COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le début de la fin, quoique... Saison IV (11/12)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le début de la fin, quoique... Saison IV (11/12)
Sorti une première fois du coma où j’étais tombé il y a neuf mois, après mon accident ayant percuté un arbre, je replonge une nouvelle fois quand la trahison d’Iris me revient en mémoire.
Six jours de nouveau, reparti dans mon trou noir avant de revenir avec cette pensée obsédante.
Ai-je épousé une pute, une salope, une chienne, une folle de son cul, bref la honte de ma vie et finir par découvrir ce qu’une femme aimée peut faire à un homme rempli d’amour ?
Mes parents semblent vouloir m’expliquer l’impensable et par amour pour eux, j’accepte.
Mon père prend la parole.
• Mon fils chéri, Iris confirmée par monsieur Jacques nous a raconté ce qui s’est passé.
Iris a participé à la réunion avec le client jordanien en tant qu'interprète.
Une fois cette rencontre très positive sanctionnée par la signature d'un gros contrat, le client a invité, monsieur Jacques et Iris à dîner.
Ils leur étaient impossibles de refuser, tu en aurais fait de même Phil. Monsieur Jacques savait par expérience que les Arabes considéraient le refus d’une invitation comme une offense.
Lors du dîner, Iris a réclamé de boire de l'eau.
Le client a tellement insisté qu'elle a été gênée.
Monsieur Jacques ignorant l’addiction Iris avec l’alcool a poussé pour qu’elle prenne une coupe de champagne.
Pour une coupe, la chance aurait pu être avec nous malheureusement la machine était lancée et elle a fini par en consommer une et après deux.
À partir de là, elle ignore ce qu’elle a pris !
Une troisième, une quatrième sans compter un verre de cognac comme digestif.
Ces derniers verres, c’est monsieur Jacques qui nous en a parlé.
Je m’en veux vraiment, à mort.
J’aurais dû éviter de l’impliquer dans cette affaire en ton absence, car seul toi et nous connaissons son problème.
Je m’en veux doublement, nous connaissons assez monsieur Jacques et j’aurais dû l’alerter de l’effet catastrophique de l’alcool sur Iris.
En quittant le restaurant, elle a proposé à monsieur Jacques de rentrer de son côté pour lui éviter un long détour alors que l'hôtel du client jordanien était très proche de votre maison.
Le client jordanien était d’accord de déposer ta femme.
Il savait qu’elle était assez sérieuse pour éviter les moindres gestes déplacés de cet homme ayant été un parfait gentleman tout au long de la soirée.
• Arrête papa, tu défends une cause indéfendable.
Je sais ce que j’ai vu dans notre chambre et que mon cerveau a certainement voulu oublier.
Cette salope restera toujours une salope et elle veut nous faire croire que c’est une femme honorable alors qu’elle est une putain dont je préfère taire la réalité de ce qu’elle est.
Papa, une pute est une pute, savoir ce qu’elle sait sur son addiction à l’alcool, lorsqu’elle a fini par accepter de boire, c’est une salope qui voulait se faire sauter.
Que se serait-il passé si comme prévu c’était monsieur Jacques qui l’avait raccompagnée ?
L’aurais-je trouvé suçant la queue de ce brave homme déclenchant un scandale dans toute la ville.
Nos affaires et tout notre travail auraient été balayés lorsqu’il aurait mis sa bite dans sa bouche.
Savoir que cette bouche aimée a fait entrer la bite d’un autre pour lui faire une fellation ce qu’elle a certainement fait avec ce Jordanien, pouah, ça me donne envie de dégueuler.
Mais allez y, continuez à la défendre.
Jusqu’à ce jour j’étais amoureux d’une femme que je plaçais plus haut que tout, que voulez-vous que je fasse d’une roulure ?
• Je vois, ton état d’esprit fiston, tu peux avoir raison, mais laisse-moi terminer.
J'étais déjà couché lorsque Iris nous a appelés vers une heure du matin en pleurs.
Tu étais revenu à l'improviste pour la découvrir, dormant nue sur votre lit.
Elle nous a dit que tu avais vraiment infligé une dure correction au client qui pissait le sang et que tu étais reparti sans un mot ou un regard pour elle.
• Son amant qui pissait le sang, je le conçois, j’ai la main lourde lorsque l’on touche à ce qui est à moi.
