COLLECTION HOMME – FEMME. Phil & Iris. Voyage de noces à Venise. Fin de la saison I (3/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION HOMME – FEMME. Phil & Iris. Voyage de noces à Venise. Fin de la saison I (3/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME – FEMME. Phil & Iris. Voyage de noces à Venise. Fin de la saison I (3/3)
• Bon séjour, voici ma carte avec mon numéro de téléphone.
Vous voyez, les gondoles amarrées sur ce ponton sont ma propriété depuis mon retour de Paris ainsi que le moscafi, bateau taxi qui nous a amenés.
Comme je te l’ai dit, je travaille avec votre hôtel.
Attends, je t’aide à descendre.

Une fois de plus, j’ai beau savoir que les Italiens sont cajoleurs, mais quand il prend la main de ma femme et qu’il la garde plus que de raison, si pour certains ça les aides à bander, moi pas.
Comment s’appelle ce genre de mec qui prenne leur pied à regarder sa femme se faire sauter devant eux ?
Oui, des candaulismes.

• Buongiorno signorina e signore.
Soyez les biens venus à Venise et à l’hôtel Danieli.
Ludivine, conduisez ces signors dans la suite 69.

Suite 69, Iris devient rouge pivoine.
Simplement le décor autour de nous est grandiose.
Nos parents voulaient le meilleur pour nous, ils nous ont plus que gatté.
Jusque dans la chambre style empire.
Le lit impressionne Iris.
Certainement deux mètres sur deux.

• Je vais te perdre mon amour dans un tel lit.

Une des deux fenêtres est ouverte.
Nous sommes en hauteur, mais la foule est si dense pour se rendre au pont des soupirs que le bruit monte jusqu’à nous.
Iris va vers la salle de bain et en ressort nu.
Ai-je dit qu’elle est belle dans sa blondeur ?
Certainement, car c’est la vérité.
Quelle chance j’ai eue d’épouser une telle femme.

• Va te doucher, je vais défaire les affaires pour la nuit, je t’apporte ta trousse de toilette.

Je la croise, je lui prends l’arrière de ses boucles blondes.
Pour la millième fois, nos bouches se croisent.
Mille, c’est un doux euphémisme.
Mille, dix milles, cent milles, pas d’excès tout de même.
Ma main descend vers sa toison qu’elle trouve sans peine, depuis que nous avons dit « oui », elle m’est acquise.
Je me vois bien commencer notre voyage de noces par une jolie partie de jambes en l’air sur ce lit, cette table voire carrément sur la moquette plus épaisse que toutes celles que j’ai eu le plaisir de fouler.

• Va te doucher, je veux aller faire des photos du pont des soupirs avant de fouler la place Saint Marc.

Elle m’abandonne comme une chaussette trop vieille et va vers nos bagages posés par le bagagiste avant notre arrivée.
Oh ! son petit cul, sans la moindre trace de ce que les femmes ont peur d’apercevoir surtout en vieillissant, de la cellulite.
Un gros soupire sort de ma bouche.
À mon tour je vais dans la salle de bains.
La chambre est merveilleuse et la salle d’eau est à l’unisson.
Robinet doré, le tout en marbre rose.
Un seul de ces robinets doit coûter le prix de notre voyage de noces, avion compris.
J’entre dans la baignoire, mais j’ouvre la douche.
L’eau est parfaite quand Iris m’amène mes affaires.
Si elle savait l’effet qu’elle me fait en tortillant son joli derrière, certainement sans s’en rendre compte.
Ma queue, elle s’en aperçoit.
Surtout mon gland qui se redresse.
Je me tourne, si elle en fait de même elle risque de s’offusquer que je bande derrière son dos.
Je finis mes ablutions, mais je suis toujours dans cette position dite du « garde-à-vous. »
Sécher, je vais dans la chambre.
J’ai dit qu’une fenêtre était ouverte et qu’il y avait un balcon.
Iris toujours nue est appuyée sur la rambarde de pierre ses très beaux globes protégés par ses mains.
J’arrive par-derrière.

• Iris, je te rappelle qu’il y a des gens qui circulent sous ce balcon.

Je me colle à elle, son globe charnu est obligé de sentir la situation.

• Ils sont si bas et nous si hauts, je suis sortie, car j’ai entendu un cri.

