COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le renouveau ? Fin de la saison II et de l’histoire (5/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le renouveau ? Fin de la saison II et de l’histoire (5/5)
• Iriiiiiiiiis.
Une nouvelle fois, c'est moi qui ai crié.
Toutes les personnes présentes se tournent en entendant mon cri strident.
Un déclic se fait en moi.
La seule personne que je vois, tout mon être lui étant consacré, c'est Iris.
En volant à son secours la peur au ventre, c’est seulement à elle que je pense à rien d'autre qu'à ses larmes depuis si longtemps.
Tout en grimaçant de douleur elle me sourit, un sourire d'ange envoyant aux oubliettes tous ses malheurs et les miens.
Je tremble de tout mon corps en me penchant sur elle, les larmes aux yeux.
Maman ignorant à quel saint se vouer.
• Calme-toi mon amour !
• J'ai eu vraiment peur de te perdre.
J’ai du mal à croire que tu es encore en vie vu la chute que tu as faite.
Tu aurais pu te tordre le cou et me laisser orphelin.
Je me serais donné la mort de chagrin et de remords si...
• Arrête, je suis là.
Ma chute comparée à la tienne lorsque tu as dévalé la pente en te cassant la jambe et te faisant une hémorragie interne, c’était bien plus spectaculaire et grave.
J'ai failli mourir d'angoisse.
Un médecin à mon cri vient examiner Iris.
• Évitez de paniquer, c’est une simple entorse, ça devrait guérir en quelques jours avec un traitement approprié.
Nous allons vous faire passer une radio pour s'assurer que rien de plus grave entrave votre guérison.
Après différents examens, tout est normal, juste une attèle et des béquilles elle aussi.
Marchant chacun avec nos cannes, papa se sent obligé de faire de l’humour
• Eh ! bien voilà, vous êtes tous les deux sur un pied gauche d'égalité.
Il est trop tard pour le déjeuner au restaurant promis par papa.
C'est partie remise, il fait une nouvelle réservation pour le dîner.
Nous nous contentons de sandwichs.
J'ai passé la moitié de l'après-midi auprès d'Iris allongée sur le divan du salon. Papa part rendre visite à un vieil ami.
Avant de partir, je le prends à part pour lui demander que j’aurais besoin de lui avant 17 heures pour faire un tour en ville.
Il me promet d'être à l'heure.
Tous ont filé à l'anglaise pour nous laisser déguster nos pénibles et délicieuses retrouvailles.
Grâce à l’efferalgan qui lui a été prescrit, son entorse est très supportable.
• Phil, j’ai peur que tu reprennes ton pardon, rassure-moi !
Je la prends dans mes bras, je la regarde intensément et évitant de m’engager définitivement, je fais une réponse comme mon père sait en faire.
• P’têt ben qu’oui, p’têt ben qu’non.
Comme il me l’a promis, papa est là et m’emmène faire ma course avant de nous emmener au restaurant.
À notre retour assez rapide, les femmes étant prêtes, ce qui est rare dans notre famille, mon beau-père aussi, nous prenons la route.
Je m’étais préparé avant d’aller faire ma course et je m'installe avec Iris enfin à mes côtés.
• Tu es chic et beau comme d'habitude, mon chéri.
Que ça fait du bien de dire ce mot après par où nous sommes passés à cause de mes deux bêtises.
Je sais qu’Iris s’offusque lorsque je parle de Livio.
Mais lorsqu’elle me rappelle ses deux débordements, même si Agathe, à l'hôpital, me l'a fait voir sous un autre jour.
Il existe des humains bisexuels et j’ai peur que Livio en fasse partie.
Et si Livio a épargné celle qui à ce moment était mon épouse, le Jordanien était bel et bien à poil dans mon lit.
Une bouche, des lèvres qui s’arrondissent, une verge avec une grosse veine qui s’approche, cette bouche la happant d’un coup.
La verge flotte dans l’air sans le moindre corps pour la soutenir.
La langue sort de la bouche pour caresser le méat et redescendre vers les couilles.
C’est marrant, cette verge, cette bouche et cette langue se déplaçant dans l’air comme peut le faire la main dans la famille Addams se promenant seule.
D’un coup, la bite se met à cracher comme peut le faire un pistolet à eau, mais le liquide était d’une tout autre teneur.
J’avais donc raison, la verge du Jordanien a bel et bien craché son sperme, mais dans la bouche ou la chatte d’I...
