COLLECTION HOMME – FEMME. Phil & Iris. Voyage de noces aux Caraïbes. (1/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME – FEMME. Phil & Iris. Voyage de noces aux Caraïbes. (1/4)
J’ai été invité par un homme appelé Philippe, Phil pour nous leurs intimes, à mettre en forme leur histoire avec Iris.
Suite d’ « un amour fusionnel. »
Phil continue à me raconter leur histoire.
Notre nuit de noces terminées, Iris, même si avant elle montraient à tous des formes généreuses et un esprit de femme venait de le devenir réellement.
Moi aussi par la même occasion.
Malgré la colocation pour nos études payées par mes parents, lorsque notre amour a remplacé nos jeux d’enfants, puis ceux de notre adolescence à cette heure de la nuit, nous étions vierges.
16 ans, premier baiser par surprise redoutant un refus.
17, notre installation en colocation pour le début de nos études et enfin, oui, enfinnnnn... mariage et nuit de noces à 23 ans.
6 ans de me manger les points lorsque je quittais mes bouquins ou je m’abrutissais pour tomber comme une masse pour éviter de me pignoler trop souvent.
Je dois reconnaitre que la première fois dans ce qui devenait notre lit, j’étais tellement excité que j’en ai perdu mes moyens.
Quelque temps seulement dans cette longue nuit, car rapidement les images accumulées dans ma tête au fil des années sont remontées du fond de mon cerveau, j’ai pu la dépuceler.
Il est difficile de se défaire de pratiques inavouables lorsqu’un jeune se masturbe persuadé qu’il va devenir sourd, mais j’y suis arrivé baisant même Iris alors qu’elle me présente ses fesses.
À ce moment du début de notre vie sexuelle, j’ignore si un jour elle m’offrira son petit trou fripon, mais restant gentleman, je la prends de nouveau dans sa chatte.
La position qu’elle me montrait je pensais à une provocation alors qu’elle cherchait simplement l’une de ses mules parties sous le lit.
Pas grave, elle a apprécié me montrant par ses cris le plaisir que je lui apportais, rattrapant mon manque de vigueur de nos premiers moments.
Dans notre nuit de noces, les plaisirs aquatiques ont fait partie de nos jeux avant de nous écrouler d’un sommeil plus que réparateur.
Vierge, elle l’avait été, vierge à jamais je l’en ai privée.
Le temps de roder notre couple, sexuellement partant, car vivre ensemble on connaissait déjà.
Apprendre à aller trop loin sans pour cela choquer l’autre, appréciant de la prendre sur la table de la cuisine.
Je dois avouer que ce fantasme, je l’avais depuis le début de notre colocation quand certains matins, nos heures concordant elle se montrait à moi en nuisette affriolante.
Devant mon bol de céréales, je me suis souvent demandé si elle me provoquait pour que ce soit moi qui l’aide à renier son serment de chasteté avant notre mariage.
6 ans, rendons-nous compte, je suis un héros, surtout s’étant agenouillé devant moi pour me prendre le sexe dans sa bouche, je la redresse et je la pilonne l’ayant assise sur le plan de travail.
C’était facile d’avoir le bras tendu, alors qu’elle était simplement provocante, Iris depuis notre mariage, comme moi d’ailleurs, nous sommes souvent nus dans notre maison, à la limite quel devienne un lupanar.
Enfin voilà qu’arrive notre voyage de noces.
Tout d’abord, trois jours dans les Caraïbes plus particulièrement la Jamaïque patrie de Bob Marley.
Nous étions impatients de nous envoler, surtout pour ces courts séjours, comme de jeunes puceaux et pucelles qui attendaient pour baiser la première fois.
En écrivant cela, je me rends compte que nous l’étions encore il y a quelques jours.
Au décollage, Iris me rentrait ses ongles dans le bras de peur.
Là encore, j’écris ça pour éviter de dire que c’était moi qui me trouvais dans cet état.
• Je vous vois stressé, pourtant il y a un quart d’heure que notre cher pilote nous a fait monter à 10 000 mètres.
Voulez-vous un verre de whisky ?
Je me rappelle l’histoire de l’oncle d’Iris et alors que j’allais dire oui, je demande un verre d’oranges pressées.
La suite de nos aventures va me montrer que j’ai eu raison de refuser.
Nous sommes installées dans les rangs centraux d’un Boeing 747.
Quatre places au quatrième rang.
Deux pour nous et deux pour Caroline et Gilbert.
Caroline belle blonde elle aussi et Gilbert du genre renfrogné et bourru.
Caroline, Gilbert, Iris et Moi, voilà comment nous sommes assis.
Pendant le vol, je m’assoupis après avoir bu le jus d’orange avec de la glace pilée.