C' était le cas la première fois à la terrasse de ce café à Paris lorsqu’un impoli lui a passé sa main dans ses cheveux.
À Venise, de façon sûre quand j’ai dû corriger cet Italien alors qu’elle se pâmait dans les chiottes de ce restaurant où je l’avais emmenée pour notre dernière soirée.
Vous savez que je vous entendais, lorsque mon cerveau s’est remis à un peu à fonctionner et que j’étais dans l’impossibilité de répondre.
Vous me parliez, mais les infirmières ou les femmes de service aussi.
L’une d’entre elles, Agathe parlait avec Marie sa copine en me faisant ma toilette.
Agathe aussi,elle avait été à Venise et avait eu à subir ce qu’Iris m’avait fait subir avec ce gondolier italien.
Livio, c’était son nom, je finis par me demander si avec lui aussi, dans mon dos, sur sa gondole ou dans tout autre endroit, les cornes étaient déjà sur ma tête.
• Phil, tu vas trop loin avec Livio, lors de votre retour et que vous avez fait le point sur ce qui s’était passé.
Vous aviez convenu que Livio vous avait aidé à certains moments avec l’aide de ces Anglais qui, hélas, eux ont pris un tout autre chemin que celui que tu prétends qu’elle aurait pris.
Papa, tu vois maman comme une sainte, ce qu’elle est certainement.
Mais les femmes, comme Iris, avec leur beauté fatale, ont tellement de perversité en elle que me faire cocu sans que je le sache est un jeu d’enfant pour des pétasses comme elles.
• Mais tu te trompes, elle nous a expliqué qu'elle ignorait, comment elle s'était retrouvée nue avec ce type.
• Et vous avez cru une telle salope, elle sait vraiment se jouer de tout, même de vous malgré votre expérience de la vie.
Il est vrai que pour vous, l’amour a été un long fleuve tranquille et que la perversité, ça vous passe par-dessus de la tête.
• Un long fleuve tranquille mon fils, nous gardons nos sentiments au fond de nous avec ton père.
Mais qui te dit par moments si le fleuve est resté dans son lit.
La seule chose qui la tracassait vraiment à ce moment-là était ton sort. Elle avait peur pour toi et mourrait d’inquiétude.
Pendant des heures elle a essayé de t'appeler, elle t’a envoyé tous ces messages que tu viens de découvrir.
Nous aussi, nous avons essayé de te joindre, jusqu’à ce que tu aies fini par éteindre ton portable, nous coupant toute perspective de savoir où tu étais.
Sais-tu comment le père d’Iris, que j’avais appelé m’occupant d’essayer de te joindre, l’a retrouvé ?
Je vais te le dire, elle était toujours nue allongée au pied de votre lit inconscient, plusieurs boîtes de médicaments vides à ses côtés.
Sans savoir pourquoi sa fille avait fait ça, il a failli paniquer ce qui aurait été fatal à Iris quand il a vu le lit couvert de sang.
Un moment, il a cru qu’elle avait essayé de tuer quelqu’un sachant que tu étais à Berlin.
• Tu vois, maman, tu défends l’indéfendable, même son père un instant a cru qu’Iris avait voulu tuer son amant.
Quoique étant donné la raclure qu’est cette femme qui implore ma pitié, ça reste une femme qui s’est roulée dans la fange, je peux penser que même avec les femmes elle...
• Mon fils, je veux bien que parce que je prie souvent, tu me prennes pour une sainte !
Mais tu vas trop loin, je t’interdis de penser dans cette maison qu’une femme pourrait avoir des rapports avec une autre femme, c’est abject.
Ce que ce pauvre homme nous a dit, c’est que se reprenant, il a appelé le SAMU et appelé l'hôpital où elle a été transportée.
Ignorant ta course folle à ce moment, nous l'avons rejoint sur place, quelques minutes plus tard.
Elle avait subi un lavement approfondi et par chance, elle était hors de danger.
Crois-tu qu’une femme pouvait chercher à perdre la vie si son amour pour toi avait disparu, l’amour est éternel mon chéri ?
Iris étant encore faible a dû rester à l’hôpital quelques heures sous observation psychologique comme cela est la règle dans les tentatives de suicide.
