COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le renouveau ? Début de la saison I (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le renouveau ? Début de la saison I (1/3)
À la fin des saisons qui ont vu progressivement Phil sortir de son coma, et le voir prendre sa décision catégorique de divorcer.
Iris, contre toute attente, malgré la certitude que l’on peut avoir vu les circonstances, a bel et bien brisé son serment de fidélité à Phil.
C’est du moins le sentiment de son mari et un peu le mien, mais je prends trop parti, je suis là comme plume et seulement comme plume.
Certes, au fil de leurs aventures, certains d’entre vous ont émis l’idée que Phil était cocu et qu’Iris est une fieffée salope.
Salope qui a trouvé comme alibi l’alcool qui inhiberait ses facultés au point que Phil l’a retrouvée entièrement à poil collé à ce Jordanien.
Par-dessus le marché, un vieux.
La même trahison avec le beau Livio aurait-elle atténué ses souffrances, rien de moins sûr, mais avec un homme pouvant être son père, c’est inimaginable.
Rapidement, un problème se fait jour, la volonté d’Iris de rester près de son ex-mari, même si le divorce a été prononcé.
Iris ayant toujours vécu dans le domaine des parents de Phil, ses parents le régissant.
Phil finit par retourner seul dans la maison que son père leur avait offerte.
Deux jours seulement, car revenant un soir de son travail, il a vu la voiture d’Iris garée devant ce qu’il pensait être son chez lui.
Erreur fatale, car ayant oublié de changer les serrures, Iris est revenue s’installer comme aux premières heures de leur vie amoureuse dans la chambre d’amie de cette maison.
Notre pauvre ami aurait pu faire venir la force publique afin que cette salope quitte les lieux.
Mais son bon cœur, déjà trop sollicité ces derniers mois, le trahit une nouvelle fois et il accepte la situation tant qu’elle se cantonne à vivre dans les parties communes et à sa propre chambre.
La sienne étant une zone interdite.
Nous retrouvons donc nos ex-amoureux dans cette situation scabreuse et plus qu’étrange, redonnons-lui la parole !
Je dois le reconnaitre quelle femme, quel caractère et quelle ténacité.
Depuis bientôt deux ans et demi, je survis.
Aucun ami, aucune confiance envers les femmes, d’ailleurs j’hésite à les fréquenter de nouveau.
Même dans mon travail, chaque fois que l’une d’elles semble s’intéresser à moi, je fuis comme si un serpent à sonnette voulait me piquer.
Je continue à survivre et à voir Iris tout le temps auprès de moi, à la maison, au travail, à la salle de sport.
Même à l’extérieur, lorsque je pars courir, elle me suit légèrement en retrait et fait le même circuit par toute saison.
Seule la nuit nous sépare lorsque nous allons nous coucher chacun dans notre chambre.
Au travail nous sommes dans l’obligation de nous parler, mais cela reste strictement professionnel.
À la maison, je lui adresse quelquefois la parole, par pure courtoisie, lorsque nous sommes en présence de nos amis ou de ses parents.
En dehors de ça jamais, au grand jamais, j’accepte de la considérer comme ma femme, encore moins mon épouse.
Quant à elle, en dehors du travail, Iris tient toujours sa parole de se taire jusqu’à ce que ce soit moi qui le fasse.
De temps en temps, je l’entends parler au téléphone.
J’aurais la possibilité d’écouter derrière sa porte, mais j’aurais trop peur d’entendre que c’est à ce fumier de Livio, ce beau gondolier qu’elle parle.
Est-il de passage en France et un de ces jours sans me le dire, elle arrêtera de faire le petit chien pour aller le rejoindre ?
Se montrer nue à des hommes, elle m’a déjà prouvé qu’elle était capable de le faire, appeler son vieux Jordanien, il vous le confirmera.
Cette nudité quand je la vois la nuit mes yeux fermés, j’ai envie d’aller dans sa chambre la massacrer.
Je suis colérique lorsque l’on touche à ce que je considère comme mon bien.
Je l’ai déjà prouvé, mais je suis un homme raisonnable et sachant me dominer, du moins je me le suis mis dans la tête.
Je me place mon oreiller sur la tête pour que le son de sa voix disparaisse et mes pensées d’infidélité aussi.
De mon côté, il m’arrive d’attendre qu’elle soit chez elle, pour ressortir et reprendre ma voiture précipitamment afin qu’elle évite de me suivre.
Mais je sors très rarement seulement en cas de nécessité absolue et jamais très longtemps.
Je suis devenu un ermite côté sexe et certainement elle aussi.
