COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Voyage de noces à Venise. Saison II (5/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Voyage de noces à Venise. Saison II (5/6)
L’amoureux que je suis doit aimer se faire mal.
Pourquoi ai-je accepté de monter dans la gondole de Livio, magnifique spécimen du mâle Italien ?
Il ose draguer ma femme croyant que je suis aveugle à toutes les attentions verbales et physiques qu’il lui porte comme ce fauteuil installé pour elle seule ou ses mains dans ses mains dès qu’il le peut.
Il a même été jusqu’à tapisser sa gondole de pétales de roses.
Que dire des regards appuyés qu’il lui lance ainsi que certains propos, même si ce sont quelques mots que je comprends avec ses collègues lorsque nous les croisons au fil des canaux ?
Mais le coup de grâce il me le donne lorsque voulant simplement apporter une information à Iris sur la maison ou a vécu pendant neuf ans Giacomo Casanova, il me contre en lui montrant qu’il en connaît plus que moi.
Ce que je sais, je le lis sur mon portable que je consulte dès que besoin.
La réalité est tout autre, loin de moi l’idée d’en imposer sur les connaissances que j’ai de cette ville, mais ce que je sais, je le sais et ce petit gondolier commence à me courir sur le haricot.
Là, je reste poli, surtout qu’il recommence à planter sa perche dans la vase constituant certainement le fond de ces canaux.
Nous débouchons sur une nouvelle voie d’eau bien plus grande que celle que nous venons de quitter.
Des embarcations de tous genres se trouvent face à nous, je reconnais le célèbre pont Rialto sous lequel nous sommes déjà passés à notre arrivée.
Il grouille de monde, Livio manœuvre pour nous parquer, garer, comment dit-on lorsque l’on amène une gondole à quai.
À oui, nous apontons et non appontons.
Le tout au pied d’un pont.
• Nous nous arrêtons pour une heure, vous pourrez franchir le pont et visiter le quartier...
• San Polo, le plus vieux quartier habité, car l’un de ceux les mieux protégés contre les inondations.
Un à zéro, la balle au centre, non mais, qui sont les champions de la dernière coupe du monde de football, l’Italie ou la France ?
Par chance, je suis placé côté quai, je monte sur le siège et je saute sur le ponton.
Je tends ma main à Iris avant que l’italien au bout de sa perche puisse réagir.
Féline à son tour, elle saute sur le quai et se retrouve dans mes bras.
Ces seins viennent sur ma poitrine et nos lèvres se retrouvent.
J’ai Livio dans ma ligne de mire, il baisse les yeux regardant ses chaussures.
Il les relève et son regard noir se plante en moi.
• Si je peux un petit conseil, faite attention aux boutiques sur le pont, ce sont des arnaques chinoises.
Je pourrais vous amener dans la ville dans la boutique de mon cousin où vous trouverez de vrais masques fabriqués à Venise dans nos ateliers.
• Tu pourras nous y emmener Livio.
Je sens que la moutarde me monte au nez.
• Chérie, j’ai établi un plan, de visite de la ville et je veux le suivre.
Viens, nous allons voir le quartier San Polo et son marché.
• Il est fermé à cette heure, vous verrez seulement les étals vides, il est ouvert tous les matins.
J’ai envie de lui dire carrément « ta gueule, » mais mes parents m’ont appris à être la politesse.
Surtout quand Iris en remet une couche lorsque nous nous éloignons.
• Qu’est-ce qu’il t’a fait ce garçon, il veut simplement être serviable avec les étrangers et il nous a la bonne ?
Tu lui donneras un gros pourboire lorsqu’il nous reconduira à l’hôtel.
Là encore, j’ai envie de lui dire et ta sœur, mais une nouvelle fois mon éducation prend le dessus sur ma colère intérieure.
• Regarde comme ce masque est joli !
• Chinois.
• Celui-là, le beau avec des paillettes ?
• Chinois.
• Regarde, pour nos mamans, ces jolies boules de couleur, ça doit servir pour mettre sur les bouteilles de vin ouvertes.
• Encore Chinoise.
• Tu es désagréable Phil, que cherches-tu, tu veux gâcher notre voyage de noces ici à Venise.
Ce garçon est charmant, j’espère que tu vas garder ta jalousie pour toi.
J’espère que tu auras un autre comportement que celui que tu as eu lorsque nous étions assis à la terrasse d’un café.
• À la terrasse de ce café ce bellâtre t’avait passé la main dans les cheveux, je te le rappelle.