Ce sera la dernière fois de notre voyage que je boirais ce genre de breuvage naturel.
Aux Caraïbes, il nous a été recommandé d’éviter de boire de l’eau hors de bouteilles d’eau minérale.
La tourista risquerait de gâcher notre lune de miel.
Les revus que j’ai lus en préparant notre voyage, nous ont mises en garde contre les cornets de papier dans lesquels les vendeurs mettent de la glace pilée avec par-dessus du sirop de toutes les couleurs.
Glace, même pilée, dit eau du service d’assainissement et immanquablement j’évite de faire un dessin comment notre séjour risque de se terminer.
Nous allons passer des heures côte à côte, c’est naturellement que nous sympathisons.
Dans un avion, il est difficile de converser à quatre de front comme nous l’étions.
Caroline et moi nous passons notre temps à moitié plié afin de nous parler.
Jolie blonde, je l’ai dit, mais loin d’être aussi belle qu’Iris.
La différence, ce sont ses seins, de vrais obus, en se penchant son corsage me les montrait à la limite de me faire bander.
• Il y a longtemps que vous êtes mariée !
• Deux mois, mais ça fait 8 ans que nous sommes ensemble.
• Et vous partez seulement en voyage de noces.
• Oui, Gilbert a arrêté de fumer pour qu’avec ce qu’il dépensait nous fassions le voyage dont je rêvais.
• Nous avons mis longtemps à économiser, car par deux fois j’ai replongé.
• Vous avez des enfants !
• Oui, des jumelles
• Je les ai mis dans nos bagages, elles sont dans la soute.
• Gilbert arrête de faire marcher nos compagnons de voyage.
Nos filles sont chez mes parents à Palaiseau.
Dans la valise, ce sont nos jumelles de vue.
Ça c’est tout l’humour de mon chère et tendre.
Comme je l’ai dit, je somnole quand malgré les bruits des moteurs, j’entends comme des personnes qui se disputent.
• Arrête d’essayer de caresser le bras d’iris, qu’a-t-elle à faire d'un vieux crouton comme toi.
• Connasse, si tu savais ce que j’en ai à foutre de cette petite pétasse.
Iris a-t-elle entendu l’altercation, elle se lève, m’embrasse d’un baiser plus profond que le terme de connasse employé par Gilbert envers sa femme et se dirige vers les toilettes.
Je fais celui qui reprend pied sur terre, façon de parler à plus de 10 000 et d’une façon naturelle, je me lève et je prends la place de mon être aimé.
Je vais voir s’il me caresse le bras à moi aussi.
C’est tout pour le voyage, mais j’ai trouvé bizarre que deux êtres qui s’aiment puissent tenir des propos aussi orduriers entre eux.
Nous avons un bungalow au bord de la plage.
Par chance ou malchance, dans cette grande île, Caroline et Gilbert sont dans le même hôtel, par chance tout de même, à quatre bungalows du nôtre.
Nous nous retrouvons devant le buffet froid qui va rythmer notre séjour.
• Nous avons loué une voiture, nous allons visiter la maison de naissance de Bob Marley à Nine Miles, vous nous accompagnez, quand il y en a pour deux, il y en a pour quatre.
Nous avions prévu d’y aller, mais avant c’est le lieu de naissance à Trelawny d’Usain Bolt à l’autre bout de l’île que nous pensions aller voir.
C’est difficile de refuser, va pour Bob Marley.
Nous visitons la maison, Iris regarde des souvenirs à acheter.
Je monte dans les étages quand j’entends que ça s’enguirlande de nouveau en Français.
• Sale pute, fais-moi croire que le serveur qui servait le buffet tout à l’heure, tu étais insensible à son charme, va baiser avec pendant que tu y es.
C’est le soir après les fruits, principalement mangés au dîner, qu’avant d’aller faire une balade au clair de lune sur la plage devant nos bungalows qu’Iris me fait une demande.
• Chéri, j’ai oublié de prendre une bouteille d’eau pour la nuit, peux-tu retourner au resto m’en chercher une.
Toujours prêt pour mon amour, je file au restaurant.
Je vais pour tourner entre deux bungalows quand j’entends des bruits explicites, un couple fait l’amour.
Je passe ma tête discrètement.
• Oui, t’es comme moi, tu parles en Anglais, moi pas, mais défonce-moi avec ta grosse queue.
C’est la belle Caroline avec le serveur dont Gilbert parlait qui saute entre ces deux bungalows notre copine de voyage.
• Putain, c’est bon, prends-moi comme une bête, une chose, je suis ta chose.
Des conneries, on en dit autant avec Iris lorsque nous faisons l’amour !
Caroline se dégage du mur où elle était appuyée et se retournant, s’agenouille me faisant voir sa chatte poilue et se met à le sucer.
Je me mets à bander.