L’autre soir, travail et pression qu’elle exerce sur moi sont devenus si forts que, c’est ce que j’ai fait.
Dès que j’ai démarré, m’éloignant rapidement, j’ai mis mon limiteur de vitesse pour éviter de refaire la connerie en appuyant sur le champignon.
J’ai pris la rocade de notre ville, je me trainais tellement que certains conducteurs klaxonnaient.
Je me suis arrêté au centre-ville et je suis entré dans un club de nuit.
Des femmes étaient là, certaines aussi belles qu’Iris.
J’étais au bar, j’ai failli commander un whisky, me souvenant là encore des méfaits de l’alcool, si méfait il y avait eu avec Iris, j’ai pris une orangeade.
Une femme ayant vaguement la morphologie et la beauté d’Iris est venue s’installer près de moi.
De la manière dont elle me regardait avec insistance, un simple mot de ma part et c’était dans la poche.
J’allais engager la conversation quand j’ai vu que cette jolie femme avait une alliance.
Une femme mariée très peu pour moi, certainement la suite de mon expérience.
De frappeur, je me verrais mal être frappé si comme-moi le mari de retour sans nous avoir prévenus alors que je serais en train d’honorer sa femme.
Je paye et sous le regard médusé de cette femme, retrouvant ma voiture, je suis retourné à mes tourments.
Cette femme a dû croire que j’étais pédé et que seuls les hommes étaient ma tartine de pain.
Avant de faire ce qu’elle a fait, Iris dans notre couple me suçait, mais je me vois mal sucer un autre homme.
Pourtant, j’en connais de très beaux quelques-uns fort bien fournis que je vois dans les vestiaires en prenant la douche en commun après avoir couru sur les tapis roulants.
De retour, mes tourments sont là lorsque j’entends chanter dans la salle de bains.
Je suis dans le couloir dans le noir à deux doigts d’allumer, la porte de la salle étant légèrement entrouverte.
Elle est dans la baignoire, se savonnant.
L’eau remplissant la baignoire a dû couvrir le bruit que j’ai fait en entrant dans ma maison.
Mon dieu qu’elle est belle, dans sa blondeur naturelle.
Je me verrais bien ma main à la place de sa main dans son entrecuisse qui m’est en partie cachée et que je peux admirer grâce à la glace qui couvre l’un des murs.
Je la regarde, je sens bien que je fais le voyeur alors qu’il me suffirait de poser mes vêtements et entrer nu dans la pièce d’eau, de monter dans la baignoire et la serrer dans mes bras.
Nous l’avons souvent fait du temps de notre splendeur amoureuse, je lui ai même fait l’amour, au même endroit, elle devant, moi derrière.
Je me retiens, car pour cela ma peau se verrait dans l’obligation d’entrer en contact avec sa peau.
Simplement le fait de penser me frotter contre ce corps qu’elle a souillé avec au moins un autre, hélas, celui-là, je l’ai vu, me serait insupportable !
Un mouvement de répulsion s’empare de moi.
Je retourne dans ma chambre, je dois tout dire, comme au temps de ma jeunesse, la main entre les cuisses d’Iris, c’est la mienne que je lui glisse, l’autre me masturbant.
Je me souviens d’Agathe et de Marie, cette dernière disant à sa copine d’arrêter de me masturber, car j’étais inerte du côté verge.
Ce soir, sur ce plan-là, je rattrape le temps perdu et je gicle hurlant presque de plaisir au risque de faire croire à Iris, que j’ai ramené cette femme mariée dans ma chambre.
C’est simplement de l’onanisme.
Le lendemain, pour une fois, je dors comme un bébé, mes couilles décompressées.
À partir de ce moment, mon temps est partagé entre mon travail, le sport et la maison.
Elle aussi.
Notre propre maison, offerte par mon père quelque temps après notre mariage, était restée fermée depuis la fameuse nuit, jusqu’à ce que je décide d’y revenir sans penser qu’Iris aurait le toupet de me suivre.
Pendant mon coma, le retour à la vie presque normal jusqu’à la vision retrouvée d’Iris se vautrant dans la luxure, ce qui m’a obligé de revenir à l’hôpital.
Maman et ma belle-mère dirigeaient une équipe de nos employés de maison s'y rendant chaque semaine pour y faire le ménage.
Iris va au travail en même temps que moi, y arrive en même temps et revient à la maison toujours en même temps que moi.
C'est simple comme je l’ai dit et qu’elle me l’a promis, elle me suit.
Cela pourrait me déranger, au contraire ça m'amuse un peu.
Nos parents ont tenté plusieurs fois de nous rapprocher encore plus, mais je reste sur mes positions.
