COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Fin de la Saison III (12/12) - histoire érotique

C’est sur la plage de la grande côte que mère nous entraîne afin de nous faire bronzer en nue intégrale.
Sur cette plage, il y a deux hommes qui semblent s’intéresser à nous.
Je fais un petit somme comme Claire ma petite maîtresse violoncelliste comme moi dans cette tournée des plages de notre jeune vedette Cécilia la coqueluche des jeunes de notre pays.
Claire que j’ai réussi à sortir des griffes d’un affreux bonhomme à Paris avant le départ de notre tournée.
Nat notre batteuse a réussi l’exploit d’être vierge dans un métier où lors de tournées, nous sommes sollicités par les uns ou les autres.
C’est mère qui ayant trouvé le gode qui nous a servi à contraindre le beau-père de Claire de la libérer des chaînes qui lui permettaient de la contraindre à être sa maîtresse, la dépucelle.
Dans la pinède où je les suis, je vois Nat pour la première fois se donner à deux hommes.
Connaissant mère, je sais qu’elle va elle aussi profiter de ces deux garçons.
Je bas donc en retraite afin de retrouver Claire.
Une deuxième fois le soleil fait son effet et en me réveillant, Claire a rejoint nos amies.
C’est à une partouze au soleil que j’assiste.
Deux hommes semblent attendre leur tour en se paluchant et en s’embrassant.
Ignorant si ce sont des homos ou des bis, je m’approche, m’agenouille et les prends en bouche.
Ils sont déjà prêts à me pourfendre aussi quand l’un d’eux s’allonge dans le sable fin, je plonge dessus m’empalant directement.
Claire se fait prendre en double pénétration et sans que le deuxième me demande mon avis, il m’encule me faisant hurler de plaisirs.
Moi aussi j'accepte la prise par deux hommes qui comme ils me le montrent sont bien bisexuels.
Rapidement ils me font monter très haut, comme les pins qui nous entourent jusqu’à me remplir de leur sperme aussi chaud que le sable sur lequel mes genoux reposent.
Dans la ruche, les abeilles ayant butinées s’en retournent à leur labeur nous laissant pantelante de plaisir.
Mère ayant commandé le retour du taxi après nous être lavées les chattes dans le bord de l’eau sans prendre le moindre risque nous réunissons nos affaires et retrouvons le chemin nous menant à la route.
Les deux premiers hommes ayant baisé Nat pour la première fois ont retrouvé leurs serviettes et nous font un petit signe de la main.
Repus de soleil et de sexe, après une soirée pizza sur le port de Royan, nous nous couchons certainement toutes satisfaites de notre première journée dans cette belle ville.

Royan, Le Verdon par un bac.
Claire trouve le moyen d’être malade pendant les 25 minutes de traversée.
Mais le soir à Soulac elle assure juste le concert avant d’aller se coucher.
Par la fenêtre de la chambre je vois mère monter dans un taxi avec Nat, encore des turpitudes en vue.
Je laisse Claire se reposer lui ayant fait monter un sandwich et quelques fruits si elle se réveille et si elle a faim.
C’est la première fois que je suis seule sans aucun autre de la troupe que nous formons.
Je passe devant un restaurant quand je suis interpellée.

- Isabelle assied toi et prend un verre avec nous.

Je suis étonnée de cette interpellation.
Elle est accompagnée de ses boys.
Ils sont méconnaissables derrière leur déguisement et leurs lunettes noires.
Cécilia a une perruque rousse ainsi que ses boys Ruan et John.
Ruan est espagnol et John noir américain.
J’ai souvent regardé John danseur à la musculature d’athlète, mais je savais que Cécilia les avait accaparés et que mon minou pouvait baver d’envie sans être rassasié.
Je m’assieds près d’eux surprise de cette invitation.

- Tu te promènes.

Comme à son habitude elle est partie en voiture de luxe jusqu’ici et doit ignorer que mon amie Claire a été malade pendant la traversée.

- Claire va mieux ?
- Elle se repose, tu es au courant ?
- Christian m’a prévenu, c’est un régisseur parfait pour une jeune vedette comme moi.
Il a géré les tournées des plus grandes vedettes, Aznavour, Sardou et même une année bien lointaine de celui qui se dit l’idole des jeunes.
À que Johnny.

Le ton dont elle prononce ces mots me montre qu’elle est loin d’avoir le respect de celui qui a bercé mon enfance, mère en plus des bites ou des chattes a une passion pour notre idole nationale.

- Elle dort dans notre chambre.
- J’ai apprécié son professionnalisme, elle a assuré ce soir.
J’ai fait une gastro une fois, j’ai dû annuler.
Vous vous souvenez les gars ?
- Et comment, nous étions déjà sur scène attendant que tu te jettes dans nos bras t’élançant des coulisses et rien, personne.
Le public sifflait ça a été la plus grande honte de ma carrière.

