COLLECTION HOMME FEMME. Notre chalet isolé (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Notre chalet isolé (1/2)
• Maud, toi qui te plaignais depuis des années, du manque de Noël blanc, cette année tu vas être servie.
Depuis que vers dix heures nous avons ouvert les volets de notre chalet de montagne, la neige commençant à tomber a très sérieusement redoublé.
• J’espère que tes parents pourront nous rejoindre, sinon nous serons en tête à tête pour le réveillon.
• J’essayerais de les avoir lorsque j’irais à la boulangerie chercher le pain et la buche.
Nous sommes toujours dans cette putain de zone blanche.
• Qu’est-ce que tu bois dès cette heure matinale ?
• Un petit whisky, ça met la tête à l’endroit, on en donne même au malade dans des ampoules remboursées par la sécu.
• Souviens-toi de ce que je t’ai promis l’an dernier lorsque tu étais bourré devant mes parents.
Tu m’as fait honte en dégueulant alors que tu étais vautré sur le canapé.
Cette année, ce sont tes parents que nous avons invités, pour moi c’est pareil si tu te bitures, je divorce.
Ça fait dix ans que je suis mariée avec Paul de deux ans mon ainé.
Il a toujours eu tendance à boire plus que de raison, mais l’amour m’aveuglait et maintenant chaque fois qu’il se biture, je suis de plus en plus mal à l’aise.
Il est 14 heures lorsqu’il prend sa voiture après avoir dégagé la sortie jusqu’à la route avec la pelle à neige pour descendre au village récupérer ma commande à la boulangerie.
Je le vois démarré lorsqu’une panne de courant se produit.
Je suis anxieuse, car mon four est électrique et que j’allais démarrer la cuisson de la dinde.
Pour une fois, Paul est rapide, en temps normal, il traine au bistrot, il a dû prendre au sérieux ma menace de divorce.
• Je suis rentré, les gendarmes vont fermer la route passant devant chez nous et montant jusqu’à l’hôtel au départ des champs de neige.
Le chasse neige a une panne, les employés de la commune sont en train d’essayer de le réparer.
Voilà pourquoi il rentre si vite, Serge son copain doit bosser au lieu de se trouver au bistrot qui est son quartier général, plutôt « leurs », ils y passent de longues heures lorsque tout va bien.
• J’ai eu mes parents, c’est tout l’est de la France qui est sous la neige, ils renoncent à venir, papa se sent mal de conduire sur des chaussées enneigées.
De plus, Louis m’a dit que la messe de minuit était annulée, il y aurait trop de risques à nous déplacer cette nuit.
Me disant cela, il se ressert un verre, côté alcool, ça démarre mal.
Pour mes beaux-parents, je suis modérément déçu, Alex son père est un connard raciste que j’ai accepté d’inviter, car Paul est leur fils.
Moins je le vois mieux je me porte.
S’il parle de Louis, le patron du bistrot, c’est qu’il a dû si arrêter et boire rapidement un verre.
Pourtant, Paul lorsque je l’ai connu était loin d’être un alcoolique.
C’est à la suite de son licenciement qu’il a commencé à boire.
Je travaille au CNRS en région parisienne et nous avons notre appartement donnant sur les jardins du Luxembourg.
Ce chalet et cet appartement sont les miens, payés par mes parents qui sont partis vivre leur retraite au Portugal.
Loin d’être originaires de ce pays, les origines de notre famille sont de Parisot dans le Tarn et Garonne, mon arrière-grand-père étant monté à Paris comme ça se disait dans ces années-là.
Jean-Pierre, mon père a toujours eu du ressentiment pour Paul lorsque je leur ai présenté.
Sans être SDF, celui rencontré lors d’une promenade dans les jardins du Luxembourg, il a fait contre fortune bon cœur, mais a exigé que je l’épouse avec un contrat de mariage.
Paul était garçon de café et habitait dans une chambre de bonne.
L’amour quand ça vous touche, surtout de façon fulgurante, c’est dans cette chambre ayant monté les escaliers en courant que j’ai perdu mon pucelage.
Paul était un amant hors pair et chose rare, il m’a fait jouir dès la première fois malgré la fracturation de mon hymen.
J’en ai eu la preuve lorsque nous relevant, j’ai vu du sang sur les draps.