Bien que tranquillisés un peu sur l'état d'Iris, nous avons passé une nuit blanche et une journée noire.
Les malheurs étant toujours corrélés, nous avons appris que toi aussi tu étais dans un hôpital près de Bordeaux.
Dès que tu as été transportable, ton père a affrété d'urgence un avion médical et nous t’avons rapatrié ici.
• J’ai pris l’avion, je me souviens de mon retour de Berlin, celui-ci fera partie des trous noirs de ma vie.
En moi-même pourquoi paniquer mes parents en leur parlant que les trous noirs étaient plutôt des lumières blanches intenses.
• Depuis après avoir quitté l'hôpital, Iris réside chez nous tout le temps.
Elle a voulu rester avec nous au lieu d’aller habiter avec ses parents.
Elle nous a fait peur, refusant de se nourrir et dormant pratiquement jamais.
Elle était devenue une sorte de zombie errant nuit et jour dans la maison en se lamentant sur votre tragique sort à tous les deux.
C’est à tes côtés qu’elle finissait par s'assoupir dans ta chambre quelques instants, terrassée de fatigue.
Son état se dégradait à vue d’œil, jour après jour et nous avions peur pour elle comme pour toi.
Le changement ou plutôt le miracle intervenu l'a été grâce aux professeurs de Bordeaux puis ceux d’ici.
Le médecin qui s’occupait de toi ici, je peux prier pour lui, voyant son malaise, m’a demandé ce qui lui arrivait, j’ai cru bon de tout lui raconter.
Il a eu l'idée géniale de nous annoncer en sa présence que ton état présentait des signes prometteurs de guérison et qu'un jour tu avais de fortes chances de sortir du coma.
L’espoir né de cette affirmation a fait qu’elle a recommencé à se nourrir et que son état général a commencé tout doucement à s'améliorer.
Voilà ce que nous avions à te dire, Iris ayant tenté de se donner la mort serait morte si ton père avait tardé d’alerter son père.
• Maman, je vous ai dit mille fois que je vous aime, mais vous croyez vraiment à ces balivernes !
Lorsqu’elle a pris ses barbituriques, cette salope sachant ce qu’elle m’avait fait en me faisant cocu lorsqu’elle les a avalés, savait qu’elle serait sauvée et vous a fait prendre des vessies pour des lanternes.
Une salope reste une salope...
Six jours de nouveau, reparti dans mon trou noir avant de revenir avec cette pensée obsédante.
Ai-je épousé une pute, une salope, une chienne, une folle de son cul, bref la honte de ma vie et finir par découvrir ce qu’une femme aimée peut faire à un homme rempli d’amour ?
Mes parents semblent vouloir m’expliquer l’impensable et par amour pour eux, j’accepte.
Mon père prend la parole.
• Mon fils chéri, Iris confirmée par monsieur Jacques nous a raconté ce qui s’est passé.
Iris a participé à la réunion avec le client jordanien en tant qu'interprète.
Une fois cette rencontre très positive sanctionnée par la signature d'un gros contrat, le client a invité, monsieur Jacques et Iris à dîner.
Ils leur étaient impossibles de refuser, tu en aurais fait de même Phil. Monsieur Jacques savait par expérience que les Arabes considéraient le refus d’une invitation comme une offense.
Lors du dîner, Iris a réclamé de boire de l'eau.
Le client a tellement insisté qu'elle a été gênée.
Monsieur Jacques ignorant l’addiction Iris avec l’alcool a poussé pour qu’elle prenne une coupe de champagne.
Pour une coupe, la chance aurait pu être avec nous malheureusement la machine était lancée et elle a fini par en consommer une et après deux.
À partir de là, elle ignore ce qu’elle a pris !
Une troisième, une quatrième sans compter un verre de cognac comme digestif.
Ces derniers verres, c’est monsieur Jacques qui nous en a parlé.
Je m’en veux vraiment, à mort.
J’aurais dû éviter de l’impliquer dans cette affaire en ton absence, car seul toi et nous connaissons son problème.
Je m’en veux doublement, nous connaissons assez monsieur Jacques et j’aurais dû l’alerter de l’effet catastrophique de l’alcool sur Iris.
En quittant le restaurant, elle a proposé à monsieur Jacques de rentrer de son côté pour lui éviter un long détour alors que l'hôtel du client jordanien était très proche de votre maison.
