COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le début de la fin, quoique... Début de la saison III (7/9)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le début de la fin, quoique... Début de la saison III (7/9)
Un peu de repos en écrivant d’autres textes, la saison II ayant été stressante !
Phil s’en sortirait-il vivant !
Oui, il semble que oui !
J’essayais depuis un certain temps d’ouvrir les yeux sans résultat probant.
Mon insuccès renforce ma volonté d’y arriver.
J’aimerais tant voir la joie sur le visage de mes parents.
Dans mes souvenirs, ce sont leurs pleurs, plus que leurs rires que je garde dans ce qu’il me reste de souvenir.
J’ai bien été éduqué, sinon je pourrais devenir ordurier après ces putains d’yeux qui restent obstinément clos.
Que j’aimerais faire voir à mes parents que je suis revenu parmi les vivants.
Je décide de redoubler d’efforts en intensité et volonté.
Il faut que je réussisse cette tâche titanesque.
En attendant l’arrivée du médecin qui va arriver sans tarder, je fais un autre cadeau à maman.
J’arrive enfin à ouvrir les yeux, dommage papa était absent.
J’aurais dû attendre sa présence.
Je suis en pleine contradiction, je me battais pour les ouvrir et quand j’y arrive, je regrette de l’avoir fait.
Maman qui épiait le moindre mouvement de mon corps, doit avoir vu mes yeux bouger.
• Miracle, merci mon dieu, tu me vois mon bébé.
Hélas, elle avait beau crier, je la sens comme si je la voyais, mais mes yeux me faisaient défaut.
Une nouvelle fois, je voulais lui dire, mais ces putains de tuyaux m’en empêchent.
Encore un gros mot « putain », mon cerveau voudrait-il me dire quelque chose sur les filles de joie.
Les salopes qui prennent leur mari pour des couillons.
Pourquoi ces mots « putain » et « salope » qui me rappelle quelque chose m’étant arrivé ?
J’essaye de rassembler mes souvenirs liés à ces mots, au plus loin que je me souviens, les putes, même si j’en voyais le long des routes, je pense avoir oublié de pratiquer.
Les salopes, est-ce que maman fait partie des salopes venant polluer mon retour sur terre.
Impossible, je divague, maman une salope et pourquoi pas ma...
J’allais dire ma femme, mais au plus loin que j’arrive à remonter, une femme , ça m’étonnerait que j’en ai eu une.
Je dois lui faire un signe autrement que par le doigt.
J’essaye de lui dire que non en tentant de le faire péniblement bouger de droit à gauche.
• Évite de t’énerver, rien de grave, ça viendra, m’entends-tu mon chéri ?
Nouveau signe affirmatif du doigt tient, je viens enfin de communiquer avec eux.
Le médecin choisit ce moment pour entrer dans ma chambre.
Il a dû voir mon doigt !
• En tant que médecin, la foi et moi, cela fait deux, mais madame, je vais vous dire que les voies du seigneur sont impénétrables.
Madame, votre fils est un battant et vous êtes, vous et votre mari des battants vous aussi.
Vous êtes une famille de battants.
Votre persévérance qui me touchait profondément a payé, bravo, c’est un cas rare.
Je vous avoue que j’avais peu d’espoir de le voir revenir dans notre monde un jour et sortir de son coma.
• Juste avant votre entrée, docteur, il a ouvert les yeux un bon petit moment avant de les refermer.
• C’est tout à fait normal, pour de tels cas, les choses évoluent tout doucement, à la vitesse d’un escargot en quelque sorte.
• Mon chéri, peux-tu encore ouvrir les yeux pour le docteur.
Je crois avoir dit que j’aimais cette femme qui est ma mère, mais un instant j’ai l’impression d’être une bête de foire.
Mais bon, elle a été si présente depuis que j’ai réussi à ressortir de ce couloir ayant au bout une grande lumière blanche.
Et si j’y arrivais à le faire pendant trois ou quatre secondes !
• Excellent mon garçon.
Voyez-vous madame, le plus important est qu’il soit conscient et réponde aux sollicitations, ce qui veut dire que son cerveau fonctionne.
Il est drôle ce type, qu’il demande à Agathe, vous savez la salope qui a avoué devant moi à Maris sa copine pendant qu’elle me lavait le sexe, qu’elle baisait avec tout l’hôpital.
Avez-vous baisé avec elle, vous avez une blouse blanche, lorsque je serai redevenu moi-même, je l’emmènerai en Italie.
