COLLECTION HOMME FEMME. Notre chalet isolé (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2396 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 994 997 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 008 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION HOMME FEMME. Notre chalet isolé (3/3)
Pour une première expérience lesbienne, je suis servie, je découvre que certaines femmes peuvent se dire femmes fontaines.
Au début lorsque les premiers jets m’ont atteint au visage, j’ai cru que Susy me pissait dessus.
Sans jamais avoir bu la moindre goutte de pisse, l’odeur de l’urine était bien différente du goût laissé par les jets ayant atteint ma bouche.
Celle que je peux considérer comme ma maîtresse, voyant mon étonnement me détrompe m’expliquant que c’est de la cyprine que j’ai reçue.
Elle sortait de son corps lors de grandes excitations.
C’est dans ses bras que nous avons un rire communicatif.
Toutes ces émotions ont dû nous fatiguer, car c’est ainsi que nous nous endormons.
Les bûches sont suffisantes, pour nous maintenir à bonne température même si la plus grande partie est déjà à l’état de cendre.
Quelle heure est-il lorsqu’un bruit de moteur ce fait entendre ?
Susy aussi l’a entendu, le bruit caractéristique du chasse-neige passant sur la route en contrebas de mon chalet nous fait comprendre qu’au village ils ont pu le réparer.
• Je vais pouvoir partir retrouver mon amie, est-ce que tu m’excuses ?
• Tu as oublié de me dire, comment s’appelle-t-il ?
• Que je suis bête, lorsque je t’ai dit que je devais retrouver mon amie, j’ai oublié de te dire qu’amie je l’écrivais avec un « e ».
Elle s’appelle Véronique et nous nous sommes mariés il y a deux semaines.
Tu sais, elle est très jalouse, je vais la rejoindre avant qu’elle se demande ce que je suis devenue.
La connaissant elle est capable de réveiller une partie de la France si elle aussi voit le chasse-neige sans que j’arrive rapidement.
• Reste encore un peu, tu lui diras que tu as trouvé à te faire héberger chez des personnes âgées et que malgré le chasse-neige, ils dormaient t’empêchant de te lever de leur chambre d’amis le jour de Noël.
• Je veux bien prendre le risque, tu as été si merveilleuse tout au long de ce réveillon et tu m’as empêché de dormir au froid dans ma voiture !
Il restera un des plus beaux souvenirs de ma vie même s’il me sera impossible de le partager avec ma femme.
J’aime beaucoup comment Susy parle de « sa femme », certainement de la façon dont elle prend des initiatives, c’est elle le mâle de leur couple.
Ici dans ma chambre lorsqu’elle a décidé de me raser la chatte et maintenant devant ce feu que c’est elle qui décide de ce qui est bon pour moi, mais surtout pour elle.
• Comment se fait-il qu’elle soit déjà là, vous êtes mariée et voyager différemment ?
• Nous aurions dû voyager dans ma voiture, mais j’ai été retardé par un impondérable, elle est partie il y a trois jours en train, car la chambre était louée.
Te rends-tu compte que si tous avaient bien fonctionné, en ce moment je serais au chalet regardant la neige tomber, sans espoir de te connaitre !
Viens, il fait un peu froid, le feu diminue en intensité et mes affaires sont dans ta chambre.
Soit sans crainte, la quantité de cyprine que j’ai expurgée mettra du temps à se reconstituer et tes draps resteront secs lorsque je partirais.
Main dans la main, nous courons vers l’étage.
À quelques mètres du feu, la température sans être polaire est déjà très froide.
Lorsque nous passons près de Paul, je vois des traces de vomissures, une nouvelle fois, il aura été impossible de savoir se tenir lors d’une soirée.
Je prends tout de même pitié de lui, il y a l’un des plaide, dont nous nous sommes servis, je lui mets sur le dos avant de rejoindre Susy.
Demain, je sais ce qu’il me reste à faire.
Avant d’aller vers la chambre, j’allume la bougie toujours posée sur le dessus de la cheminée, les pannes de courant étant légion en montagne, il faut être prévoyant.
Un lit, une couette, nous plongeons littéralement dessous nous blottissant dans les bras l’une de l’autre.
Embrasser une femme, ça s’est fait naturellement, de nouveau nos corps se retrouve et nos seins sont rivés l’un à l’autre.
Je veux lui faire voir que moi aussi je peux prendre des initiatives dans nos jeux libertins.
Je glisse, ma main vers son sexe et deux de mes doigts force le passage dans son vagin.
• Coquine ou vas-tu, veux-tu me fister ?