Jaloux, moi jamais, mais j’ai horreur que cet Italien veuille se farcir ma femme espérant que je donnerai mon autorisation.
• Tu es pathétique, regarde, il y a une table libre à cette terrasse au bord du canal.
Offre-moi une coupe glacée, si tu penses que je suis chaude du cul, ça le refroidira.
Excuse pour l’expression un peu salace, mais tu m’exaspères.
Je sais comment est Iris quand elle est fâchée, nous nous installons en lui offrant cette glace, je sais que tout va s’arranger.
Il fait chaud, on est bien, pourquoi courir le risque de nous fatiguer.
Une jolie Italienne vient prendre notre commande.
Il y a un dépliant avec les diverses glaces.
• Scusi, comment on dit, glace en Italie ma chérie.
• Regarde sur ton portable, ils savent tous, ils vont te le dire.
Iris est vraiment en colère, elle en remet une couche.
Comme toutes les femmes, ce sont toujours elles qui veulent avoir le dernier mot, mais la serveuse vient à notre secours.
• Inutile de parler en italien, je suis de Paname.
• Vous êtes jeune, vous faites vos études à Venise et vous travaillez pour vous les payer !
• Tout faux beau gosse, j’ai rencontré mon mari à Paris et comme il est revenu au pays, il m’a amené dans ses bagages.
• Il est gondolier !
• Comment le savez-vous, c’est écrit sur mon front ?
• Non, une intuition.
Il s’appelle Livio.
• Tout bon, jusqu’à maintenant pour le gondolier, mais c’est Giacomo.
• Comme Casanova ?
• Le prénom seulement.
Pour le reste, la séduction des femmes, si les Italiennes ont le sang chaud, il sait que s’il fricote avec ses clientes, ses couilles, j’irais les accrocher au clocher de la Basilique Santa-Maria à quelques rues d’ici.
Alors, on dit, une coupe glacée à la sicilienne et un expresso, ça roule.
Tient regardez, Giacomo, il passe avec un couple de vieux Chinois.
Avec celle-là, je suis certaine, que ce soir, il aura des bourses bien pleines.
Elle part et revient avec la glace d’Iris et mon café.
Je vois son Italien faire tourner sa gondole dans un tout petit canal où il doit être impossible de se croiser.
Nous dégustons et nous continuons notre balade.
Le marché, je dois reconnaitre que Livio avait raison, seules les équipes de nettoyage sont présentes.
L’église est jolie, typique de la région.
Nous revenons par les bords du canal.
Il est large, mais je vois une porte d’une vieille maison s’ouvrir.
Nul doute, c’est notre séducteur qui en sort avec une femme qui l’accompagne en peignoir.
Il l’embrasse comme une amante et s’en retourne vers sa gondole.
Iris passe sans le voir, elle saluait Cécile, c’est le nom de la petite serveuse de Paname.
Nous repassons le pont et nous retrouvons Livio qui est près de notre gondole.
• J’aimerais vous offrir une balade de nuit dans nos canaux, c’est féérique, des braseros sont allumés le long des maisons rendant la cité encore plus étrange.
Deux solutions, je persiste à être contre lui et Iris me fait la tête où comme je le fais, j’accepte.
• Ok, Livio, je laisserais mon portable à l’hôtel.
Tu as pu faire ce que tu voulais faire !
• Je suis allé présenter mes condoléances à ma tante après le décès de mon oncle.
Inutile de dire que la tante vue sur la gondole enterrant son mari et la femme encore jeune qu’il embrassait tendrement était loin d’être la même personne.
Je me tais, s’il s’est vidé les burnes, il présente moins de risque pour Iris.
De retour à l’hôtel, je sors mes billets pour régler notre bellâtre italien.
J’oublie le pourboire.
Iris, le voyant, prend un billet de cent euros qu’elle lui donne.
Il se confond en remerciements, moi j’ai envie de l’étrangler.
Iris bien sûr, quoi que !
Le soir, après nous êtres rafraichis nous descendons et passons par la place San Marco, nous prenons une rue jusqu’à un des nombreux petits ponts de pierre.
Une chanson me revient en mémoire d’Yves Duteil, « le petit pont de bois. »Chaque fois que nous en passons un la chanson me revient lancinante.
• J’aimerais que nous retrouvions la maison de Casanova chéri, du côté rue.
J’ai le sens de l’orientation et passant un, deux ponts de pierre, pas de bois, nous atterrissons dans un cul-de-sac au bord d’un canal sous une maison.