Le client jordanien était d’accord de déposer ta femme.
Il savait qu’elle était assez sérieuse pour éviter les moindres gestes déplacés de cet homme ayant été un parfait gentleman tout au long de la soirée.
• Arrête papa, tu défends une cause indéfendable.
Je sais ce que j’ai vu dans notre chambre et que mon cerveau a certainement voulu oublier.
Cette salope restera toujours une salope et elle veut nous faire croire que c’est une femme honorable alors qu’elle est une putain dont je préfère taire la réalité de ce qu’elle est.
Papa, une pute est une pute, savoir ce qu’elle sait sur son addiction à l’alcool, lorsqu’elle a fini par accepter de boire, c’est une salope qui voulait se faire sauter.
Que se serait-il passé si comme prévu c’était monsieur Jacques qui l’avait raccompagnée ?
L’aurais-je trouvé suçant la queue de ce brave homme déclenchant un scandale dans toute la ville.
Nos affaires et tout notre travail auraient été balayés lorsqu’il aurait mis sa bite dans sa bouche.
Savoir que cette bouche aimée a fait entrer la bite d’un autre pour lui faire une fellation ce qu’elle a certainement fait avec ce Jordanien, pouah, ça me donne envie de dégueuler.
Mais allez y, continuez à la défendre.
Jusqu’à ce jour j’étais amoureux d’une femme que je plaçais plus haut que tout, que voulez-vous que je fasse d’une roulure ?
• Je vois, ton état d’esprit fiston, tu peux avoir raison, mais laisse-moi terminer.
J'étais déjà couché lorsque Iris nous a appelés vers une heure du matin en pleurs.
Tu étais revenu à l'improviste pour la découvrir, dormant nue sur votre lit.
Elle nous a dit que tu avais vraiment infligé une dure correction au client qui pissait le sang et que tu étais reparti sans un mot ou un regard pour elle.
• Son amant qui pissait le sang, je le conçois, j’ai la main lourde lorsque l’on touche à ce qui est à moi.
C' était le cas la première fois à la terrasse de ce café à Paris lorsqu’un impoli lui a passé sa main dans ses cheveux.
À Venise, de façon sûre quand j’ai dû corriger cet Italien alors qu’elle se pâmait dans les chiottes de ce restaurant où je l’avais emmenée pour notre dernière soirée.
Vous savez que je vous entendais, lorsque mon cerveau s’est remis à un peu à fonctionner et que j’étais dans l’impossibilité de répondre.
Vous me parliez, mais les infirmières ou les femmes de service aussi.
L’une d’entre elles, Agathe parlait avec Marie sa copine en me faisant ma toilette.
Agathe aussi,elle avait été à Venise et avait eu à subir ce qu’Iris m’avait fait subir avec ce gondolier italien.
Livio, c’était son nom, je finis par me demander si avec lui aussi, dans mon dos, sur sa gondole ou dans tout autre endroit, les cornes étaient déjà sur ma tête.
• Phil, tu vas trop loin avec Livio, lors de votre retour et que vous avez fait le point sur ce qui s’était passé.
Vous aviez convenu que Livio vous avait aidé à certains moments avec l’aide de ces Anglais qui, hélas, eux ont pris un tout autre chemin que celui que tu prétends qu’elle aurait pris.
Papa, tu vois maman comme une sainte, ce qu’elle est certainement.
Mais les femmes, comme Iris, avec leur beauté fatale, ont tellement de perversité en elle que me faire cocu sans que je le sache est un jeu d’enfant pour des pétasses comme elles.
• Mais tu te trompes, elle nous a expliqué qu'elle ignorait, comment elle s'était retrouvée nue avec ce type.
• Et vous avez cru une telle salope, elle sait vraiment se jouer de tout, même de vous malgré votre expérience de la vie.
Il est vrai que pour vous, l’amour a été un long fleuve tranquille et que la perversité, ça vous passe par-dessus de la tête.
• Un long fleuve tranquille mon fils, nous gardons nos sentiments au fond de nous avec ton père.
Mais qui te dit par moments si le fleuve est resté dans son lit.
La seule chose qui la tracassait vraiment à ce moment-là était ton sort. Elle avait peur pour toi et mourrait d’inquiétude.