J’en ai assez vu, je m’éclipse.
À quelques mètres de retrouver Iris, je croise Gilbert.
• As-tu vu Caroline, je la cherche
Que puis-je répondre ?...
Suite d’ « un amour fusionnel. »
Phil continue à me raconter leur histoire.
Notre nuit de noces terminées, Iris, même si avant elle montraient à tous des formes généreuses et un esprit de femme venait de le devenir réellement.
Moi aussi par la même occasion.
Malgré la colocation pour nos études payées par mes parents, lorsque notre amour a remplacé nos jeux d’enfants, puis ceux de notre adolescence à cette heure de la nuit, nous étions vierges.
16 ans, premier baiser par surprise redoutant un refus.
17, notre installation en colocation pour le début de nos études et enfin, oui, enfinnnnn... mariage et nuit de noces à 23 ans.
6 ans de me manger les points lorsque je quittais mes bouquins ou je m’abrutissais pour tomber comme une masse pour éviter de me pignoler trop souvent.
Je dois reconnaitre que la première fois dans ce qui devenait notre lit, j’étais tellement excité que j’en ai perdu mes moyens.
Quelque temps seulement dans cette longue nuit, car rapidement les images accumulées dans ma tête au fil des années sont remontées du fond de mon cerveau, j’ai pu la dépuceler.
Il est difficile de se défaire de pratiques inavouables lorsqu’un jeune se masturbe persuadé qu’il va devenir sourd, mais j’y suis arrivé baisant même Iris alors qu’elle me présente ses fesses.
À ce moment du début de notre vie sexuelle, j’ignore si un jour elle m’offrira son petit trou fripon, mais restant gentleman, je la prends de nouveau dans sa chatte.
La position qu’elle me montrait je pensais à une provocation alors qu’elle cherchait simplement l’une de ses mules parties sous le lit.
Pas grave, elle a apprécié me montrant par ses cris le plaisir que je lui apportais, rattrapant mon manque de vigueur de nos premiers moments.
Dans notre nuit de noces, les plaisirs aquatiques ont fait partie de nos jeux avant de nous écrouler d’un sommeil plus que réparateur.
Vierge, elle l’avait été, vierge à jamais je l’en ai privée.
Le temps de roder notre couple, sexuellement partant, car vivre ensemble on connaissait déjà.
Apprendre à aller trop loin sans pour cela choquer l’autre, appréciant de la prendre sur la table de la cuisine.
Je dois avouer que ce fantasme, je l’avais depuis le début de notre colocation quand certains matins, nos heures concordant elle se montrait à moi en nuisette affriolante.
Devant mon bol de céréales, je me suis souvent demandé si elle me provoquait pour que ce soit moi qui l’aide à renier son serment de chasteté avant notre mariage.
6 ans, rendons-nous compte, je suis un héros, surtout s’étant agenouillé devant moi pour me prendre le sexe dans sa bouche, je la redresse et je la pilonne l’ayant assise sur le plan de travail.
C’était facile d’avoir le bras tendu, alors qu’elle était simplement provocante, Iris depuis notre mariage, comme moi d’ailleurs, nous sommes souvent nus dans notre maison, à la limite quel devienne un lupanar.
Enfin voilà qu’arrive notre voyage de noces.
Tout d’abord, trois jours dans les Caraïbes plus particulièrement la Jamaïque patrie de Bob Marley.
Nous étions impatients de nous envoler, surtout pour ces courts séjours, comme de jeunes puceaux et pucelles qui attendaient pour baiser la première fois.
En écrivant cela, je me rends compte que nous l’étions encore il y a quelques jours.
Au décollage, Iris me rentrait ses ongles dans le bras de peur.
Là encore, j’écris ça pour éviter de dire que c’était moi qui me trouvais dans cet état.
• Je vous vois stressé, pourtant il y a un quart d’heure que notre cher pilote nous a fait monter à 10 000 mètres.
Voulez-vous un verre de whisky ?
Je me rappelle l’histoire de l’oncle d’Iris et alors que j’allais dire oui, je demande un verre d’oranges pressées.
La suite de nos aventures va me montrer que j’ai eu raison de refuser.
Nous sommes installées dans les rangs centraux d’un Boeing 747.
Quatre places au quatrième rang.
Deux pour nous et deux pour Caroline et Gilbert.
Caroline belle blonde elle aussi et Gilbert du genre renfrogné et bourru.
Caroline, Gilbert, Iris et Moi, voilà comment nous sommes assis.
Pendant le vol, je m’assoupis après avoir bu le jus d’orange avec de la glace pilée.
Ce sera la dernière fois de notre voyage que je boirais ce genre de breuvage naturel.
Aux Caraïbes, il nous a été recommandé d’éviter de boire de l’eau hors de bouteilles d’eau minérale.