Impossible d’aller plus loin, sauf à la nage.
Ce devait être un quai de déchargement au temps de notre grand séducteur pour les divers entrepôts se trouvant dans la maison nous surplombant et nous isolant du monde.
Je plaque Iris le long du mur et moi s’y réserver en temps normal je l’embrasse amoureusement.
Ouf, elle semble avoir oublié Livio pour se concentrer sur moi, ses bras enserrant mon cou.
Je me plaque à elle lui montrant tout mon amour avec ma verge se détendant.
• Phil, pas ici, on pourrait nous voir, rentrons à l’hôtel.
• On va se gêner, où tu vois du monde !
Je lui redonne un baiser et je la sens mollir dans mes bras.
Je m’agenouille et je lui soulève sa petite robe à fleurs que je l’ai vu enfiler sur un string, sans soutien-gorge.
Je l’embrasse à travers son léger voile, qui est trempé de sa cyprine.
Je sens ses mains sur ma tête, qui appuie quand ma langue lui caresse le clitoris sans pour autant le sentir.
Malgré ses réticences, je sais que j’ai su réveiller son besoin de sexe après la tension de cette après-midi.
Je me redresse, j’ouvre ma braguette et c’est elle qui sort ma verge.
Souvent c’est elle qui se baisse ou dans notre lit me la prend pour la mettre dans sa bouche.
Là, je lui saisis une jambe pour l’ouvrir plus facilement et lui arrachant sa petite culotte, je la cloue le long du mur.
Rapidement les murs et les gondoles qui passent le long du canal doivent entendre le chant d’Iris comme le chant des sirènes, lorsqu’elle jouit.
Quand je décharge, la situation précaire m’apporte un moment de plaisir des plus intenses, il en va de même pour elle.
Elle se rajuste, va pour ramasser son string, mais la lanière est foutue.
C’est lové dans mes bras que nous remontons jusqu’à la rue précédente.
Nous croisons un couple de jeunes amoureux.
• Descendez, vous verrez c’est un coin sympa.
Ce jeune couple aux yeux bridés va avoir une surprise s’il trouve la culotte d’Iris resté au sol comme mon trophée.
Giacomo, nous verrons plus tard, nous essayons de retrouver notre hôtel.
Les canaux que nous traversons, certains sont allumés de braseros comme nous la dit Livio.
Un pont.
« Le petit pont de bois »...
Pourquoi ai-je accepté de monter dans la gondole de Livio, magnifique spécimen du mâle Italien ?
Il ose draguer ma femme croyant que je suis aveugle à toutes les attentions verbales et physiques qu’il lui porte comme ce fauteuil installé pour elle seule ou ses mains dans ses mains dès qu’il le peut.
Il a même été jusqu’à tapisser sa gondole de pétales de roses.
Que dire des regards appuyés qu’il lui lance ainsi que certains propos, même si ce sont quelques mots que je comprends avec ses collègues lorsque nous les croisons au fil des canaux ?
Mais le coup de grâce il me le donne lorsque voulant simplement apporter une information à Iris sur la maison ou a vécu pendant neuf ans Giacomo Casanova, il me contre en lui montrant qu’il en connaît plus que moi.
Ce que je sais, je le lis sur mon portable que je consulte dès que besoin.
La réalité est tout autre, loin de moi l’idée d’en imposer sur les connaissances que j’ai de cette ville, mais ce que je sais, je le sais et ce petit gondolier commence à me courir sur le haricot.
Là, je reste poli, surtout qu’il recommence à planter sa perche dans la vase constituant certainement le fond de ces canaux.
Nous débouchons sur une nouvelle voie d’eau bien plus grande que celle que nous venons de quitter.
Des embarcations de tous genres se trouvent face à nous, je reconnais le célèbre pont Rialto sous lequel nous sommes déjà passés à notre arrivée.
Il grouille de monde, Livio manœuvre pour nous parquer, garer, comment dit-on lorsque l’on amène une gondole à quai.
À oui, nous apontons et non appontons.
Le tout au pied d’un pont.
• Nous nous arrêtons pour une heure, vous pourrez franchir le pont et visiter le quartier...
• San Polo, le plus vieux quartier habité, car l’un de ceux les mieux protégés contre les inondations.
Un à zéro, la balle au centre, non mais, qui sont les champions de la dernière coupe du monde de football, l’Italie ou la France ?
Par chance, je suis placé côté quai, je monte sur le siège et je saute sur le ponton.
Je tends ma main à Iris avant que l’italien au bout de sa perche puisse réagir.
