COLLECTION HOMME – FEMME. Phil & Iris. Voyage de noces à Venise. Début de la saison I (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME – FEMME. Phil & Iris. Voyage de noces à Venise. Début de la saison I (1/3)
La vie tourne, Jamaïque adieu, dans quelques heures à nous Venise.
C’est par cette pensée que notre avion décolle de la Jamaïque où nous avons passé un séjour de rêve à nous baigner et à visiter cette île paradisiaque.
Pendant ce voyage de noces très court dans les Caraïbes, je fais la connaissance de façon plus approfondie de celle que je connais depuis ma naissance.
Lorsque je dis approfondie, c’est bien sûr de la totalité de son corps que j’ai plaisir à découvrir enfin de façon fusionnelle.
1 mètre 71, elle est blonde aux yeux verts, une poitrine à faire bander un eunuque, je suis l’homme le plus heureux au monde surtout que j’ai tous mes moyens.
Mais ça vous le savez, car j’ai raconté à Chris71, l’avant, jusqu’aux premières heures de la découverte de notre amour fusionnelle.
Tout ceci complété dans la première partie de notre voyage de noces aux Caraïbes.
De retour dans notre maison, en peu de temps, nous reprenons le chemin de l’aéroport pour nous rendre à Venise.
Comme bon nombre de couples, Venise est une destination de rêve pour tous les amoureux surtout pour nous qui avons de bons moyens d’existence.
Entre ces deux voyages, nous redécouvrons l’amour dans un lit après avoir fait ça dans l’océan Atlantique sur le sable devant notre bungalow.
Seule perte dans ce séjour, fut le haut du maillot d’Iris, un soir de pleine lune où nous nous étions retrouvés nus à baiser sur notre plage sous la bienveillance de la lune.
Voyer les confidences me permet de franchir certaines barrières dues à mon éducation.
Je viens de prononcer les mots « à baiser sur cette plage. »Avant le déroulement de notre vie de couple, j’aurais dit « faire l’amour sur cette plage. » Ayant baisé donc, le haut de son maillot était introuvable comme mon slip de bain.
Le bas, ce sont des clients que nous avions croisé qui l’ont retrouvé alors que nous pensions qu’il était parti voguer sur les flots.
Comme vous l’avez su, après notre mariage nous habitions chez mes parents.
Nous avions trouvé la liberté de baiser sans retenue, après temps d’années d’abstinences forcées par le bon vouloir d’Iris.
À certains regards, la proximité de ma famille crispait un peu nos rapports.
Il faut dire que question orgasme Iris est assez expressive et l’obligation de réfréner ses ondes sonores à très vite diminuer le plaisir que nous prenions.
Au retour de notre voyage, j’ai dans l’idée de voir avec mon père pour qu’il nous trouve enfin notre nid d’amours, notre nid à deux.
J’avais l’impression d’être un coucou ayant investi le nid d’un autre comme ces oiseaux le font pour faire couver leur œuf par des plus petits qu’eux.
Pour ce deuxième voyage, j’avais tout préparé avec celle qui était enfin ma femme.
Dieu que c’est bon de dire « ma femme » après cette longue attente de pouvoir lui faire l’amour au terme de nos 23 ans et notre premier baiser à 16 ans.
Vivre côte à côte après de longs moments d’attente alors que l’être aimé est dans la pièce voisine est un supplice que je souhaite même éviter à mon pire ennemi.
Heureusement, ce genre de personnage m’est inconnu, je suis un homme de paix.
Ayant retrouvé nos rapports sous contrôle, un soir, comme nous l’avions fait sur la plage, nous avons profité de la chaleur tombante pour nous rendre vers le lac qui se trouve non loin de notre habitation.
En quelques minutes ma voiture nous y a transportés avant que je me gare dans un chemin que je savais mener vers un petit coin tranquille.
Nous marchions main dans la main et venions d’atteindre la rive quand Iris me fit cette proposition.
• Et si nous nous baignions.
• Un bain de minuit, mais dans la pure tradition ma chérie.
On a beau être en France, je veux ressentir ce que j’ai ressenti lorsque nous nous sommes aimés sur notre plage jamaïcaine.
