COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le début de la fin, quoique.... Début de la saison I (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-09-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le début de la fin, quoique.... Début de la saison I (1/3)
Voilà, la vie a repris pour notre jeune couple.
Je travaille maintenant sur la suite du texte que nos amis m’ont envoyé.
Dure, dure à mettre en pages, mais j’ai promis alors je m’y attèle.
Voyons ce que Phil a écrit !
Après notre voyage de noces à Venise qui aurait pu être la fin de notre amour, deux années se sont passées.
Suite à ce qui nous est arrivé pendant notre voyage de noces, ça peut paraître miraculeux.
Mais je suis une grande âme et quand je pardonne, même si c’est avec difficulté, quand je pardonne, je pardonne.
Quand je regarde ces deux années, j’ai bien fait ce fut une période de rêve.
Nous nous aimions chaque jour un peu plus.
Nous habitions une belle propriété avec un grand jardin ayant même une piscine que mon père nous avait offerte pour que nous puissions nous assumer.
Ma mère la décora avec bon goût, ayant été décoratrice renommée d’intérieure avant de rencontrer mon père.
Durant ces deux années, nous sommes restés ensemble chaque seconde.
Nous faisions nos courses ensemble, ainsi que du sport.
Nous travaillions et nous déplacions ensemble pour notre travail.
Elle était ma seule amie et moi son seul ami, ça nous suffisait.
Il est vrai qu’au plus loin où je peux me souvenir, nous avons toujours eu peu d’amis.
Les rares personnes que nous côtoyons, c’était de simples connaissances le temps de nos études.
Ces derniers jours, nous avons commencé à envisager sérieusement de concevoir un enfant pour égayer encore plus notre belle existence.
Iris était enthousiaste et moi encore plus.
Chaque fois que nous faisons l’amour fougueusement Iris sachant se donner et me recevoir, nous y pensions.
Sans être très expansive, Iris savait me rendre heureux sexuellement.
Un moment, j’ai eu l’impression que sa faute commise à Venise l’obligeait à forcer sa nature.
De mon côté, on a compris ma réserve de parler de sexe, surtout au sein de notre couple.
Déjà dans ma jeunesse passée près d’elle, mes copains parlaient et regardaient du sexe à la télé.
Pour notre part, je dois reconnaître que les actes sexuels, c’est sur le tard que nous les avons découverts en nous découvrant.
Même des choses basiques pour d’autres, fellation, levrette ou autres jeux du kama était loin des choses que nous connaissions.
C’est grâce à nos lectures que nous avons appris que le missionnaire était loin d’être la seule position.
On l’a vue lorsque tous allaient bien au début de notre séjour aux Antilles ou dans l’hôtel vénitien, sans oublier le long du canal sous ce porche devant servir de débarcadère où nous avons égaré sa petite culotte.
Dans le canal des amoureux, la gondole nous a obligés à rester classique de peur de chavirer, bien qu’à un moment, je l’aurais bien prise en levrette.
Les mouvements de la gondole nous en ont dissuadé, dans la mer et sous la lune, un bain de minuit, c’était parfait, mais dans les eaux glauques d’un canal très peu pour moi.
Ce matin, alors que nous déjeunons avec nos parents au domaine, papa prend la parole.
• Les enfants, je suis préoccupé et je pense que vous pourrez me rendre service.
Iris et toi, vous pouvez m’aider en votre qualité de cadres du groupe et d’héritiers.
• Si tu as besoin de nous de quelque manière que ce soit, c’est avec un grand plaisir que nous te rendrons ce service.
Qu’en dis-tu Iris ?
• Évidemment, ce serait avec plaisir, grâce vous, nous avons une vie de rêve.
Un instant la vue d’Iris penché vers la bouche de cet homme dans ce restaurant à Venise passe devant mes yeux, mais je m’oblige à me vider la tête de ces pensées que je souhaite oublier définitivement.
• Merci les enfants de votre sollicitude.
Voilà, mon problème, je dois me rendre en Allemagne le mois prochain pour la conclusion et la signature d'un contrat important.
Ça c’est acquis.
Mais là est mon problème, si j’y vais j’aurais du mal à me couper en deux afin de rencontrer un gros client anglais que je démarche depuis longtemps.
Il vient de m’annoncer son arrivée ici à la même date pour la conclusion d’un accord fructueux s’étalant sur une durée de cinq ans.
• C’est une bonne nouvelle, du travail pour nos employés, mais là est le problème.
• Oui, là est le problème, comme un contrat peut en cacher un autre, un gros client jordanien m’a annoncé sa venue pour le même jour.