J’ignore pourquoi ce nom de Livio tourne en boucle dans ma tête.
• Nous allons vous demander de sortir, Françoise vous pouvez faire venir l’équipe.
Nous allons redonner à monsieur Phil, l’usage de sa respiration naturelle.
Après vous ferez le nécessaire pour lui faire passer un IRM.
Je voudrais avoir la certitude qu’aucune lésion cachée risquerait le faire replonger.
• Merci docteur, je sors, je vais appeler son papa, sa femme et ses beaux-parents.
Maman vient de dire docteur, alors que je me souviens que j’ai entendu une doctoresse à mon chevet, ce doit être des équipes différente.
Je suis comme un enfant à qui l’on donne un ballon en baudruche, je savais bien que ce tube me bouchant la bouche était là pour m’emmer...
Je recommence m’embêter, c’est mieux.
• Faites, madame, appelez-les pour leur annoncer la bonne nouvelle.
Je mets une seule condition, aucune visite jusqu’à ce que nous soyons sûrs qu’il recommence à respirer normalement avec ses voies respiratoires.
• Je vous comprends docteur, mais dois-je partir, moi aussi ?
Il est fou cet homme en blanc, je vais pouvoir converser avec ma maman et il la fiche à la porte.
Appelez-moi le directeur, il faut qu’il le vire.
• Absolument madame, évitez de vous en faire, partez tranquille, il est entre de bonnes mains.
Nous allons lui faire écouter de la musique qui lui tiendra compagnie, quel genre aime-t-il ?
• La musique classique, malgré son jeune âge.
• Parfait, au revoir madame, vous pourrez revenir demain.
Je sens, maman, se pencher sur moi, m’embrasser tendrement sur le front et me chuchoter !
• « Dis-moi au revoir mon bébé.
Je vais annoncer la bonne nouvelle à Iris ton épouse.
Si tu savais comment elle a été angoissée après tous ce qui s’est passé.
Elle me prend délicatement le pouce droit qui réagit par un mouvement imperceptible, que seules les mamans peuvent déceler.
Je suis moi-même surpris de voir mes yeux s’ouvrir un instant pour l’apercevoir de dos.
Mon cerveau petit à petit se remet à fonctionner, je prends conscience que j’étais dans le coma et pris en charge dans un milieu hospitalier.
Ce qui m’intrigue, c’est le fait que maman parle d’une épouse ?
C’est impossible, je suis célibataire, ça j'en suis certain.
Soit il doit s’agir d’une erreur, soit j’ai mal entendu.
Après avoir subi quelques examens, je suis libéré de ce tuyau qui pourrissait ma vie.
Je le suis endormi sur le son de la musique qui émanait en sourdine de nulle part.
J’ignore combien de temps s’est écoulé lorsque je suis réveillé par l’impressionDe froid que je connais déjà.
La bi-sexuelle, comment s’appelle-t-elle ?
À oui, Marie, comment peut-on s’appeler Marie et se taper tout ce qui bouge dans cet hôpital.
C’est loin d’être moi qui l’ai dit, c’est l’autre Agathe, celle que je vois me laver la bite alors qu’elle devrait redresser la tête.
Le coma m’a-t-il rendu impuissance.
Ce qui est drôle, c’est le ressenti que j’ai de ces deux femmes.
Agathe, je la voyais grande et brune avec des seins comme des obus.
Je découvre une jeune femme dodue et avec de petits seins.
Blonde, elle est blonde, est-ce naturel, mademoiselle Agathe, ouvrez votre blouse que je puisse voir votre minou.
Je vais, peut-être réagir si comme les autres fois, elle me caresse.
Contrairement à ce que maman a dit, je suis célibataire.
Tout est encore confus, en moi, blonde, salope et Jordanien, ce sont trois noms qui reviennent en boucle.
Je vais faire comme maman, mon dieu vous m’avez rendu la vue, rendez-moi la parole que je puisse leur poser des questions.
J’essaye de lui parler, mais comme le ferait une carpe sortie de l’eau, aucun mot sorte de ma bouche.
Ça, c’est pour la blonde, je me suis mis complètement mon doigt dans l’œil.
La deuxième quand elle se penche pour me laver la figure, ses seins débordent de sa blouse, de vraies bombes.
Mais des bombes noires comme ses grosses lèvres.
Je comprends qu’elle fasse tourner la tête à tous les mâles ou les femelles de l’hôpital.
Il faut que j’élucide ce mystère, suis-je marié ou non ?
