COLLECTION HOMME FEMME. Le proviseur, la prof de math, moi et… (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le proviseur, la prof de math, moi et… (2/2)
« Soo mercredi 15 heures. »C’est ce que j’ai vu sur le calepin de rendez-vous de Sophie notre prof de math devenue ma maîtresse grâce à un grand coup de chance étant tête en l’air.
Mercredi 14 heures je sonne chez Sylvie qui me prend dans ses bras me montrant que mon coup de bite de la semaine dernière a été efficace.
- Viens j’ai un cour avec Soo dans une heure, tu sais la petite de ta classe qui vous fait tous bander.
Regarde, à son évocation, tu bande déjà.
Soo oui, mais la prof dans son déshabillé nettement plus, elle je l’ai déjà séduite certes un peu sous la contrainte.
Elle me tire vers sa chambre défait un à un mes vêtements et comme la première fois se met à me pomper.
Elle évite les clicher, du genre « le proviseur en as une plus petite. »Comment pourrait-elle parler avec mes couilles sur son menton car elle me fait une gorge profonde.
Je la couche sur le dos et pendant qu’elle écarte ses cuisses dégageant son abricot, je rentre en elle.
Elle ferme les jambes m’accrochant le plus loin possible en elle.
Ma bouche prend la sienne.
Nous sommes en feu, nos sexes se mélangent comme jamais.
J’étouffe le cri venant du tréfonds de son corps évitant les questions des voisins avant que je lâche mon sperme dans son dernier orgasme la laissant pantelante.
- Tu me chamboule et tu vas me faire louper mon cour avec la petite Soo.
- Justement c’est d’elle dont je veux te parler.
Je lui parle tout en lui caressant la chatte.
- Arrête, il faut que je m’habile, que penserait-elle si je la recevais à moitié nue.
- Elle serait heureuse, j’ai la preuve qu’elle kif pour toi.
- Comment ça ?
Mes doigts glissent dans mon sperme.
Je récupère mon portable.
- Écoute !
« Petit trou du cul, me privant de mes enfants. »« Si ma femme le savait, petit trou du cul. »
- Pardon ça tu connais déjà et grâce à ça, je suis là et tu es dans mes bras.
Écoute, c’est l’autre fichier.
« Putain elle est bandante cette prof de math.
Elle te donne des cours particuliers, tu peux essayer.
J’ai toujours reculé, si elle comprenait ce que je veux on est majeure merde. »
- Où as-tu enregistré cela ?
- Pendant tes cours, j’ai écouté chez moi et grâce à mon home studio, j’ai isolé leurs voix.
- Que veux-tu que je fasse ?
- Trouve une excuse pour la recevoir en peignoir comme tu sais si bien le faire avec moi et séduit là, le travail est à moitié fait, elle en pince pour toi.
- C’est impossible, si ça se sait, je risque de perdre mon emploi, j’ai eu une liaison avec une de mes élèves dans mon poste précédent.
Le proviseur a vu mon dossier et c’est pour ça que tu m’as filmé empaler sur sa bite.
Je lui cédais et il évitait de faire courir le bruit que je me gouinais avec mon élève.
- Elle était mineure ?
- À deux jours prêt, mais deux jours ça suffit.
Heureusement j’ai pu avoir cet autre poste.
- Là aucune crainte et le fait que tu aimes les chattes va nous aider, tu la séduis c’est tout ce que je te demande.
- Tu es amoureux.
- Connais-tu un élève de ta classe à qui cette jolie pouliche reste indifférente.
- Oui Gaétan.
- Lui ce sont les hommes qui l’intéressent, je te parle de ceux qui aiment les femmes.
- Alors aucun.
- Tu as la réponse à ta question.
- Mais dit moi, si je la séduis et que tu la récupère dans ton lit, après qu’aurais-je à y gagner ?
- Moi aussi j’ai envie d’elle.
- On verra après, elle peut encore se tirer en courant incapable d’assumer.
- Je vais refaire mon chignon !
- Dans ton poste précédent, tu étais aussi belle que maintenant sans ces artifices t’enlaidissant.
- Oui.