C’est incroyable, mais c’est ainsi.
Il est de passage pour quelques heures afin de renouveler le contrat nous liant depuis longtemps et qui arrive bientôt à échéance.
Mon dilemme est simple à comprendre, pour le bien de tous et je vous le répète de nos employés, je veux garder ou gagner tous ces gros clients.
La réputation de notre groupe en souffrirait sur le marché international avec des pertes inimaginables.
Si j’arrivais à conclure un accord avec l’anglais, ce serait merveilleux vu le chiffre d’affaires et les bénéfices financiers.
Vous ajoutez la notoriété qui en résulterait, je suis donc dans l’obligation de le privilégier et de me consacrer personnellement à sa rencontre.
Pour les deux autres, ce sera en principe comme une lettre à la poste.
• Et c’est là que tu comptes sur nous.
• Voilà donc ce que je vous propose, toi mon garçon tu me remplaceras pour le contrat de Berlin !
Je vais appeler le client pour lui expliquer ta venue et m’excuser de lui faire faux bond.
Tu iras là-bas le jour j, discuter un peu avec lui, signer le contrat avec les habilitations nécessaires que je vais te remettre et revenir le lendemain par le premier vol.
Me séparer d’Iris, cela me fait un peu peur, mais rendre service à mon père et pour le bien de tous est primordial.
• Papa, bien que cela me chagrine de me séparer d’Iris, même une journée et demie, je partirai pour Berlin, mais quel sera le rôle d’Iris !
• J’y viens, mais je sens ton embarras.
Une ou deux journées de séparation vous feront du bien.
Être toujours tous les deux ensemble, ce serait moi j’en aurais marre.
À mes débuts à la tête du groupe, il m’est arrivé, après le décès accidentel de tes grands-parents d’abandonner ta maman pour des périodes allant jusqu’à une semaine.
Je vous jure que cela renforçait notre amour, dit leur Caroline !
Nous répondîmes « NON » en chœur.
Iris ajouta.
• Papa, notre amour est déjà très, très, très fort.
Nous appelions depuis toujours nos quatre parents, papa et maman.
• Vous avez raison, chaque personne est unique sur toute la terre, voire dans toute la galaxie.
Votre sentiment d’amour que vous vivez est le vôtre et loin de moi l’envie de vous imposer une autre façon de le vivre.
Bon, continuons. Le client jordanien est anglophone.
Or, le seul directeur à qui je pouvais confier la mission de le rencontrer, vu ses compétences et son honnêteté envers notre groupe, monsieur Jacques a toujours été rébarbatif à l’anglais.
C’est pour ça que je me suis dit qu’Iris pourrait l’assister et le seconder puisqu’elle est parfaitement au fait de nos activités à l’exportation et qu’elle est parfaitement bilingue.
En outre, nous avons bien des anglophones dans notre groupe, mais mettre quelqu’un d'étranger à la famille risquerait d’ouvrir la porte à des désillusions.
Vous savez, pour réussir dans les affaires il faut en permanence être sur ses gardes.
• D’accord papa, sans problème, mais en récompense pour nous, que penses-tu faire, tu sais, papa, chaque service rendu se paie une fortune de nos jours !
• Vous méritez plus qu’une prime, je crois que vos voitures commencent à vieillir.
• Mais non, elles ont à peine deux ans.
La nuit suivante, chez nous, je me réveillai sur les sanglots étouffés d’Iris.
Ayant allumé ma lampe de chevet je la prends tendrement dans mes bras.
• Calme-toi chérie, qu’est-ce qui t’arrive ?
Explique-moi,
Je lui caressais doucement la tête.
• Je me suis réveillé pour boire un peu d’eau et j’ai repensé à ce que nous a dit ton père.
Je trouve insupportable de me séparer de toi, même cinq minutes, comment vais-je faire pendant tout ce temps ?
Dois-je mettre le carré blanc sur ce que je propose à Iris pour la rasséréner ?
Ma main trouve son sein qui réagit à ma sollicitation.
Lorsque je l’ai entendu pleuré, je me suis retourné, mon sexe touche ses fesses, pour la première fois depuis que je l’ai dépucelé, Iris lève sa jambe vers le ciel et je peux la prendre dans une position nouvelle pour nous.
Ses sanglots sont vite remplacés par de petits cris de plaisir pour finir par un magnifique orgasme.
Je déverse mon sperme dans son calice avec moi aussi une jouissance extrême.
Certains disent cinq minutes, douche comprise, nous ce fut trois minutes les plus intenses de notre vie.
Un seul problème, quand je la quitte et que je me retourne, pourquoi je repense à Livio notre gondolier italien, comment fait-il l’amour à ses nombreuses maîtresses et belles étrangères ?...