Je me mettrais bien sûr les rangs pour faire partie de son tableau de chasse.
• Regarde, Marie, son sexe vient de bouger...
Phil s’en sortirait-il vivant !
Oui, il semble que oui !
J’essayais depuis un certain temps d’ouvrir les yeux sans résultat probant.
Mon insuccès renforce ma volonté d’y arriver.
J’aimerais tant voir la joie sur le visage de mes parents.
Dans mes souvenirs, ce sont leurs pleurs, plus que leurs rires que je garde dans ce qu’il me reste de souvenir.
J’ai bien été éduqué, sinon je pourrais devenir ordurier après ces putains d’yeux qui restent obstinément clos.
Que j’aimerais faire voir à mes parents que je suis revenu parmi les vivants.
Je décide de redoubler d’efforts en intensité et volonté.
Il faut que je réussisse cette tâche titanesque.
En attendant l’arrivée du médecin qui va arriver sans tarder, je fais un autre cadeau à maman.
J’arrive enfin à ouvrir les yeux, dommage papa était absent.
J’aurais dû attendre sa présence.
Je suis en pleine contradiction, je me battais pour les ouvrir et quand j’y arrive, je regrette de l’avoir fait.
Maman qui épiait le moindre mouvement de mon corps, doit avoir vu mes yeux bouger.
• Miracle, merci mon dieu, tu me vois mon bébé.
Hélas, elle avait beau crier, je la sens comme si je la voyais, mais mes yeux me faisaient défaut.
Une nouvelle fois, je voulais lui dire, mais ces putains de tuyaux m’en empêchent.
Encore un gros mot « putain », mon cerveau voudrait-il me dire quelque chose sur les filles de joie.
Les salopes qui prennent leur mari pour des couillons.
Pourquoi ces mots « putain » et « salope » qui me rappelle quelque chose m’étant arrivé ?
J’essaye de rassembler mes souvenirs liés à ces mots, au plus loin que je me souviens, les putes, même si j’en voyais le long des routes, je pense avoir oublié de pratiquer.
Les salopes, est-ce que maman fait partie des salopes venant polluer mon retour sur terre.
Impossible, je divague, maman une salope et pourquoi pas ma...
J’allais dire ma femme, mais au plus loin que j’arrive à remonter, une femme , ça m’étonnerait que j’en ai eu une.
Je dois lui faire un signe autrement que par le doigt.
J’essaye de lui dire que non en tentant de le faire péniblement bouger de droit à gauche.
• Évite de t’énerver, rien de grave, ça viendra, m’entends-tu mon chéri ?
Nouveau signe affirmatif du doigt tient, je viens enfin de communiquer avec eux.
Le médecin choisit ce moment pour entrer dans ma chambre.
Il a dû voir mon doigt !
• En tant que médecin, la foi et moi, cela fait deux, mais madame, je vais vous dire que les voies du seigneur sont impénétrables.
Madame, votre fils est un battant et vous êtes, vous et votre mari des battants vous aussi.
Vous êtes une famille de battants.
Votre persévérance qui me touchait profondément a payé, bravo, c’est un cas rare.
Je vous avoue que j’avais peu d’espoir de le voir revenir dans notre monde un jour et sortir de son coma.
• Juste avant votre entrée, docteur, il a ouvert les yeux un bon petit moment avant de les refermer.
• C’est tout à fait normal, pour de tels cas, les choses évoluent tout doucement, à la vitesse d’un escargot en quelque sorte.
• Mon chéri, peux-tu encore ouvrir les yeux pour le docteur.
Je crois avoir dit que j’aimais cette femme qui est ma mère, mais un instant j’ai l’impression d’être une bête de foire.
Mais bon, elle a été si présente depuis que j’ai réussi à ressortir de ce couloir ayant au bout une grande lumière blanche.
Et si j’y arrivais à le faire pendant trois ou quatre secondes !
• Excellent mon garçon.
Voyez-vous madame, le plus important est qu’il soit conscient et réponde aux sollicitations, ce qui veut dire que son cerveau fonctionne.
Il est drôle ce type, qu’il demande à Agathe, vous savez la salope qui a avoué devant moi à Maris sa copine pendant qu’elle me lavait le sexe, qu’elle baisait avec tout l’hôpital.
Avez-vous baisé avec elle, vous avez une blouse blanche, lorsque je serai redevenu moi-même, je l’emmènerai en Italie.
J’ignore pourquoi ce nom de Livio tourne en boucle dans ma tête.
