COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le début de la fin, quoique... Fin de la saison III (9/9)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le début de la fin, quoique... Fin de la saison III (9/9)
Hormis la parole toujours absente, je me remets au point que j’ai été transféré au sein d’un institut spécialisé.
Je réussis à avoir des renseignements sur ce qui m’a amené à avoir tous ces problèmes.
C’est principalement papa qui m’a renseigné aux questions que je lui écris sur un calepin que j’ai toujours avec moi.
Dans la nuit, accident de voiture ayant percuté un arbre près de Bordeaux ayant entrainé mon coma et surtout neuf mois à subir tout ce que j’avais subi.
Que faisais-je là-bas ?
Comment puis-je me souvenir et reconnaitre mes parents ainsi que son contre-maitre et son épouse et avoir oublié le reste ?
D'après l'équipe traitante, j'ai un genre d'amnésie sélective.
Je me souviens très bien de certains détails de vie antérieure et plus de certains autres.
Cela peut être dû à un choc émotionnel ou physique ou pour une autre raison.
J’ai enfoui au fin fond de mon subconscient ce moment de ma vie.
Des séances, notamment d'hypnose, pourraient en découvrir la cause et donc mener à ma guérison.
Ces séances, il fallait cependant attendre un certain temps avant d'y être soumis. En attendant, j'essaye d'y arriver par moi-même et peut-être que le début à tout serait de commencer par cette énigmatique belle jeune femme qui m'appelle « son amour ».
J’écris cette demande, sur mon calepin à papa.
• Mon fils, il faut savoir pardonner, la vie est courte et pleine d’embuches, tu as payé pour le savoir.
Pourtant, au jour de ma sortie qui est un grand jour, Iris reste pour moi une énigme.
Mes parents m'annoncent avoir préparé une grande fête en mon honneur.
Dans la grosse voiture me conduisant vers notre maison, maman est assise à ses côtés et moi sur le siège arrière avec Iris, cette jeune inconnue.
Sur le siège avant, ils parlent, rient et me regardent amoureusement comme si j'étais un don du ciel.
À mon côté dans les quelques mots qu’elle prononce en me prenant la main Iris continue toujours à me dire mon amour et mon chéri.
J'ai beau fait travailler ardemment mes méninges, rien.
Pourquoi aurais-je été son chéri, sans que l’on veuille répondre à ma question ?
Je me souviens de toute ma jeunesse, depuis que je jouais seul dans notre jardin jusqu'à l'école d'ingénieurs et mon travail dans le groupe de mon père.
Pourquoi le reste, je semble l’occulter, pourquoi mon accident et cette belle jeune femme, y a-t-il un lien ?
Une fois chez nous, dans notre domaine, je fais comprendre à mes parents que je voulais rester seul dans ma chambre.
Ce qui fut fait.
En leur montrant ma demande, écrite sur mon calepin, Iris le prend et la jeune femme devient livide.
J'ai passé l'après-midi à réfléchir sans résultat à ma situation étrange et je m’endors de fatigue ou peut-être de dépit.
• Es-tu bien reposé ?
Viens, il est temps de descendre, tous nos invités sont là.
Je fais non de la tête.
• Viens, tu les connais tous, enfin je l'espère.
Je mets des effets propres et je le suis.
Dans notre grande salle de réception, toute la famille et toutes nos connaissances et amis de la famille sont là.
Je reconnais la plupart d’entre eux.
Tous sauf Iris qui est là dans une magnifique ensemble, mais loin d’être mon genre.
Par calepin interposé, je demande à certains de me dire qui elle est.
Tous me répondent.
• Non !
Cette bienveillance envahissante me déprime encore plus comme s'il y avait un secret tapi quelque part que tous veulent me cacher.
La soirée et le diner s'étaient bien passés.
Nos visiteurs commencent à partir les uns après les autres en m'embrassant et en me souhaitant un bon rétablissement.
Iris discute avec notre contremaitre et sa femme, un verre de jus de fruits en main.
Je fais le tour pour m'approcher d'eux sans être vu.
J’entends !
• ......., Je vais dormir ici dans l'une des chambres d'amis.
Je veux être près de lui, c'est toute ma vie, vous le savez très bien.
• Nous sommes d'accord Iris, il est encore tôt vu son état psychologique pour tous lui dire.
Fais comme tu veux.
• Bonne nuit maman, bonne nuit papa.