Je travaille maintenant sur la suite du texte que nos amis m’ont envoyé.
Dure, dure à mettre en pages, mais j’ai promis alors je m’y attèle.
Voyons ce que Phil a écrit !
Après notre voyage de noces à Venise qui aurait pu être la fin de notre amour, deux années se sont passées.
Suite à ce qui nous est arrivé pendant notre voyage de noces, ça peut paraître miraculeux.
Mais je suis une grande âme et quand je pardonne, même si c’est avec difficulté, quand je pardonne, je pardonne.
Quand je regarde ces deux années, j’ai bien fait ce fut une période de rêve.
Nous nous aimions chaque jour un peu plus.
Nous habitions une belle propriété avec un grand jardin ayant même une piscine que mon père nous avait offerte pour que nous puissions nous assumer.
Ma mère la décora avec bon goût, ayant été décoratrice renommée d’intérieure avant de rencontrer mon père.
Durant ces deux années, nous sommes restés ensemble chaque seconde.
Nous faisions nos courses ensemble, ainsi que du sport.
Nous travaillions et nous déplacions ensemble pour notre travail.
Elle était ma seule amie et moi son seul ami, ça nous suffisait.
Il est vrai qu’au plus loin où je peux me souvenir, nous avons toujours eu peu d’amis.
Les rares personnes que nous côtoyons, c’était de simples connaissances le temps de nos études.
Ces derniers jours, nous avons commencé à envisager sérieusement de concevoir un enfant pour égayer encore plus notre belle existence.
Iris était enthousiaste et moi encore plus.
Chaque fois que nous faisons l’amour fougueusement Iris sachant se donner et me recevoir, nous y pensions.
Sans être très expansive, Iris savait me rendre heureux sexuellement.
Un moment, j’ai eu l’impression que sa faute commise à Venise l’obligeait à forcer sa nature.
De mon côté, on a compris ma réserve de parler de sexe, surtout au sein de notre couple.
Déjà dans ma jeunesse passée près d’elle, mes copains parlaient et regardaient du sexe à la télé.
Pour notre part, je dois reconnaître que les actes sexuels, c’est sur le tard que nous les avons découverts en nous découvrant.
Même des choses basiques pour d’autres, fellation, levrette ou autres jeux du kama était loin des choses que nous connaissions.
C’est grâce à nos lectures que nous avons appris que le missionnaire était loin d’être la seule position.
On l’a vue lorsque tous allaient bien au début de notre séjour aux Antilles ou dans l’hôtel vénitien, sans oublier le long du canal sous ce porche devant servir de débarcadère où nous avons égaré sa petite culotte.
Dans le canal des amoureux, la gondole nous a obligés à rester classique de peur de chavirer, bien qu’à un moment, je l’aurais bien prise en levrette.
Les mouvements de la gondole nous en ont dissuadé, dans la mer et sous la lune, un bain de minuit, c’était parfait, mais dans les eaux glauques d’un canal très peu pour moi.
Ce matin, alors que nous déjeunons avec nos parents au domaine, papa prend la parole.
• Les enfants, je suis préoccupé et je pense que vous pourrez me rendre service.
Iris et toi, vous pouvez m’aider en votre qualité de cadres du groupe et d’héritiers.
• Si tu as besoin de nous de quelque manière que ce soit, c’est avec un grand plaisir que nous te rendrons ce service.
Qu’en dis-tu Iris ?
• Évidemment, ce serait avec plaisir, grâce vous, nous avons une vie de rêve.
Un instant la vue d’Iris penché vers la bouche de cet homme dans ce restaurant à Venise passe devant mes yeux, mais je m’oblige à me vider la tête de ces pensées que je souhaite oublier définitivement.
• Merci les enfants de votre sollicitude.
Voilà, mon problème, je dois me rendre en Allemagne le mois prochain pour la conclusion et la signature d'un contrat important.
Ça c’est acquis.
Mais là est mon problème, si j’y vais j’aurais du mal à me couper en deux afin de rencontrer un gros client anglais que je démarche depuis longtemps.
Il vient de m’annoncer son arrivée ici à la même date pour la conclusion d’un accord fructueux s’étalant sur une durée de cinq ans.
• C’est une bonne nouvelle, du travail pour nos employés, mais là est le problème.
• Oui, là est le problème, comme un contrat peut en cacher un autre, un gros client jordanien m’a annoncé sa venue pour le même jour.
C’est incroyable, mais c’est ainsi.
Il est de passage pour quelques heures afin de renouveler le contrat nous liant depuis longtemps et qui arrive bientôt à échéance.