Il m’a emmené sous sa douche jouxtant le coin confection des repas et me plaquant contre le mur recouvert de faïence, il m’a reprise par-derrière me faisant hurler de plaisir.
Rapidement, j’ai été accro à son sexe que j’adorais sucer, c’est une chose qu’il m’avait fait découvrir.
Dans les jours qui ont suivi mes parents étant parti pour un mois dans le chalet pour des vacances d’été, c’est dans ma chambre de jeune fille qu’il m’a appris des positions dignes du kamasoutra.
• Rends-toi utile, va chercher du bois dans la remise afin que nous en ayons assez pour alimenter la cheminée, le courant est coupé et nous risquons que cela dure toute la nuit.
Travaillé, ça lui a toujours donné soif et il se ressert une double ration une fois les buches placées près de la cheminée.
Il en profite pour faire le plein, ce feu est la seule source de chaleur dans la maison.
Pour la dinde, c’est foutu pour réveillonner.
Elle est au frigo, arrêter bien sûr, mais en évitant de l’ouvrir, le foie gras et la bête seront protégés, si le courant revient, je la ferais cuire, nous la mangerons demain.
Il est vingt heures lorsque l’on frappe à notre porte, ça me fait sursauter, car je m’étais assoupi, qui dors, dine.
Nous serions dans un film d’horreur, tous les ingrédients sont là.
La grande pièce dans le noir seulement éclairée par le feu qui crépite.
Mon mari, affalé dans un fauteuil, un verre vide au bout de son bras seulement retenu par deux de ses doigts et les coups sur la porte.
Je reprends pied sur terre, les coups recommencent, je me lève avant Paul et prenant mon courage à deux mains, je vais ouvrir.
Passant devant la baie, dans la nuit je vois les flocons loin d’avoir ralenti.
À l’hôtel, plus haut, même si comme nous ils sont provisoirement dans le noir, ils doivent se frotter les mains, cette neige de décembre tombée en abondance est une neige durable.
Pour moi aussi c’est tout bon, car depuis petite, mes parents m’ont mise sur les planches et j’adore skier tout au long de notre séjour.
Par manque de neige, ce plaisir m’est refusé depuis deux ans.
• Bonsoir, je suis prise dans une congère plus bas dans le virage et malgré mes chaines, il m’est impossible de rejoindre mon ami qui m’attend pour le réveillon à l’hôtel un peu plus haut.
• Mon mari m’a dit, que les gendarmes fermaient la route, le chasse neige étant en panne !
Mais entrez, vous aller nous faire attraper la mort, même si nous sommes sans courant, il fait chaud grâce à la cheminée ou le bois crépite.
• Merci pour l’invitation à entrer, pour la route, je venais petite fille en camp scout.
Connaissant le village, lorsque j’ai vu le panneau route barrée, j’ai pris le petit chemin bordant le torrent et je suis ressortie un peu plus haut persuadée que j’arriverais jusqu’à l’hôtel.
• Qui sait qui vient nous emmerder à cette heure ?
Ça c’est mon poivrot qui entendant parler et ayant émergé vient aux nouvelles, toujours aussi galant lorsqu’il a un coup dans le nez.
• Voulez-vous un whisky, ça va nous réchauffer par ce temps ?
Pour être réchauffé par le whisky, il sait se réchauffer, car après que Susy se soit présentée et ayant enlevé sa combinaison de neige, il s’empresse de les servir et de se reservir.
• J’ai bien peur que vous soyez obligée de passer la nuit du réveillon chez nous, Paul a appris en allant chercher le pain et la bûche que le chasse neige est en panne.
• Merci de l’invitation, je me ferais toute petite, vous pourrez réveillonner en amoureux.
• Hors de question, même si la dinde est toujours crue, la panne est survenue au moment où j’allais la mettre au four, hélas, électrique.
Du temps de mes parents, ils avaient une vieille cuisinière à bois avec un four, Paul trouvait ça rétrograde et peu pratique, il a tout modernisé, voilà le résultat.
• C’est facile de se plaindre, c’est toi qui te coltines la corvée de bois !
Il prononce ces mots, d’une voix pâteuse, malgré sa promesse et surtout la mienne, ils semblent déjà fortement imbibés.