- Et c’est pour nous déplaire que tu à fait ce chignon et mis des lunettes pour t’enlaidir.
- Oui.
On sonne à ce moment, le réveil marque 15 heures moins deux minutes.
- Passe ton peignoir et va la recevoir et fait moi voir comment une femme séduit une autre femme.
Elle est docile, elle fait ce que je lui demande.
Je les entends parler et se diriger vers le bureau où j’ai baisé Susy pour la première fois.
Je me réajuste et je me rapproche doucement.
Inutile d’aller trop vite, il lui faut du temps pour séduire Soo bien que je sache que la petite souhaite ardemment l’être.
Quand j’arrive près de la porte, ça parle d’équation au troisième degré.
Ma maîtresse semble hésiter mais fini par accepter la main de Soo sur sa cuisse.
- Je vois votre sein, votre peignoir s’échancre.
- Et ça te déplaît ?
- Non, ils sont beaux j’aimerais avoir les mêmes.
- Les tiens semblent intéressant, du moins ce que j’en vois sous ton débardeur.
- C’est la première fois que je vous vois sans vos lunettes très moches et vos cheveux en chignon.
- Ça te plait ?
Attaque, elle est à toi.
C’est ce que je pense trouvant qu’elle va trop lentement.
La petite pourrait se reprendre et nous échapper.
- Oui, vous êtes plus féminine, vous faite moins bouledogue.
Susy sait y faire, sa douceur l’emporte sur ma rudesse.
Elle soulève le tee-shirt qui recouvre Soo et avance ses lèvres.
La petite lui tient la tête sur son sein qu’elle doit téter.
Je film à partir de là.
Je suis le roi du chantage ça a marché avec Susy pourquoi en serait-il autrement avec Soo.
- Je peux caresser les vôtres s’il vous plait ?
- Caresser les miens oui, mais en me tutoyant quand nous sommes toute les deux.
Et appelle moi Susy comme je t’appelle Soo.
J’adore ton prénom.
- J’ai eu du mal, sceau d’eau, soso et plein d’autres nom méchant ont pourri ma petite jeunesse.
- Viens sur mon canapé, je veux te donner du plaisir, as-tu déjà eu des rapports avec une femme comme toi ?
- Non, j’ai perdu mon pucelage avec mon oncle il y a quelques semaines.
Quand il m’a pénétré, en plus d’avoir mal, j’ai eu honte de lui avoir cédé.
Elle se lève et avant de s’assoir sur le canapé, le peignoir tombe me montrant ma maîtresse dans toute la splendeur de la femme mure alors que Soo malgré ses seins assez gros pour une métissée Coréenne fait encore petite fille simplement par ses articulations très fines.
Susy la dévêt et lui prend la bouche.
Deux filles s’embrassant à quelques mètres de moi me fait bander mais je veux pouvoir lui en montrer plus aussi, même si j’ai envie de m’avancer, je continu à filmer protégé par un gros pot de philodendron.
- Sais-tu comment deux filles font pour s’aimer ?
- J’ai vu des films sur mon portable, je rêve de te sucer.
- Eh bien vas-y.
Susy ce cale dans ses cousins amenant sa chatte au bord du siège.
Soo semble hésité avant de s’agenouiller et d’embrasser l’intérieure des cuisses offertes.
J’arrête de filmer pour mieux me caresser.
- Tu hésites, oui, ta langue tu sais où est notre clitoris, je sais que vous apprenez ça dans les cours de biologie humaine.
- Oui, là !
En prononçant ce là sa langue vient en contact de la petite protubérance que j’ai satisfaite quand je la baisais tout à l’heure.
Et dire que celle que je convoite dois sentir le goût de mon sperme sur sa langue sans le savoir.
- Oh, oh, oh, continueee, c’est divinnnn.
Voir jouir sous une langue est extraordinaire.
Je fais ce que je m’étais juré d’attendre.
Je m’avance.
Je vois que Susy dans le brouillard de ses yeux est surprise.
Soo doit être dans un même état car elle reste stoïque quand je m’agenouille à ses côtés.