J’ai failli lui dire que je craignais pour nos affaires, me voyant mal rentrant à poils en faisant du stop, comme nous l’avions fait là-bas.
Mais la chaleur aidant, je me suis laissé tenter.
Mon père aime la philosophie et pense en philosophe et moi quand je regarde la lune m’aider à redécouvrir le corps d’Iris, des pensées lubriques monte du plus profond de moi.
J’ai envie de rire quand je me demande si cette lune est la même que celle qui m’a permis d’avoir le même plaisir à des milliers de kilomètres de ce coin d’herbe où nous laissons nos affaires.
Je lui prends la main et nous partons en courant.
• Phil tu es fou.
Pour l’être, je le suis, elle se trouve obligée de suivre lorsque nous entrons dans l’eau avec de grandes gerbes.
Nous ressentons tout de suite la différence entre l’eau aux alentours des 30 là-bas alors qu’ici le lac doit péniblement dépasser les 20 à 22 degrés.
Sensation de froid, mais surtout mon sexe revenu à des proportions décentes, car à voir le joli petit cul d’Iris, mon bâton commençait à relever la tête.
Quand nous plongeons emportés par notre vitesse, je me sens con, nous sommes mariés et bander devant son épouse est une chose naturelle.
C’est difficile pour moi homme ayant été dans le respect de la femme et des femmes d’exprimer, ce que l’on ressent en ayant à portée de main une telle beauté.
Si la famille a été traumatisée par l’oncle alcoolique, la tasse d’eau propre mais quelque peu impotable qu’elle boit aurait pu arrêter net nos ébats.
Heureusement, tel son preu chevalier je lui sors la tête de l’eau la sauvant de la noyade et d’une mort certaine.
Là, j’exagère un peu, elle boit simplement une bonne rasade d’eau et après quelques quintes de toux et de crachats récupère son souffle.
J’éclate de rire.
• C’est malin, je me noie et la seule chose que tu sais faire, c’est rigoler.
Quelle mauvaise fois heureusement que je suis de bonne composition surtout depuis que j’ai pu enfin goûter aux fruits défendus avant et autoriser après.
La lune est là, donc, comme dans l’autre hémisphère et me permet de voir l’intérieur de sa fourche, dès que je nage derrière elle.
La brasse qu’elle pratique est parfaite pour cela surtout qu’au bout d’un long moment elle se dirige vers la berge.
Elle est meilleure nageuse que moi, aussi elle va pour se relever quand tel un alligator je lui retiens la jambe et je la déséquilibre.
Au départ, c’est l’eau, là, c’est la boue qui se retrouve sur sa figure.
Cette boue, ce doit être elle qui m’a fait glisser lorsque je l’ai entraîné vers le lac et au retour c’est mon geste qui la fait en avoir plein la figure.
Elle se retourne et j’ai à peine le temps de voir son geste, qu’une poignée de boue m’arrive pleine figure.
Elle rit, je ris, nous rillons.
Je suis sur elle, par chance nos bouches sont propres et le baiser que nous échangeons est l’un des plus profonds depuis que notre amour s’est fait jour.
Nos bouches et nos sexes alors quand Iris a écarté ses cuisses comme j’adore qu’elle le fasse et me permettant de la pénétrer jusqu’au tréfonds de son corps.
Est-ce la situation différente de chez mes parents, est-ce l’endroit quand elle se tord de plaisir que pour la première fois au moment de son orgasme elle hurle comme si elle le faisait à la lune.
J’essaye de basculer après avoir éjaculé simultanément bien que je serais resté là toute la nuit mollement étendu sur elle, mais je pèse mon poids.
Ressent-elle la même chose, car ses jambes ouvertes se referment sur mon dos, me scellant entièrement à elle ?
Je suis plutôt un rapport un coup, mais là je sens que je regrandis en elle.
Je bascule, mais pour l’entrainer sur moi.
Je sais pour l’avoir fait souvent qu’elle aime cette position,moi dessous, elle dessus.