La bougie que j’ai posée près de nous me renvoie une lumière mouvante, ça me remémore les peurs que j’avais chaque fois que nous étions obligé de nous éclairer à la bougie dans ma prime jeunesse.
Susy me voit assez pour remarquer mon air bêta à ce mot nouveau pour moi « fister ».
• Je vois que tu es novice dans bien des choses que je connais depuis la première fille que j’ai tenue dans mes bras et qui elle m’a tout appris.
Fister, c’est entrer le plus loin possible ta main dans ma chatte.
Je voudrais éviter de parler de mes pratiques amoureuses avec Véronique, elle comme moi, nos mains entrent jusqu’au poignet dans nos minous.
Veux-tu essayer ?
Deux, puis trois, Susy me guide pour former une flèche avec l’ensemble de mes doigts et contre toute attente ma main progresse en elle.
La couette a glissé, nous laissant nue sur les draps, mais nous avons assez chaud grâce à ce que je suis en train de lui faire.
Ma main tourne en elle la faisant partir de nouveau vers les sommets de son plaisir, je finis par la ressortir couverte de ses sécrétions.
• Veux-tu que j’essaye avec toi, tu verras la sensation que l’on ressent lorsque petit à petit ma main pénètrera en toi ?
À son tour, elle positionne ses doigts comme une fusée pointés vers ma petite touffe et petit à petit elle entre en moi.
Comme elle la dit, la sensation est étrange, mais assez jouissif, elle est en moi alors que j’écarte mes jambes pour lui faciliter le passage.
Tant pis pour Paul si ça le réveille, je hurle ma jouissance lorsque tout explose en moi.
De chaque côté de la main de mon amante, des quantités de cyprine giclent de mon corps inondant notre couche.
• Mince, je voulais protéger tes draps, mais c’est toi qui viens de les inonder.
Je me savais fontaine, avant Véronique j’ai eu une vie tumultueuse rien qu’avec des femmes, tu es la première qui comme moi fait gicler ta cyprine.
Un dernier baisé et prenant ses affaires, Susy, file vers la salle de bains, elle en ressort ayant retrouvé ses fuseaux, son pull et ses grosses chaussettes de laine.
• J’ai vu une pelle à neige lorsque je suis arrivé près de ta porte, je te l’emprunte, je la déposerais avec ma voiture si j’arrive à la dégager.
Nous redescendons, Paul est toujours hors-service, j’ai l’habitude à chaque cuite, il émerge vers midi.
Combinaison et bottes enfilées, un dernier baiser et j’ouvre rapidement la porte pour éviter de faire entrer le froid.
À ce moment, je vois passer une voiture de l’EDF, ils doivent savoir où une coupure s’est faite avec le poids de la neige.
Je suis derrière la baie vitrée, ayant, moi aussi passé des vêtements chauds quand une grosse allemande s’arrête.
Susy en descend, me montre la pelle qu’elle dépose et me fait un signe avant de repartir.
Pour ma part, je sais ce qu’il me reste à faire.
Sur le bureau je prends un bloc et un stylo et je rédige deux lettres/
L’une que je pose sur la petite table près de Paul et l’autre je l’emmène dès que j’ai fait ma valise et que comme Susy j’ai passé mes vêtements de neige.
Sur la lettre pour Paul, je lui dis que je rentre à Paris que dès mon arrivée je prendrais rendez-vous avec Maître Jacques avocat pour l’ouverture d’une procédure de divorce.
Je lui donne quelques heures pour quitter mon chalet sinon je fais intervenir la marée chaussée
Dans celle de madame Josiane, je lui demande qu’elle ferme le chalet après le départ de mon mari, mais aussi qu’elle change les draps et en mettre des propres.
Voilà, c’est fait, j’ai divorcé, ça m’a coûté un peu d’argent, car j’ai accepté de lui donner 50 000 € pour solde de tout compte, gardant bien sûr tous le reste de mes biens.
Lorsque maître Jacques m’a dit que Paul réclamait cette somme, j’ai été à deux doigts de lui dire non, mais il m’a fait comprendre par amitié pour moi et pour mes parents, il était préférable d’accepter.
Tergiversez, nous serions dans l’obligation de prendre chacun un avocat et qu’un de ses confrères ferait durer le divorce pour en tirer plus de fric que ce que mon ex me demandait.
J’ai donc accepté pour garder notre divorce à l’amiable.
Ça fait un an que j’étais comme tous les ans dans notre chalet.
J’y retourne pour le réveillon de Noël, tous sauf la neige me remettent en mémoire mes ébats avec Susy, à un point de près, mes draps.