- Lionel, tu croyais te cacher derrière cette plante avec ton portable, mais je t’ai vu dans cette glace que l’on voit dans le couloir et par la porte.
J’ai failli hurler, mais quand j’ai vu que c’était toi, j’étais rassurée.
J’ai pris sa bouche pendant que nos mains bien jointent, caressaient ma maîtresse.
J’ai eu l’impression de voir nos doigts unis entrer lentement dans le vagin de Susy s’ouvrant comme une moule nous recevant tous les deux.
- Allez-y, fister moi ensemble mes amours.
Oh, oh, oh.
Je viens de découvrir que Susy est la reine des « Oh ».
Comme je suis placé une main dans la chatte de Susy mon autre main saisissant ma verge c’est par derrière que j’entre dans Soo pour mon plus grand plaisir et celui de mes deux femmes.
Après un long moment à pilonner l’une avec nos mains et l’autre avec ma bite, c’est tous les trois que nous unissons nos Oh avant que je décharge au fond de celle qui va devenir ma fiancée.
Fille d’avocate et moi fils de notaire, nous étions faits pour nous entendre.
« Petit trou du cul, me privant de mes enfants. »« Si ma femme le savait, petit trou du cul. »« Mes enfants, ma femme divorcerait. »« Me privant, petit trou du cul. »« Divorcerait, si ma femme le savait. »
C’est le message que le proviseur a reçu suivi de ces quelques mots.
« Continu à emmerder Susy et ta femme le saura. »« Ta femme le saura et tes enfants point tu n’auras. »« Petit trou du cul, me privant de mes enfants. »
Quand nous avons appris à nos parents que nous souhaitions vivre ensemble, ils ont été enchantés de savoir l’union de deux des plus grandes de notre ville et nous ont acheté l’appartement au-dessus de celui de Susy.
Nous avons une terrasse où nous aimons tous les trois nous bronzer nus après avoir fait l’amour.
Nous avons les meilleurs notes lors de notre bac reçu avec mention après les cours particulier qu’elle nous donne dans des moments de repos sexuelles.
Les voires se faire l’amour comme je le fais avec elle me promet une vie heureuse.
Tout ça parce que tête en l’air, j’avais oublié mon portable dans la salle de Bio à quoi tient un bonheur dans une vie.
J’en ai deux.
Mercredi 14 heures je sonne chez Sylvie qui me prend dans ses bras me montrant que mon coup de bite de la semaine dernière a été efficace.
- Viens j’ai un cour avec Soo dans une heure, tu sais la petite de ta classe qui vous fait tous bander.
Regarde, à son évocation, tu bande déjà.
Soo oui, mais la prof dans son déshabillé nettement plus, elle je l’ai déjà séduite certes un peu sous la contrainte.
Elle me tire vers sa chambre défait un à un mes vêtements et comme la première fois se met à me pomper.
Elle évite les clicher, du genre « le proviseur en as une plus petite. »Comment pourrait-elle parler avec mes couilles sur son menton car elle me fait une gorge profonde.
Je la couche sur le dos et pendant qu’elle écarte ses cuisses dégageant son abricot, je rentre en elle.
Elle ferme les jambes m’accrochant le plus loin possible en elle.
Ma bouche prend la sienne.
Nous sommes en feu, nos sexes se mélangent comme jamais.
J’étouffe le cri venant du tréfonds de son corps évitant les questions des voisins avant que je lâche mon sperme dans son dernier orgasme la laissant pantelante.
- Tu me chamboule et tu vas me faire louper mon cour avec la petite Soo.
- Justement c’est d’elle dont je veux te parler.
Je lui parle tout en lui caressant la chatte.
- Arrête, il faut que je m’habile, que penserait-elle si je la recevais à moitié nue.
- Elle serait heureuse, j’ai la preuve qu’elle kif pour toi.
- Comment ça ?
Mes doigts glissent dans mon sperme.
Je récupère mon portable.
- Écoute !
« Petit trou du cul, me privant de mes enfants. »« Si ma femme le savait, petit trou du cul. »
- Pardon ça tu connais déjà et grâce à ça, je suis là et tu es dans mes bras.
Écoute, c’est l’autre fichier.
