COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Voyage de noces à Venise. Fin de la saison IV et de l’histoire (13/13)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Voyage de noces à Venise. Fin de la saison IV et de l’histoire (13/13)
La tempête est-elle passée ?
Pourquoi me poser la question alors que la nuit dernière j’ai retrouvé mon Iris aimante se donnant sans retenue ayant même des élans nouveaux ou très rares entre nous avant les évènements italiens ?
Dans nos rapports que je qualifierais d’avant, c’est moi qui par un geste ou un mouvement lui faisais comprendre que j’aimerais la prendre en levrette.
Hier, c’est elle, qui après que je lui ai léché la chatte, s’est positionnée ?
Mieux, d’habitude nous prenons une position et nous nous y tenons jusqu’à ce que notre plaisir éclate.
Levrette, une échappée, elle m’a fait m’allonger et nous avons éclaté l’un et l’autre alors qu’elle était venue sur moi s’empaler sur ma verge tendue comme jamais.
Lorsque je me suis endormi, j’étais repu de sexe et c’est une autre surprise qui m’attendait au cours de la nuit.
À quelle heure, sa main puis sa bouche sont venues me faire une fellation totale.
Je l’ignore, car un coup d’oeil à mon radio-réveil, il était tourné et je me voyais mal tendre la main cassant le charme de la fellation que m’a faite celle que j’avais failli perdre irrémédiablement.
Totale, car par un mouvement au moment d’éjaculer, j’ai voulu m’échapper, mais elle me tenait si fortement que cela lui a permis de boire mon sperme jusqu’à la dernière goutte.
Son devoir fait, elle s’est retournée et comme si la nuit avait continué normalement, elle s’est rendormie.
Ma verge ayant débandé, je me suis caressé doucement avant de rebander, mais sans aller plus loin ma seule tension suffisant à mon bonheur.
Comment avons-nous fini dans les bras l’un de l’autre comme je nous retrouve alors que la lumière du jour pointe entre nos volets, je l’ignore.
Dans nos premiers ébats, nous étions si fusionnelles que souvent c’est ainsi que nous nous retrouvions au matin.
Nous avons ainsi retrouvé ces élans perdus.
Au déjeuner, nous sommes là tous les trois couples.
Papa prit la parole.
● Je vous ai observé Iris et toi depuis le début du déjeuner !
Vous me donnez l’impression de quelqu’un étant à jeun depuis que Dieu a créé l’univers.
● J’avais vraiment faim et Iris aussi je présumai.
Elle se contente de hocher la tête en souriant timidement.
● Quand tout est redevenu calme et que vous êtes montés votre amour retrouvé, j’ai appelé le professeur René Bernard, même s’il était tard.
Tu le connais, une sommité mondiale dans le domaine de la recherche sur les effets de l’alcool et des drogues sur le comportement humain.
Il m’a expliqué que cela pourrait, dans certains cas, se révéler très dangereux.
Je suis à deux doigts de l’interrompre pour lui parler du comportement humain d’une femme amoureuse et de ce que cela a entrainé dans notre lit cette nuit.
Mais j’ai du mal à parler de notre très proche intimité cette nuit allant jusqu’à la fellation.
Comme tous fils envers ses parents et même mes beaux-parents, j’ignore le degré des jeux de ces deux couples.
Un instant une idée saugrenue travers mon esprit, je revois Caro, la femme d’Alex, nos amis avec ses traces brunes aux poignets.
Belle-maman se fait-elle attacher sur son lit par beau-papa qui la fouette lui bloquant sa bouche par une boule ?
Je suis fou, mais un coup d’œil à cette femme au port de tête irréprochable et cela me calme.
Quand un cerveau devient fou, jusqu’où peut-il aller, le professeur de mon père pourrait peut-être me le dire.
Une autre image me vient...
C’est ma mère qui est attachée alors que c’est ma belle-mère qui la fouette sous le regard libidineux de leurs deux mâles nus eux aussi assis dans leurs fauteuils sirotant leur whisky du soir, un cigare au bout des doigts !
J’efface de mon esprit cette vision qu’un fils est dans l’impossibilité d’avoir.
Et je rattrape les propos de mon père.