Pourtant, lorsque je repense à la scène dans la baignoire et la décharge d’adrénaline que j’ai ressenties ce soir-là, je dois reconnaître que je l'aime encore, même plus qu'avant.
Je l'avais, je l'ai dans la peau, dans ma tête, dans mes tripes, partout même dans mes rêves.
Subtil méandre du cerveau, lorsque je dis que je l’ai dans la peau, quand je repense à ce que j’ai dit lorsqu’elle était dans la baignoire, cette peau, il m’est impossible de m’y frotter.
Mais je persiste à refuser de lui pardonner.
Cette maudite image persiste au plus profond de mon être.
De plus, je suis un tantinet têtu, papa me le dit souvent quand nous sommes dans notre business.
Si j’ai une idée, pensant qu’elle est meilleure que la sienne, je me bats jusqu’à ce qu’il se plie à ma volonté.
Ça nous a toujours réussi, papa vient de me faire demander
● Fiston, comme tu l’as fait à Berlin, je veux que tu ailles traiter un contrat avec un industriel Néerlandais.
Ma secrétaire s’occupe des billets d’avion et de la réservation de ton l’hôtel.
Tu feras l’allée et le retour en deux jours, tout est prévu.
● Tout est prévu, papa, un point me chagrine Iris va vouloir suivre, elle voudra venir !
● Je te promets de m’en occuper fiston...
Iris, contre toute attente, malgré la certitude que l’on peut avoir vu les circonstances, a bel et bien brisé son serment de fidélité à Phil.
C’est du moins le sentiment de son mari et un peu le mien, mais je prends trop parti, je suis là comme plume et seulement comme plume.
Certes, au fil de leurs aventures, certains d’entre vous ont émis l’idée que Phil était cocu et qu’Iris est une fieffée salope.
Salope qui a trouvé comme alibi l’alcool qui inhiberait ses facultés au point que Phil l’a retrouvée entièrement à poil collé à ce Jordanien.
Par-dessus le marché, un vieux.
La même trahison avec le beau Livio aurait-elle atténué ses souffrances, rien de moins sûr, mais avec un homme pouvant être son père, c’est inimaginable.
Rapidement, un problème se fait jour, la volonté d’Iris de rester près de son ex-mari, même si le divorce a été prononcé.
Iris ayant toujours vécu dans le domaine des parents de Phil, ses parents le régissant.
Phil finit par retourner seul dans la maison que son père leur avait offerte.
Deux jours seulement, car revenant un soir de son travail, il a vu la voiture d’Iris garée devant ce qu’il pensait être son chez lui.
Erreur fatale, car ayant oublié de changer les serrures, Iris est revenue s’installer comme aux premières heures de leur vie amoureuse dans la chambre d’amie de cette maison.
Notre pauvre ami aurait pu faire venir la force publique afin que cette salope quitte les lieux.
Mais son bon cœur, déjà trop sollicité ces derniers mois, le trahit une nouvelle fois et il accepte la situation tant qu’elle se cantonne à vivre dans les parties communes et à sa propre chambre.
La sienne étant une zone interdite.
Nous retrouvons donc nos ex-amoureux dans cette situation scabreuse et plus qu’étrange, redonnons-lui la parole !
Je dois le reconnaitre quelle femme, quel caractère et quelle ténacité.
Depuis bientôt deux ans et demi, je survis.
Aucun ami, aucune confiance envers les femmes, d’ailleurs j’hésite à les fréquenter de nouveau.
Même dans mon travail, chaque fois que l’une d’elles semble s’intéresser à moi, je fuis comme si un serpent à sonnette voulait me piquer.
Je continue à survivre et à voir Iris tout le temps auprès de moi, à la maison, au travail, à la salle de sport.
Même à l’extérieur, lorsque je pars courir, elle me suit légèrement en retrait et fait le même circuit par toute saison.
Seule la nuit nous sépare lorsque nous allons nous coucher chacun dans notre chambre.
Au travail nous sommes dans l’obligation de nous parler, mais cela reste strictement professionnel.
À la maison, je lui adresse quelquefois la parole, par pure courtoisie, lorsque nous sommes en présence de nos amis ou de ses parents.
En dehors de ça jamais, au grand jamais, j’accepte de la considérer comme ma femme, encore moins mon épouse.
Quant à elle, en dehors du travail, Iris tient toujours sa parole de se taire jusqu’à ce que ce soit moi qui le fasse.
De temps en temps, je l’entends parler au téléphone.
J’aurais la possibilité d’écouter derrière sa porte, mais j’aurais trop peur d’entendre que c’est à ce fumier de Livio, ce beau gondolier qu’elle parle.
