COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (9/10) - histoire érotique

Je vais voir réellement ce dont je suis capable, baiser Christine puis Ophélie a été facile, cette femme semble être d’une autre pointure.
Je viens d’accepter un poste genre escorte boy dans une boutique des Champs Élysées tenue par Christine.
Voir de quoi je suis capable, baiser sans contrainte, ça été facile pour moi, baiser sur commande, je me doute que c’est d’une tout autre sinécure.


J’ai facile à converser avec la dame, elle me félicite pour mon Anglais presque parfait.
Nous remontons les Champs à pied, jusqu'à un passage galerie où nous pénétrons dans un hall pour prendre l’ascenseur.
La belle se rapproche de moi et me met carrément la main sur le jean à hauteur de mon sexe.

• Tu as l’air d’être un bel étalon.
J’aime les hommes aux grosses bites.
Christine vous a dit que vous étiez là pour accepter de me satisfaire et remplacer un moment mon mari qui me délaisse pour courir après des jeunettes de votre âge.
• Oui madame, votre petite chatte va être satisfaite de ma prestation, du moins je l’espère, vous serez ma première anglaise !
• Je suis australienne, je suis venue en France pour des championnats du monde de natation, j’ai rencontré mon mari qui était l’un des juges et l’ayant épousé je suis restée.

J’attaque fort avec la parole. Ces femmes qui ramènent chez elle des hommes jeunes savent qu’elles vont se faire enfiler. Elles montrent qu’elles n’ont pas froid aux yeux.
Pour cette grande Anglaise, la façon qu’elle a eu de me prendre la bite me conforte dans mon raisonnement.

Mes deux mains encombrées par des sacs de grandes maisons et m’empêchent de rendre à la dame ce qu’elle vient de me faire.

Arrivé devant sa porte elle me fait entrer en laissant traîner sa main sur ma fesse.
Elle me donne l’impression d’avoir la chatte en feu, depuis combien de temps ne s’est-elle pas fait prendre.
Est-ce que le dernier l’ayant ramonée c’était William ?
Quel plaisir lui a-t-il apporté l’a-t-il loupée au risque de la frustrer ?

Elle me fait entrer dans un salon avec en son centre un magnifique piano à queue digne des plus grands pianistes de la planète...

• Tu peux poser tes paquets sur la table bichon !

Les mains libres, je me rapproche d’elle.
Je l’empoigne par les fesses et je la plaque sur mon sexe.
Elle est légèrement plus grande que moi ce qui me complique ma prise de bouche.

• Comment aimes-tu être baiser ?
• À la hussarde avec beaucoup de rudesse.

Encore une, elle ferait mieux d’aller voir Chantal, elle la satisferait comme elle désire l’être.
Il faut que je demande à mon amie si elle a des cartes à son nom.
Je sens que je suis susceptible de lui fournir de la clientèle de choix.
Pour le moment c’est moi qui suis en charge des plaisirs de cette grande et belle dame.

Je lui saisis la nuque, la plie légèrement et lui présente ma langue, qu’elle gobe littéralement.
Ce baisé est rude, ma langue fouille sa bouche, nos langues se mélangent.
Je la pousse gentiment à ce qu’elle s’agenouille.
Je sors ma verge, je la prends en main et je la promène sur ses joues, son front, mais j’évite sa bouche.
Elle essaye désespérément de m’attraper, mais dès que je sens qu’elle va y arriver, je lui enlève.
Je la fais tourner en bourrique.
Elle qui aime souffrir doit être frustrée.
Je suis sûr que sa chatte mouille à force d’attendre.
Je la relève après lui avoir ôté son plaisir de me sucer.
Je l’embrasse de nouveau.
J’attrape son chemisier en main et le tir à moi, le fin tissu cède facilement me donnant à voir ses petits seins qui sont perdus dans leur soutien gorge.
Je l’attrape et comme le chemisier il craque et tombe au sol.
La jupe est un peu plus résistante, mais finit par céder.
Dommage, je ne peux pas faire suivre le même traitement à sa petite culotte elle a oublié d’en mettre.
Dommage, j’ai joint l’utile à l’agréable en lui déchirant ses sous-vêtements, j’entretiens les ventes de Christine et donc son chiffre d’affaires.
Sa chatte est lice et fait voir un mont de Vénus assez proéminent, encore mon manque d’expérience, j’ignorais que des monts il y en avait des différends, celui-ci ferait partie des proéminents.
Je glisse mes doigts dans sa fente, ils ressortent trempés.
Je les monte à sa bouche et lui fait lécher.
Je fais la manœuvre plusieurs fois avec toujours plus de jus sur mes doigts.

