COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. La rédemption (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2397 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 997 133 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 464 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. La rédemption (1/1)
Lors du volet 5 de la série « Le renouveau », je pensais que l’histoire de nos amis Iris et Phil était arrivée à son épilogue.
HDS venait de le publier quand de nouveaux éléments se sont fait jour.
J’avais la possibilité de bloquer ce dernier chapitre ou de mettre ce commentaire annonçant que l’histoire avait potentiellement une suite.
J’ai choisi cette deuxième solution, car le chapitre V, reste ainsi en l’état.
Iris lors de cette nuit tragique soutenait qu’elle se souvenait que Phil l'avait trouvé dénudé dans leur lit alors que ce qui s’était passé avant lui échappait.
Hier, à quelques jours de leur mariage, notre amie s’est rendue à son salon de coiffure pour faire des essais pour cette magnifique deuxième journée où elle va épouser l’amour de sa vie.
Elle était au volant de sa voiture lorsqu’à un feu rouge, un vélo a traversé sans regarder.
Elle a freiné en catastrophe.
Quelqu’un avait touché son appui-tête et elle a ressenti le coup du lapin.
Sonnée, elle s’est garée et des souvenirs certainement cachés au fond de son cerveau sont remontés.
De retour à leur maison, elle s’est confiée à Phil qui au récit qu’elle a fait avait réuni la famille, mais redonnons-leur la parole.
• Bonjour à vous tous, j’ai failli avoir un accident et des choses me sont revenues.
Je pensais vous avoir dit toute la vérité.
Ce jour maudit, qui de moi ou de ce type dont même son nom a disparu de ma mémoire avait commencé à faire la cour à l'autre ?
Est-ce moi qui l'avais invité à entrer chez nous ou est-ce lui qui s'était invité ?
Ce moment de ma vie semble complètement flou dans l’état où je m’étais mise.
J'ai certainement consommé une dose fatale d’alcool pour en être arrivée à ce noir dans ma tête.
Le fait est que nous nous sommes trouvés vite à l'intérieur puis entièrement nus dans notre chambre à coucher.
Pardon, mon cœur de te rappeler ce mauvais souvenir.
Iris en évoquant le mal qu’elle pense me faire tombe en sanglots.
• Une nouvelle fois Phil, je vais te choquer, mais avant notre mariage, je te dois toute la vérité, même si elle va t’apparaitre crue.
• Dis-nous Iris, je suis prêt à tout entendre.
• Merci mon amour, je me souviens vaguement qu'il a commencé à me caresse...
Une nouvelle fois elle éclate en sanglots mangeant la fin du mot « caresser » !
Elle se reprend une nouvelle fois, gonfle ses magnifiques poumons avant de continuer.
• Tout d’un coup, comme un éclair, une vague de lucidité m'a submergé !
Je me suis sentie sale, infidèle, traître et indigne de toi Phil.
Je me souviens m’être promis dès ton retour de t’avouer mon malheureux égarement alcoolique mon chéri et en payer éventuellement le prix.
J'ai commencé à pleurer et à demander à ce maudit Jordanien entre deux sanglots d'arrêter.
C’est ce qu'il a fait avec une hauteur d'esprit inimaginable, étant à sa merci.
À sa place, bien des hommes m’auraient contraint à aller plus loin, surtout que malgré son âge, il bandait.
Il a même entrepris de me consoler en affirmant qu’il était loin d’être un salaud.
Comme si j’étais une petite fille, il m’a serré dans ses bras pour me consoler.
C’est le seul moment où j’ai senti sa verge touchant mon corps.
Me parlant alors que ma tête était sur son épaule, il m’a dit que j'étais une femme honnête.
En se reculant il a ajouté que j'ai su arrêter à temps avant de commettre l'irréparable.
La manière dont son sexe était tendu me montrait qu’il aurait pu me faire connaître l’irréparable.
Il a ajouté qu'il aurait été très heureux d’avoir une épouse comme moi fidèle à son engagement devant les hommes et Dieu.
J’ai encore des trous dans ma mémoire, j'ignore, comment nous avons pu nous endormir dans ces conditions.
Peut-être à cause de l'alcool, jusqu'à ce que nous soyons réveillés par tes cris à la limite de la haine, ce que je comprends Phil.