Est-il de passage en France et un de ces jours sans me le dire, elle arrêtera de faire le petit chien pour aller le rejoindre ?
Se montrer nue à des hommes, elle m’a déjà prouvé qu’elle était capable de le faire, appeler son vieux Jordanien, il vous le confirmera.
Cette nudité quand je la vois la nuit mes yeux fermés, j’ai envie d’aller dans sa chambre la massacrer.
Je suis colérique lorsque l’on touche à ce que je considère comme mon bien.
Je l’ai déjà prouvé, mais je suis un homme raisonnable et sachant me dominer, du moins je me le suis mis dans la tête.
Je me place mon oreiller sur la tête pour que le son de sa voix disparaisse et mes pensées d’infidélité aussi.
De mon côté, il m’arrive d’attendre qu’elle soit chez elle, pour ressortir et reprendre ma voiture précipitamment afin qu’elle évite de me suivre.
Mais je sors très rarement seulement en cas de nécessité absolue et jamais très longtemps.
Je suis devenu un ermite côté sexe et certainement elle aussi.
L’autre soir, travail et pression qu’elle exerce sur moi sont devenus si forts que, c’est ce que j’ai fait.
Dès que j’ai démarré, m’éloignant rapidement, j’ai mis mon limiteur de vitesse pour éviter de refaire la connerie en appuyant sur le champignon.
J’ai pris la rocade de notre ville, je me trainais tellement que certains conducteurs klaxonnaient.
Je me suis arrêté au centre-ville et je suis entré dans un club de nuit.
Des femmes étaient là, certaines aussi belles qu’Iris.
J’étais au bar, j’ai failli commander un whisky, me souvenant là encore des méfaits de l’alcool, si méfait il y avait eu avec Iris, j’ai pris une orangeade.
Une femme ayant vaguement la morphologie et la beauté d’Iris est venue s’installer près de moi.
De la manière dont elle me regardait avec insistance, un simple mot de ma part et c’était dans la poche.
J’allais engager la conversation quand j’ai vu que cette jolie femme avait une alliance.
Une femme mariée très peu pour moi, certainement la suite de mon expérience.
De frappeur, je me verrais mal être frappé si comme-moi le mari de retour sans nous avoir prévenus alors que je serais en train d’honorer sa femme.
Je paye et sous le regard médusé de cette femme, retrouvant ma voiture, je suis retourné à mes tourments.
Cette femme a dû croire que j’étais pédé et que seuls les hommes étaient ma tartine de pain.
Avant de faire ce qu’elle a fait, Iris dans notre couple me suçait, mais je me vois mal sucer un autre homme.
Pourtant, j’en connais de très beaux quelques-uns fort bien fournis que je vois dans les vestiaires en prenant la douche en commun après avoir couru sur les tapis roulants.
De retour, mes tourments sont là lorsque j’entends chanter dans la salle de bains.
Je suis dans le couloir dans le noir à deux doigts d’allumer, la porte de la salle étant légèrement entrouverte.
Elle est dans la baignoire, se savonnant.
L’eau remplissant la baignoire a dû couvrir le bruit que j’ai fait en entrant dans ma maison.
Mon dieu qu’elle est belle, dans sa blondeur naturelle.
Je me verrais bien ma main à la place de sa main dans son entrecuisse qui m’est en partie cachée et que je peux admirer grâce à la glace qui couvre l’un des murs.
Je la regarde, je sens bien que je fais le voyeur alors qu’il me suffirait de poser mes vêtements et entrer nu dans la pièce d’eau, de monter dans la baignoire et la serrer dans mes bras.
Nous l’avons souvent fait du temps de notre splendeur amoureuse, je lui ai même fait l’amour, au même endroit, elle devant, moi derrière.
Je me retiens, car pour cela ma peau se verrait dans l’obligation d’entrer en contact avec sa peau.
Simplement le fait de penser me frotter contre ce corps qu’elle a souillé avec au moins un autre, hélas, celui-là, je l’ai vu, me serait insupportable !
Un mouvement de répulsion s’empare de moi.
Je retourne dans ma chambre, je dois tout dire, comme au temps de ma jeunesse, la main entre les cuisses d’Iris, c’est la mienne que je lui glisse, l’autre me masturbant.
Je me souviens d’Agathe et de Marie, cette dernière disant à sa copine d’arrêter de me masturber, car j’étais inerte du côté verge.
Ce soir, sur ce plan-là, je rattrape le temps perdu et je gicle hurlant presque de plaisir au risque de faire croire à Iris, que j’ai ramené cette femme mariée dans ma chambre.