Quand son corps se tend en arrière la tête se dirigeant vers le ciel et ses étoiles, hurlant encore plus fort que pour notre première fois qu’elle atteint la jouissance que j’aime tellement lui procurer.
Dans cette nuit de pleine lune, j’ai l’impression au moment où j’éjacule une nouvelle fois qu’elle est la louve garou du film que nous avons regardé en CD l’autre soir.
À la vue de ces monstres, elle s’était blottie dans mes bras évitant de me dire que j’avais épousé une de ces créatures pouvant se transformer d’humains en des loups assoiffés de sang.
Si cette nuit ça doit être moi la victime, je me prête bien volontiers à ce jeu chaque nuit de pleine lune.
Mais tout a une fin, il nous faut rentrer.
Toilette tant bien que mal, au bord du lac.
Contrairement à la Jamaïque, nous retrouvons nos affaires, mais avec du regret pour moi.
Chaque fois que son corps est nu et qu’elle le recouvre, j’ai peur que ce soit la dernière fois qu’elle m’apparaisse nue.
Je suis bête, nous nous aimons temps, pourquoi alors que nous sommes si heureux de telles pensées me traverses le cerveau de temps en temps.
Certains diront que c’est le bonheur intense que j’ai peur de perdre.
Nous sommes donc prêts et lorsque j’arrive chez nous, je croise mon père comme nous avions croisé ces promeneurs dans cette île paradisiaque qui nous regarde avec un drôle d’air.
Je comprends très vite lorsque nous nous dénudons dans notre salle de bains.
Nous avons fait une toilette de chat et de la boue tapissent nos visages.
Bien fatigué et ayant eu notre part d’amour, c’est dans les bras l’un de l’autre que je retrouve la sérénité après l’angoisse de perdre celle que j’aime le plus au monde.
Dans quelques heures notre avion décolle pour Venise...
Je sais lorsque j’ai écrit le titre de ce chapitre de la vie de Phil & Iris, je parlais de Venise.
Phil est si prolifique dans son récit, que je fini juste d’écrire ces lignes.
Ouf, il parle enfin de l’avion pour cet endroit de rêve pour les amoureux.
Je vais aller me coucher pour récupérer et demain je vous le promets, je raconterais le début de leur séjour là-bas.
À demain.
C’est par cette pensée que notre avion décolle de la Jamaïque où nous avons passé un séjour de rêve à nous baigner et à visiter cette île paradisiaque.
Pendant ce voyage de noces très court dans les Caraïbes, je fais la connaissance de façon plus approfondie de celle que je connais depuis ma naissance.
Lorsque je dis approfondie, c’est bien sûr de la totalité de son corps que j’ai plaisir à découvrir enfin de façon fusionnelle.
1 mètre 71, elle est blonde aux yeux verts, une poitrine à faire bander un eunuque, je suis l’homme le plus heureux au monde surtout que j’ai tous mes moyens.
Mais ça vous le savez, car j’ai raconté à Chris71, l’avant, jusqu’aux premières heures de la découverte de notre amour fusionnelle.
Tout ceci complété dans la première partie de notre voyage de noces aux Caraïbes.
De retour dans notre maison, en peu de temps, nous reprenons le chemin de l’aéroport pour nous rendre à Venise.
Comme bon nombre de couples, Venise est une destination de rêve pour tous les amoureux surtout pour nous qui avons de bons moyens d’existence.
Entre ces deux voyages, nous redécouvrons l’amour dans un lit après avoir fait ça dans l’océan Atlantique sur le sable devant notre bungalow.
Seule perte dans ce séjour, fut le haut du maillot d’Iris, un soir de pleine lune où nous nous étions retrouvés nus à baiser sur notre plage sous la bienveillance de la lune.
Voyer les confidences me permet de franchir certaines barrières dues à mon éducation.
Je viens de prononcer les mots « à baiser sur cette plage. »Avant le déroulement de notre vie de couple, j’aurais dit « faire l’amour sur cette plage. » Ayant baisé donc, le haut de son maillot était introuvable comme mon slip de bain.
Le bas, ce sont des clients que nous avions croisé qui l’ont retrouvé alors que nous pensions qu’il était parti voguer sur les flots.