● Pour couronner le tout, il m’a donné l’exemple d’une fille sage et gentille qui adorait sa mère.
Après avoir été obligée par ses copains à prendre deux verres de whisky mélangé avec du soda cette jeune femme est devenue pratiquement folle.
Au retour chez elle, a voulu faire l’amour avec sa propre maman.
Et dire qu’il y a quelques secondes, la vision de nos parents se donnant du plaisir m’est apparue saugrenue, mon père parlait d’inceste.
● Voilà, cela explique scientifiquement le comportement étrange de ta chérie si tu veux bien en tenir compte.
Mais je vois que ce matin cela a été fait, cette histoire doit simplement devenir un mauvais souvenir dans votre vie amoureuse.
Je sais que certains maris pardonnent beaucoup plus grave que ça.
Votre couple est un cas particulier animé depuis votre plus tendre jeunesse par un amour plus que fusionnel après avoir été platonique.
Une quasi-adoration réciproque vous lie pour toute la vie, c’est rarissime de voir ça à part dans certains romans romantiques.
La seule décision que tu dois prendre Phil, c’est interdiction à Iris de toucher, à la moindre goutte d’alcool.
Et toi, tu sais ce que cela risque de te couter ma petite.
● Papa, je te remercie pour cet exposé et Iris et moi sommes conscients de la fin, plus une goutte d’alcool dans notre couple.
C’est à ce moment que j’ai vu qu’Iris me serrait très fort à me couper le souffle sans un mot elle se mit à pleurer de chaudes larmes qui coulaient à profusion sur mes joues.
● Arrête mon amour, tu vas m’étouffer.
● Oh, pardon mon cœur, je suis désolée, c’est l’émotion qui m’a fait sauter sur toi.
Je t’adore, je t’aime pour la vie, tu le sais bien.
Ça fait deux jours que nous avons pris cette décision, tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes, mon portable sonne.
J’ai retrouvé les habitudes passées et notre journal local m’envoie ce qu’il appelle une « New ».
Pourquoi, alors que ce qu’ils donnent est sans intérêt, je cherche la presse italienne et particulièrement celle de Venise ?
Je sais, je veux voir si ma bagarre dans ce restaurant a eu des échos dans la presse locale.
C’est une tout autre information que je découvre !
Le texte est en italien, mais des noms attire mon attention.
Danieli, Élisabeth et Philippe, je copie ce texte et je vais sur mon traducteur, le voici en Français tel que je le découvre.
« Suicide commun à l’hôtel Danieli, aux alentours de dix-heures, une femme de ménage s’est servie d’un passe pour venir nettoyer la chambre d’un couple d’anglais.
Ils étaient supposés avoir quitté l’établissement avant cette heure.
À ce qu’elle a découvert, elle s’est précipitée auprès de sa responsable qui elle-même a appelé la directrice.
Élisabeth et Philippe reposait côte à côte sur leur lit.
Élisabeth avait sa robe de mariée et à sa coupe Philippe aussi.
Entre eux une lettre et une bouteille ayant coulé sur le lit.
La mort du couple a été constatée.
Nous avons eu connaissance de la lettre par une source que nous garderons secrète.
Le couple venait tous les dix ans à Venise depuis leur voyage de noces.
D’une belle écriture, le couple dévoilait la maladie incurable de l’un d’eux.
C’est en toute connaissance de cause qu’ils se sont rapprochés d’une association pour le libre choix de sa mort.
Ils ont récupéré ce cocktail fatal et c’est dans la chambre de leur premier voyage qu’ils ont fait le grand voyage. »
Divers détails sont donnés.
Je repense à Philippe prenant la main d’Élisabeth, et lui disant qu’il était l’heure de rejoindre leur lit.
À comparer les dates, ils nous ont menti sur un point, la date de réservation de leur chambre.
Chaque fois que nous passions devant la porte de leur chambre, je voyais le panneau « Ne pas déranger » et à aucun moment la pensée que leur vie s’était arrêtée derrière cette porte m’est venue.
Alors qu’elle l’était pour deux jours de plus.
Après l’épreuve que nous avons passée, je décide de taire à Iris que nous avons été les derniers à voir nos amis vivants.
Je fais dérouler les pages du journal.
Un autre article attire mon attention les noms d’Élisabeth et Philippe étant mentionné.
