COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le renouveau ? Saison I (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le renouveau ? Saison I (2/3)
À la fin de ce chapitre de la saison I, papa vient me demander, si je peux, aller traiter un contrat avec un industriel Néerlandais, comme je l’ai fait pour Berlin.
Un point me chagrine Iris qui va vouloir suivre.
• Je te promets de m’en occuper.
Ce sont les mots qu’il prononce et qu’il met en pratique les jours suivants.
Je prendre un taxi pendant les heures de travail.
J’ai vu un employé venir chercher Iris, entendant vaguement le nom de mon père.
C’était le scénario prévu et je suis parti, presque fuyant sans qu’elle le sache.
Je prends l’avion avec par chance, comme voisine pendant tout le long du voyage une mémé qui dort.
J’aurais pu avoir des doutes qu’elle soit morte, mais par chance un léger ronflement couvert par le bruit des réacteurs me confirme son assoupissement.
Lorsque j’étais dans l’avion pour Berlin, je me souviens de mon voisin ayant pris Iris pour une pute et qui m’avait demandé son numéro pour la joindre, car elle était canon.
Ce que j’ignorais à ce moment, c’est qu’il avait raison, même si une pute se fait payer alors qu’Iris s’était donnée gratuitement à cet homme plus vieux que moi.
Cet homme dans l’avion, j’en ai perdu la carte, est-elle restée dans l’accident ?
À Berlin, cet homme voulait m’emmener dans le quartier chaud, à Amsterdam, c’est dans le quartier rouge de cette ville que la secrétaire de papa m’a réservé un hôtel.
Certainement sans le savoir, simplement, car il est près de mon lieu de rendez-vous.
Seul le soir je vais dîner dans un resto le long d’un canal.
Canal, canaux, ça me ramène toujours à Livio qui voulait baiser ma femme.
Je sais certains vont dire que mon animosité pour ce garçon tourne en boucle dans ma tête alors que je suis incapable de démontrer qu’elle a fait quoi que ce soit avec lui.
Ici ce sont des embarcations à moteur ou des Bateaux-mouches comme à Paris qui parcourt les canaux.
J’ai du vague à l’âme, ce genre de bateau, j’y suis monté avec Iris lors d’un de nos passages à Paris.
Près de moi, cette blonde qui se love dans les bras de son futur cocu, c’était moi ce jour-là, à croire que le cycle de l’amour est immuable.
Tu rencontres, tu emmènes dans ton lit où comme nous tu attends le « oui » de la bague au doigt pour déflorer la jeune pucelle.
Tu travailles plus que de raison et un jour alors que tu crois ta vie aboutie, attendant seulement la venue d’un enfant qui tarde et une nuit que tu penses finir par une nuit d’amour la triste vérité t’apparaît.
J’ai envie de crier à ce brave type assis à côté de sa dulcinée.
« Et mec, tu tiens dans tes bras celle qui un jour te fera cocu.
Elle te fait croire que tu es le seul, l’Unique avec un grand U, mais tu découvriras que cette jolie pute est capable de forniquer derrière ton dos avec un vieux croutons à moitié décati. »
Deux problèmes se font jour malgré la nuit venue, dans quelle langue l’interpeller!
Je suis limitée dans ce domaine et la vitesse de la vedette qui est déjà passée me ramène à ma triste réalité, nul doute que j’ai été cocu.
Je paye, il faut aller me coucher, car demain, les négociations seront ardus et il faut que je sois en forme.
C’est là que tout manque de déraper, les vitrines !
À Berlin, j’aurais dû prendre un taxi pour rejoindre le quartier chaud comme le proposait mon voisin de siège dans l’avion, ici, je suis en son cœur.
Les voyeurs, le long de ces vitrines, sont plus nombreux que les consommateurs.
Il y en a des dizaines, me rendant compte rapidement que j’en fais partie.
Trois fois je passe devant celle où Iris vend ses charmes à qui veut d’elle.
À mon troisième passage, la vitrine est éteinte, un salopard est en train de la baiser pour quelques euros.
Combien vaut le cul d’Iris ici à Amsterdam ?
En France, je connais son tarif, la signature d’un gros contrat étant là pour aider monsieur Jacques trop limité en langue.
Ici, à mon passage suivant, elle est revenue, la vitrine est de nouveau allumée.
Elle est assise sur sa chaise, regardant le prochain et semblant m’inviter à entrer.
Comment résister à son invitation, il y a si longtemps que je veux encore la baiser, me souvenant de la salle de bains ?
Le prochain, c’est moi, je suis derrière le rideau, ma bite dans la main à me savonner comme elle me l’a fait comprendre, là aussi, les langues sont un obstacle.
Elle va avoir du travail, elle est molle, molle de chez molle.