Comme je lui avais dit dans ma lettre, il lui fallait changer les draps après que j’ai expulsé de mon corps une grande quantité de ma cyprine.
Ceux qu’elle a mis dans mon lit son beige alors que les autres sont proprement rangers dans mon armoire.
Un point de différence avec ce qu’il m’est arrivé il y a un an ayant entrainé mon divorce.
Mes parents sont là, ils sont venus pour le réveillon avant de rejoindre Paris pour le réveillon de fin d’année avec des amis.
Pas de neige, pas de coupure de courant, je leur fais déguster ma dinde aux marrons qui nous a attendu bien au chaud alors que nous allions à la messe de minuit.
En milieu de semaine, je les ai regardés prendre la route, l’idée de retrouver Susy dans l’hôtel au pied des pistes m’a traversé et je suis montée faire du ski, les pistes du haut étant ouverte.
La réceptionniste a reconnu ma maîtresse à la description que je lui en fais, mais cette année avec son amie, elle brille par son absence.
Pour éviter toute ambiguïté lors de mon divorce, je suis resté sage pendant cette année.
L’évocation du réveillon de l’an passé réveille ma libido, il faut que je retrouve du sexe.
C’est lors du réveillon du nouvel An que je décide de remettre le pied à l’étrier.
En arrivant par la route, dans la vallée j’ai vu qu’une nouvelle boîte s’était ouverte.
La neige nous épargnant je peux mettre une de mes nouvelles acquisitions autres que ma tenue de neige.
Il est vingt-deux heures lorsque je pousse la porte de ce club privé reçu par un vigile qui voyant mon petit cul me laisse entrer.
La fête bat son plein, un bar, une jolie femme, un bel homme et un couple.
Je m’avance laissant faire le destin.
• Puis-je vous offrir une coupe de champagne ?
Qui m’a fait cette proposition, la femme, l’homme ou le couple ?
Moi seule le sait, car chacun des trois a pu me faire cette invitation exactement comme Susy lorsqu’elle a dit « mon amie » alors que je comprenais « mon ami ».
Après ma découverte de ma bisexualité, pourquoi pas les quatre, lorsque je vois les magnifiques yeux de la femme mariée.
Le mariage j’ai donné, une partouze serait pour moi la meilleure des solutions pour retrouver des sexes féminins et masculins, je suis assez jeune pour cela.
Que la fête commence, que ma fête commence !
Au début lorsque les premiers jets m’ont atteint au visage, j’ai cru que Susy me pissait dessus.
Sans jamais avoir bu la moindre goutte de pisse, l’odeur de l’urine était bien différente du goût laissé par les jets ayant atteint ma bouche.
Celle que je peux considérer comme ma maîtresse, voyant mon étonnement me détrompe m’expliquant que c’est de la cyprine que j’ai reçue.
Elle sortait de son corps lors de grandes excitations.
C’est dans ses bras que nous avons un rire communicatif.
Toutes ces émotions ont dû nous fatiguer, car c’est ainsi que nous nous endormons.
Les bûches sont suffisantes, pour nous maintenir à bonne température même si la plus grande partie est déjà à l’état de cendre.
Quelle heure est-il lorsqu’un bruit de moteur ce fait entendre ?
Susy aussi l’a entendu, le bruit caractéristique du chasse-neige passant sur la route en contrebas de mon chalet nous fait comprendre qu’au village ils ont pu le réparer.
• Je vais pouvoir partir retrouver mon amie, est-ce que tu m’excuses ?
• Tu as oublié de me dire, comment s’appelle-t-il ?
• Que je suis bête, lorsque je t’ai dit que je devais retrouver mon amie, j’ai oublié de te dire qu’amie je l’écrivais avec un « e ».
Elle s’appelle Véronique et nous nous sommes mariés il y a deux semaines.
Tu sais, elle est très jalouse, je vais la rejoindre avant qu’elle se demande ce que je suis devenue.
La connaissant elle est capable de réveiller une partie de la France si elle aussi voit le chasse-neige sans que j’arrive rapidement.
• Reste encore un peu, tu lui diras que tu as trouvé à te faire héberger chez des personnes âgées et que malgré le chasse-neige, ils dormaient t’empêchant de te lever de leur chambre d’amis le jour de Noël.
• Je veux bien prendre le risque, tu as été si merveilleuse tout au long de ce réveillon et tu m’as empêché de dormir au froid dans ma voiture !
Il restera un des plus beaux souvenirs de ma vie même s’il me sera impossible de le partager avec ma femme.
