COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Fin Saison I (5/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Fin Saison I (5/5)
Je suis violoncelliste et après avoir obtenu mon examen de fin d’étude au conservatoire j’ai la chance de trouver un contrat pour partir faire la tournée des plages avec la nouvelle coqueluche des jeunes.
Nous répétons les morceaux chantés par Cécilia et ses danseurs dans une salle louer à Paris par la production.
Je rencontre Claire elle aussi violoncelliste à qui je fais connaître mon secret quand j’ai des rapports fusionnels avec Valentin.
Valentin est le nom que j’ai donné à mon violoncelle qui m’échauffe les sens chaque fois que j’en joue.
Il m’entraîne dans des situations sexuelles fort intéressantes de surcroît.
Moi qui suis profondément hétéro j’apprends à devenir lesbiennes avec Claire dès la première nuit que je passe chez elle.
Depuis que l’on m’a prévenu des penchants de Nat je fais attention d’éviter de la provoquer.
Hélas il y a de l’eau dans le gaz avec sa copine premier violon et pour la remplacer elle semble avoir jeté son dévolu sur moi.
Ce soir Claire reçoit intimement le monsieur ami de ses parents qui lui a offert un garage dans Paris qu’il la fait emménager et où elle peut répéter sans risquer de gêner ses voisins.
J’ai l’impression que Claire est clairement la maîtresse d’un vieux croûton qui a su profiter de sa jeunesse pour l’installer dans ses meubles et qui vient de temps en temps toucher les dividendes de son investissement.
En un mot Claire est sa pute à domicile.
Si elle a choisi cette solution pour avancer dans la vie même si ses parents ont du bien c’est son affaire je sais que coucher pour de l’argent me ferait horreur et je sais ce que j’aurais fait à sa place.
En attendant ce soir j’étais dans l’obligation de déménager et de porter Valentin aller et retour jusque chez moi quand Nat entendant que je suis libre comme elle semble l’être m’invite à dîner et à aller chez elle pour passer la nuit.
Toute la journée le bouche-à-oreille ayant fonctionné.
Je vois bien que tous parlent dans mon dos et surtout je dois subir le regard courroucé d’Aline sa copine que dis-je sa maîtresse qui malgré leur séparation semble m’en vouloir alors que je me sois bien gardée bien de provoquer notre batteuse.
- Terminé pour aujourd’hui, vous commencez à me satisfaire.
Je vais pouvoir téléphoner à Cécilia que vous commencez à être opérationnelle et que dans quelques jours ils pourront interrompre leurs vacances au soleil pour passer aux choses sérieuses ici.
Le moment que je redoute arrive, je range mon violoncelle en même temps que Claire.
- Isabelle souhaite-moi bonne chance, tu sais pourquoi.
Évidemment que je sais, elle se trouve dans la même situation que la mienne, elle avec son vieux moi avec ma bodybuildée.
- Oui, tu as raison souhaite-moi bonne chance aussi.
Ce qu’il y a de bien entre nous c’est que nous sommes toujours prêtes à éclater de rire ce que nous faisons attirant les regards de tout le groupe.
Un baiser et je la vois mettre Pépère sur son dos pour retourner à son destin d’un soir.
- Isabelle, tu viens je suis prête.
Pourquoi emmenez-vous vos instruments tous les soirs ?
- Ces instruments sont souvent anciens car leur sonorité et surtout le luthier qui les a fabriqués en fait leur valeur.
- Le tien coûte cher.
- Oui mais il est encore assez jeune.
Il sort de l’atelier Sesto Rocchi des années 1900.
Ma mère a un violon dont tu as dû entendre le nom du luthier dans notre milieu, c’est un Stradivarius.
- Je comprends pourquoi, je la connais.
Nat connaît ma mère, où a-t-elle su que ma mère jouait du violon, peut-être par Aline la tête posée sur l’oreiller.
Nous quittons la salle et pour la première fois depuis des lustres, Valentin se trouve dans la main d’une autre que moi.
Dans la main car avec sa force elle le porte comme si c’était une plume.
- Avant de monter chez moi, je te propose de prendre un petit morceau chez un restaurateur de mes amies.
- Oui, aucun problème.
Retarder le moment où immanquablement je vais être confrontée aux mains et aux muscles de Nat est une bénédiction pour moi.
- Bonjour Nat, vous êtes bientôt parties pour votre tournée des plages.
- Dans quelques jours nous serons au Touquet le 1er juillet.
- Nat, c’est l’une des autres musiciennes.
- Oui, je te présente Isabelle est elle violoncellistes dans l’orchestre.
- Tu penseras à l’autographe que je t’ai demandé.
- Tu lui demanderas toi-même, je te promets de venir manger avec Cécilia un soir avant notre départ, il faudra fermer ce soir-là si tu veux éviter les émeutes.
