COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Saison I (2/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Saison I (2/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Saison I (2/5)
J’ai dix-sept ans quand pour la première fois mon corps m’apporte une jouissance en jouant devant du public avec Valentin.
Valentin est le nom que je viens de décider de donner à mon violoncelle, car il a une part importante dans ma vie sexuelle.
Je viens de donner le meilleur de moi-même devant le public pour mon examen de fin de formation.
Le résultat tombe après la notation du jury.

- Bravo, l’an passé tout était parfait aujourd’hui, vous venez de valider toutes vos années d’études.
Les contrats vont arriver rapidement, je vais faire ce qu’il faut pour cela.

La directrice du conservatoire après concertation avec ses collègues vient de valider mon travail, je suis une jeune fille très heureuse.

À la fin des examens élèves, professeur, et parents se retrouvent pour une petite fête.
Après avoir fait la bise à ma mère, j’essaye de m’approcher du jeune homme qui a retenu toute mon attention et pour lequel le regardant dans les yeux, j’ai joué.
Rapidement maman retourne à ses mauvaises habitudes quand dans le passé, elle venait me voir et que certains professeurs dont mon amant accaparait toute son attention.
Je les vois discrètement sortir de la salle par une porte qui je le sais, va la conduire par un escalier vers son bureau.
A-t-il eu la mère avant la fille ou l’inverse ?
Je m’en fiche royalement car seul le garçon se tenant dans un coin m’intéresse. Son frère, encore un enfant, joue comme un jeune chien fou avec les garçons de son âge.

- Isabelle, c’est mon prénom et toi comment te prénommes-tu ?
- Vivian.

Le temps de nous présenter et l’attirance mutuelle qui nous submerge m’entraîne à lui prendre la main pour le faire prendre l’escalier vers le deuxième étage où je sais pouvoir trouver un coin tranquille.
Nous passons devant le bureau au canapé où le magnétophone joue.

« Ne pas déranger. »
Je connais trop bien cette étiquette.
Je connais la chatte que mon professeur va se faire mais je passe sans me soucier le moins du monde de ce qu’ils font.
Au plus profond de moi, je sais qu’une page de ma vie vient de se tourner.

À l’étage, je l’entraîne dans la salle de violoncelle où toute l’année nos profs nous donne des cours en commun.
Son prénom c’est le seul mot qu’il m’a dit me montrant sa timidité même si moi-même mon expérience se résume à celui qui est en ce moment dans son bureau avec ma mère.
À peine entrée je lui prends la bouche sentant qu’il faut que je sois l’active des deux si je veux retirer du plaisir des rapports qui vont suivre.
La rapidité avec laquelle je l’ai entraîné ici semble le tétaniser.
Il embrasse bien et je le sens se détendre.
Pour garder l’avantage, ma main sur son pantalon et ma bouche arrive à la hauteur de son sexe quand je le dénude après m’être agenouillée.
Je viens de l’introduire dans ma bouche quand ses mains se posent sur ma tête donnant un mouvement de piston à mes lèvres m’aidant à le faire aller aussi loin que celle de mon prof.
C’est lui qui m’a appris à lui prendre ses boules après sa verge dans ma cavité buccale et les recracher comme on peut le faire avec un gros noyau de pêche.
Les deux y passent ce qui entraîne sa tige à devenir toute dure bien consommable pour ma chatte.
Je me redresse fait voler ma robe longue même fendue peu pratique pour qu’il me prenne remarquant au passage la tache au niveau de mes fesses que mon orgasme a produites.

Nous commençons rapidement à copuler, car il y a longtemps qu’avec mon amant j’emploie ce terme ou aussi baiser plutôt que de dire que nous faisons l’amour réservant ce terme à celui qui je l’espère, saura me séduire et me passer une bague au doigt.

- Assieds-toi sur la table !

Il recouvre la parole et il me la met bien profonde défonçant ma chatte encore dégoulinante du plaisir donné par mon violoncelle.
Pendant qu’il me pilonne une idée me passe par la tête, pourquoi dire systématiquement violoncelle au lieu de Valentin puisqu’il est mon amant de tous les jours.
Valentin, je le verrai demain, actuellement Vivian à toute mon attention.

Même si sa verge est différente de celle de mon dépuceleur, elle a un pouvoir de pénétration qui rapidement fait son effet et le deuxième homme de ma vie me donne un joli plaisir surtout lorsqu’il m’inonde.
Avant qu’il la remette dans sa culotte, je la récupère pour lui nettoyer toutes nos sécrétions que j’ai appris à aimer.

Rajustés, je reprends mon violoncelle en main et nous redescendons passant devant le bureau de mon dépuceleur.
Plus de musique, plus d’interdiction d’entrer.
De retour à la salle d’examen où se tient la réception, Vivian prétexte qu’il doit ramener son frère et s’éclipse.
Je suis contente car loin de moi l’idée à mon âge de me contenter de cette baise sur la table même si cela a été agréable et je me voyais mal échanger nos numéros de téléphone.
Je sais au plus profond de moi que sans mon violoncelle j’aurais été loin de m’occuper fût un instant de ce puceau.

Je cherche ma mère qui a dû partir, car elle est invisible parmi les derniers invités encore présents.
Je me trompe, je vois qu’ils arrivent enlacés venant de l’escalier.
Mon prof m’aperçoit, il a dû oublier de dire à ma mère que je suis sa maîtresse car il la quitte précipitamment.
Elle s’approche de moi très naturellement et viens me féliciter.

- Mère j’espère que tu as apprécié les morceaux de violoncelle que mon prof t’a diffusé dans son bureau.
C’est moi qui jouais, j’espère aussi que notre canapé a été confortable.