Iris récupère son mouchoir et se mouche un grand coup.
Ses poumons se vident comme un soulagement d’avoir dit la vérité.
• Phil, tu es revenu plus tôt, nous surprenant ainsi et tu t’es acharné sur ce pauvre type, qui avait pourtant agi noblement envers moi.
Je te rappelle qu’il avait toute possibilité de faire de moi ce qu’il voulait.
Tu as failli le tuer et sans une parole ou même un regard pour moi tu as quitté la chambre.
C'est à ce moment précis que j'ai compris que j'avais tout fait pour perdre l’amour de ma vie, non notre vie.
Le type, quant à lui, s'est traîné jusqu'à la salle de bain pour nettoyer ses blessures.
En partant lourdement amoindri, il m'a déclaré qu'il pouvait porter plainte contre toi Phil, mais qu'il allait prétendre qu'il avait été agressé dans la rue par des hommes cagoulés.
Certes, s’il avait été jusqu’à sa plainte, il aurait été difficile de dire à la face du monde, que malgré ses préceptes, il avait essayé de séduire la femme d’un autre.
Surtout ayant profité de sa faiblesse passagère due à l’alcool.
Je t’ai couru après pour t'expliquer, mais tu étais déjà loin.
Je me suis aperçue que j’étais nue devant notre maison, je suis rentrée et je t’ai appelé en envoyant des SMS.
J’ignore combien de fois, mais sans la moindre réaction de ta part.
J'ai fini par baisser les bras comprenant que tu refuserais de vouloir de moi.
J'ai appelé mes parents pour les informer de ce qui s'était passé.
Après, je me suis lavé des caresses du type, mis des sous-vêtements et une robe pour couvrir ma nudité.
Me voyant dans la glace, je me faisais horreur, j’étais une femme s’étant salie, mais surtout j’avais bafoué notre amour.
Une fois de nouveau présentable, j’ai ingurgité tout ce que j'ai trouvé comme médicaments avant de m'allonger sur notre lit.
La suite, tu la connais, pardonne-moi mon chéri.
Je sais, il y a peu, tu viens de me pardonner, mais je continuerai de te demander pardon tous les jours et je le ferai jusqu'à ma mort.
Nous sommes restés tous silencieux un long moment pendant lequel seules nos larmes parlaient pour nous.
Ce moment de larmes finit par être brisé comme chaque fois par la voie de mon père.
• Hé ! les enfants, c'est un jour de réjouissances et non de deuil.
Et toi Phil, prends dans tes bras ton ex et future épouse, console-la, efface ses larmes.
Dis-lui de faire une croix sur le passé ou sinon on va tout annuler, la bague, les fiançailles, le pardon et tout le baratin.
Des rires bien que discrets finissent par détendre l'atmosphère.
C'est le moment que choisit papa pour reprendre la parole.
• Moi aussi je vous ai caché certaines choses, j’ai une confidence à vous faire.
Parmi celles-là, Iris tu en connais déjà une partie, mais après l’accident de Phil, tu étais dans un tel état que je comprends que tu les ais oubliés.
Les regards se tournent vers lui, suspendus à ses lèvres.
• Deux jours après l'incident raconté par Iris, mais de façon trop imprécise, contacté par Visio monsieur Ali, c’est le nom de mon client jordanien.
Phil, tu devrais te mettre à la boxe, j'ai été frappé par les hématomes bleuâtres sur son visage.
Mais à ce moment j’ignorais que tu l’avais massacré.
Il m'a raconté sa version des faits qui coïncidait exactement avec celle qu’Iris vient de nous donner.
Il s'est ensuite platement excusé auprès de moi pour le mal qu’il nous avait fait.
C’était à lui, vu son âge de refuser dans un premier temps à suivre Iris chez elle.
Il m’a même supplié de garder tout cela pour moi !
Il craignait la découverte du début de son infidélité par sa femme et qu’elle veuille divorcer.
Il m'a également annoncé souhaiter me garder comme fournisseur.
Une nouvelle fois, papa a su calmer le jeu, je croyais qu’il avait terminé, mais il a continué.
• Lorsque Phil est sorti de son état comateux et qu'Iris semblait remise un peu de ses déboires, je t’ai parlé de cette visio Iris, pendant que je t’avais envoyé à Amsterdam Phil.