J’ai posé les quelques billets, qu’elle m’a demandés, ça je l’ai compris, sur la petite table à côté du lit de misère où pour la première fois c’est moi qui vais tromper celle que j’aime.
Celle qui m’a trahi, mais dont je sais maintenant combien son cul coûte dans cette vitrine.
Par chance, même si cette femme lui ressemble, celle que j’appellerais « la pute », alors que c’est certainement une fille honorable qui a atterri là après un dur parcours de vie, ôte son soutien-gorge.
Lorsque Iris, enlève le sien, ses seins pointent dur et fière alors que ceux de cette fille tombent vers le bas attiré par l’attraction terrestre.
Impossible que je trompe Iris, surtout avec une femme ayant une telle imperfection.
Je remonte mon boxer puis mon pantalon et je ressors sous le regard étonné de la fille qui se demande qu’elle mouche me pique.
Je cours littéralement vers l’hôtel ou je retrouve, ma chambre et mon portable le wi-fi de l’hôtel je l’ai installée dès que je suis arrivé.
« Seins fermes et durs »
Il me faut très peu de vidéo de seins de femme sachant se tenir pour exploser mon sperme tombant sur la couverture.
Après avoir pris mon petit déjeuner, je quitte l’hôtel.
Le matin, la plupart des vitrines sont éteintes.
Le quartier rouge d’Amsterdam fonctionne 24 heures sur 24, la vitrine de ma pute est éteinte, Iris a rejoint la France avant moi.
Mon rendez-vous est fructueux papa pourra être content de moi.
Le contrat est plus gros que prévu et à titre personnel, je sais combien Iris me couterait pour faire une passe.
Je la retrouve égale à elle-même dans la cuisine lorsque je rentre, sa première journée de travail sans moi terminé.
Elle a sur elle le peignoir que j’avais tellement envie de défaire chaque fois qu’elle le portait avant l’avant.
Le mal que j’avais en partant est toujours là, elle m’a trompé brisant notre harmonie.
Je rejoins ma chambre, un mal nouveau me ronge, outre le fait que j’ai failli la tromper, pendant ces quelques heures où elle a été seule, m’a telle trompé allant jusqu’au bout ?
C’est le lendemain que j’ai ma réponse effaçant une partie de mon mal.
• Fiston, je t’avais dit que nous nous chargerions d’Iris pendant ton absence.
Hier après son travail, nous avons récupéré ta femme, elle a dîner avec nous et a dormi à la maison.
Hier au soir, ma secrétaire m’a dit l’heure de ton retour, nous l’avons ramenée une heure précédente avec maman.
Je suis à deux doigts de lui demander comment elle avait fait pour se retrouver dans une vitrine du quartier rouge d’Amsterdam.
Je sais que le ridicule peut tuer et au dernier moment je me tais.
Quelques jours ont passé égal à eux-mêmes, nous avons repris nos mauvaises habitudes.
Sa présence permanente m’empêche de penser sainement, c’est décidé, lundi, je vais lui demander de dégager, il est temps que cette situation s’arrête.
Le dimanche, alors que je cours sur un sentier en pente inhabituel, elle comme d’habitude derrière moi à une soixantaine de mètres, je glisse malencontreusement sur quelque chose et me retrouve sonné.
Je me sens partir sur le côté et je dévale une petite colline jusqu'en bas.
Derrière moi j’entends le cri inhumain déchirer le silence de ce joli dimanche matin.
Toute descente à une fin et je me rends compte qu’il m’est impossible de bouger ma jambe gauche.
Elle me fait atrocement mal.
Iris, dévalant à son tour, prenant, elle aussi des risques se retrouve près de moi en un temps record.
Elle doit voir mon mal à la manière dont elle se met à crier.
• Mon Dieu, Phil, je t’adresse la parole en premier, mais évite de bouger.
Tu as la jambe cassée et l'os est bien apparent.
Par chance, non loin de nous, un paysan se trouvant à proximité a entendu le cri d’Iris et accourt à son tour.
Il dévale, lui aussi faisant un roulé boulé manquant de faire un deuxième blessé grave, mais par chance il se relève.
La douleur est tellement insupportable que je perds connaissance...
Ça devient une drôle d'habitude chez moi.
Ayant repris connaissance, je découvre Iris en pleurs, presque couchée sur ma partie intacte en me serrant dans ses bras.
C’est d’une petite voix un tantinet rauque.
• Réveille-toi Phil, réveille-toi mon amour.
Je veux que tu vive pour pouvoir me pardonner avant de mourir.
Je vois très bien sur ma tombe la phrase.
« Vie pour pouvoir me pardonner. »
Dans la situation où je suis, je peux dire que cela me fait une belle jambe...
Un point me chagrine Iris qui va vouloir suivre.
• Je te promets de m’en occuper.
Ce sont les mots qu’il prononce et qu’il met en pratique les jours suivants.