Je l’embrasse, je reprends mes affaires et je la quitte méduser ayant certainement compris que j’étais une aussi grande salope qu’elle.

Trois jours plus tard je reçois une convocation à un casting pour la constitution d’un orchestre faisant la tournée des plages pour une célèbre chaîne de radio avec en vedette la nouvelle star française.
Tous les spécialistes disent que Cécilia est la nouvelle Madonna de notre pays.
Quand je me présente à l’agence, j’ai la chance d’être retenue, ils veulent deux violoncellistes et nous sommes deux à nous être inscrite au casting.
L’autre violoncelliste est déjà passée et est déjà reparti ce qui me facilite la tâche car cela m’évite de comparer qui de nous deux est la meilleure.
Après avoir donné mes références et d’avoir joué un morceau, la seule chose que nous discutons c’est de mon salaire qui s’avère fort intéressant car je suis engagée.
Début juillet, la tournée doit commencer et pendant les quinze jours avant le départ, la production a retenue cette salle où nous répétons.
Début de la tournée par Le Touquet, les représentations ayant lieu de 19 à 20 heures.
La fin de la tournée est prévue à Nice sur la plage devant les grands hôtels.

Ce matin, je quitte le domicile familial en métro sans avoir revu ma mère depuis le moment qui nous a opposé à cause ou grâce à mon professeur, elle-même ayant accepté une autre tournée.
Je me rends à la salle rencontrée l’ensemble des musiciens.
En route, j’apprends l’absence de notre vedette nationale que la presse branchée dans les kiosques signale en vacances avec ses deux danseurs à Saint trop avant sa grande tournée.
Je suis en avance, j’achète celui où la photo qui la représente est assez suggestive et montre bien le personnage que j’ai eu l’occasion de voir à la télé.
Blonde poitrine avenante et assez élancée, cette jeune femme semble avoir mon âge.
C’est assis à la terrasse d’un café profitant du soleil du matin encore supportable que je lis avec étonnement que nous sommes nées le même jour, mais ayant deux ans d’écart avec moi.
Ce qui est surprenant pris par les événements en me levant ce matin, c’est que c’est le jour de mes dix-huit ans, par conséquent, je suis majeure et j’ai gagné mon indépendance sur ma mère.
Le plus drôle est que je vais gagner mon premier argent à partir de ce même jour.
Certes, ma mère subvient actuellement à mes besoins, mais toucher sa première paye gagnée sans l’aide de personne doit apporter une joie sans pareille.
Enfin je verrai bien cela à la fin du mois sur mon compte en banque ouvert hier.
À force de traîner, je suis juste à l’heure quand j’arrive à mon premier rendez-vous professionnel.
Tous sont là et préparent leurs instruments.
Je fais la connaissance de la jeune fille qui comme moi est violoncelliste.
Elle est mon aînée avec ses vingt-deux ans et ce qui ne gâche rien c’est qu’elle est jolie comme un cœur.
Elle m’apprend qu’elle vient d’Amiens où elle a appris à jouer de son instrument avant de venir à Paris.

- Je crois que tu t’appelles, Isabelle, je m’appelle, Claire.
On s’embrasse.

C’est comme cela que je me retrouve pour la première fois dans ses bras nos poitrines se serrant plus que de raison.
Jusqu’à présent Valentin a toujours été le déclencheur de mes envies, mais là serrer contre elle mon cœur fait un drôle de bon.
Je fais la connaissance du reste de l’équipe avec a sa tête le responsable de la mise en place du groupe de musiciens et de nos entraînements afin que nous soyons bien soudés et autonomes sur scène car seule Cécilia par sa chorégraphie nous dirigera.
Trois violons femmes toutes plus proches de l’âge de ma mère un clavier femme et deux guitares ayant aussi des seins complètent l’orchestre.
Non, j’oubliais la batterie.
Celle qui va taper sur les différents éléments qui font du bruit est aussi une femme mais ressemblant plus à un camionneur que d’une poupée Barby.
Le plus impressionnant c’est son marcel faisant apparaître des tatouages sur ses bras et surtout ses piercings qu’elle a dans son nez, aux oreilles et à la lèvre.

- Isa, gaffe à Nat, j’ai fait un mois de tourner avec elle.
Évite de tomber dans ses pattes, tu risquerais d’en ressortir broyée.
C’est une lesbienne dominatrice, elle pratique le bodybuilding.
- Je le conçois vu sa carrure, mais sois tranquille, je suis hétéro et les filles sont loin d’être ma tartine de pain.

J’aurais dû me méfier du sourire narquois qu’elle me présente.
Les monteurs se sont entraînés afin de la monter et démonter le plus rapidement possible.
Ils auront peu de temps chaque jours dès la fin du spectacle jusqu'aux balances à la plage suivante, y compris le déplacement.
À chaque pause, Nat semble couver du regard Aline, le premier violon.
Je manque d’éclater de rire quand je pense que ce pourrait être mère qui pourrait être premier violon et la proie des battoirs de notre copine.

- Pourquoi souris-tu, j’ai dit quelque chose de drôle ?
- Non, je voyais en rêve ma mère dans les mains de Nat.
Elle aussi est premier violon, et a été dans l’orchestre symphonique de Paris.
- Tu me fais marcher, tu es la fille de Véronique, je la connais bien, c’est à la suite d’un concert que mes parents m’ont emmené voir que j’ai souhaité faire de la musique.
Dans l’orchestre, il y avait un solo de violon qu’elle a joué divinement.
J’avais dix ans et je dois reconnaître que ce furent mes premiers émois avant de devenir une jeune fille puis une femme.
Viens que je t’embrasse.

Le monde des adultes est-il en train de me prendre en main…

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