Mon dilemme est simple à comprendre, pour le bien de tous et je vous le répète de nos employés, je veux garder ou gagner tous ces gros clients.
La réputation de notre groupe en souffrirait sur le marché international avec des pertes inimaginables.
Si j’arrivais à conclure un accord avec l’anglais, ce serait merveilleux vu le chiffre d’affaires et les bénéfices financiers.
Vous ajoutez la notoriété qui en résulterait, je suis donc dans l’obligation de le privilégier et de me consacrer personnellement à sa rencontre.
Pour les deux autres, ce sera en principe comme une lettre à la poste.
• Et c’est là que tu comptes sur nous.
• Voilà donc ce que je vous propose, toi mon garçon tu me remplaceras pour le contrat de Berlin !
Je vais appeler le client pour lui expliquer ta venue et m’excuser de lui faire faux bond.
Tu iras là-bas le jour j, discuter un peu avec lui, signer le contrat avec les habilitations nécessaires que je vais te remettre et revenir le lendemain par le premier vol.
Me séparer d’Iris, cela me fait un peu peur, mais rendre service à mon père et pour le bien de tous est primordial.
• Papa, bien que cela me chagrine de me séparer d’Iris, même une journée et demie, je partirai pour Berlin, mais quel sera le rôle d’Iris !
• J’y viens, mais je sens ton embarras.
Une ou deux journées de séparation vous feront du bien.
Être toujours tous les deux ensemble, ce serait moi j’en aurais marre.
À mes débuts à la tête du groupe, il m’est arrivé, après le décès accidentel de tes grands-parents d’abandonner ta maman pour des périodes allant jusqu’à une semaine.
Je vous jure que cela renforçait notre amour, dit leur Caroline !
Nous répondîmes « NON » en chœur.
Iris ajouta.
• Papa, notre amour est déjà très, très, très fort.
Nous appelions depuis toujours nos quatre parents, papa et maman.
• Vous avez raison, chaque personne est unique sur toute la terre, voire dans toute la galaxie.
Votre sentiment d’amour que vous vivez est le vôtre et loin de moi l’envie de vous imposer une autre façon de le vivre.
Bon, continuons. Le client jordanien est anglophone.
Or, le seul directeur à qui je pouvais confier la mission de le rencontrer, vu ses compétences et son honnêteté envers notre groupe, monsieur Jacques a toujours été rébarbatif à l’anglais.
C’est pour ça que je me suis dit qu’Iris pourrait l’assister et le seconder puisqu’elle est parfaitement au fait de nos activités à l’exportation et qu’elle est parfaitement bilingue.
En outre, nous avons bien des anglophones dans notre groupe, mais mettre quelqu’un d'étranger à la famille risquerait d’ouvrir la porte à des désillusions.
Vous savez, pour réussir dans les affaires il faut en permanence être sur ses gardes.
• D’accord papa, sans problème, mais en récompense pour nous, que penses-tu faire, tu sais, papa, chaque service rendu se paie une fortune de nos jours !
• Vous méritez plus qu’une prime, je crois que vos voitures commencent à vieillir.
• Mais non, elles ont à peine deux ans.
La nuit suivante, chez nous, je me réveillai sur les sanglots étouffés d’Iris.
Ayant allumé ma lampe de chevet je la prends tendrement dans mes bras.
• Calme-toi chérie, qu’est-ce qui t’arrive ?
Explique-moi,
Je lui caressais doucement la tête.
• Je me suis réveillé pour boire un peu d’eau et j’ai repensé à ce que nous a dit ton père.
Je trouve insupportable de me séparer de toi, même cinq minutes, comment vais-je faire pendant tout ce temps ?
Dois-je mettre le carré blanc sur ce que je propose à Iris pour la rasséréner ?
Ma main trouve son sein qui réagit à ma sollicitation.
Lorsque je l’ai entendu pleuré, je me suis retourné, mon sexe touche ses fesses, pour la première fois depuis que je l’ai dépucelé, Iris lève sa jambe vers le ciel et je peux la prendre dans une position nouvelle pour nous.
Ses sanglots sont vite remplacés par de petits cris de plaisir pour finir par un magnifique orgasme.
Je déverse mon sperme dans son calice avec moi aussi une jouissance extrême.
Certains disent cinq minutes, douche comprise, nous ce fut trois minutes les plus intenses de notre vie.
Un seul problème, quand je la quitte et que je me retourne, pourquoi je repense à Livio notre gondolier italien, comment fait-il l’amour à ses nombreuses maîtresses et belles étrangères ?...
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