Nouvelle traduction, le voici.
« Nous avons relaté ce couple d’anglais dans l’hôtel Danieli ayant mis fin à leur vie d’une manière délibérée.
Leurs enfants ont été prévenus et ont été reçus gracieusement par la directrice de l’hôtel.
Conformément à leur volonté, ils ont été incinérés ensemble et réunis dans une urne.
Andrew et Charline fils et fille du couple ont fait des démarches auprès de la mairie de Venise.
Par autorisation spéciale vue le degré d’attachement à sa ville, le maire les a autorisés à disperser leurs cendres sous le pont des soupirs.
C’est Livio le célèbre gondolier petit-fils de Sylvano qui conduisait leur gondole dans leur premier voyage, qui a conduit sa gondole sous le pont des soupire.
C’est sous les applaudissements des visiteurs regardant par le premier pont qu’Andrew a dispersé les cendres dans le canal.
Livio interrogé a précisé que les cendres sont parties vers l’intérieur du canal.
Combien de temps leurs cendres vont-elles les remonter, dans dix ans ?
Pendant dix ans des particules des amoureux anglais flotteront elles encore dans nos canaux ! »
La boucle est bouclée et si avec Iris, je programmais un nouveau voyage à Venise dans dix ans pour fêter la réconciliation de notre couple !
L’idée est à creuser et je pourrais peut-être lui dire la fin des amours d’Élisabeth et Philippe mais le début des nôtres.
Pourquoi me poser la question alors que la nuit dernière j’ai retrouvé mon Iris aimante se donnant sans retenue ayant même des élans nouveaux ou très rares entre nous avant les évènements italiens ?
Dans nos rapports que je qualifierais d’avant, c’est moi qui par un geste ou un mouvement lui faisais comprendre que j’aimerais la prendre en levrette.
Hier, c’est elle, qui après que je lui ai léché la chatte, s’est positionnée ?
Mieux, d’habitude nous prenons une position et nous nous y tenons jusqu’à ce que notre plaisir éclate.
Levrette, une échappée, elle m’a fait m’allonger et nous avons éclaté l’un et l’autre alors qu’elle était venue sur moi s’empaler sur ma verge tendue comme jamais.
Lorsque je me suis endormi, j’étais repu de sexe et c’est une autre surprise qui m’attendait au cours de la nuit.
À quelle heure, sa main puis sa bouche sont venues me faire une fellation totale.
Je l’ignore, car un coup d’oeil à mon radio-réveil, il était tourné et je me voyais mal tendre la main cassant le charme de la fellation que m’a faite celle que j’avais failli perdre irrémédiablement.
Totale, car par un mouvement au moment d’éjaculer, j’ai voulu m’échapper, mais elle me tenait si fortement que cela lui a permis de boire mon sperme jusqu’à la dernière goutte.
Son devoir fait, elle s’est retournée et comme si la nuit avait continué normalement, elle s’est rendormie.
Ma verge ayant débandé, je me suis caressé doucement avant de rebander, mais sans aller plus loin ma seule tension suffisant à mon bonheur.
Comment avons-nous fini dans les bras l’un de l’autre comme je nous retrouve alors que la lumière du jour pointe entre nos volets, je l’ignore.
Dans nos premiers ébats, nous étions si fusionnelles que souvent c’est ainsi que nous nous retrouvions au matin.
Nous avons ainsi retrouvé ces élans perdus.
Au déjeuner, nous sommes là tous les trois couples.
Papa prit la parole.
● Je vous ai observé Iris et toi depuis le début du déjeuner !
Vous me donnez l’impression de quelqu’un étant à jeun depuis que Dieu a créé l’univers.
● J’avais vraiment faim et Iris aussi je présumai.
Elle se contente de hocher la tête en souriant timidement.
● Quand tout est redevenu calme et que vous êtes montés votre amour retrouvé, j’ai appelé le professeur René Bernard, même s’il était tard.
Tu le connais, une sommité mondiale dans le domaine de la recherche sur les effets de l’alcool et des drogues sur le comportement humain.
Il m’a expliqué que cela pourrait, dans certains cas, se révéler très dangereux.
