COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le renouveau ? Fin de la saison I (3/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le renouveau ? Fin de la saison I (3/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le renouveau ? Fin de la saison I (3/3)
Je vois très bien sur ma tombe la phrase.

« Vie pour pouvoir me pardonner. »

Dans la situation où je suis, je peux dire que cela me fait une belle jambe.

● Madame, soyez patiente, monsieur est simplement étourdi, gardez votre sang-froid, vous risquez de l'alarmer plus que de raison !
Certes, c’est une fracture un peu de colle et il sera comme un sousneuf.

J’aime l’humour de ce monsieur, j’ai horriblement mal, mais comme l’exprime cet homme, je suis à deux doigts de rigoler
Iris se rend finalement compte que je la regarde en grimaçant.

● Je t’interdis de me faire ça, j'ai failli voir mon cœur s'arrêter de peur.
As-tu mal, très mal ?
Réponds-moi. Qu'est-ce que tu as ?
Vas-tu te relever ?

Ces rafales de questions combinées avec la douleur seraient supportables, mais un signe sur sa bouche lui fait comprendre que ma voix est de nouveau bloquée.
Elle panique et ses sanglots se transforment en torrent.
Je demande par des signes de quoi écrire.
Mon cerveau doit, lui aussi, être en panique.
Qui peut avoir de quoi écrire au fond de notre fossé.
Moi, à part mon portable fixé sur mon bras, idem pour Iris, je vois mal le paysan sortir un vieux BIC dont nous serions dans l’impossibilité de déterminer l’âge.
Et que dire d’une feuille de papier ?
J'opte pour la paume de ma main et je trace difficilement.

« J’ai très froid. »

Iris prend conscience de la gravité de mon mal et de ma souffrance.

● Ah, bon Dieu de bon Dieu, j'ai vu dans une émission à la télé qu'il peut s'agir d'une hémorragie interne.
Il faut faire vite, donnez-moi votre portable.

Le paysan décroche mon portable de mon bras, il s’est cassé dans ma chute.
Heureusement, Iris a repris conscience de la gravité de ma blessure.

● Phil, le mien fonctionne, j’appelle ton père.

Je la vois expliquer ce qu’il m’arrive.

● Un hélicoptère médical va arriver, ton père en commande un d'urgence.

Quelques minutes après, apparaît dans le ciel un hélicoptère qui s’approche de nous et atterrit à une cinquantaine de mètres.
Vite, deux brancardiers arrivent et après m'avoir installé une minerve et une attelle me hissent avec précaution sur un brancard et me dirigent vers l'hélico.
Je suis dans l’hélico de la protection civile qui par chance était sur le toit de l’hôpital venant d’amener une personne pour un problème cardiaque
Ces deux sauveteurs me donnent cette explication avant de voir Iris monter à bord et de perdre une nouvelle fois connaissance.

Une fois encore, j'ouvre les yeux dans une pièce toute blanche éclairée par une lumière intense.
J’ai dans la tête le bruit de l’hélico, c’est bien dommage, pour une fois que je me déplaçais dans ce genre d’engin volant, le bruit restera mon seul souvenir.
La douleur a disparu, mais j'ai comme un poids lourd sur ma jambe gauche.
Au-dessus de moi, Iris est penchée, par habitude je sais que je suis dans un lit d'hôpital.
Je suis à deux doigts de dire « mon hôpital »
À voir les infirmières et le personnel de service, si ça continue, je vais être capable de dire précisément dans quelques services, j’ai atterri.

Iris a les larmes aux yeux et me demande encore pardon pour tout ce qu'elle m'a fait endurer.
En lui souriant, je lui dis d’approcher.

● Je te pardonne, mais est-ce que toi tu me pardonnes ?

Je l’ai dit, certains diront que je fais la connerie de ma vie, d’autres diront que je suis un type bien de pardonner malgré ce qu’elle m’a fait endurer.
Sans compter toutes les preuves visuelles que j’ai.
Moi, ce que je constate, c’est que ma voix est miraculeusement revenue au moment de prononcer ces mots de pardon.
Son sourire se mélange délicieusement avec ses larmes.