J’aime beaucoup comment Susy parle de « sa femme », certainement de la façon dont elle prend des initiatives, c’est elle le mâle de leur couple.
Ici dans ma chambre lorsqu’elle a décidé de me raser la chatte et maintenant devant ce feu que c’est elle qui décide de ce qui est bon pour moi, mais surtout pour elle.
• Comment se fait-il qu’elle soit déjà là, vous êtes mariée et voyager différemment ?
• Nous aurions dû voyager dans ma voiture, mais j’ai été retardé par un impondérable, elle est partie il y a trois jours en train, car la chambre était louée.
Te rends-tu compte que si tous avaient bien fonctionné, en ce moment je serais au chalet regardant la neige tomber, sans espoir de te connaitre !
Viens, il fait un peu froid, le feu diminue en intensité et mes affaires sont dans ta chambre.
Soit sans crainte, la quantité de cyprine que j’ai expurgée mettra du temps à se reconstituer et tes draps resteront secs lorsque je partirais.
Main dans la main, nous courons vers l’étage.
À quelques mètres du feu, la température sans être polaire est déjà très froide.
Lorsque nous passons près de Paul, je vois des traces de vomissures, une nouvelle fois, il aura été impossible de savoir se tenir lors d’une soirée.
Je prends tout de même pitié de lui, il y a l’un des plaide, dont nous nous sommes servis, je lui mets sur le dos avant de rejoindre Susy.
Demain, je sais ce qu’il me reste à faire.
Avant d’aller vers la chambre, j’allume la bougie toujours posée sur le dessus de la cheminée, les pannes de courant étant légion en montagne, il faut être prévoyant.
Un lit, une couette, nous plongeons littéralement dessous nous blottissant dans les bras l’une de l’autre.
Embrasser une femme, ça s’est fait naturellement, de nouveau nos corps se retrouve et nos seins sont rivés l’un à l’autre.
Je veux lui faire voir que moi aussi je peux prendre des initiatives dans nos jeux libertins.
Je glisse, ma main vers son sexe et deux de mes doigts force le passage dans son vagin.
• Coquine ou vas-tu, veux-tu me fister ?
La bougie que j’ai posée près de nous me renvoie une lumière mouvante, ça me remémore les peurs que j’avais chaque fois que nous étions obligé de nous éclairer à la bougie dans ma prime jeunesse.
Susy me voit assez pour remarquer mon air bêta à ce mot nouveau pour moi « fister ».
• Je vois que tu es novice dans bien des choses que je connais depuis la première fille que j’ai tenue dans mes bras et qui elle m’a tout appris.
Fister, c’est entrer le plus loin possible ta main dans ma chatte.
Je voudrais éviter de parler de mes pratiques amoureuses avec Véronique, elle comme moi, nos mains entrent jusqu’au poignet dans nos minous.
Veux-tu essayer ?
Deux, puis trois, Susy me guide pour former une flèche avec l’ensemble de mes doigts et contre toute attente ma main progresse en elle.
La couette a glissé, nous laissant nue sur les draps, mais nous avons assez chaud grâce à ce que je suis en train de lui faire.
Ma main tourne en elle la faisant partir de nouveau vers les sommets de son plaisir, je finis par la ressortir couverte de ses sécrétions.
• Veux-tu que j’essaye avec toi, tu verras la sensation que l’on ressent lorsque petit à petit ma main pénètrera en toi ?
À son tour, elle positionne ses doigts comme une fusée pointés vers ma petite touffe et petit à petit elle entre en moi.
Comme elle la dit, la sensation est étrange, mais assez jouissif, elle est en moi alors que j’écarte mes jambes pour lui faciliter le passage.
Tant pis pour Paul si ça le réveille, je hurle ma jouissance lorsque tout explose en moi.
De chaque côté de la main de mon amante, des quantités de cyprine giclent de mon corps inondant notre couche.
• Mince, je voulais protéger tes draps, mais c’est toi qui viens de les inonder.
Je me savais fontaine, avant Véronique j’ai eu une vie tumultueuse rien qu’avec des femmes, tu es la première qui comme moi fait gicler ta cyprine.
Un dernier baisé et prenant ses affaires, Susy, file vers la salle de bains, elle en ressort ayant retrouvé ses fuseaux, son pull et ses grosses chaussettes de laine.
• J’ai vu une pelle à neige lorsque je suis arrivé près de ta porte, je te l’emprunte, je la déposerais avec ma voiture si j’arrive à la dégager.
Nous redescendons, Paul est toujours hors-service, j’ai l’habitude à chaque cuite, il émerge vers midi.