À l’évocation de ce voyage en Hollande, c’est moi qui me suis senti responsable, même si j’avais su réagir.
J’avais suivi une pute dans sa vitrine et par chance, ses seins tombants, m’avais fait prendre conscience de la chance de continuer d’aimer intérieurement mon ex-femme.
Mais papa continuait.
• Elle avait repris l'espoir de te reconquérir, je lui en ai parlé en lui demandant pourquoi elle continuait à se taire envers Phil en lui exposant la vérité.
Iris, j’ai suivi ta demande, c’était ta volonté, surtout lorsque tu m’as expliqué que tu comptais te servir de ce procédé pour le reconquérir.
L'utilisation t'aurait fait paraître sous l'angle de celle qui demande la charité et qu'en plus cela pouvait être pris pour un simple mensonge.
Iris, tu as ajoutée que tu comptais soit le conquérir de manière régulière, soit périr, sachant que la vérité devait bien apparaître un jour.
Voilà, maintenant vous savez tout.
Pour défendre Iris, mon garçon, je vais t’envoyer la photo de ce pauvre Jordanien, tu verras, comment tu l’avais bien arrangé.
• Beau-papa, je me fiche de cet homme et de sa figure, la seule chose que je veux savoir si je continue à préparer notre mariage !
Je me suis penché vers elle lui parlant à l’oreille.
Par chance, Agathe et Marie ayant débranché mon obsession de Livio, le beau gondolier vénitien, j’ai une autre envie que je lui exprime.
• Chérie et si avant de te conduire devant monsieur le maire, je te conduisais dans la chambre et que je te baise comme la belle salope que tu savais être avant toute cette histoire.
Avec un grand sourire, Iris me répond fort et c’est moi qui suis gêné.
• Au secours, sauvez-moi de cet obsédé sexuel, chers parents.
Voilà, sauf nouveau texte envoyé par notre couple à la vie tumultueuse, je pense qu’ils vont vivre leur amour de manière plus naturelle.
Je reprends les deux dernières phrases du chapitre V de la première fin.
Certains diront quel con, d’autres bravos.
L’amitié envers ce couple dans mon esprit se limitera en trois lettres.
J. J. P. mes amis sauront pourquoi !
HDS venait de le publier quand de nouveaux éléments se sont fait jour.
J’avais la possibilité de bloquer ce dernier chapitre ou de mettre ce commentaire annonçant que l’histoire avait potentiellement une suite.
J’ai choisi cette deuxième solution, car le chapitre V, reste ainsi en l’état.
Iris lors de cette nuit tragique soutenait qu’elle se souvenait que Phil l'avait trouvé dénudé dans leur lit alors que ce qui s’était passé avant lui échappait.
Hier, à quelques jours de leur mariage, notre amie s’est rendue à son salon de coiffure pour faire des essais pour cette magnifique deuxième journée où elle va épouser l’amour de sa vie.
Elle était au volant de sa voiture lorsqu’à un feu rouge, un vélo a traversé sans regarder.
Elle a freiné en catastrophe.
Quelqu’un avait touché son appui-tête et elle a ressenti le coup du lapin.
Sonnée, elle s’est garée et des souvenirs certainement cachés au fond de son cerveau sont remontés.
De retour à leur maison, elle s’est confiée à Phil qui au récit qu’elle a fait avait réuni la famille, mais redonnons-leur la parole.
• Bonjour à vous tous, j’ai failli avoir un accident et des choses me sont revenues.
Je pensais vous avoir dit toute la vérité.
Ce jour maudit, qui de moi ou de ce type dont même son nom a disparu de ma mémoire avait commencé à faire la cour à l'autre ?
Est-ce moi qui l'avais invité à entrer chez nous ou est-ce lui qui s'était invité ?
Ce moment de ma vie semble complètement flou dans l’état où je m’étais mise.
J'ai certainement consommé une dose fatale d’alcool pour en être arrivée à ce noir dans ma tête.
Le fait est que nous nous sommes trouvés vite à l'intérieur puis entièrement nus dans notre chambre à coucher.
Pardon, mon cœur de te rappeler ce mauvais souvenir.
Iris en évoquant le mal qu’elle pense me faire tombe en sanglots.