Sans plus savoir pourquoi je viens de tirer une information, Iris est la fille de notre contremaître et sa femme, ça me fait une belle jambe, bien qu’elles soient pleines de cicatrice.
Comment cela était-il possible ?
Iris à peu près mon âge, avait-elle grandi près de moi sans que je puisse m'en souvenir ?
Où a-t-elle grandit cachée quelque part ?
Pourquoi veut-elle rester près de moi ?
Comment serais-je toute sa vie sans le savoir ?
Que cache cette situation rocambolesque qui me dépasse ?
Je m'interrogeais à en mourir de fatigue cérébrale sans arriver à trouver le moindre semblant de réponse.
Las, je salue mes parents y compris les parents de ladite Iris qui vient de partir, et me réfugie dans ma chambre.
Fatigué physiquement et mentalement je sombre très vite.
Un instant, je crois entendre comme des pleurs, mais je devais certainement rêver.
J’ai tellement rêvé pendant ce presque un an.
Certaines choses me manquent, les papotages de Marie, la jolie black folle du cul, elle a bien raison, alors que ma vie amoureuse semble aux abonnées absentes !
Agathe, la salope ayant baisé avec un gondolier, Livio à ce que je m’en souvienne.
Cette pute a fait cala pendant son voyage de noces.
Les choses me reviennent, enlevant un autre mystère, elle a trompé un certain Gaétan dans la gondole de Livio dans le petit canal des amoureux.
Mais pourquoi qu’un instant j’ai l’impression que c’est moi qui prenais Agathe dans une parfaite levrette ?
Tout ceci ce finissant dans cette maudite ligne droite au volant de cette maudite voiture...
Un grand éclair traverse mon cerveau, je me réveille en sursaut, paniqué et tout en sueur.
Assis dans mon lit m’étant redressé, je me rappelle...mais pas tout.
Je conduisais effectivement sur cette route et me rappelais très bien cette ligne droite.
J'étais ailleurs, à quoi pensais-je avant de perdre connaissance !
Je me vois appuyé sur l’accélérateur et fermé ensuite les yeux lorsque l’arbre a traversé la route.
C’était donc prémédité, je cherchais à me suicider.
Pourquoi ?
Un détail, le goût du café bu quelques minutes avant est dans ma bouche.
Ça me revenait.
J'avais pris plusieurs cafés dans un petit village perdu où je suis resté plusieurs heures.
Que faisais-je là-bas, loin de chez moi au petit matin ?
J'avais donc dû conduire la nuit.
Mon père m'a dit que l'accident était arrivé aux environs de Bordeaux, c'est très loin de chez moi…Je roulais sur cette nationale, pour aller où ?
Tiens, en roulant, mon téléphone sonne sans cesse, je me vois l’éteindre.
Pourquoi ?
De qui émanaient ces appels et ces messages ?
Où est mon téléphone, je suis sûr qu’une partie de mes énigmes est enfouie au fond de cet appareil ?
Je devrais attendre le matin, mais je vais jusqu’à la chambre de mes parents que je réveille.
• Papa, mon téléphone, ou est-il ?
• Que t’arrive-t-il mon garçon, ça va ?
• Mon téléphone, où est mon téléphone ? M'étais-je étonné à prononcer en criant.
Mes parents se regardent un bref instant et me sautèrent tous les deux dessus.
• Merci mon Dieu, notre enfant a retrouvé la parole.
J’étais moi-même surpris, c'était comme un miracle.
Maman hésite un instant.
• Donne-le-lui.
• Papa, je viens de me souvenir de la nuit de l'accident.
Mon téléphone sonnait sans arrêt, je veux savoir pourquoi.
Donne-le-moi s'il te plait, sinon, le reste des autres zones d’ombre entourant cet accident va pourrir ma vie.
Papa va dans le tiroir de leur armoire et me le tend...
Phil va-t-il trouver ce que vous savez déjà de la tromperie d’Iris avec ce vieux Jordanien ?
La saison III se termine sur cette interrogation.
Je suis sûr que la série IV nous fera découvrir la suite de notre couple semblant avoir du plomb dans l’aile.
En attendant, je vais aller boire une bonne bière quelquefois que le démon du sexe me frappe et qu’une belle salope vienne partager ma couche.
Maryse, la femme folle du cul, Anne ma muse qui s’ébat avec ses fermiers pères et fils dans les monts du Jura.
Ou encore Audrey qui cocufie son mari sans vergogne l’ayant à ma pogne !