« Putain elle est bandante cette prof de math.
Elle te donne des cours particuliers, tu peux essayer.
J’ai toujours reculé, si elle comprenait ce que je veux on est majeure merde. »
- Où as-tu enregistré cela ?
- Pendant tes cours, j’ai écouté chez moi et grâce à mon home studio, j’ai isolé leurs voix.
- Que veux-tu que je fasse ?
- Trouve une excuse pour la recevoir en peignoir comme tu sais si bien le faire avec moi et séduit là, le travail est à moitié fait, elle en pince pour toi.
- C’est impossible, si ça se sait, je risque de perdre mon emploi, j’ai eu une liaison avec une de mes élèves dans mon poste précédent.
Le proviseur a vu mon dossier et c’est pour ça que tu m’as filmé empaler sur sa bite.
Je lui cédais et il évitait de faire courir le bruit que je me gouinais avec mon élève.
- Elle était mineure ?
- À deux jours prêt, mais deux jours ça suffit.
Heureusement j’ai pu avoir cet autre poste.
- Là aucune crainte et le fait que tu aimes les chattes va nous aider, tu la séduis c’est tout ce que je te demande.
- Tu es amoureux.
- Connais-tu un élève de ta classe à qui cette jolie pouliche reste indifférente.
- Oui Gaétan.
- Lui ce sont les hommes qui l’intéressent, je te parle de ceux qui aiment les femmes.
- Alors aucun.
- Tu as la réponse à ta question.
- Mais dit moi, si je la séduis et que tu la récupère dans ton lit, après qu’aurais-je à y gagner ?
- Moi aussi j’ai envie d’elle.
- On verra après, elle peut encore se tirer en courant incapable d’assumer.
- Je vais refaire mon chignon !
- Dans ton poste précédent, tu étais aussi belle que maintenant sans ces artifices t’enlaidissant.
- Oui.
- Et c’est pour nous déplaire que tu à fait ce chignon et mis des lunettes pour t’enlaidir.
- Oui.
On sonne à ce moment, le réveil marque 15 heures moins deux minutes.
- Passe ton peignoir et va la recevoir et fait moi voir comment une femme séduit une autre femme.
Elle est docile, elle fait ce que je lui demande.
Je les entends parler et se diriger vers le bureau où j’ai baisé Susy pour la première fois.
Je me réajuste et je me rapproche doucement.
Inutile d’aller trop vite, il lui faut du temps pour séduire Soo bien que je sache que la petite souhaite ardemment l’être.
Quand j’arrive près de la porte, ça parle d’équation au troisième degré.
Ma maîtresse semble hésiter mais fini par accepter la main de Soo sur sa cuisse.
- Je vois votre sein, votre peignoir s’échancre.
- Et ça te déplaît ?
- Non, ils sont beaux j’aimerais avoir les mêmes.
- Les tiens semblent intéressant, du moins ce que j’en vois sous ton débardeur.
- C’est la première fois que je vous vois sans vos lunettes très moches et vos cheveux en chignon.
- Ça te plait ?
Attaque, elle est à toi.
C’est ce que je pense trouvant qu’elle va trop lentement.
La petite pourrait se reprendre et nous échapper.
- Oui, vous êtes plus féminine, vous faite moins bouledogue.
Susy sait y faire, sa douceur l’emporte sur ma rudesse.
Elle soulève le tee-shirt qui recouvre Soo et avance ses lèvres.
La petite lui tient la tête sur son sein qu’elle doit téter.
Je film à partir de là.
Je suis le roi du chantage ça a marché avec Susy pourquoi en serait-il autrement avec Soo.
- Je peux caresser les vôtres s’il vous plait ?
- Caresser les miens oui, mais en me tutoyant quand nous sommes toute les deux.
Et appelle moi Susy comme je t’appelle Soo.
J’adore ton prénom.
- J’ai eu du mal, sceau d’eau, soso et plein d’autres nom méchant ont pourri ma petite jeunesse.
- Viens sur mon canapé, je veux te donner du plaisir, as-tu déjà eu des rapports avec une femme comme toi ?
