nombre de couvert et je me souviens qu’il fallait commencer par ceux à l’extérieur et revenir vers l’assiette.
• Que souhaitez-vous manger ?
• Comme vous Christine !
J’aime tous, permettez-vous que je vous appelle Christine !
• Oui mon cher, si nous sommes amenés à travailler ensemble ce sera plus facile, buvez-vous du vin !
• Peu, j’en prends seulement les jours de fête !
Le serveur vient prendre la commande.
Pas de chance, elle choisit un plat avec des carottes et c’est loin d’être un légume que j’apprécie.
Faux cul, ai-je dit que j’aimais tout ?
En entrée du poisson, je prends le couteau à poisson évitant de faire un impair.
Le plat, j’avale la purée de carottes rapidement, oubliant de respirer.
Bref, repas que je juge sans fausse note de ma part, je l’espère.
Après le dessert, Christine se lève et se dirige vers la banquette rouge.
Au passage je lui prends la main et l’attire vers moi.
• Vous voulez que je vous montre ce que mon sexe sait faire !
• Oui, sur la prestance et le savoir-vivre vous venez de faire un sans-faute, que me proposez-vous ?
• Non c’est à vous Christine de me dire ce que vous aimez !
• Il faut que vous me surpreniez !
Aussitôt dit aussitôt fait, je la fais asseoir sur mes genoux et j’investis sa bouche.
Ma langue titille la sienne qui apprécie mon traitement.
Ma main se pose sur sa poitrine que je libère et viens sucer sans enlever son soutien-gorge.
Ses pointes réagissent à ma langue, la dame se pâme.
• Je peux aussi être un peu plus dur !
Je reviens sur le mamelon que je prends entre mes dents.
Je le mordille serrant de plus en plus fort sans risquer de le marquer.
Ce simple geste suffit à la faire jouir.
• Tu m’as fait partir, ma chatte mouille !
Je veux constater moi-même, je glisse ma main sous le tailleur et je me retrouve sur une vulve sans slip et rasé.
Quatre de mes doigts la pénètrent et constatent qu’elle est en dessous de la réalité en déclarant qu’elle mouille, elle est carrément trempée.
Dans cette manœuvre je n’oublie pas sa bouche pour étouffer ces râles qui risquent de s’entendre dans les salons voisins.
Je la fais se relever et lui demande de ce placer sur les genoux les seins sur le dossier du fauteuil.
Je soulève sa jupe et je remets mes doigts dans sa grotte.
Je la taraude quelques secondes et je descends mon jean.
• Tu vois deux solutions pour moi comme cela !
Je lui plante mon pieu dans la chatte et je la lime quelques minutes.
• Plus virile !
Je prends mes doigts et je les plante dans son anus.
Ils rentrent comme dans du beurre, la dame doit pratiquer.
Je ressors ma bite et la fais entrer dans son fondement, sans aucun égard pour la dame.
En la sodomisant, je prends le risque de louper la place dans sa boutique.
• Christophe tu es surprenant, tu es embauché, peux-tu commencer dès maintenant ?
En m’embauchant, ses sprinters se contractent et elle prend un joli plaisir.
Je la prends par les hanches et je m’assois, l’empalant encore plus profondément.
Elle prend quelques minutes de repos, je suis sorti de son fondement.
Ma verge étant à la portée de sa bouche elle l’engame.
Dès qu’elle est assez dure, elle la plonge dans sa bouche et me fait une gorge profonde.
• Christine vous avez vu l’heure, vous avez dit à votre vendeuse que vous ouvrirez votre boutique.
• Mon dieu, tu as raison, je prenais tellement de plaisir avec toi que j’en oublie l’heure.
Nous nous rajustons et nous quittons l’établissement, Christine ouvre la boutique.
• Viens, je te fais visiter.
Elle vient de passer du vouvoiement au tutoiement.
Je visite la remise, la salle de repos où nous pouvons nous faire du café et la petite pièce où se trouve le lit dont Ophélie m’a parlé.
• Ton travail hormis l’accompagnement des clientes pour leur porter les paquets si elles nous le demandent, est d’aider Amélie à rentrer et déballer les colis dans la remise.
Une grande femme entre et va directement vers les sous-vêtements féminins.
Elle choisit des strings avec soutiens-gorge assortis.
Amélie lui conseille un ensemble qui va bien dans son style.
À l’entendre parler, elle doit avoir des origines anglaises.
Elle la dirige vers la cabine d’essayage, je suis appuyé à la caisse.
Amélie sort de la cabine pour changer la taille de la veste.
Le mouvement du rideau me permet de voir dans la glace, la partie haute de la dame. Ses seins ressemblent à des petits œufs sur le plat mais avec un mamelon surdimensionné.
Elle passe en caisse pendant que la vendeuse prépare les paquets.
• Christine, William est partie en course, j’étais venue de bonnes heures pour être sûr qu’il porte mes paquets !
• Non, il est parti, mais il est remplacé par Christophe qui va vous aider à porter vos paquets jusque chez vous.
• Joli boy, venez Christopher.
Je vais voir réellement ce dont je suis capable, baiser Christine puis Ophélie a été facile, cette femme semble être d’une autre pointure...
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