Mais aussi ma petite Marocaine qui a su réveiller le vieux mâle sur le retour, Radia, je sais que je t’aime !!!
Un dernier point, merci à Michel, il saura pourquoi.
Je réussis à avoir des renseignements sur ce qui m’a amené à avoir tous ces problèmes.
C’est principalement papa qui m’a renseigné aux questions que je lui écris sur un calepin que j’ai toujours avec moi.
Dans la nuit, accident de voiture ayant percuté un arbre près de Bordeaux ayant entrainé mon coma et surtout neuf mois à subir tout ce que j’avais subi.
Que faisais-je là-bas ?
Comment puis-je me souvenir et reconnaitre mes parents ainsi que son contre-maitre et son épouse et avoir oublié le reste ?
D'après l'équipe traitante, j'ai un genre d'amnésie sélective.
Je me souviens très bien de certains détails de vie antérieure et plus de certains autres.
Cela peut être dû à un choc émotionnel ou physique ou pour une autre raison.
J’ai enfoui au fin fond de mon subconscient ce moment de ma vie.
Des séances, notamment d'hypnose, pourraient en découvrir la cause et donc mener à ma guérison.
Ces séances, il fallait cependant attendre un certain temps avant d'y être soumis. En attendant, j'essaye d'y arriver par moi-même et peut-être que le début à tout serait de commencer par cette énigmatique belle jeune femme qui m'appelle « son amour ».
J’écris cette demande, sur mon calepin à papa.
• Mon fils, il faut savoir pardonner, la vie est courte et pleine d’embuches, tu as payé pour le savoir.
Pourtant, au jour de ma sortie qui est un grand jour, Iris reste pour moi une énigme.
Mes parents m'annoncent avoir préparé une grande fête en mon honneur.
Dans la grosse voiture me conduisant vers notre maison, maman est assise à ses côtés et moi sur le siège arrière avec Iris, cette jeune inconnue.
Sur le siège avant, ils parlent, rient et me regardent amoureusement comme si j'étais un don du ciel.
À mon côté dans les quelques mots qu’elle prononce en me prenant la main Iris continue toujours à me dire mon amour et mon chéri.
J'ai beau fait travailler ardemment mes méninges, rien.
Pourquoi aurais-je été son chéri, sans que l’on veuille répondre à ma question ?
Je me souviens de toute ma jeunesse, depuis que je jouais seul dans notre jardin jusqu'à l'école d'ingénieurs et mon travail dans le groupe de mon père.
Pourquoi le reste, je semble l’occulter, pourquoi mon accident et cette belle jeune femme, y a-t-il un lien ?
Une fois chez nous, dans notre domaine, je fais comprendre à mes parents que je voulais rester seul dans ma chambre.
Ce qui fut fait.
En leur montrant ma demande, écrite sur mon calepin, Iris le prend et la jeune femme devient livide.
J'ai passé l'après-midi à réfléchir sans résultat à ma situation étrange et je m’endors de fatigue ou peut-être de dépit.
• Es-tu bien reposé ?
Viens, il est temps de descendre, tous nos invités sont là.
Je fais non de la tête.
• Viens, tu les connais tous, enfin je l'espère.
Je mets des effets propres et je le suis.
Dans notre grande salle de réception, toute la famille et toutes nos connaissances et amis de la famille sont là.
Je reconnais la plupart d’entre eux.
Tous sauf Iris qui est là dans une magnifique ensemble, mais loin d’être mon genre.
Par calepin interposé, je demande à certains de me dire qui elle est.
Tous me répondent.
• Non !
Cette bienveillance envahissante me déprime encore plus comme s'il y avait un secret tapi quelque part que tous veulent me cacher.
La soirée et le diner s'étaient bien passés.
Nos visiteurs commencent à partir les uns après les autres en m'embrassant et en me souhaitant un bon rétablissement.
Iris discute avec notre contremaitre et sa femme, un verre de jus de fruits en main.
Je fais le tour pour m'approcher d'eux sans être vu.
J’entends !
• ......., Je vais dormir ici dans l'une des chambres d'amis.
Je veux être près de lui, c'est toute ma vie, vous le savez très bien.
• Nous sommes d'accord Iris, il est encore tôt vu son état psychologique pour tous lui dire.
Fais comme tu veux.
• Bonne nuit maman, bonne nuit papa.
Sans plus savoir pourquoi je viens de tirer une information, Iris est la fille de notre contremaître et sa femme, ça me fait une belle jambe, bien qu’elles soient pleines de cicatrice.