Nat s’avance en promettant d’amener notre vedette ici un soir, elle aurait mieux fait de lui dire qu’il aurait son autographe.
- Mets-toi à ta table habituelle, je t’apporte ton pastis.
- Tu te fiches de moi, mon corps est vierge de toute goutte d’alcool.
Sauf le jour où petite j’ai pris la bouteille de porto chez mes parents que j’ai tellement aimé que ça m’a conduite à l’hôpital à deux doigts à passer l’arme à gauche.
Nous avons choisi notre menu.
Nat semble pressé que nous rentrions chez elle mais je freine des quatre fers car je suis toujours dans l’incertitude entre homo, lesbien et hétéro.
- Petite biche j’ai l’impression que je te fais peur.
Pourtant je suis une jeune femme pleine de chaleur, viens, je vais te faire découvrir mon univers.
Impossible de reculer, il va falloir passer à la casserole, quand Nat va me mettre le grappin dessus comment vais-je me comporter ?
D’autant plus qu’il y a Valentin et là quittée en courant en le mettant sur mon dos risquerait de faire une chute et de le casser.
Elle paye et me prends la main pour parcourir les vingt mètres qui nous séparent de son porche.
Contrairement à ce que je pensais sa main est légère dans la mienne et ses doigts me tiennent la mienne sans me la broyer.
Elle porte toujours Valentin d’une main quand elle s’arrête avant d’ouvrir sa porte ayant pris sa clef dans sa poche.
- Tu vas te moquer petit cœur, mais à part Aline, très peu de personnes sont entrées chez moi.
Elle la pousse et me fait entrer dans un vestibule.
Betty Boop est la devant moi aussi grande même plus que moi.
Un porte-parapluie en forme de Betty Boop et un guéridon avec plusieurs figurines représentant le personnage.
Nat a aussi un porte-manteau accroché au mur Betty Boop.
Mais ce que la pièce principale est-elle aussi une pièce Betty Boop.
Le canapé est à l’effigie de l’héroïne de la vedette du dessin animé.
Même le papier peint des murs la représente à l’infini.
J’ai envie de rire mais je crains de froisser Nat et que ses foudres s’abattent sur moi.
Elle pose délicatement Valentin au coin d’un mur et s’approche, me prend la tête en posant ses mains de chaque côté de mon visage et alors que je commence à frissonner et à attendre qu’elle m’embrasse elle me pose ses lèvres sur le bout de mon nez.
Malgré la chaleur emmagasinée dans l’appartement toute la journée je frisonne comme si j’avais froid.
La sensation que je ressens est nouvelle pour moi, mes deux amants et même Claire qui m’a conduit vers Saphos, apporte à mon corps cette sensation que ma chatte mouille.
Cette sensation est équivalente à ce que me procure Valentin lors des moments où je le tiens entre mes jambes et qu’il fait monter le plaisir en moi.
Mon côté soumis m’empêche de lui sauter au cou et de prendre sa bouche voracement.
- Tu sais, chez moi je suis toujours en tenue légère.
Fais comme moi.
- Je vais te faire une confidence, chez moi aussi je suis nue surtout quand il fait chaud.
J’aime jouer de mon violoncelle en petite tenue.
Nous nous retrouvons en petite culotte face à face.
Son corps sculptural fait apparaître sa musculature impeccable, pas un millimètre de graisse superflu.
Bref un corps que beaucoup de femmes voudraient avoir à quelques jours de leur départ en vacances.
- Viens voir ma terrasse.
Elle ouvre la porte-fenêtre et m’entraîne sur ce coin de paradis dans Paris que peu de gens ont la chance de posséder.
Une terrasse sur laquelle des appareils de sports et de musculations sont à sa disposition pour entretenir ce corps que je vois de dos et qui vaut largement le devant.
- Tu fais des concours ?
- Non, j’ai sculpté mon corps pour ressembler à mon héroïne et avoir la taille aussi fine qu’elle.
Elle éclate de rire.
- J’ai seulement oublié qu’elle a cette taille par le bon vouloir de son dessinateur mais j’ai aimé voir ma ligne s’affiner.
Tu sais, chez moi, je suis en petite tenue.
Isabelle sort ton violoncelle et joue pendant que je fais mes exercices.
Tu arrêteras quand tu verras que je suis exténuée.
- Et les voisins.
- Si tu savais la jouissance et surtout la souffrance que je ressens à courir sur mon tapi roulant ou de soulever des tonnes de fonte.
Je vais chercher Valentin et mes partitions que je pose sur un chevalet qui doit servir à Aline quand elle donne des concerts personnels à Nat.
Je commence à le faire après avoir moi-même ôté ma petite culotte pour me retrouver dans ma tenue préférée pour jouer.