• Une nouvelle fois Phil, je vais te choquer, mais avant notre mariage, je te dois toute la vérité, même si elle va t’apparaitre crue.
• Dis-nous Iris, je suis prêt à tout entendre.
• Merci mon amour, je me souviens vaguement qu'il a commencé à me caresse...
Une nouvelle fois elle éclate en sanglots mangeant la fin du mot « caresser » !
Elle se reprend une nouvelle fois, gonfle ses magnifiques poumons avant de continuer.
• Tout d’un coup, comme un éclair, une vague de lucidité m'a submergé !
Je me suis sentie sale, infidèle, traître et indigne de toi Phil.
Je me souviens m’être promis dès ton retour de t’avouer mon malheureux égarement alcoolique mon chéri et en payer éventuellement le prix.
J'ai commencé à pleurer et à demander à ce maudit Jordanien entre deux sanglots d'arrêter.
C’est ce qu'il a fait avec une hauteur d'esprit inimaginable, étant à sa merci.
À sa place, bien des hommes m’auraient contraint à aller plus loin, surtout que malgré son âge, il bandait.
Il a même entrepris de me consoler en affirmant qu’il était loin d’être un salaud.
Comme si j’étais une petite fille, il m’a serré dans ses bras pour me consoler.
C’est le seul moment où j’ai senti sa verge touchant mon corps.
Me parlant alors que ma tête était sur son épaule, il m’a dit que j'étais une femme honnête.
En se reculant il a ajouté que j'ai su arrêter à temps avant de commettre l'irréparable.
La manière dont son sexe était tendu me montrait qu’il aurait pu me faire connaître l’irréparable.
Il a ajouté qu'il aurait été très heureux d’avoir une épouse comme moi fidèle à son engagement devant les hommes et Dieu.
J’ai encore des trous dans ma mémoire, j'ignore, comment nous avons pu nous endormir dans ces conditions.
Peut-être à cause de l'alcool, jusqu'à ce que nous soyons réveillés par tes cris à la limite de la haine, ce que je comprends Phil.
Iris récupère son mouchoir et se mouche un grand coup.
Ses poumons se vident comme un soulagement d’avoir dit la vérité.
• Phil, tu es revenu plus tôt, nous surprenant ainsi et tu t’es acharné sur ce pauvre type, qui avait pourtant agi noblement envers moi.
Je te rappelle qu’il avait toute possibilité de faire de moi ce qu’il voulait.
Tu as failli le tuer et sans une parole ou même un regard pour moi tu as quitté la chambre.
C'est à ce moment précis que j'ai compris que j'avais tout fait pour perdre l’amour de ma vie, non notre vie.
Le type, quant à lui, s'est traîné jusqu'à la salle de bain pour nettoyer ses blessures.
En partant lourdement amoindri, il m'a déclaré qu'il pouvait porter plainte contre toi Phil, mais qu'il allait prétendre qu'il avait été agressé dans la rue par des hommes cagoulés.
Certes, s’il avait été jusqu’à sa plainte, il aurait été difficile de dire à la face du monde, que malgré ses préceptes, il avait essayé de séduire la femme d’un autre.
Surtout ayant profité de sa faiblesse passagère due à l’alcool.
Je t’ai couru après pour t'expliquer, mais tu étais déjà loin.
Je me suis aperçue que j’étais nue devant notre maison, je suis rentrée et je t’ai appelé en envoyant des SMS.
J’ignore combien de fois, mais sans la moindre réaction de ta part.
J'ai fini par baisser les bras comprenant que tu refuserais de vouloir de moi.
J'ai appelé mes parents pour les informer de ce qui s'était passé.
Après, je me suis lavé des caresses du type, mis des sous-vêtements et une robe pour couvrir ma nudité.
Me voyant dans la glace, je me faisais horreur, j’étais une femme s’étant salie, mais surtout j’avais bafoué notre amour.
Une fois de nouveau présentable, j’ai ingurgité tout ce que j'ai trouvé comme médicaments avant de m'allonger sur notre lit.
La suite, tu la connais, pardonne-moi mon chéri.
Je sais, il y a peu, tu viens de me pardonner, mais je continuerai de te demander pardon tous les jours et je le ferai jusqu'à ma mort.
Nous sommes restés tous silencieux un long moment pendant lequel seules nos larmes parlaient pour nous.