Comment cela était-il possible ?
Iris à peu près mon âge, avait-elle grandi près de moi sans que je puisse m'en souvenir ?
Où a-t-elle grandit cachée quelque part ?
Pourquoi veut-elle rester près de moi ?
Comment serais-je toute sa vie sans le savoir ?
Que cache cette situation rocambolesque qui me dépasse ?
Je m'interrogeais à en mourir de fatigue cérébrale sans arriver à trouver le moindre semblant de réponse.
Las, je salue mes parents y compris les parents de ladite Iris qui vient de partir, et me réfugie dans ma chambre.
Fatigué physiquement et mentalement je sombre très vite.
Un instant, je crois entendre comme des pleurs, mais je devais certainement rêver.
J’ai tellement rêvé pendant ce presque un an.
Certaines choses me manquent, les papotages de Marie, la jolie black folle du cul, elle a bien raison, alors que ma vie amoureuse semble aux abonnées absentes !
Agathe, la salope ayant baisé avec un gondolier, Livio à ce que je m’en souvienne.
Cette pute a fait cala pendant son voyage de noces.
Les choses me reviennent, enlevant un autre mystère, elle a trompé un certain Gaétan dans la gondole de Livio dans le petit canal des amoureux.
Mais pourquoi qu’un instant j’ai l’impression que c’est moi qui prenais Agathe dans une parfaite levrette ?
Tout ceci ce finissant dans cette maudite ligne droite au volant de cette maudite voiture...
Un grand éclair traverse mon cerveau, je me réveille en sursaut, paniqué et tout en sueur.
Assis dans mon lit m’étant redressé, je me rappelle...mais pas tout.
Je conduisais effectivement sur cette route et me rappelais très bien cette ligne droite.
J'étais ailleurs, à quoi pensais-je avant de perdre connaissance !
Je me vois appuyé sur l’accélérateur et fermé ensuite les yeux lorsque l’arbre a traversé la route.
C’était donc prémédité, je cherchais à me suicider.
Pourquoi ?
Un détail, le goût du café bu quelques minutes avant est dans ma bouche.
Ça me revenait.
J'avais pris plusieurs cafés dans un petit village perdu où je suis resté plusieurs heures.
Que faisais-je là-bas, loin de chez moi au petit matin ?
J'avais donc dû conduire la nuit.
Mon père m'a dit que l'accident était arrivé aux environs de Bordeaux, c'est très loin de chez moi…Je roulais sur cette nationale, pour aller où ?
Tiens, en roulant, mon téléphone sonne sans cesse, je me vois l’éteindre.
Pourquoi ?
De qui émanaient ces appels et ces messages ?
Où est mon téléphone, je suis sûr qu’une partie de mes énigmes est enfouie au fond de cet appareil ?
Je devrais attendre le matin, mais je vais jusqu’à la chambre de mes parents que je réveille.
• Papa, mon téléphone, ou est-il ?
• Que t’arrive-t-il mon garçon, ça va ?
• Mon téléphone, où est mon téléphone ? M'étais-je étonné à prononcer en criant.
Mes parents se regardent un bref instant et me sautèrent tous les deux dessus.
• Merci mon Dieu, notre enfant a retrouvé la parole.
J’étais moi-même surpris, c'était comme un miracle.
Maman hésite un instant.
• Donne-le-lui.
• Papa, je viens de me souvenir de la nuit de l'accident.
Mon téléphone sonnait sans arrêt, je veux savoir pourquoi.
Donne-le-moi s'il te plait, sinon, le reste des autres zones d’ombre entourant cet accident va pourrir ma vie.
Papa va dans le tiroir de leur armoire et me le tend...
Phil va-t-il trouver ce que vous savez déjà de la tromperie d’Iris avec ce vieux Jordanien ?
La saison III se termine sur cette interrogation.
Je suis sûr que la série IV nous fera découvrir la suite de notre couple semblant avoir du plomb dans l’aile.
En attendant, je vais aller boire une bonne bière quelquefois que le démon du sexe me frappe et qu’une belle salope vienne partager ma couche.
Maryse, la femme folle du cul, Anne ma muse qui s’ébat avec ses fermiers pères et fils dans les monts du Jura.
Ou encore Audrey qui cocufie son mari sans vergogne l’ayant à ma pogne !
Mais aussi ma petite Marocaine qui a su réveiller le vieux mâle sur le retour, Radia, je sais que je t’aime !!!
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