Pendant des heures elle a essayé de t'appeler, elle t’a envoyé tous ces messages que tu viens de découvrir.
Nous aussi, nous avons essayé de te joindre, jusqu’à ce que tu aies fini par éteindre ton portable, nous coupant toute perspective de savoir où tu étais.
Sais-tu comment le père d’Iris, que j’avais appelé m’occupant d’essayer de te joindre, l’a retrouvé ?
Je vais te le dire, elle était toujours nue allongée au pied de votre lit inconscient, plusieurs boîtes de médicaments vides à ses côtés.
Sans savoir pourquoi sa fille avait fait ça, il a failli paniquer ce qui aurait été fatal à Iris quand il a vu le lit couvert de sang.
Un moment, il a cru qu’elle avait essayé de tuer quelqu’un sachant que tu étais à Berlin.
• Tu vois, maman, tu défends l’indéfendable, même son père un instant a cru qu’Iris avait voulu tuer son amant.
Quoique étant donné la raclure qu’est cette femme qui implore ma pitié, ça reste une femme qui s’est roulée dans la fange, je peux penser que même avec les femmes elle...
• Mon fils, je veux bien que parce que je prie souvent, tu me prennes pour une sainte !
Mais tu vas trop loin, je t’interdis de penser dans cette maison qu’une femme pourrait avoir des rapports avec une autre femme, c’est abject.
Ce que ce pauvre homme nous a dit, c’est que se reprenant, il a appelé le SAMU et appelé l'hôpital où elle a été transportée.
Ignorant ta course folle à ce moment, nous l'avons rejoint sur place, quelques minutes plus tard.
Elle avait subi un lavement approfondi et par chance, elle était hors de danger.
Crois-tu qu’une femme pouvait chercher à perdre la vie si son amour pour toi avait disparu, l’amour est éternel mon chéri ?
Iris étant encore faible a dû rester à l’hôpital quelques heures sous observation psychologique comme cela est la règle dans les tentatives de suicide.
Bien que tranquillisés un peu sur l'état d'Iris, nous avons passé une nuit blanche et une journée noire.
Les malheurs étant toujours corrélés, nous avons appris que toi aussi tu étais dans un hôpital près de Bordeaux.
Dès que tu as été transportable, ton père a affrété d'urgence un avion médical et nous t’avons rapatrié ici.
• J’ai pris l’avion, je me souviens de mon retour de Berlin, celui-ci fera partie des trous noirs de ma vie.
En moi-même pourquoi paniquer mes parents en leur parlant que les trous noirs étaient plutôt des lumières blanches intenses.
• Depuis après avoir quitté l'hôpital, Iris réside chez nous tout le temps.
Elle a voulu rester avec nous au lieu d’aller habiter avec ses parents.
Elle nous a fait peur, refusant de se nourrir et dormant pratiquement jamais.
Elle était devenue une sorte de zombie errant nuit et jour dans la maison en se lamentant sur votre tragique sort à tous les deux.
C’est à tes côtés qu’elle finissait par s'assoupir dans ta chambre quelques instants, terrassée de fatigue.
Son état se dégradait à vue d’œil, jour après jour et nous avions peur pour elle comme pour toi.
Le changement ou plutôt le miracle intervenu l'a été grâce aux professeurs de Bordeaux puis ceux d’ici.
Le médecin qui s’occupait de toi ici, je peux prier pour lui, voyant son malaise, m’a demandé ce qui lui arrivait, j’ai cru bon de tout lui raconter.
Il a eu l'idée géniale de nous annoncer en sa présence que ton état présentait des signes prometteurs de guérison et qu'un jour tu avais de fortes chances de sortir du coma.
L’espoir né de cette affirmation a fait qu’elle a recommencé à se nourrir et que son état général a commencé tout doucement à s'améliorer.
Voilà ce que nous avions à te dire, Iris ayant tenté de se donner la mort serait morte si ton père avait tardé d’alerter son père.
• Maman, je vous ai dit mille fois que je vous aime, mais vous croyez vraiment à ces balivernes !
Lorsqu’elle a pris ses barbituriques, cette salope sachant ce qu’elle m’avait fait en me faisant cocu lorsqu’elle les a avalés, savait qu’elle serait sauvée et vous a fait prendre des vessies pour des lanternes.
Une salope reste une salope...
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