Je suis à deux doigts de l’interrompre pour lui parler du comportement humain d’une femme amoureuse et de ce que cela a entrainé dans notre lit cette nuit.
Mais j’ai du mal à parler de notre très proche intimité cette nuit allant jusqu’à la fellation.
Comme tous fils envers ses parents et même mes beaux-parents, j’ignore le degré des jeux de ces deux couples.
Un instant une idée saugrenue travers mon esprit, je revois Caro, la femme d’Alex, nos amis avec ses traces brunes aux poignets.
Belle-maman se fait-elle attacher sur son lit par beau-papa qui la fouette lui bloquant sa bouche par une boule ?
Je suis fou, mais un coup d’œil à cette femme au port de tête irréprochable et cela me calme.
Quand un cerveau devient fou, jusqu’où peut-il aller, le professeur de mon père pourrait peut-être me le dire.
Une autre image me vient...
C’est ma mère qui est attachée alors que c’est ma belle-mère qui la fouette sous le regard libidineux de leurs deux mâles nus eux aussi assis dans leurs fauteuils sirotant leur whisky du soir, un cigare au bout des doigts !
J’efface de mon esprit cette vision qu’un fils est dans l’impossibilité d’avoir.
Et je rattrape les propos de mon père.
● Pour couronner le tout, il m’a donné l’exemple d’une fille sage et gentille qui adorait sa mère.
Après avoir été obligée par ses copains à prendre deux verres de whisky mélangé avec du soda cette jeune femme est devenue pratiquement folle.
Au retour chez elle, a voulu faire l’amour avec sa propre maman.
Et dire qu’il y a quelques secondes, la vision de nos parents se donnant du plaisir m’est apparue saugrenue, mon père parlait d’inceste.
● Voilà, cela explique scientifiquement le comportement étrange de ta chérie si tu veux bien en tenir compte.
Mais je vois que ce matin cela a été fait, cette histoire doit simplement devenir un mauvais souvenir dans votre vie amoureuse.
Je sais que certains maris pardonnent beaucoup plus grave que ça.
Votre couple est un cas particulier animé depuis votre plus tendre jeunesse par un amour plus que fusionnel après avoir été platonique.
Une quasi-adoration réciproque vous lie pour toute la vie, c’est rarissime de voir ça à part dans certains romans romantiques.
La seule décision que tu dois prendre Phil, c’est interdiction à Iris de toucher, à la moindre goutte d’alcool.
Et toi, tu sais ce que cela risque de te couter ma petite.
● Papa, je te remercie pour cet exposé et Iris et moi sommes conscients de la fin, plus une goutte d’alcool dans notre couple.
C’est à ce moment que j’ai vu qu’Iris me serrait très fort à me couper le souffle sans un mot elle se mit à pleurer de chaudes larmes qui coulaient à profusion sur mes joues.
● Arrête mon amour, tu vas m’étouffer.
● Oh, pardon mon cœur, je suis désolée, c’est l’émotion qui m’a fait sauter sur toi.
Je t’adore, je t’aime pour la vie, tu le sais bien.
Ça fait deux jours que nous avons pris cette décision, tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes, mon portable sonne.
J’ai retrouvé les habitudes passées et notre journal local m’envoie ce qu’il appelle une « New ».
Pourquoi, alors que ce qu’ils donnent est sans intérêt, je cherche la presse italienne et particulièrement celle de Venise ?
Je sais, je veux voir si ma bagarre dans ce restaurant a eu des échos dans la presse locale.
C’est une tout autre information que je découvre !
Le texte est en italien, mais des noms attire mon attention.
Danieli, Élisabeth et Philippe, je copie ce texte et je vais sur mon traducteur, le voici en Français tel que je le découvre.
« Suicide commun à l’hôtel Danieli, aux alentours de dix-heures, une femme de ménage s’est servie d’un passe pour venir nettoyer la chambre d’un couple d’anglais.
Ils étaient supposés avoir quitté l’établissement avant cette heure.
À ce qu’elle a découvert, elle s’est précipitée auprès de sa responsable qui elle-même a appelé la directrice.
Élisabeth et Philippe reposait côte à côte sur leur lit.
Élisabeth avait sa robe de mariée et à sa coupe Philippe aussi.
Entre eux une lettre et une bouteille ayant coulé sur le lit.