C’est simplement de l’onanisme.
Le lendemain, pour une fois, je dors comme un bébé, mes couilles décompressées.
À partir de ce moment, mon temps est partagé entre mon travail, le sport et la maison.
Elle aussi.
Notre propre maison, offerte par mon père quelque temps après notre mariage, était restée fermée depuis la fameuse nuit, jusqu’à ce que je décide d’y revenir sans penser qu’Iris aurait le toupet de me suivre.
Pendant mon coma, le retour à la vie presque normal jusqu’à la vision retrouvée d’Iris se vautrant dans la luxure, ce qui m’a obligé de revenir à l’hôpital.
Maman et ma belle-mère dirigeaient une équipe de nos employés de maison s'y rendant chaque semaine pour y faire le ménage.
Iris va au travail en même temps que moi, y arrive en même temps et revient à la maison toujours en même temps que moi.
C'est simple comme je l’ai dit et qu’elle me l’a promis, elle me suit.
Cela pourrait me déranger, au contraire ça m'amuse un peu.
Nos parents ont tenté plusieurs fois de nous rapprocher encore plus, mais je reste sur mes positions.
Pourtant, lorsque je repense à la scène dans la baignoire et la décharge d’adrénaline que j’ai ressenties ce soir-là, je dois reconnaître que je l'aime encore, même plus qu'avant.
Je l'avais, je l'ai dans la peau, dans ma tête, dans mes tripes, partout même dans mes rêves.
Subtil méandre du cerveau, lorsque je dis que je l’ai dans la peau, quand je repense à ce que j’ai dit lorsqu’elle était dans la baignoire, cette peau, il m’est impossible de m’y frotter.
Mais je persiste à refuser de lui pardonner.
Cette maudite image persiste au plus profond de mon être.
De plus, je suis un tantinet têtu, papa me le dit souvent quand nous sommes dans notre business.
Si j’ai une idée, pensant qu’elle est meilleure que la sienne, je me bats jusqu’à ce qu’il se plie à ma volonté.
Ça nous a toujours réussi, papa vient de me faire demander
● Fiston, comme tu l’as fait à Berlin, je veux que tu ailles traiter un contrat avec un industriel Néerlandais.
Ma secrétaire s’occupe des billets d’avion et de la réservation de ton l’hôtel.
Tu feras l’allée et le retour en deux jours, tout est prévu.
● Tout est prévu, papa, un point me chagrine Iris va vouloir suivre, elle voudra venir !
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Routard sans déflorer la fin, je suis tenu dans un cadre très strict par mes amis Iris et
Phil
Phil
Superbe Histoire !!
Merci.
Merci.
Ton père va t il s’en occuper comme le jordanien après l’avoir faite boire….. . Et puis
Propose lui un contrat .Devient son maître. Fais en ta soumise. Routard
Propose lui un contrat .Devient son maître. Fais en ta soumise. Routard
Vivement la suite.
Merci Chris71 pour ce récit mené de main de maitre, le suspens en prime.
Merci Chris71 pour ce récit mené de main de maitre, le suspens en prime.
Il semble que malgré le temps écoulé depuis le divorce Iris persiste à espérer en
marquant sa présence systématique et à tout moment auprès de Phil alors que celui-ci
persiste à lui refuser le pardon.
Toutefois, ne serait-ce pas une nouvelle histoire qui se trame ?
Seul Chris et les deux protagonistes le savent. Quand à nous autres, lecteurs et
lectrices qui suivons ce drame, nous n'avons qu'à attendre le dénouement.
Personnellement, j'ose espérer que la persévérance d'Iris va finir par payer qu'ils vont
reprendre le cours de leur vie, ensemble. D'ailleurs, j'en serais presque certain,
autrement pourquoi Chris continuer sa narration alors que le récit devait s'arrêter dès
le divorce.
Xav.
marquant sa présence systématique et à tout moment auprès de Phil alors que celui-ci
persiste à lui refuser le pardon.
Toutefois, ne serait-ce pas une nouvelle histoire qui se trame ?
Seul Chris et les deux protagonistes le savent. Quand à nous autres, lecteurs et
lectrices qui suivons ce drame, nous n'avons qu'à attendre le dénouement.
Personnellement, j'ose espérer que la persévérance d'Iris va finir par payer qu'ils vont
reprendre le cours de leur vie, ensemble. D'ailleurs, j'en serais presque certain,
autrement pourquoi Chris continuer sa narration alors que le récit devait s'arrêter dès
le divorce.
Xav.
Pour l'instant, je réserve mon avis.
J'attends la suite.
J'attends la suite.