- Non, j’ai perdu mon pucelage avec mon oncle il y a quelques semaines.
Quand il m’a pénétré, en plus d’avoir mal, j’ai eu honte de lui avoir cédé.
Elle se lève et avant de s’assoir sur le canapé, le peignoir tombe me montrant ma maîtresse dans toute la splendeur de la femme mure alors que Soo malgré ses seins assez gros pour une métissée Coréenne fait encore petite fille simplement par ses articulations très fines.
Susy la dévêt et lui prend la bouche.
Deux filles s’embrassant à quelques mètres de moi me fait bander mais je veux pouvoir lui en montrer plus aussi, même si j’ai envie de m’avancer, je continu à filmer protégé par un gros pot de philodendron.
- Sais-tu comment deux filles font pour s’aimer ?
- J’ai vu des films sur mon portable, je rêve de te sucer.
- Eh bien vas-y.
Susy ce cale dans ses cousins amenant sa chatte au bord du siège.
Soo semble hésité avant de s’agenouiller et d’embrasser l’intérieure des cuisses offertes.
J’arrête de filmer pour mieux me caresser.
- Tu hésites, oui, ta langue tu sais où est notre clitoris, je sais que vous apprenez ça dans les cours de biologie humaine.
- Oui, là !
En prononçant ce là sa langue vient en contact de la petite protubérance que j’ai satisfaite quand je la baisais tout à l’heure.
Et dire que celle que je convoite dois sentir le goût de mon sperme sur sa langue sans le savoir.
- Oh, oh, oh, continueee, c’est divinnnn.
Voir jouir sous une langue est extraordinaire.
Je fais ce que je m’étais juré d’attendre.
Je m’avance.
Je vois que Susy dans le brouillard de ses yeux est surprise.
Soo doit être dans un même état car elle reste stoïque quand je m’agenouille à ses côtés.
- Lionel, tu croyais te cacher derrière cette plante avec ton portable, mais je t’ai vu dans cette glace que l’on voit dans le couloir et par la porte.
J’ai failli hurler, mais quand j’ai vu que c’était toi, j’étais rassurée.
J’ai pris sa bouche pendant que nos mains bien jointent, caressaient ma maîtresse.
J’ai eu l’impression de voir nos doigts unis entrer lentement dans le vagin de Susy s’ouvrant comme une moule nous recevant tous les deux.
- Allez-y, fister moi ensemble mes amours.
Oh, oh, oh.
Je viens de découvrir que Susy est la reine des « Oh ».
Comme je suis placé une main dans la chatte de Susy mon autre main saisissant ma verge c’est par derrière que j’entre dans Soo pour mon plus grand plaisir et celui de mes deux femmes.
Après un long moment à pilonner l’une avec nos mains et l’autre avec ma bite, c’est tous les trois que nous unissons nos Oh avant que je décharge au fond de celle qui va devenir ma fiancée.
Fille d’avocate et moi fils de notaire, nous étions faits pour nous entendre.
« Petit trou du cul, me privant de mes enfants. »« Si ma femme le savait, petit trou du cul. »« Mes enfants, ma femme divorcerait. »« Me privant, petit trou du cul. »« Divorcerait, si ma femme le savait. »
C’est le message que le proviseur a reçu suivi de ces quelques mots.
« Continu à emmerder Susy et ta femme le saura. »« Ta femme le saura et tes enfants point tu n’auras. »« Petit trou du cul, me privant de mes enfants. »
Quand nous avons appris à nos parents que nous souhaitions vivre ensemble, ils ont été enchantés de savoir l’union de deux des plus grandes de notre ville et nous ont acheté l’appartement au-dessus de celui de Susy.
Nous avons une terrasse où nous aimons tous les trois nous bronzer nus après avoir fait l’amour.
Nous avons les meilleurs notes lors de notre bac reçu avec mention après les cours particulier qu’elle nous donne dans des moments de repos sexuelles.
Les voires se faire l’amour comme je le fais avec elle me promet une vie heureuse.
Tout ça parce que tête en l’air, j’avais oublié mon portable dans la salle de Bio à quoi tient un bonheur dans une vie.
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