• Nous allons vous demander de sortir, Françoise vous pouvez faire venir l’équipe.
Nous allons redonner à monsieur Phil, l’usage de sa respiration naturelle.
Après vous ferez le nécessaire pour lui faire passer un IRM.
Je voudrais avoir la certitude qu’aucune lésion cachée risquerait le faire replonger.
• Merci docteur, je sors, je vais appeler son papa, sa femme et ses beaux-parents.
Maman vient de dire docteur, alors que je me souviens que j’ai entendu une doctoresse à mon chevet, ce doit être des équipes différente.
Je suis comme un enfant à qui l’on donne un ballon en baudruche, je savais bien que ce tube me bouchant la bouche était là pour m’emmer...
Je recommence m’embêter, c’est mieux.
• Faites, madame, appelez-les pour leur annoncer la bonne nouvelle.
Je mets une seule condition, aucune visite jusqu’à ce que nous soyons sûrs qu’il recommence à respirer normalement avec ses voies respiratoires.
• Je vous comprends docteur, mais dois-je partir, moi aussi ?
Il est fou cet homme en blanc, je vais pouvoir converser avec ma maman et il la fiche à la porte.
Appelez-moi le directeur, il faut qu’il le vire.
• Absolument madame, évitez de vous en faire, partez tranquille, il est entre de bonnes mains.
Nous allons lui faire écouter de la musique qui lui tiendra compagnie, quel genre aime-t-il ?
• La musique classique, malgré son jeune âge.
• Parfait, au revoir madame, vous pourrez revenir demain.
Je sens, maman, se pencher sur moi, m’embrasser tendrement sur le front et me chuchoter !
• « Dis-moi au revoir mon bébé.
Je vais annoncer la bonne nouvelle à Iris ton épouse.
Si tu savais comment elle a été angoissée après tous ce qui s’est passé.
Elle me prend délicatement le pouce droit qui réagit par un mouvement imperceptible, que seules les mamans peuvent déceler.
Je suis moi-même surpris de voir mes yeux s’ouvrir un instant pour l’apercevoir de dos.
Mon cerveau petit à petit se remet à fonctionner, je prends conscience que j’étais dans le coma et pris en charge dans un milieu hospitalier.
Ce qui m’intrigue, c’est le fait que maman parle d’une épouse ?
C’est impossible, je suis célibataire, ça j'en suis certain.
Soit il doit s’agir d’une erreur, soit j’ai mal entendu.
Après avoir subi quelques examens, je suis libéré de ce tuyau qui pourrissait ma vie.
Je le suis endormi sur le son de la musique qui émanait en sourdine de nulle part.
J’ignore combien de temps s’est écoulé lorsque je suis réveillé par l’impressionDe froid que je connais déjà.
La bi-sexuelle, comment s’appelle-t-elle ?
À oui, Marie, comment peut-on s’appeler Marie et se taper tout ce qui bouge dans cet hôpital.
C’est loin d’être moi qui l’ai dit, c’est l’autre Agathe, celle que je vois me laver la bite alors qu’elle devrait redresser la tête.
Le coma m’a-t-il rendu impuissance.
Ce qui est drôle, c’est le ressenti que j’ai de ces deux femmes.
Agathe, je la voyais grande et brune avec des seins comme des obus.
Je découvre une jeune femme dodue et avec de petits seins.
Blonde, elle est blonde, est-ce naturel, mademoiselle Agathe, ouvrez votre blouse que je puisse voir votre minou.
Je vais, peut-être réagir si comme les autres fois, elle me caresse.
Contrairement à ce que maman a dit, je suis célibataire.
Tout est encore confus, en moi, blonde, salope et Jordanien, ce sont trois noms qui reviennent en boucle.
Je vais faire comme maman, mon dieu vous m’avez rendu la vue, rendez-moi la parole que je puisse leur poser des questions.
J’essaye de lui parler, mais comme le ferait une carpe sortie de l’eau, aucun mot sorte de ma bouche.
Ça, c’est pour la blonde, je me suis mis complètement mon doigt dans l’œil.
La deuxième quand elle se penche pour me laver la figure, ses seins débordent de sa blouse, de vraies bombes.
Mais des bombes noires comme ses grosses lèvres.
Je comprends qu’elle fasse tourner la tête à tous les mâles ou les femelles de l’hôpital.
Il faut que j’élucide ce mystère, suis-je marié ou non ?
Je me mettrais bien sûr les rangs pour faire partie de son tableau de chasse.
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