Mes mains passent sous les siennes.
Ses pointes sont exacerbées.
Je sais qu’elle aussi à envie.
Sur le ponton des gondoles, je vois Livio assis sur la rambarde du quai, il lève la tête juste au moment où Iris m’échappe.
A-t-il vu la nudité d’Iris, j’ai autre chose à faire que de me poser cette question.
J’essaye de l’attraper, elle s’échappe et par vers la salle de bain.
Je commence à lui courir après, voyant que je suis sur ses talons, elle bifurque vers la seconde pièce où se trouve une table, des chaises et des fauteuils en tissu bleu.
Elle détale passant derrière la table.
J’en fais de même, mais elle saute sur le fauteuil bleu.
Je la suis, il se couche et je m’étale.
Ça sert d’être souple, roulé boulé et je suis sur mes pieds.
Pendant ce temps Iris est monté sur le lit, je la rattrape et à quelques centimètres je la ratte quand elle se sauve de nouveau.
Mon dieu quel cul, je bande, je cours, il me la faut.
Deux tours de piste et je finis par la pécho près de la table.
Je me colle à son corps.

• Mes seins !
• Oui, mon amour tes seins.

Iris depuis que, je l’ai dépucelé aime diriger nos ébats.
Ma bouche descend sur le droit.
Je le tète comme j’espère le fera notre premier enfant que je compte bien lui faire pendant notre voyage.
Pourquoi pas maintenant ?
Ils bandaient sur le balcon, je sens qu’ils sont exacerbés sous ma langue.

• Mon nombril maintenant.
Aller, tu veux jouer, mais fais ça bien.
Je sais qu’ils existent, certains beaux gosses qui savent parler aux femmes.

J’arrête le mouvement de langue dans la profondeur de son nombril et je lève la tête comme un chien quémandant un os à sa mémère.
Par chance, ses yeux verts remplis d’amour contredisent ses paroles.
J’avais peur qu’elle pense à notre vil séducteur.
Elle s’assoit sur la table écartant ses cuisses.
Ouf, je récupère mon amour à moins que dans sa tête Livio soit plus proche de nous que je le pense.
Il faut que je le chasse de ses pensées s’il y est venu parmi nous.
Je sais depuis le temps qu’elle aime les cunnilingus, du moins les miens.
Rapidement elle s’envole.
Non, elle risque de passer par la fenêtre et de planer vers qui l’on sait.
Je bande comme jamais.
Je me redresse, je la prends par les hanches et c’est elle qui me prend la queue pour la mettre en elle.
J’ai une seule peur, décharger trop vite avant de la satisfaire.
Il faut qu’elle parte avant moi.

« Il est dès notre, il a bu son verre comme les autres. »
« Prends un enfant par la main. »

Non, pour un enfant, il faut du sperme et je veux retenir le mien.

« Le curé de Camaret a les couilles qui pendent et quand il... »

Ça c’est bien, voire les couilles d’un curé dans ma tête, ça ralentit le moment de la création de notre enfant.

• Oui, Phil, oui Phil, oui Phil ouiiiiiiiiiii.

On comprend que je sois au sommet de mon plaisir comme elle l’est, elle aussi.
Nous jouissons simultanément.
Ou sont-ils les Livio, Pedro, Guiseppe, Aldo, Sylvio, Livio.
Surtout pas Sylvio, le pays en a eu un pendant des années, inutile de le faire revenir quant à Livio que dire.
Bref quand nous rejoignons la salle de bains, c’est le mâle dominant Français qui vient de terrasser sa belle pouliche française elle aussi.
Vive la France.

Une fois ma queue propre, bien que la cyprine d’Iris quand je la sentais sous ma langue était loin de la salir, nous nous habillons bon chic bon genre et les clefs déposées, je l’entraine soupirer...

Les avis des lecteurs

Xavier, j'ai vu le problème lié au "&" qui génère ce problème dans le titre certainement du
au interface entre Word et HDS
J'ai rectifié le tire dans la saison suivante en remplaçant"&" par"et"

Merci Phil content que ça vous satisface

Histoire Erotique
Y a toujours un problème avec le titre.
Où va cette histoire ? Quand ça commence très bien, aussi paradisiaque, j'imagine que ça
n'annonce rien de bon. Ce Livio va-t-il rompre l'union, l'unisson plutôt, de ce charmant
couple amoureux ?
Xav.

Histoire Erotique
Sans commentaire sauf que c'est très bien...
Phil.



Texte coquin : COLLECTION HOMME – FEMME. Phil & Iris. Voyage de noces à Venise. Fin de la saison I (3/3)
Histoire sexe : Une rose rouge
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