Nous mangeons le plateau de fruits de mer qu’ils avaient déjà commandé avec en dessert une île flottante.
J’adore la crème Anglaise.
Tout le repas Cécilia s’adresse à moi, semblant oublier ses boys.
Plusieurs fois sa main alors que je prenais une tranche de pain de seigle beurré a profité de la position qu’elle avait pour me la toucher à la limite de la caresser.

- Entre Isabelle, j’aimerais que nous continuions à parler de ma jeunesse.
Les gars, dans votre chambre, avec notre amie je suis tranquille, personne ne viendra m’importuner.

Les deux garçons comme de bons toutous passent dans la chambre voisine alors que j’espérais une partie carrée.
La porte refermée la chambre étant double, Cécilia ôte ses lunettes et ôte sa perruque, m’apparaissant en jeune fille brune alors que sur scène elle est blonde.

- Je vois que tu es étonnée, plusieurs choses que j’espère tu garderas pour toi.
Sur scène et au contact de mes fans, je suis blonde alors que je suis brune naturellement.
Tu as vu, j’ai fait rentrer mes toutous dans leur niche.
Je sais que la presse dit que ce sont mes amants.
Je suis vierge, ce sont mes danseurs et mes gardes du corps depuis qu’un soir rentrant d’un repas, j’ai trouvé une jeune ado amoureuse de moi suçant mes petites culottes.
Depuis j’ai pris deux décisions, je vis sans culotte ça tombe bien ma tenue de scène me le permet et mes boys dorment près de moi.
Si j’étais restée seule avec eux, en ce moment ils seraient dans leur chambre la porte ouverte.
- Je peux te demander quelque chose ?
- Nous sommes là pour nous faire des confidences déshabilles-toi, nous allons prendre un bain.
Si je m’écoutais, je ressortirais sans mes chaperons et j’irais me jeter dans la mer.
- Et si on le faisait, soyons folles sans les appeler bien sûr.
Mais avant tu as dit que tu étais vierge pourtant on te prête de nombreuses liaisons.
- Viens, je veux être folle, allons jusqu’à la plage.

Sans bruit, nous quittons la chambre qui par chance a des gonds bien graissés.
Les veilleurs de nuit voient passer deux femmes courant l’une ils doivent la reconnaître, c’est moi et l’autre sans sa perruque doit leur être inconnu.
Nous courrons jusqu’à la plage.
Luis et Robin ont déjà tous démonté et doivent rouler vers Arcachon notre prochaine étape.
Nos affaires mises en tas, nous courrons vers l’onde claire, la mer étant d’huile.
J’espère simplement que dans le coin les paparazzis seront couchés car je me vois mal dans une certaine presse courir les seins à l’air, ainsi que ceux de Cécilia qui tressaute quand je tourne ma tête et surtout la chatte à l’air.
Loin d’être pudiques, même floutées, nos chattes sont à nous et nous en faisons ce que nous voulons.
Nous nous poussons, ma main rencontrant des parties de son corps jusqu’à ce que nous ayons assez d’eau pour profiter de cette eau salée.
Oui, salée mais tellement divine dans cette nuit chaude quand nous roulons ensemble ses seins pressant les miens.

Combien de tempos jouons-nous comme des gamines qu’hier nous étions encore avant que sans m’en rendre compte, nos bouches se trouvent.
Nous roulons jusqu’à ce que l’on vienne caresser nos corps et que sa bouche quitte la mienne pour rejoindre mes seins puis mon nombril et ma chatte.
J’ai les cuisses largement écartées les vaguelettes venant me caresser me faisant frissonner.
Je fais l’amour avec Cécilia mais aussi avec la mer.
C’est en 69 que nous prenons un pied énorme chacune simultanément.

Nous retrouvons nos affaires et nous nous asseyons.
Je prends Cécilia dans mes bras.

- Dis-moi, tu es vierge ?
- Oui, je suis vierge !
- Mes parents mon élevé dans une certaine éthique et je me donnerais à l’homme dont je serais sûr qu’il sera le bon.
- Tu crois encore à ça, qui peut penser que le premier est le bon ?
- Intérieurement, oui.

C’est à ce moment que son portable sonne.

- Où je suis ?
- Sur la plage, je me suis baignée.
Oui avec Isabelle la violoncelliste.
Nous remontons Christian.

Cécilia coupe la communication.

- Notre régisseur m’informe qu’Hilary ta maman et Nat ont été arrêtées à Montalivet plus bas sur la côte.

Quand je disais que maman rapidement nous poserait des problèmes…



Eh oui, la saison III se termine, quelques textes pour vous reposer et la saison IV vous sera proposée le temps de l’écrire.