Comme vous l’avez su, après notre mariage nous habitions chez mes parents.
Nous avions trouvé la liberté de baiser sans retenue, après temps d’années d’abstinences forcées par le bon vouloir d’Iris.
À certains regards, la proximité de ma famille crispait un peu nos rapports.
Il faut dire que question orgasme Iris est assez expressive et l’obligation de réfréner ses ondes sonores à très vite diminuer le plaisir que nous prenions.
Au retour de notre voyage, j’ai dans l’idée de voir avec mon père pour qu’il nous trouve enfin notre nid d’amours, notre nid à deux.
J’avais l’impression d’être un coucou ayant investi le nid d’un autre comme ces oiseaux le font pour faire couver leur œuf par des plus petits qu’eux.
Pour ce deuxième voyage, j’avais tout préparé avec celle qui était enfin ma femme.
Dieu que c’est bon de dire « ma femme » après cette longue attente de pouvoir lui faire l’amour au terme de nos 23 ans et notre premier baiser à 16 ans.
Vivre côte à côte après de longs moments d’attente alors que l’être aimé est dans la pièce voisine est un supplice que je souhaite même éviter à mon pire ennemi.
Heureusement, ce genre de personnage m’est inconnu, je suis un homme de paix.
Ayant retrouvé nos rapports sous contrôle, un soir, comme nous l’avions fait sur la plage, nous avons profité de la chaleur tombante pour nous rendre vers le lac qui se trouve non loin de notre habitation.
En quelques minutes ma voiture nous y a transportés avant que je me gare dans un chemin que je savais mener vers un petit coin tranquille.
Nous marchions main dans la main et venions d’atteindre la rive quand Iris me fit cette proposition.
• Et si nous nous baignions.
• Un bain de minuit, mais dans la pure tradition ma chérie.
On a beau être en France, je veux ressentir ce que j’ai ressenti lorsque nous nous sommes aimés sur notre plage jamaïcaine.
J’ai failli lui dire que je craignais pour nos affaires, me voyant mal rentrant à poils en faisant du stop, comme nous l’avions fait là-bas.
Mais la chaleur aidant, je me suis laissé tenter.
Mon père aime la philosophie et pense en philosophe et moi quand je regarde la lune m’aider à redécouvrir le corps d’Iris, des pensées lubriques monte du plus profond de moi.
J’ai envie de rire quand je me demande si cette lune est la même que celle qui m’a permis d’avoir le même plaisir à des milliers de kilomètres de ce coin d’herbe où nous laissons nos affaires.
Je lui prends la main et nous partons en courant.
• Phil tu es fou.
Pour l’être, je le suis, elle se trouve obligée de suivre lorsque nous entrons dans l’eau avec de grandes gerbes.
Nous ressentons tout de suite la différence entre l’eau aux alentours des 30 là-bas alors qu’ici le lac doit péniblement dépasser les 20 à 22 degrés.
Sensation de froid, mais surtout mon sexe revenu à des proportions décentes, car à voir le joli petit cul d’Iris, mon bâton commençait à relever la tête.
Quand nous plongeons emportés par notre vitesse, je me sens con, nous sommes mariés et bander devant son épouse est une chose naturelle.
C’est difficile pour moi homme ayant été dans le respect de la femme et des femmes d’exprimer, ce que l’on ressent en ayant à portée de main une telle beauté.
Si la famille a été traumatisée par l’oncle alcoolique, la tasse d’eau propre mais quelque peu impotable qu’elle boit aurait pu arrêter net nos ébats.
Heureusement, tel son preu chevalier je lui sors la tête de l’eau la sauvant de la noyade et d’une mort certaine.
Là, j’exagère un peu, elle boit simplement une bonne rasade d’eau et après quelques quintes de toux et de crachats récupère son souffle.
J’éclate de rire.
• C’est malin, je me noie et la seule chose que tu sais faire, c’est rigoler.
Quelle mauvaise fois heureusement que je suis de bonne composition surtout depuis que j’ai pu enfin goûter aux fruits défendus avant et autoriser après.