• Chéri, crois-tu qu’il faut aller au restaurant, Phil dort dans les bras d’Iris, mon bébé est fatigué après toutes ces frayeurs.
Au propos de maman, je me rends compte que je rêvais.
Je sais ce que j’ai prévu de faire dans la soirée, mais si je dois vivre avec ces éternelles images de trahisons, dois-je revoir les choses différemment.
• Maman, continuons, c’était un simple petit assoupissement.
Le ronronnement du moteur m’a été fatal.
Qu’aurait pensé cette sainte femme, si je lui avais expliqué mon rêve, d’une bite, d’une bouche et d’une langue finissant par des gerbes de spermes.
Je la vois bien se signer sur sa poitrine.
À ce sujet, je parle souvent de l’humour de mon père.
Dans ma jeunesse, lorsque nous nous déplacions en voiture, il y avait de multiples calvaires, statues de la Sainte Vierge et des croix tout au long de notre parcours.
Maman à chaque fois se signait.
C’est là que papa faisait preuve de son humour.
Lorsqu’il apercevait l’un de ces symboles, il prévenait maman de se préparer à se signer.
Maman en prenant ombrage a fini par se signer au creux de son estomac pour éviter que papa puisse la voir.
Mais, bien entendu, il la voyait et la tuait.
• Chéri que t’arrive-t-il, tu as mal à l’estomac !
Mon léger coup de pompe aura tout de même un effet bénéfique, je me suis affaissé sur le sein d'Iris.
Même si c’est dans mon dos, ce contact me rappelle la fermeté de ce sein que j’avais plaisir à sucer lorsque nous étions des amants fusionnels.
Dommage, j’en profiterais bien encore un petit peu, mais papa arrête notre voiture suivie de mes ex-beaux-parents.
Arrivés au restaurant, nous sommes placés par le maître d’hôtel dans une petite salle privée à l'écart des autres clients.
Papa comme à son habitude a fait les choses biens.
Le dîner a été fabuleux et le cadre exquis.
Bien sûr, lorsque le sommelier vient nous proposer ses grands crus, en bon chef de table, il commande des eaux minérales et gazeuses à la discrétion de chacun.
Après le dessert, Iris me demande de la soutenir en se levant.
• J’ai quelque chose à vous avouer.
J'ai demandé à Phil plusieurs fois de pardonner mon égarement regrettable.
Il me fallait juste qu’il me pardonne.
Il l’a fait et je l’en remercie.
Un jour peut être, nous pourrons nous retrouver comme mari et femme.
Iris est si touchante que je me lève faisant attention à ma jambe, la serrant contre moi les yeux embués.
Je mets un genou au sol, sortant mon achat de l’après-midi.
• Iris, pourquoi veux-tu attendre un autre jour, nos parents étant tous avec nous, veux-tu être ma femme.
Elle me tend la main, j’allais dire comme la première fois.
Depuis nos ennuis, elle a toujours gardé ses bagues, alliance et fiançailles.
Je les enlève et les mets dans ma poche les enfermant dans le noir.
J’enferme ainsi la noirceur de notre aventure que j’ai décidé d’oublier.
Terminés, les inconnus à la terrasse d’un café Parisien, fini les hommes dans les toilettes d’un restaurant de Venise.
Effacé Livio qui m’a pourri la vie tout au long de notre aventure.
• Oh oui mon amour, je te jure d’être celle que j’aurais toujours dû être.
Papa se sent obligé d’intervenir.
• À la santé des amoureux, longue vie à leur bonheur.
Chérie, il nous reste à préparer le mariage de notre fils.
Bien sûr, maman y va de sa larme.
• J’irais bien voir le curé, mais je sais que l’église vous est refusée.
• Maman, papa, nous remarier dès que possible, oui.
Nous avons perdu assez de temps et nous ignorons de quoi demain sera fait !
Iris à moins que tu me l’impose, je veux une cérémonie discrète juste entre nous et bien sûr vous nos parents.
• Oui, mon amour, je suis entièrement d’accord.
Iris se penche à mon oreille.
• Phil, nous resterons sans sexe jusqu’au mariage et ma nuit de noces, es-tu d’accord ?
D’accord, non, mais ce qu’une femme veut, surtout que j’ai encore la douceur de son sein sur mon dos.
Voilà, j’arrive au bout de mon propre chemin de croix, avec le mariage du renouveau.
Phil a voulu que je mette en forme l’aventure de sa vie.
Pardons, de leur vie et j’espère que j’ai été assez fidèle.
Certains diront quel con, d’autres bravos.