Combinaison et bottes enfilées, un dernier baiser et j’ouvre rapidement la porte pour éviter de faire entrer le froid.
À ce moment, je vois passer une voiture de l’EDF, ils doivent savoir où une coupure s’est faite avec le poids de la neige.
Je suis derrière la baie vitrée, ayant, moi aussi passé des vêtements chauds quand une grosse allemande s’arrête.
Susy en descend, me montre la pelle qu’elle dépose et me fait un signe avant de repartir.
Pour ma part, je sais ce qu’il me reste à faire.
Sur le bureau je prends un bloc et un stylo et je rédige deux lettres/
L’une que je pose sur la petite table près de Paul et l’autre je l’emmène dès que j’ai fait ma valise et que comme Susy j’ai passé mes vêtements de neige.
Sur la lettre pour Paul, je lui dis que je rentre à Paris que dès mon arrivée je prendrais rendez-vous avec Maître Jacques avocat pour l’ouverture d’une procédure de divorce.
Je lui donne quelques heures pour quitter mon chalet sinon je fais intervenir la marée chaussée
Dans celle de madame Josiane, je lui demande qu’elle ferme le chalet après le départ de mon mari, mais aussi qu’elle change les draps et en mettre des propres.
Voilà, c’est fait, j’ai divorcé, ça m’a coûté un peu d’argent, car j’ai accepté de lui donner 50 000 € pour solde de tout compte, gardant bien sûr tous le reste de mes biens.
Lorsque maître Jacques m’a dit que Paul réclamait cette somme, j’ai été à deux doigts de lui dire non, mais il m’a fait comprendre par amitié pour moi et pour mes parents, il était préférable d’accepter.
Tergiversez, nous serions dans l’obligation de prendre chacun un avocat et qu’un de ses confrères ferait durer le divorce pour en tirer plus de fric que ce que mon ex me demandait.
J’ai donc accepté pour garder notre divorce à l’amiable.
Ça fait un an que j’étais comme tous les ans dans notre chalet.
J’y retourne pour le réveillon de Noël, tous sauf la neige me remettent en mémoire mes ébats avec Susy, à un point de près, mes draps.
Comme je lui avais dit dans ma lettre, il lui fallait changer les draps après que j’ai expulsé de mon corps une grande quantité de ma cyprine.
Ceux qu’elle a mis dans mon lit son beige alors que les autres sont proprement rangers dans mon armoire.
Un point de différence avec ce qu’il m’est arrivé il y a un an ayant entrainé mon divorce.
Mes parents sont là, ils sont venus pour le réveillon avant de rejoindre Paris pour le réveillon de fin d’année avec des amis.
Pas de neige, pas de coupure de courant, je leur fais déguster ma dinde aux marrons qui nous a attendu bien au chaud alors que nous allions à la messe de minuit.
En milieu de semaine, je les ai regardés prendre la route, l’idée de retrouver Susy dans l’hôtel au pied des pistes m’a traversé et je suis montée faire du ski, les pistes du haut étant ouverte.
La réceptionniste a reconnu ma maîtresse à la description que je lui en fais, mais cette année avec son amie, elle brille par son absence.
Pour éviter toute ambiguïté lors de mon divorce, je suis resté sage pendant cette année.
L’évocation du réveillon de l’an passé réveille ma libido, il faut que je retrouve du sexe.
C’est lors du réveillon du nouvel An que je décide de remettre le pied à l’étrier.
En arrivant par la route, dans la vallée j’ai vu qu’une nouvelle boîte s’était ouverte.
La neige nous épargnant je peux mettre une de mes nouvelles acquisitions autres que ma tenue de neige.
Il est vingt-deux heures lorsque je pousse la porte de ce club privé reçu par un vigile qui voyant mon petit cul me laisse entrer.
La fête bat son plein, un bar, une jolie femme, un bel homme et un couple.
Je m’avance laissant faire le destin.
• Puis-je vous offrir une coupe de champagne ?
Qui m’a fait cette proposition, la femme, l’homme ou le couple ?
Moi seule le sait, car chacun des trois a pu me faire cette invitation exactement comme Susy lorsqu’elle a dit « mon amie » alors que je comprenais « mon ami ».
Après ma découverte de ma bisexualité, pourquoi pas les quatre, lorsque je vois les magnifiques yeux de la femme mariée.
Le mariage j’ai donné, une partouze serait pour moi la meilleure des solutions pour retrouver des sexes féminins et masculins, je suis assez jeune pour cela.
Que la fête commence, que ma fête commence !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...