La lune est là, donc, comme dans l’autre hémisphère et me permet de voir l’intérieur de sa fourche, dès que je nage derrière elle.
La brasse qu’elle pratique est parfaite pour cela surtout qu’au bout d’un long moment elle se dirige vers la berge.
Elle est meilleure nageuse que moi, aussi elle va pour se relever quand tel un alligator je lui retiens la jambe et je la déséquilibre.
Au départ, c’est l’eau, là, c’est la boue qui se retrouve sur sa figure.
Cette boue, ce doit être elle qui m’a fait glisser lorsque je l’ai entraîné vers le lac et au retour c’est mon geste qui la fait en avoir plein la figure.
Elle se retourne et j’ai à peine le temps de voir son geste, qu’une poignée de boue m’arrive pleine figure.
Elle rit, je ris, nous rillons.
Je suis sur elle, par chance nos bouches sont propres et le baiser que nous échangeons est l’un des plus profonds depuis que notre amour s’est fait jour.
Nos bouches et nos sexes alors quand Iris a écarté ses cuisses comme j’adore qu’elle le fasse et me permettant de la pénétrer jusqu’au tréfonds de son corps.
Est-ce la situation différente de chez mes parents, est-ce l’endroit quand elle se tord de plaisir que pour la première fois au moment de son orgasme elle hurle comme si elle le faisait à la lune.
J’essaye de basculer après avoir éjaculé simultanément bien que je serais resté là toute la nuit mollement étendu sur elle, mais je pèse mon poids.
Ressent-elle la même chose, car ses jambes ouvertes se referment sur mon dos, me scellant entièrement à elle ?
Je suis plutôt un rapport un coup, mais là je sens que je regrandis en elle.
Je bascule, mais pour l’entrainer sur moi.
Je sais pour l’avoir fait souvent qu’elle aime cette position,moi dessous, elle dessus.
Quand son corps se tend en arrière la tête se dirigeant vers le ciel et ses étoiles, hurlant encore plus fort que pour notre première fois qu’elle atteint la jouissance que j’aime tellement lui procurer.
Dans cette nuit de pleine lune, j’ai l’impression au moment où j’éjacule une nouvelle fois qu’elle est la louve garou du film que nous avons regardé en CD l’autre soir.
À la vue de ces monstres, elle s’était blottie dans mes bras évitant de me dire que j’avais épousé une de ces créatures pouvant se transformer d’humains en des loups assoiffés de sang.
Si cette nuit ça doit être moi la victime, je me prête bien volontiers à ce jeu chaque nuit de pleine lune.
Mais tout a une fin, il nous faut rentrer.
Toilette tant bien que mal, au bord du lac.
Contrairement à la Jamaïque, nous retrouvons nos affaires, mais avec du regret pour moi.
Chaque fois que son corps est nu et qu’elle le recouvre, j’ai peur que ce soit la dernière fois qu’elle m’apparaisse nue.
Je suis bête, nous nous aimons temps, pourquoi alors que nous sommes si heureux de telles pensées me traverses le cerveau de temps en temps.
Certains diront que c’est le bonheur intense que j’ai peur de perdre.
Nous sommes donc prêts et lorsque j’arrive chez nous, je croise mon père comme nous avions croisé ces promeneurs dans cette île paradisiaque qui nous regarde avec un drôle d’air.
Je comprends très vite lorsque nous nous dénudons dans notre salle de bains.
Nous avons fait une toilette de chat et de la boue tapissent nos visages.
Bien fatigué et ayant eu notre part d’amour, c’est dans les bras l’un de l’autre que je retrouve la sérénité après l’angoisse de perdre celle que j’aime le plus au monde.
Dans quelques heures notre avion décolle pour Venise...
Je sais lorsque j’ai écrit le titre de ce chapitre de la vie de Phil & Iris, je parlais de Venise.
Phil est si prolifique dans son récit, que je fini juste d’écrire ces lignes.
Ouf, il parle enfin de l’avion pour cet endroit de rêve pour les amoureux.
Je vais aller me coucher pour récupérer et demain je vous le promets, je raconterais le début de leur séjour là-bas.
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