• Maud, connais-tu la série, MacGyver ?
• Celui qui faisait des hélicoptères avec des boîtes d’allumettes pour se sortir de situation impossible.
• Oui, nous regardions ce feuilleton lorsqu’il passait le mardi soir, le lendemain nous faisions la grâce matinée.
• As-tu un poêlon pour fondu chauffant avec de l’alcool à bruler ?
• Mes parents en avaient un, car eux ils étaient prévoyants, les pannes de courant, ici, ils avaient l’habitude.
Il est au garage dans la remise, Paul va le chercher, je crois comprendre ce que Susy veut faire.
• C’est toujours moi qui suis de corvée, ça vaut bien un petit verre lorsque je remonterais, il fait froid en bas !
Ça c’est tout Paul, avec lui tout se ramène à la boisson.
• Des œufs et de la chapelure ?
• Des œufs oui, je les prends au marché du mardi à une jeune fermière.
La chapelure, elle va faire défaut !
• As-tu des biscottes ?
• Oui, j’en mange au petit déjeuner.
• Va les chercher avec la dinde.
J’aime l’aplomb de cette femme proche de mon âge c’est-à-dire trente ans, en plus d’être belle, elle est pleine d’idée pour sauver notre réveillon.
Elle lève les blancs de la dinde et, en fait des morceaux.
J’avais un pilon ramené d’un voyage en Afrique lors de notre voyage de noces au Sénégal avec Paul, les biscottes pillées feront une parfaite chapelure.
En deux temps trois mouvements, tout est prêt pour manger ce qu’elle appelle une fondue bressane.
Je connaissais la Savoyarde au fromage, la Bourguignonne, mais avec de la viande rouge, elle allait nous faire découvrir cette fondue venue non loin d’ici, patries des poulets et des chaperons de Bresse.
• Susy, maintenant que tout est prêt pour passer un agréable réveillon, grâce à toi, il est hors de question de réveillonner en jeans et basket.
Nous sommes de même taille et de même corpulence, chaque année pour cette soirée j’achète une robe du soir et les ustensiles appropriés.
Met se plaide sur tes épaules et viens dans ma chambre, nous allons nous vêtir pour passer cette belle soirée...
Depuis que vers dix heures nous avons ouvert les volets de notre chalet de montagne, la neige commençant à tomber a très sérieusement redoublé.
• J’espère que tes parents pourront nous rejoindre, sinon nous serons en tête à tête pour le réveillon.
• J’essayerais de les avoir lorsque j’irais à la boulangerie chercher le pain et la buche.
Nous sommes toujours dans cette putain de zone blanche.
• Qu’est-ce que tu bois dès cette heure matinale ?
• Un petit whisky, ça met la tête à l’endroit, on en donne même au malade dans des ampoules remboursées par la sécu.
• Souviens-toi de ce que je t’ai promis l’an dernier lorsque tu étais bourré devant mes parents.
Tu m’as fait honte en dégueulant alors que tu étais vautré sur le canapé.
Cette année, ce sont tes parents que nous avons invités, pour moi c’est pareil si tu te bitures, je divorce.
Ça fait dix ans que je suis mariée avec Paul de deux ans mon ainé.
Il a toujours eu tendance à boire plus que de raison, mais l’amour m’aveuglait et maintenant chaque fois qu’il se biture, je suis de plus en plus mal à l’aise.
Il est 14 heures lorsqu’il prend sa voiture après avoir dégagé la sortie jusqu’à la route avec la pelle à neige pour descendre au village récupérer ma commande à la boulangerie.
Je le vois démarré lorsqu’une panne de courant se produit.
Je suis anxieuse, car mon four est électrique et que j’allais démarrer la cuisson de la dinde.
Pour une fois, Paul est rapide, en temps normal, il traine au bistrot, il a dû prendre au sérieux ma menace de divorce.
• Je suis rentré, les gendarmes vont fermer la route passant devant chez nous et montant jusqu’à l’hôtel au départ des champs de neige.
Le chasse neige a une panne, les employés de la commune sont en train d’essayer de le réparer.
Voilà pourquoi il rentre si vite, Serge son copain doit bosser au lieu de se trouver au bistrot qui est son quartier général, plutôt « leurs », ils y passent de longues heures lorsque tout va bien.