Nat m'imite après avoir mis des chaussures de course à pied et programmant son tapi commence une course au rythme des accords que mon archet.
Nous devons former un tableau étonnant…
Nous répétons les morceaux chantés par Cécilia et ses danseurs dans une salle louer à Paris par la production.
Je rencontre Claire elle aussi violoncelliste à qui je fais connaître mon secret quand j’ai des rapports fusionnels avec Valentin.
Valentin est le nom que j’ai donné à mon violoncelle qui m’échauffe les sens chaque fois que j’en joue.
Il m’entraîne dans des situations sexuelles fort intéressantes de surcroît.
Moi qui suis profondément hétéro j’apprends à devenir lesbiennes avec Claire dès la première nuit que je passe chez elle.
Depuis que l’on m’a prévenu des penchants de Nat je fais attention d’éviter de la provoquer.
Hélas il y a de l’eau dans le gaz avec sa copine premier violon et pour la remplacer elle semble avoir jeté son dévolu sur moi.
Ce soir Claire reçoit intimement le monsieur ami de ses parents qui lui a offert un garage dans Paris qu’il la fait emménager et où elle peut répéter sans risquer de gêner ses voisins.
J’ai l’impression que Claire est clairement la maîtresse d’un vieux croûton qui a su profiter de sa jeunesse pour l’installer dans ses meubles et qui vient de temps en temps toucher les dividendes de son investissement.
En un mot Claire est sa pute à domicile.
Si elle a choisi cette solution pour avancer dans la vie même si ses parents ont du bien c’est son affaire je sais que coucher pour de l’argent me ferait horreur et je sais ce que j’aurais fait à sa place.
En attendant ce soir j’étais dans l’obligation de déménager et de porter Valentin aller et retour jusque chez moi quand Nat entendant que je suis libre comme elle semble l’être m’invite à dîner et à aller chez elle pour passer la nuit.
Toute la journée le bouche-à-oreille ayant fonctionné.
Je vois bien que tous parlent dans mon dos et surtout je dois subir le regard courroucé d’Aline sa copine que dis-je sa maîtresse qui malgré leur séparation semble m’en vouloir alors que je me sois bien gardée bien de provoquer notre batteuse.
- Terminé pour aujourd’hui, vous commencez à me satisfaire.
Je vais pouvoir téléphoner à Cécilia que vous commencez à être opérationnelle et que dans quelques jours ils pourront interrompre leurs vacances au soleil pour passer aux choses sérieuses ici.
Le moment que je redoute arrive, je range mon violoncelle en même temps que Claire.
- Isabelle souhaite-moi bonne chance, tu sais pourquoi.
Évidemment que je sais, elle se trouve dans la même situation que la mienne, elle avec son vieux moi avec ma bodybuildée.
- Oui, tu as raison souhaite-moi bonne chance aussi.
Ce qu’il y a de bien entre nous c’est que nous sommes toujours prêtes à éclater de rire ce que nous faisons attirant les regards de tout le groupe.
Un baiser et je la vois mettre Pépère sur son dos pour retourner à son destin d’un soir.
- Isabelle, tu viens je suis prête.
Pourquoi emmenez-vous vos instruments tous les soirs ?
- Ces instruments sont souvent anciens car leur sonorité et surtout le luthier qui les a fabriqués en fait leur valeur.
- Le tien coûte cher.
- Oui mais il est encore assez jeune.
Il sort de l’atelier Sesto Rocchi des années 1900.
Ma mère a un violon dont tu as dû entendre le nom du luthier dans notre milieu, c’est un Stradivarius.
- Je comprends pourquoi, je la connais.
Nat connaît ma mère, où a-t-elle su que ma mère jouait du violon, peut-être par Aline la tête posée sur l’oreiller.
Nous quittons la salle et pour la première fois depuis des lustres, Valentin se trouve dans la main d’une autre que moi.
Dans la main car avec sa force elle le porte comme si c’était une plume.
- Avant de monter chez moi, je te propose de prendre un petit morceau chez un restaurateur de mes amies.
- Oui, aucun problème.
Retarder le moment où immanquablement je vais être confrontée aux mains et aux muscles de Nat est une bénédiction pour moi.
- Bonjour Nat, vous êtes bientôt parties pour votre tournée des plages.
- Dans quelques jours nous serons au Touquet le 1er juillet.
- Nat, c’est l’une des autres musiciennes.
- Oui, je te présente Isabelle est elle violoncellistes dans l’orchestre.
- Tu penseras à l’autographe que je t’ai demandé.
- Tu lui demanderas toi-même, je te promets de venir manger avec Cécilia un soir avant notre départ, il faudra fermer ce soir-là si tu veux éviter les émeutes.
Nat s’avance en promettant d’amener notre vedette ici un soir, elle aurait mieux fait de lui dire qu’il aurait son autographe.