L’amitié envers ce couple dans mon esprit se limitera en trois lettres.
J. J. P. mes amis saurons pourquoi.
Une nouvelle fois, c'est moi qui ai crié.
Toutes les personnes présentes se tournent en entendant mon cri strident.
Un déclic se fait en moi.
La seule personne que je vois, tout mon être lui étant consacré, c'est Iris.
En volant à son secours la peur au ventre, c’est seulement à elle que je pense à rien d'autre qu'à ses larmes depuis si longtemps.
Tout en grimaçant de douleur elle me sourit, un sourire d'ange envoyant aux oubliettes tous ses malheurs et les miens.
Je tremble de tout mon corps en me penchant sur elle, les larmes aux yeux.
Maman ignorant à quel saint se vouer.
• Calme-toi mon amour !
• J'ai eu vraiment peur de te perdre.
J’ai du mal à croire que tu es encore en vie vu la chute que tu as faite.
Tu aurais pu te tordre le cou et me laisser orphelin.
Je me serais donné la mort de chagrin et de remords si...
• Arrête, je suis là.
Ma chute comparée à la tienne lorsque tu as dévalé la pente en te cassant la jambe et te faisant une hémorragie interne, c’était bien plus spectaculaire et grave.
J'ai failli mourir d'angoisse.
Un médecin à mon cri vient examiner Iris.
• Évitez de paniquer, c’est une simple entorse, ça devrait guérir en quelques jours avec un traitement approprié.
Nous allons vous faire passer une radio pour s'assurer que rien de plus grave entrave votre guérison.
Après différents examens, tout est normal, juste une attèle et des béquilles elle aussi.
Marchant chacun avec nos cannes, papa se sent obligé de faire de l’humour
• Eh ! bien voilà, vous êtes tous les deux sur un pied gauche d'égalité.
Il est trop tard pour le déjeuner au restaurant promis par papa.
C'est partie remise, il fait une nouvelle réservation pour le dîner.
Nous nous contentons de sandwichs.
J'ai passé la moitié de l'après-midi auprès d'Iris allongée sur le divan du salon. Papa part rendre visite à un vieil ami.
Avant de partir, je le prends à part pour lui demander que j’aurais besoin de lui avant 17 heures pour faire un tour en ville.
Il me promet d'être à l'heure.
Tous ont filé à l'anglaise pour nous laisser déguster nos pénibles et délicieuses retrouvailles.
Grâce à l’efferalgan qui lui a été prescrit, son entorse est très supportable.
• Phil, j’ai peur que tu reprennes ton pardon, rassure-moi !
Je la prends dans mes bras, je la regarde intensément et évitant de m’engager définitivement, je fais une réponse comme mon père sait en faire.
• P’têt ben qu’oui, p’têt ben qu’non.
Comme il me l’a promis, papa est là et m’emmène faire ma course avant de nous emmener au restaurant.
À notre retour assez rapide, les femmes étant prêtes, ce qui est rare dans notre famille, mon beau-père aussi, nous prenons la route.
Je m’étais préparé avant d’aller faire ma course et je m'installe avec Iris enfin à mes côtés.
• Tu es chic et beau comme d'habitude, mon chéri.
Que ça fait du bien de dire ce mot après par où nous sommes passés à cause de mes deux bêtises.
Je sais qu’Iris s’offusque lorsque je parle de Livio.
Mais lorsqu’elle me rappelle ses deux débordements, même si Agathe, à l'hôpital, me l'a fait voir sous un autre jour.
Il existe des humains bisexuels et j’ai peur que Livio en fasse partie.
Et si Livio a épargné celle qui à ce moment était mon épouse, le Jordanien était bel et bien à poil dans mon lit.
Une bouche, des lèvres qui s’arrondissent, une verge avec une grosse veine qui s’approche, cette bouche la happant d’un coup.
La verge flotte dans l’air sans le moindre corps pour la soutenir.
La langue sort de la bouche pour caresser le méat et redescendre vers les couilles.
C’est marrant, cette verge, cette bouche et cette langue se déplaçant dans l’air comme peut le faire la main dans la famille Addams se promenant seule.
D’un coup, la bite se met à cracher comme peut le faire un pistolet à eau, mais le liquide était d’une tout autre teneur.
J’avais donc raison, la verge du Jordanien a bel et bien craché son sperme, mais dans la bouche ou la chatte d’I...
• Chéri, crois-tu qu’il faut aller au restaurant, Phil dort dans les bras d’Iris, mon bébé est fatigué après toutes ces frayeurs.