La tourista risquerait de gâcher notre lune de miel.
Les revus que j’ai lus en préparant notre voyage, nous ont mises en garde contre les cornets de papier dans lesquels les vendeurs mettent de la glace pilée avec par-dessus du sirop de toutes les couleurs.
Glace, même pilée, dit eau du service d’assainissement et immanquablement j’évite de faire un dessin comment notre séjour risque de se terminer.
Nous allons passer des heures côte à côte, c’est naturellement que nous sympathisons.
Dans un avion, il est difficile de converser à quatre de front comme nous l’étions.
Caroline et moi nous passons notre temps à moitié plié afin de nous parler.
Jolie blonde, je l’ai dit, mais loin d’être aussi belle qu’Iris.
La différence, ce sont ses seins, de vrais obus, en se penchant son corsage me les montrait à la limite de me faire bander.
• Il y a longtemps que vous êtes mariée !
• Deux mois, mais ça fait 8 ans que nous sommes ensemble.
• Et vous partez seulement en voyage de noces.
• Oui, Gilbert a arrêté de fumer pour qu’avec ce qu’il dépensait nous fassions le voyage dont je rêvais.
• Nous avons mis longtemps à économiser, car par deux fois j’ai replongé.
• Vous avez des enfants !
• Oui, des jumelles
• Je les ai mis dans nos bagages, elles sont dans la soute.
• Gilbert arrête de faire marcher nos compagnons de voyage.
Nos filles sont chez mes parents à Palaiseau.
Dans la valise, ce sont nos jumelles de vue.
Ça c’est tout l’humour de mon chère et tendre.
Comme je l’ai dit, je somnole quand malgré les bruits des moteurs, j’entends comme des personnes qui se disputent.
• Arrête d’essayer de caresser le bras d’iris, qu’a-t-elle à faire d'un vieux crouton comme toi.
• Connasse, si tu savais ce que j’en ai à foutre de cette petite pétasse.
Iris a-t-elle entendu l’altercation, elle se lève, m’embrasse d’un baiser plus profond que le terme de connasse employé par Gilbert envers sa femme et se dirige vers les toilettes.
Je fais celui qui reprend pied sur terre, façon de parler à plus de 10 000 et d’une façon naturelle, je me lève et je prends la place de mon être aimé.
Je vais voir s’il me caresse le bras à moi aussi.
C’est tout pour le voyage, mais j’ai trouvé bizarre que deux êtres qui s’aiment puissent tenir des propos aussi orduriers entre eux.
Nous avons un bungalow au bord de la plage.
Par chance ou malchance, dans cette grande île, Caroline et Gilbert sont dans le même hôtel, par chance tout de même, à quatre bungalows du nôtre.
Nous nous retrouvons devant le buffet froid qui va rythmer notre séjour.
• Nous avons loué une voiture, nous allons visiter la maison de naissance de Bob Marley à Nine Miles, vous nous accompagnez, quand il y en a pour deux, il y en a pour quatre.
Nous avions prévu d’y aller, mais avant c’est le lieu de naissance à Trelawny d’Usain Bolt à l’autre bout de l’île que nous pensions aller voir.
C’est difficile de refuser, va pour Bob Marley.
Nous visitons la maison, Iris regarde des souvenirs à acheter.
Je monte dans les étages quand j’entends que ça s’enguirlande de nouveau en Français.
• Sale pute, fais-moi croire que le serveur qui servait le buffet tout à l’heure, tu étais insensible à son charme, va baiser avec pendant que tu y es.
C’est le soir après les fruits, principalement mangés au dîner, qu’avant d’aller faire une balade au clair de lune sur la plage devant nos bungalows qu’Iris me fait une demande.
• Chéri, j’ai oublié de prendre une bouteille d’eau pour la nuit, peux-tu retourner au resto m’en chercher une.
Toujours prêt pour mon amour, je file au restaurant.
Je vais pour tourner entre deux bungalows quand j’entends des bruits explicites, un couple fait l’amour.
Je passe ma tête discrètement.
• Oui, t’es comme moi, tu parles en Anglais, moi pas, mais défonce-moi avec ta grosse queue.
C’est la belle Caroline avec le serveur dont Gilbert parlait qui saute entre ces deux bungalows notre copine de voyage.
• Putain, c’est bon, prends-moi comme une bête, une chose, je suis ta chose.
Des conneries, on en dit autant avec Iris lorsque nous faisons l’amour !
Caroline se dégage du mur où elle était appuyée et se retournant, s’agenouille me faisant voir sa chatte poilue et se met à le sucer.
Je me mets à bander.
J’en ai assez vu, je m’éclipse.
À quelques mètres de retrouver Iris, je croise Gilbert.
• As-tu vu Caroline, je la cherche
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