Je prendre un taxi pendant les heures de travail.
J’ai vu un employé venir chercher Iris, entendant vaguement le nom de mon père.
C’était le scénario prévu et je suis parti, presque fuyant sans qu’elle le sache.
Je prends l’avion avec par chance, comme voisine pendant tout le long du voyage une mémé qui dort.
J’aurais pu avoir des doutes qu’elle soit morte, mais par chance un léger ronflement couvert par le bruit des réacteurs me confirme son assoupissement.
Lorsque j’étais dans l’avion pour Berlin, je me souviens de mon voisin ayant pris Iris pour une pute et qui m’avait demandé son numéro pour la joindre, car elle était canon.
Ce que j’ignorais à ce moment, c’est qu’il avait raison, même si une pute se fait payer alors qu’Iris s’était donnée gratuitement à cet homme plus vieux que moi.
Cet homme dans l’avion, j’en ai perdu la carte, est-elle restée dans l’accident ?
À Berlin, cet homme voulait m’emmener dans le quartier chaud, à Amsterdam, c’est dans le quartier rouge de cette ville que la secrétaire de papa m’a réservé un hôtel.
Certainement sans le savoir, simplement, car il est près de mon lieu de rendez-vous.
Seul le soir je vais dîner dans un resto le long d’un canal.
Canal, canaux, ça me ramène toujours à Livio qui voulait baiser ma femme.
Je sais certains vont dire que mon animosité pour ce garçon tourne en boucle dans ma tête alors que je suis incapable de démontrer qu’elle a fait quoi que ce soit avec lui.
Ici ce sont des embarcations à moteur ou des Bateaux-mouches comme à Paris qui parcourt les canaux.
J’ai du vague à l’âme, ce genre de bateau, j’y suis monté avec Iris lors d’un de nos passages à Paris.
Près de moi, cette blonde qui se love dans les bras de son futur cocu, c’était moi ce jour-là, à croire que le cycle de l’amour est immuable.
Tu rencontres, tu emmènes dans ton lit où comme nous tu attends le « oui » de la bague au doigt pour déflorer la jeune pucelle.
Tu travailles plus que de raison et un jour alors que tu crois ta vie aboutie, attendant seulement la venue d’un enfant qui tarde et une nuit que tu penses finir par une nuit d’amour la triste vérité t’apparaît.
J’ai envie de crier à ce brave type assis à côté de sa dulcinée.
« Et mec, tu tiens dans tes bras celle qui un jour te fera cocu.
Elle te fait croire que tu es le seul, l’Unique avec un grand U, mais tu découvriras que cette jolie pute est capable de forniquer derrière ton dos avec un vieux croutons à moitié décati. »
Deux problèmes se font jour malgré la nuit venue, dans quelle langue l’interpeller!
Je suis limitée dans ce domaine et la vitesse de la vedette qui est déjà passée me ramène à ma triste réalité, nul doute que j’ai été cocu.
Je paye, il faut aller me coucher, car demain, les négociations seront ardus et il faut que je sois en forme.
C’est là que tout manque de déraper, les vitrines !
À Berlin, j’aurais dû prendre un taxi pour rejoindre le quartier chaud comme le proposait mon voisin de siège dans l’avion, ici, je suis en son cœur.
Les voyeurs, le long de ces vitrines, sont plus nombreux que les consommateurs.
Il y en a des dizaines, me rendant compte rapidement que j’en fais partie.
Trois fois je passe devant celle où Iris vend ses charmes à qui veut d’elle.
À mon troisième passage, la vitrine est éteinte, un salopard est en train de la baiser pour quelques euros.
Combien vaut le cul d’Iris ici à Amsterdam ?
En France, je connais son tarif, la signature d’un gros contrat étant là pour aider monsieur Jacques trop limité en langue.
Ici, à mon passage suivant, elle est revenue, la vitrine est de nouveau allumée.
Elle est assise sur sa chaise, regardant le prochain et semblant m’inviter à entrer.
Comment résister à son invitation, il y a si longtemps que je veux encore la baiser, me souvenant de la salle de bains ?
Le prochain, c’est moi, je suis derrière le rideau, ma bite dans la main à me savonner comme elle me l’a fait comprendre, là aussi, les langues sont un obstacle.
Elle va avoir du travail, elle est molle, molle de chez molle.
J’ai posé les quelques billets, qu’elle m’a demandés, ça je l’ai compris, sur la petite table à côté du lit de misère où pour la première fois c’est moi qui vais tromper celle que j’aime.
Celle qui m’a trahi, mais dont je sais maintenant combien son cul coûte dans cette vitrine.
Par chance, même si cette femme lui ressemble, celle que j’appellerais « la pute », alors que c’est certainement une fille honorable qui a atterri là après un dur parcours de vie, ôte son soutien-gorge.