Au propos de maman, je me rends compte que je rêvais.
Je sais ce que j’ai prévu de faire dans la soirée, mais si je dois vivre avec ces éternelles images de trahisons, dois-je revoir les choses différemment.
• Maman, continuons, c’était un simple petit assoupissement.
Le ronronnement du moteur m’a été fatal.
Qu’aurait pensé cette sainte femme, si je lui avais expliqué mon rêve, d’une bite, d’une bouche et d’une langue finissant par des gerbes de spermes.
Je la vois bien se signer sur sa poitrine.
À ce sujet, je parle souvent de l’humour de mon père.
Dans ma jeunesse, lorsque nous nous déplacions en voiture, il y avait de multiples calvaires, statues de la Sainte Vierge et des croix tout au long de notre parcours.
Maman à chaque fois se signait.
C’est là que papa faisait preuve de son humour.
Lorsqu’il apercevait l’un de ces symboles, il prévenait maman de se préparer à se signer.
Maman en prenant ombrage a fini par se signer au creux de son estomac pour éviter que papa puisse la voir.
Mais, bien entendu, il la voyait et la tuait.
• Chéri que t’arrive-t-il, tu as mal à l’estomac !
Mon léger coup de pompe aura tout de même un effet bénéfique, je me suis affaissé sur le sein d'Iris.
Même si c’est dans mon dos, ce contact me rappelle la fermeté de ce sein que j’avais plaisir à sucer lorsque nous étions des amants fusionnels.
Dommage, j’en profiterais bien encore un petit peu, mais papa arrête notre voiture suivie de mes ex-beaux-parents.
Arrivés au restaurant, nous sommes placés par le maître d’hôtel dans une petite salle privée à l'écart des autres clients.
Papa comme à son habitude a fait les choses biens.
Le dîner a été fabuleux et le cadre exquis.
Bien sûr, lorsque le sommelier vient nous proposer ses grands crus, en bon chef de table, il commande des eaux minérales et gazeuses à la discrétion de chacun.
Après le dessert, Iris me demande de la soutenir en se levant.
• J’ai quelque chose à vous avouer.
J'ai demandé à Phil plusieurs fois de pardonner mon égarement regrettable.
Il me fallait juste qu’il me pardonne.
Il l’a fait et je l’en remercie.
Un jour peut être, nous pourrons nous retrouver comme mari et femme.
Iris est si touchante que je me lève faisant attention à ma jambe, la serrant contre moi les yeux embués.
Je mets un genou au sol, sortant mon achat de l’après-midi.
• Iris, pourquoi veux-tu attendre un autre jour, nos parents étant tous avec nous, veux-tu être ma femme.
Elle me tend la main, j’allais dire comme la première fois.
Depuis nos ennuis, elle a toujours gardé ses bagues, alliance et fiançailles.
Je les enlève et les mets dans ma poche les enfermant dans le noir.
J’enferme ainsi la noirceur de notre aventure que j’ai décidé d’oublier.
Terminés, les inconnus à la terrasse d’un café Parisien, fini les hommes dans les toilettes d’un restaurant de Venise.
Effacé Livio qui m’a pourri la vie tout au long de notre aventure.
• Oh oui mon amour, je te jure d’être celle que j’aurais toujours dû être.
Papa se sent obligé d’intervenir.
• À la santé des amoureux, longue vie à leur bonheur.
Chérie, il nous reste à préparer le mariage de notre fils.
Bien sûr, maman y va de sa larme.
• J’irais bien voir le curé, mais je sais que l’église vous est refusée.
• Maman, papa, nous remarier dès que possible, oui.
Nous avons perdu assez de temps et nous ignorons de quoi demain sera fait !
Iris à moins que tu me l’impose, je veux une cérémonie discrète juste entre nous et bien sûr vous nos parents.
• Oui, mon amour, je suis entièrement d’accord.
Iris se penche à mon oreille.
• Phil, nous resterons sans sexe jusqu’au mariage et ma nuit de noces, es-tu d’accord ?
D’accord, non, mais ce qu’une femme veut, surtout que j’ai encore la douceur de son sein sur mon dos.
Voilà, j’arrive au bout de mon propre chemin de croix, avec le mariage du renouveau.
Phil a voulu que je mette en forme l’aventure de sa vie.
Pardons, de leur vie et j’espère que j’ai été assez fidèle.
Certains diront quel con, d’autres bravos.
L’amitié envers ce couple dans mon esprit se limitera en trois lettres.
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