Féline à son tour, elle saute sur le quai et se retrouve dans mes bras.
Ces seins viennent sur ma poitrine et nos lèvres se retrouvent.
J’ai Livio dans ma ligne de mire, il baisse les yeux regardant ses chaussures.
Il les relève et son regard noir se plante en moi.
• Si je peux un petit conseil, faite attention aux boutiques sur le pont, ce sont des arnaques chinoises.
Je pourrais vous amener dans la ville dans la boutique de mon cousin où vous trouverez de vrais masques fabriqués à Venise dans nos ateliers.
• Tu pourras nous y emmener Livio.
Je sens que la moutarde me monte au nez.
• Chérie, j’ai établi un plan, de visite de la ville et je veux le suivre.
Viens, nous allons voir le quartier San Polo et son marché.
• Il est fermé à cette heure, vous verrez seulement les étals vides, il est ouvert tous les matins.
J’ai envie de lui dire carrément « ta gueule, » mais mes parents m’ont appris à être la politesse.
Surtout quand Iris en remet une couche lorsque nous nous éloignons.
• Qu’est-ce qu’il t’a fait ce garçon, il veut simplement être serviable avec les étrangers et il nous a la bonne ?
Tu lui donneras un gros pourboire lorsqu’il nous reconduira à l’hôtel.
Là encore, j’ai envie de lui dire et ta sœur, mais une nouvelle fois mon éducation prend le dessus sur ma colère intérieure.
• Regarde comme ce masque est joli !
• Chinois.
• Celui-là, le beau avec des paillettes ?
• Chinois.
• Regarde, pour nos mamans, ces jolies boules de couleur, ça doit servir pour mettre sur les bouteilles de vin ouvertes.
• Encore Chinoise.
• Tu es désagréable Phil, que cherches-tu, tu veux gâcher notre voyage de noces ici à Venise.
Ce garçon est charmant, j’espère que tu vas garder ta jalousie pour toi.
J’espère que tu auras un autre comportement que celui que tu as eu lorsque nous étions assis à la terrasse d’un café.
• À la terrasse de ce café ce bellâtre t’avait passé la main dans les cheveux, je te le rappelle.
Jaloux, moi jamais, mais j’ai horreur que cet Italien veuille se farcir ma femme espérant que je donnerai mon autorisation.
• Tu es pathétique, regarde, il y a une table libre à cette terrasse au bord du canal.
Offre-moi une coupe glacée, si tu penses que je suis chaude du cul, ça le refroidira.
Excuse pour l’expression un peu salace, mais tu m’exaspères.
Je sais comment est Iris quand elle est fâchée, nous nous installons en lui offrant cette glace, je sais que tout va s’arranger.
Il fait chaud, on est bien, pourquoi courir le risque de nous fatiguer.
Une jolie Italienne vient prendre notre commande.
Il y a un dépliant avec les diverses glaces.
• Scusi, comment on dit, glace en Italie ma chérie.
• Regarde sur ton portable, ils savent tous, ils vont te le dire.
Iris est vraiment en colère, elle en remet une couche.
Comme toutes les femmes, ce sont toujours elles qui veulent avoir le dernier mot, mais la serveuse vient à notre secours.
• Inutile de parler en italien, je suis de Paname.
• Vous êtes jeune, vous faites vos études à Venise et vous travaillez pour vous les payer !
• Tout faux beau gosse, j’ai rencontré mon mari à Paris et comme il est revenu au pays, il m’a amené dans ses bagages.
• Il est gondolier !
• Comment le savez-vous, c’est écrit sur mon front ?
• Non, une intuition.
Il s’appelle Livio.
• Tout bon, jusqu’à maintenant pour le gondolier, mais c’est Giacomo.
• Comme Casanova ?
• Le prénom seulement.
Pour le reste, la séduction des femmes, si les Italiennes ont le sang chaud, il sait que s’il fricote avec ses clientes, ses couilles, j’irais les accrocher au clocher de la Basilique Santa-Maria à quelques rues d’ici.
Alors, on dit, une coupe glacée à la sicilienne et un expresso, ça roule.
Tient regardez, Giacomo, il passe avec un couple de vieux Chinois.
Avec celle-là, je suis certaine, que ce soir, il aura des bourses bien pleines.
Elle part et revient avec la glace d’Iris et mon café.
Je vois son Italien faire tourner sa gondole dans un tout petit canal où il doit être impossible de se croiser.
Nous dégustons et nous continuons notre balade.