• Baisez-moi, please, kiss baby, fuck me.

À quatre pattes sur son tapis dans son appartement plus que luxueux, cette femme qui attend mon vit, est belle à voir. Je la contourne et je me place derrière elle.
Je lui caresse son vagin avec ma bite et je titille avec son clitoris.
Elle râle de plus en plus fort alors que je lui refuse toujours la pénétration.
Je finis par avoir moi aussi trop envie de cette fente dégoulinante sur le tapis épais, je me place et je la pénètre.
Son cri stop net avant de repartir, certainement le temps qu’elle digère ma pénétration longiligne jusqu’à ce que mes couilles frappent ses jolis globes fessiers.
Je lime cette vulve qui apprécie le traitement que je lui fais subir au coup de cul qu’elle donne pour mieux s’embrocher.
Pour être bien cramponné à elle, je passe mes bras sous son buste et j’empoigne ses seins que je tire à moi lorsque j’avance mon sexe dans son corps.
Ça jouit bien une Anglaise, aussi bien qu’une Française voire Fatou, l’Africaine sauf que le vocabulaire est différent.
Lorsque l’une ou l’autre me parle, elles font des efforts en Français, sous leur jouissance leur langue maternelle ressort.
Le vocabulaire de la dame qu’elle éructe donc en anglais croyant que je ne comprends pas, est très châtié.
J’évite de traduire, encore un nouveau plaisir pour la belle, un dernier râle et elle s’écroule sur le tapis.
Je la laisse récupérer et je me relève pour remettre mes vêtements.
J’attends près de la dame qui est loin d’être en état de me salut avant que je retourne vers la boutique de Christine.
Le temps tourne et si j’ai déjà compris quelque chose, c’est que le temps c’est de l’argent.
Le fauteuil où je me suis installé est bien confortable, mais les billets que j’espère pour ma prestation le sont tout autant.
Elle est à mes pieds, je me penche, une tape sur sa cuisse et elle réagit.

• Excuse-moi, tu m’as tué, j’espère que tu resteras longtemps chez Christine !
• Je vais m’engager en mars dans la marine.
• In the french navy, avec le pompon rouge?
• Oui, the red pompom.
• Tu viendras me voir dès ta première permission, que je le touche, on dit que cela porte bonheur !
• Je viendrai, je le promets à une condition !
• Que je te paye !
• Non, l’argent c’est ton bon vouloir, mais que je viens si je peux toucher ton pompon noir.
• Oh ! my god, mon mari veut que je sois rasé baby, comme tu as pu le voir, mais après ce que tu viens de m’apporter, je vais essayer de le convaincre.

En disant ces mots elle se relève et très digne comme une anglaise, elle va chercher son sac.

• Pas de pompon noir pas de rouge, à toi de choisir !
• Viens, je te promets qu’ils auront repoussé.

Deux femmes dans la matinée qui vont faire repousser leurs poils, si je continue tous les instituts de beauté vont être en faillite.

• Attention, j’aime les pompons noirs, mais très bien taillés.
• Je vais à mon institut de beauté pour qu’il me rase, je les ferais tailler en triangle, ça te plaira !

Elle me tend des billets qui rejoignent ceux gagné ce matin, je sens que la liasse est conséquente et en plus, je viens de protéger des petits métiers qui sont nécessaires pour que les gens aient un emploi dans la capitale.
La chatte à l’air, elle me raccompagne à la porte.
Elle vient de refermer sa porte lorsque l’ascenseur arrive et s’arrête.
Je m’engage dans l’escalier.
J’ai le temps d’apercevoir un homme qui pourrait bien être son mari.
J’espère qu’elle aura eu le temps de passé un vêtement et de ramasser la tenue que j’ai massacrée.
Ma patronne sera contente si chaque fois que je baise une de ses clientes, elles doivent venir racheter dans sa boutique une nouvel ensemble.
Sans compter les paquets que je devrais porter pour leur éviter de la fatigue.
Je redescends les champs et en quelques minutes, je suis à la boutique.

• La cliente a-t-elle été satisfaite ?
• Je crois, elle devrait rapidement refaire sa garde-robe.
• Reviendras-tu demain ?
• Non, ni mercredi, ni jeudi, mais vendredi, oui, je serais entièrement disponible pour des courses aussi bonne que celle que je viens de faire !
Je serais de nouveau en pleine forme et prêt à faire briller la boutique « CHRISTINE. »
• Cela tombe bien, je te présenterais quelqu’un.
• Mignonne ?
• Mignonne, mais tu verras un peu différentes de bien des femmes !...