La mort du couple a été constatée.
Nous avons eu connaissance de la lettre par une source que nous garderons secrète.
Le couple venait tous les dix ans à Venise depuis leur voyage de noces.
D’une belle écriture, le couple dévoilait la maladie incurable de l’un d’eux.
C’est en toute connaissance de cause qu’ils se sont rapprochés d’une association pour le libre choix de sa mort.
Ils ont récupéré ce cocktail fatal et c’est dans la chambre de leur premier voyage qu’ils ont fait le grand voyage. »
Divers détails sont donnés.
Je repense à Philippe prenant la main d’Élisabeth, et lui disant qu’il était l’heure de rejoindre leur lit.
À comparer les dates, ils nous ont menti sur un point, la date de réservation de leur chambre.
Chaque fois que nous passions devant la porte de leur chambre, je voyais le panneau « Ne pas déranger » et à aucun moment la pensée que leur vie s’était arrêtée derrière cette porte m’est venue.
Alors qu’elle l’était pour deux jours de plus.
Après l’épreuve que nous avons passée, je décide de taire à Iris que nous avons été les derniers à voir nos amis vivants.
Je fais dérouler les pages du journal.
Un autre article attire mon attention les noms d’Élisabeth et Philippe étant mentionné.
Nouvelle traduction, le voici.
« Nous avons relaté ce couple d’anglais dans l’hôtel Danieli ayant mis fin à leur vie d’une manière délibérée.
Leurs enfants ont été prévenus et ont été reçus gracieusement par la directrice de l’hôtel.
Conformément à leur volonté, ils ont été incinérés ensemble et réunis dans une urne.
Andrew et Charline fils et fille du couple ont fait des démarches auprès de la mairie de Venise.
Par autorisation spéciale vue le degré d’attachement à sa ville, le maire les a autorisés à disperser leurs cendres sous le pont des soupirs.
C’est Livio le célèbre gondolier petit-fils de Sylvano qui conduisait leur gondole dans leur premier voyage, qui a conduit sa gondole sous le pont des soupire.
C’est sous les applaudissements des visiteurs regardant par le premier pont qu’Andrew a dispersé les cendres dans le canal.
Livio interrogé a précisé que les cendres sont parties vers l’intérieur du canal.
Combien de temps leurs cendres vont-elles les remonter, dans dix ans ?
Pendant dix ans des particules des amoureux anglais flotteront elles encore dans nos canaux ! »
La boucle est bouclée et si avec Iris, je programmais un nouveau voyage à Venise dans dix ans pour fêter la réconciliation de notre couple !
L’idée est à creuser et je pourrais peut-être lui dire la fin des amours d’Élisabeth et Philippe mais le début des nôtres.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Roulio de faire un commentaire sur la mort dees vieux anglais.
Merci Christian et phill pour cette superbe saga
ce texte confirme les doutes que j'avais dans le chapitre douze avec cette fichue
pancarte
" do not distube " qui ne bougeait pas depuis 2 jours
Paix à leurs âmes et à l'amour exemplaire qu'ils ont transmis à phill et Iris pendant
leur dernier dîner en amoureux .
Roulio
ce texte confirme les doutes que j'avais dans le chapitre douze avec cette fichue
pancarte
" do not distube " qui ne bougeait pas depuis 2 jours
Paix à leurs âmes et à l'amour exemplaire qu'ils ont transmis à phill et Iris pendant
leur dernier dîner en amoureux .
Roulio
Fin du voyage de noce à Venise.
J'ai encore la suite dans le texte de Phil, il faut que je le travail.
Je dois avoué qu'il est plus délicat a traiter mais je pense y arriver...
J'ai encore la suite dans le texte de Phil, il faut que je le travail.
Je dois avoué qu'il est plus délicat a traiter mais je pense y arriver...
Merci de t'avoir surpris PP06 toi qui adapte les textes des autres et souvent change la fin
Tel est pris qui croyais prendre... notre couple est amoureux, loin des candaulistes qui
avaient cru deviner la fin.
J'ai eu peur, à tord. Bravo...
avaient cru deviner la fin.
J'ai eu peur, à tord. Bravo...
Fin de la saison 4 et de l'histoire ?