● Merci mon amour, qu’aurais-je à te pardonner, rien ?
● Merci aussi, depuis quand suis-je ici ?
● Hier matin, mon amour.
Tu as subi la première opération hier en urgence pour arrêter une hémorragie interne.

Je me souviens du paysan qui a parlé d’hémorragie, il aurait dû être médecin, bien que s’il a des animaux, il doit voir des situations identiques.

● Ils t’ont ensuite opéré ta fracture.
Depuis, tu dors comme un bébé avec tout ce qu'on t'a donné comme calmants.
Tu te sens bien !
● Où sont nos parents ?

Je pose la question qui m’importe, mais Iris est penchée sur moi et s’étant changé, elle porte un chemisier blanc largement échancré me montrant ses seins libres de toute entrave.
Que cherche-t-elle ?
A-t-elle senti que ce sont ses seins qui m’ont empêché de flancher en voyant ceux de la pute d’Amsterdam.
Que se serait-il passé si les seins de la prostituée avaient été, en tous points identiques à ceux que me présente Iris ?
L’aurais-je couchée sur ce lit ou des dizaines d’hommes sont venus quelques instants, j’allais dire, se vider les couilles, sauter cette femme.
Reprenons nos bonnes habitudes de langage, vider leur poireau.
Je dois me vider la tête de toutes ces visions et de ce que tout a et a failli entraîner, surtout avec cette vision sous les yeux.
Sa tenue a-t-elle pour but de vérifier si depuis le temps où je suis redevenu célibataire, je sais encore bander ?
J’ai beau être à l’hôpital, il lui suffit de passer sa main sous le drap, elle constatera que je suis pleinement redevenu un homme, certes, sur deux pattes.
Mais fermons les yeux sur cette vision, je posais la question sur les parents.
Les grincheux diront que je devrais dire mes parents, mais j’ai pardonné.

● Ils étaient là toute la journée.
J'ai fini par les dissuader de me laisser la place, c’est à moi de prendre soin de toi.
● Et maman t’a laissé faire sans convoquer son bon Dieu pour l’aider à rester.

Nous éclatons de rire, d’un rire sans fin, ça fait du bien depuis le temps que les événements nous ont tendu comme la corde d’un arc.

● Arrête, je vais mouiller ma culotte, hi, hi, hi, ils m’ont laissé la place, car ils espéraient tellement que tu me pardonnes.
● Hi, hi, hi, elle a dû aller mettre un cierge dans l’église voisine.
● Hi, hi, hi.
● Eh, va bien ici.
Apparemment votre charmante femme vous irradie de sa joie de vivre.
Nous allons vous lever et le kiné viendra vous apprendre à marcher avec vos béquilles.
Vous nous quittez dans quatre ou cinq jours.
Après cela, gardez-vous bien de revenir ici, vous êtes averti.

De nouveau, nous éclatons d’un grand rire, aidé par les deux infirmières qui accompagnent le docteur.
À la fin des visites comme je vais bien, Iris repart avec maman qui ayant fini de faire brûler son cierge s’est senti obligée de revenir me serrer dans ses bras.
Fine mouche comme elle est, je suppute maman d’être revenue pour m’empêcher de penser qu’Iris serait seule chez nous.
Je recommence à dire chez nous et voulant revivre la nuit ou j’ai failli perdre la vie, l’emmène chez eux manger et dormir.
Je suis à moitié endormi, fatigué par tout ce qui m’arrive, quand on frappe à ma porte.

● Entrez !

Deux jeunes femmes entre, une jolie blanche et une très jolie black...



Qui sont ces jolies femmes qui viennent faire visite à Phil ?
Hélas, ce sont des chapitres qui me restent à écrire et que je publierai dès que la deuxième saison sera terminée.
En attendant, d'autres textes sont prêts à être publiés.

Les avis des lecteurs

JA j'espère encore te surprendre dans les deux derniers chapitres...

Le pardon est prononcé, mais Chris71 pourquoi d'autres épisodes à venir ?
Y a-t-il encore anguille sous roche ?
Xav

Histoire Coquine J A
J'attends les futurs développements et je réserve toujours mon opinion.



Texte coquin : COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le renouveau ? Fin de la saison I (3/3)
Histoire sexe : Une rose rouge
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