• J’ai eu mes parents, c’est tout l’est de la France qui est sous la neige, ils renoncent à venir, papa se sent mal de conduire sur des chaussées enneigées.
De plus, Louis m’a dit que la messe de minuit était annulée, il y aurait trop de risques à nous déplacer cette nuit.
Me disant cela, il se ressert un verre, côté alcool, ça démarre mal.
Pour mes beaux-parents, je suis modérément déçu, Alex son père est un connard raciste que j’ai accepté d’inviter, car Paul est leur fils.
Moins je le vois mieux je me porte.
S’il parle de Louis, le patron du bistrot, c’est qu’il a dû si arrêter et boire rapidement un verre.
Pourtant, Paul lorsque je l’ai connu était loin d’être un alcoolique.
C’est à la suite de son licenciement qu’il a commencé à boire.
Je travaille au CNRS en région parisienne et nous avons notre appartement donnant sur les jardins du Luxembourg.
Ce chalet et cet appartement sont les miens, payés par mes parents qui sont partis vivre leur retraite au Portugal.
Loin d’être originaires de ce pays, les origines de notre famille sont de Parisot dans le Tarn et Garonne, mon arrière-grand-père étant monté à Paris comme ça se disait dans ces années-là.
Jean-Pierre, mon père a toujours eu du ressentiment pour Paul lorsque je leur ai présenté.
Sans être SDF, celui rencontré lors d’une promenade dans les jardins du Luxembourg, il a fait contre fortune bon cœur, mais a exigé que je l’épouse avec un contrat de mariage.
Paul était garçon de café et habitait dans une chambre de bonne.
L’amour quand ça vous touche, surtout de façon fulgurante, c’est dans cette chambre ayant monté les escaliers en courant que j’ai perdu mon pucelage.
Paul était un amant hors pair et chose rare, il m’a fait jouir dès la première fois malgré la fracturation de mon hymen.
J’en ai eu la preuve lorsque nous relevant, j’ai vu du sang sur les draps.
Il m’a emmené sous sa douche jouxtant le coin confection des repas et me plaquant contre le mur recouvert de faïence, il m’a reprise par-derrière me faisant hurler de plaisir.
Rapidement, j’ai été accro à son sexe que j’adorais sucer, c’est une chose qu’il m’avait fait découvrir.
Dans les jours qui ont suivi mes parents étant parti pour un mois dans le chalet pour des vacances d’été, c’est dans ma chambre de jeune fille qu’il m’a appris des positions dignes du kamasoutra.
• Rends-toi utile, va chercher du bois dans la remise afin que nous en ayons assez pour alimenter la cheminée, le courant est coupé et nous risquons que cela dure toute la nuit.
Travaillé, ça lui a toujours donné soif et il se ressert une double ration une fois les buches placées près de la cheminée.
Il en profite pour faire le plein, ce feu est la seule source de chaleur dans la maison.
Pour la dinde, c’est foutu pour réveillonner.
Elle est au frigo, arrêter bien sûr, mais en évitant de l’ouvrir, le foie gras et la bête seront protégés, si le courant revient, je la ferais cuire, nous la mangerons demain.
Il est vingt heures lorsque l’on frappe à notre porte, ça me fait sursauter, car je m’étais assoupi, qui dors, dine.
Nous serions dans un film d’horreur, tous les ingrédients sont là.
La grande pièce dans le noir seulement éclairée par le feu qui crépite.
Mon mari, affalé dans un fauteuil, un verre vide au bout de son bras seulement retenu par deux de ses doigts et les coups sur la porte.
Je reprends pied sur terre, les coups recommencent, je me lève avant Paul et prenant mon courage à deux mains, je vais ouvrir.
Passant devant la baie, dans la nuit je vois les flocons loin d’avoir ralenti.
À l’hôtel, plus haut, même si comme nous ils sont provisoirement dans le noir, ils doivent se frotter les mains, cette neige de décembre tombée en abondance est une neige durable.
Pour moi aussi c’est tout bon, car depuis petite, mes parents m’ont mise sur les planches et j’adore skier tout au long de notre séjour.
Par manque de neige, ce plaisir m’est refusé depuis deux ans.