- Mets-toi à ta table habituelle, je t’apporte ton pastis.
- Tu te fiches de moi, mon corps est vierge de toute goutte d’alcool.
Sauf le jour où petite j’ai pris la bouteille de porto chez mes parents que j’ai tellement aimé que ça m’a conduite à l’hôpital à deux doigts à passer l’arme à gauche.
Nous avons choisi notre menu.
Nat semble pressé que nous rentrions chez elle mais je freine des quatre fers car je suis toujours dans l’incertitude entre homo, lesbien et hétéro.
- Petite biche j’ai l’impression que je te fais peur.
Pourtant je suis une jeune femme pleine de chaleur, viens, je vais te faire découvrir mon univers.
Impossible de reculer, il va falloir passer à la casserole, quand Nat va me mettre le grappin dessus comment vais-je me comporter ?
D’autant plus qu’il y a Valentin et là quittée en courant en le mettant sur mon dos risquerait de faire une chute et de le casser.
Elle paye et me prends la main pour parcourir les vingt mètres qui nous séparent de son porche.
Contrairement à ce que je pensais sa main est légère dans la mienne et ses doigts me tiennent la mienne sans me la broyer.
Elle porte toujours Valentin d’une main quand elle s’arrête avant d’ouvrir sa porte ayant pris sa clef dans sa poche.
- Tu vas te moquer petit cœur, mais à part Aline, très peu de personnes sont entrées chez moi.
Elle la pousse et me fait entrer dans un vestibule.
Betty Boop est la devant moi aussi grande même plus que moi.
Un porte-parapluie en forme de Betty Boop et un guéridon avec plusieurs figurines représentant le personnage.
Nat a aussi un porte-manteau accroché au mur Betty Boop.
Mais ce que la pièce principale est-elle aussi une pièce Betty Boop.
Le canapé est à l’effigie de l’héroïne de la vedette du dessin animé.
Même le papier peint des murs la représente à l’infini.
J’ai envie de rire mais je crains de froisser Nat et que ses foudres s’abattent sur moi.
Elle pose délicatement Valentin au coin d’un mur et s’approche, me prend la tête en posant ses mains de chaque côté de mon visage et alors que je commence à frissonner et à attendre qu’elle m’embrasse elle me pose ses lèvres sur le bout de mon nez.
Malgré la chaleur emmagasinée dans l’appartement toute la journée je frisonne comme si j’avais froid.
La sensation que je ressens est nouvelle pour moi, mes deux amants et même Claire qui m’a conduit vers Saphos, apporte à mon corps cette sensation que ma chatte mouille.
Cette sensation est équivalente à ce que me procure Valentin lors des moments où je le tiens entre mes jambes et qu’il fait monter le plaisir en moi.
Mon côté soumis m’empêche de lui sauter au cou et de prendre sa bouche voracement.
- Tu sais, chez moi je suis toujours en tenue légère.
Fais comme moi.
- Je vais te faire une confidence, chez moi aussi je suis nue surtout quand il fait chaud.
J’aime jouer de mon violoncelle en petite tenue.
Nous nous retrouvons en petite culotte face à face.
Son corps sculptural fait apparaître sa musculature impeccable, pas un millimètre de graisse superflu.
Bref un corps que beaucoup de femmes voudraient avoir à quelques jours de leur départ en vacances.
- Viens voir ma terrasse.
Elle ouvre la porte-fenêtre et m’entraîne sur ce coin de paradis dans Paris que peu de gens ont la chance de posséder.
Une terrasse sur laquelle des appareils de sports et de musculations sont à sa disposition pour entretenir ce corps que je vois de dos et qui vaut largement le devant.
- Tu fais des concours ?
- Non, j’ai sculpté mon corps pour ressembler à mon héroïne et avoir la taille aussi fine qu’elle.
Elle éclate de rire.
- J’ai seulement oublié qu’elle a cette taille par le bon vouloir de son dessinateur mais j’ai aimé voir ma ligne s’affiner.
Tu sais, chez moi, je suis en petite tenue.
Isabelle sort ton violoncelle et joue pendant que je fais mes exercices.
Tu arrêteras quand tu verras que je suis exténuée.
- Et les voisins.
- Si tu savais la jouissance et surtout la souffrance que je ressens à courir sur mon tapi roulant ou de soulever des tonnes de fonte.
Je vais chercher Valentin et mes partitions que je pose sur un chevalet qui doit servir à Aline quand elle donne des concerts personnels à Nat.
Je commence à le faire après avoir moi-même ôté ma petite culotte pour me retrouver dans ma tenue préférée pour jouer.
Nat m'imite après avoir mis des chaussures de course à pied et programmant son tapi commence une course au rythme des accords que mon archet.
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