Ce moment de larmes finit par être brisé comme chaque fois par la voie de mon père.
• Hé ! les enfants, c'est un jour de réjouissances et non de deuil.
Et toi Phil, prends dans tes bras ton ex et future épouse, console-la, efface ses larmes.
Dis-lui de faire une croix sur le passé ou sinon on va tout annuler, la bague, les fiançailles, le pardon et tout le baratin.
Des rires bien que discrets finissent par détendre l'atmosphère.
C'est le moment que choisit papa pour reprendre la parole.
• Moi aussi je vous ai caché certaines choses, j’ai une confidence à vous faire.
Parmi celles-là, Iris tu en connais déjà une partie, mais après l’accident de Phil, tu étais dans un tel état que je comprends que tu les ais oubliés.
Les regards se tournent vers lui, suspendus à ses lèvres.
• Deux jours après l'incident raconté par Iris, mais de façon trop imprécise, contacté par Visio monsieur Ali, c’est le nom de mon client jordanien.
Phil, tu devrais te mettre à la boxe, j'ai été frappé par les hématomes bleuâtres sur son visage.
Mais à ce moment j’ignorais que tu l’avais massacré.
Il m'a raconté sa version des faits qui coïncidait exactement avec celle qu’Iris vient de nous donner.
Il s'est ensuite platement excusé auprès de moi pour le mal qu’il nous avait fait.
C’était à lui, vu son âge de refuser dans un premier temps à suivre Iris chez elle.
Il m’a même supplié de garder tout cela pour moi !
Il craignait la découverte du début de son infidélité par sa femme et qu’elle veuille divorcer.
Il m'a également annoncé souhaiter me garder comme fournisseur.
Une nouvelle fois, papa a su calmer le jeu, je croyais qu’il avait terminé, mais il a continué.
• Lorsque Phil est sorti de son état comateux et qu'Iris semblait remise un peu de ses déboires, je t’ai parlé de cette visio Iris, pendant que je t’avais envoyé à Amsterdam Phil.
À l’évocation de ce voyage en Hollande, c’est moi qui me suis senti responsable, même si j’avais su réagir.
J’avais suivi une pute dans sa vitrine et par chance, ses seins tombants, m’avais fait prendre conscience de la chance de continuer d’aimer intérieurement mon ex-femme.
Mais papa continuait.
• Elle avait repris l'espoir de te reconquérir, je lui en ai parlé en lui demandant pourquoi elle continuait à se taire envers Phil en lui exposant la vérité.
Iris, j’ai suivi ta demande, c’était ta volonté, surtout lorsque tu m’as expliqué que tu comptais te servir de ce procédé pour le reconquérir.
L'utilisation t'aurait fait paraître sous l'angle de celle qui demande la charité et qu'en plus cela pouvait être pris pour un simple mensonge.
Iris, tu as ajoutée que tu comptais soit le conquérir de manière régulière, soit périr, sachant que la vérité devait bien apparaître un jour.
Voilà, maintenant vous savez tout.
Pour défendre Iris, mon garçon, je vais t’envoyer la photo de ce pauvre Jordanien, tu verras, comment tu l’avais bien arrangé.
• Beau-papa, je me fiche de cet homme et de sa figure, la seule chose que je veux savoir si je continue à préparer notre mariage !
Je me suis penché vers elle lui parlant à l’oreille.
Par chance, Agathe et Marie ayant débranché mon obsession de Livio, le beau gondolier vénitien, j’ai une autre envie que je lui exprime.
• Chérie et si avant de te conduire devant monsieur le maire, je te conduisais dans la chambre et que je te baise comme la belle salope que tu savais être avant toute cette histoire.
Avec un grand sourire, Iris me répond fort et c’est moi qui suis gêné.
• Au secours, sauvez-moi de cet obsédé sexuel, chers parents.
Voilà, sauf nouveau texte envoyé par notre couple à la vie tumultueuse, je pense qu’ils vont vivre leur amour de manière plus naturelle.
Je reprends les deux dernières phrases du chapitre V de la première fin.
Certains diront quel con, d’autres bravos.
L’amitié envers ce couple dans mon esprit se limitera en trois lettres.
J. J. P. mes amis sauront pourquoi !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...