• Bonsoir, je suis prise dans une congère plus bas dans le virage et malgré mes chaines, il m’est impossible de rejoindre mon ami qui m’attend pour le réveillon à l’hôtel un peu plus haut.
• Mon mari m’a dit, que les gendarmes fermaient la route, le chasse neige étant en panne !
Mais entrez, vous aller nous faire attraper la mort, même si nous sommes sans courant, il fait chaud grâce à la cheminée ou le bois crépite.
• Merci pour l’invitation à entrer, pour la route, je venais petite fille en camp scout.
Connaissant le village, lorsque j’ai vu le panneau route barrée, j’ai pris le petit chemin bordant le torrent et je suis ressortie un peu plus haut persuadée que j’arriverais jusqu’à l’hôtel.
• Qui sait qui vient nous emmerder à cette heure ?
Ça c’est mon poivrot qui entendant parler et ayant émergé vient aux nouvelles, toujours aussi galant lorsqu’il a un coup dans le nez.
• Voulez-vous un whisky, ça va nous réchauffer par ce temps ?
Pour être réchauffé par le whisky, il sait se réchauffer, car après que Susy se soit présentée et ayant enlevé sa combinaison de neige, il s’empresse de les servir et de se reservir.
• J’ai bien peur que vous soyez obligée de passer la nuit du réveillon chez nous, Paul a appris en allant chercher le pain et la bûche que le chasse neige est en panne.
• Merci de l’invitation, je me ferais toute petite, vous pourrez réveillonner en amoureux.
• Hors de question, même si la dinde est toujours crue, la panne est survenue au moment où j’allais la mettre au four, hélas, électrique.
Du temps de mes parents, ils avaient une vieille cuisinière à bois avec un four, Paul trouvait ça rétrograde et peu pratique, il a tout modernisé, voilà le résultat.
• C’est facile de se plaindre, c’est toi qui te coltines la corvée de bois !
Il prononce ces mots, d’une voix pâteuse, malgré sa promesse et surtout la mienne, ils semblent déjà fortement imbibés.
• Maud, connais-tu la série, MacGyver ?
• Celui qui faisait des hélicoptères avec des boîtes d’allumettes pour se sortir de situation impossible.
• Oui, nous regardions ce feuilleton lorsqu’il passait le mardi soir, le lendemain nous faisions la grâce matinée.
• As-tu un poêlon pour fondu chauffant avec de l’alcool à bruler ?
• Mes parents en avaient un, car eux ils étaient prévoyants, les pannes de courant, ici, ils avaient l’habitude.
Il est au garage dans la remise, Paul va le chercher, je crois comprendre ce que Susy veut faire.
• C’est toujours moi qui suis de corvée, ça vaut bien un petit verre lorsque je remonterais, il fait froid en bas !
Ça c’est tout Paul, avec lui tout se ramène à la boisson.
• Des œufs et de la chapelure ?
• Des œufs oui, je les prends au marché du mardi à une jeune fermière.
La chapelure, elle va faire défaut !
• As-tu des biscottes ?
• Oui, j’en mange au petit déjeuner.
• Va les chercher avec la dinde.
J’aime l’aplomb de cette femme proche de mon âge c’est-à-dire trente ans, en plus d’être belle, elle est pleine d’idée pour sauver notre réveillon.
Elle lève les blancs de la dinde et, en fait des morceaux.
J’avais un pilon ramené d’un voyage en Afrique lors de notre voyage de noces au Sénégal avec Paul, les biscottes pillées feront une parfaite chapelure.
En deux temps trois mouvements, tout est prêt pour manger ce qu’elle appelle une fondue bressane.
Je connaissais la Savoyarde au fromage, la Bourguignonne, mais avec de la viande rouge, elle allait nous faire découvrir cette fondue venue non loin d’ici, patries des poulets et des chaperons de Bresse.
• Susy, maintenant que tout est prêt pour passer un agréable réveillon, grâce à toi, il est hors de question de réveillonner en jeans et basket.
Nous sommes de même taille et de même corpulence, chaque année pour cette soirée j’achète une robe du soir et les ustensiles appropriés.
Met se plaide sur tes épaules et viens dans ma chambre, nous allons nous vêtir pour passer cette belle soirée...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tu es la meilleur exéllente Olga
Excellent texte!