Lorsque Iris, enlève le sien, ses seins pointent dur et fière alors que ceux de cette fille tombent vers le bas attiré par l’attraction terrestre.
Impossible que je trompe Iris, surtout avec une femme ayant une telle imperfection.
Je remonte mon boxer puis mon pantalon et je ressors sous le regard étonné de la fille qui se demande qu’elle mouche me pique.
Je cours littéralement vers l’hôtel ou je retrouve, ma chambre et mon portable le wi-fi de l’hôtel je l’ai installée dès que je suis arrivé.
« Seins fermes et durs »
Il me faut très peu de vidéo de seins de femme sachant se tenir pour exploser mon sperme tombant sur la couverture.
Après avoir pris mon petit déjeuner, je quitte l’hôtel.
Le matin, la plupart des vitrines sont éteintes.
Le quartier rouge d’Amsterdam fonctionne 24 heures sur 24, la vitrine de ma pute est éteinte, Iris a rejoint la France avant moi.
Mon rendez-vous est fructueux papa pourra être content de moi.
Le contrat est plus gros que prévu et à titre personnel, je sais combien Iris me couterait pour faire une passe.
Je la retrouve égale à elle-même dans la cuisine lorsque je rentre, sa première journée de travail sans moi terminé.
Elle a sur elle le peignoir que j’avais tellement envie de défaire chaque fois qu’elle le portait avant l’avant.
Le mal que j’avais en partant est toujours là, elle m’a trompé brisant notre harmonie.
Je rejoins ma chambre, un mal nouveau me ronge, outre le fait que j’ai failli la tromper, pendant ces quelques heures où elle a été seule, m’a telle trompé allant jusqu’au bout ?
C’est le lendemain que j’ai ma réponse effaçant une partie de mon mal.
• Fiston, je t’avais dit que nous nous chargerions d’Iris pendant ton absence.
Hier après son travail, nous avons récupéré ta femme, elle a dîner avec nous et a dormi à la maison.
Hier au soir, ma secrétaire m’a dit l’heure de ton retour, nous l’avons ramenée une heure précédente avec maman.
Je suis à deux doigts de lui demander comment elle avait fait pour se retrouver dans une vitrine du quartier rouge d’Amsterdam.
Je sais que le ridicule peut tuer et au dernier moment je me tais.
Quelques jours ont passé égal à eux-mêmes, nous avons repris nos mauvaises habitudes.
Sa présence permanente m’empêche de penser sainement, c’est décidé, lundi, je vais lui demander de dégager, il est temps que cette situation s’arrête.
Le dimanche, alors que je cours sur un sentier en pente inhabituel, elle comme d’habitude derrière moi à une soixantaine de mètres, je glisse malencontreusement sur quelque chose et me retrouve sonné.
Je me sens partir sur le côté et je dévale une petite colline jusqu'en bas.
Derrière moi j’entends le cri inhumain déchirer le silence de ce joli dimanche matin.
Toute descente à une fin et je me rends compte qu’il m’est impossible de bouger ma jambe gauche.
Elle me fait atrocement mal.
Iris, dévalant à son tour, prenant, elle aussi des risques se retrouve près de moi en un temps record.
Elle doit voir mon mal à la manière dont elle se met à crier.
• Mon Dieu, Phil, je t’adresse la parole en premier, mais évite de bouger.
Tu as la jambe cassée et l'os est bien apparent.
Par chance, non loin de nous, un paysan se trouvant à proximité a entendu le cri d’Iris et accourt à son tour.
Il dévale, lui aussi faisant un roulé boulé manquant de faire un deuxième blessé grave, mais par chance il se relève.
La douleur est tellement insupportable que je perds connaissance...
Ça devient une drôle d'habitude chez moi.
Ayant repris connaissance, je découvre Iris en pleurs, presque couchée sur ma partie intacte en me serrant dans ses bras.
C’est d’une petite voix un tantinet rauque.
• Réveille-toi Phil, réveille-toi mon amour.
Je veux que tu vive pour pouvoir me pardonner avant de mourir.
Je vois très bien sur ma tombe la phrase.
« Vie pour pouvoir me pardonner. »
Dans la situation où je suis, je peux dire que cela me fait une belle jambe...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Xav avec la base donné par Phil et Iris, l'écriture était dure à mettre en forme sur un
site des sexe.
Le mot de "touchante" me met du baume au coeur
site des sexe.
Le mot de "touchante" me met du baume au coeur
Ce pauvre Phil, de malheur en malheur. Le sort s'arrêtera-t-il un jour de s'acharner contre
lui ?
Cette histoire est l'une (sinon la plus) des plus touchantes qu'il m'a été donné de lire
sur ce site.
Xav.
lui ?
Cette histoire est l'une (sinon la plus) des plus touchantes qu'il m'a été donné de lire
sur ce site.
Xav.