Le marché, je dois reconnaitre que Livio avait raison, seules les équipes de nettoyage sont présentes.
L’église est jolie, typique de la région.
Nous revenons par les bords du canal.
Il est large, mais je vois une porte d’une vieille maison s’ouvrir.
Nul doute, c’est notre séducteur qui en sort avec une femme qui l’accompagne en peignoir.
Il l’embrasse comme une amante et s’en retourne vers sa gondole.
Iris passe sans le voir, elle saluait Cécile, c’est le nom de la petite serveuse de Paname.
Nous repassons le pont et nous retrouvons Livio qui est près de notre gondole.
• J’aimerais vous offrir une balade de nuit dans nos canaux, c’est féérique, des braseros sont allumés le long des maisons rendant la cité encore plus étrange.
Deux solutions, je persiste à être contre lui et Iris me fait la tête où comme je le fais, j’accepte.
• Ok, Livio, je laisserais mon portable à l’hôtel.
Tu as pu faire ce que tu voulais faire !
• Je suis allé présenter mes condoléances à ma tante après le décès de mon oncle.
Inutile de dire que la tante vue sur la gondole enterrant son mari et la femme encore jeune qu’il embrassait tendrement était loin d’être la même personne.
Je me tais, s’il s’est vidé les burnes, il présente moins de risque pour Iris.
De retour à l’hôtel, je sors mes billets pour régler notre bellâtre italien.
J’oublie le pourboire.
Iris, le voyant, prend un billet de cent euros qu’elle lui donne.
Il se confond en remerciements, moi j’ai envie de l’étrangler.
Iris bien sûr, quoi que !
Le soir, après nous êtres rafraichis nous descendons et passons par la place San Marco, nous prenons une rue jusqu’à un des nombreux petits ponts de pierre.
Une chanson me revient en mémoire d’Yves Duteil, « le petit pont de bois. »Chaque fois que nous en passons un la chanson me revient lancinante.
• J’aimerais que nous retrouvions la maison de Casanova chéri, du côté rue.
J’ai le sens de l’orientation et passant un, deux ponts de pierre, pas de bois, nous atterrissons dans un cul-de-sac au bord d’un canal sous une maison.
Impossible d’aller plus loin, sauf à la nage.
Ce devait être un quai de déchargement au temps de notre grand séducteur pour les divers entrepôts se trouvant dans la maison nous surplombant et nous isolant du monde.
Je plaque Iris le long du mur et moi s’y réserver en temps normal je l’embrasse amoureusement.
Ouf, elle semble avoir oublié Livio pour se concentrer sur moi, ses bras enserrant mon cou.
Je me plaque à elle lui montrant tout mon amour avec ma verge se détendant.
• Phil, pas ici, on pourrait nous voir, rentrons à l’hôtel.
• On va se gêner, où tu vois du monde !
Je lui redonne un baiser et je la sens mollir dans mes bras.
Je m’agenouille et je lui soulève sa petite robe à fleurs que je l’ai vu enfiler sur un string, sans soutien-gorge.
Je l’embrasse à travers son léger voile, qui est trempé de sa cyprine.
Je sens ses mains sur ma tête, qui appuie quand ma langue lui caresse le clitoris sans pour autant le sentir.
Malgré ses réticences, je sais que j’ai su réveiller son besoin de sexe après la tension de cette après-midi.
Je me redresse, j’ouvre ma braguette et c’est elle qui sort ma verge.
Souvent c’est elle qui se baisse ou dans notre lit me la prend pour la mettre dans sa bouche.
Là, je lui saisis une jambe pour l’ouvrir plus facilement et lui arrachant sa petite culotte, je la cloue le long du mur.
Rapidement les murs et les gondoles qui passent le long du canal doivent entendre le chant d’Iris comme le chant des sirènes, lorsqu’elle jouit.
Quand je décharge, la situation précaire m’apporte un moment de plaisir des plus intenses, il en va de même pour elle.
Elle se rajuste, va pour ramasser son string, mais la lanière est foutue.
C’est lové dans mes bras que nous remontons jusqu’à la rue précédente.
Nous croisons un couple de jeunes amoureux.
• Descendez, vous verrez c’est un coin sympa.
Ce jeune couple aux yeux bridés va avoir une surprise s’il trouve la culotte d’Iris resté au sol comme mon trophée.
Giacomo, nous verrons plus tard, nous essayons de retrouver notre hôtel.
Les canaux que nous traversons, certains sont allumés de braseros comme nous la dit Livio.
Un pont.
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