COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Saison III (11/12)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Saison III (11/12)
Avec Claire, nous avons pris du bon temps dans le camion de Robin et Luis les monteurs de scène à chaque étape.
J’ai même récompensé ma petite amie en la faisant prendre en double pénétration par les garçons.
Bref, l’étape de Lorient sur le plan musical aura été un échec mais sur le plan sexuel, une parfaite réussite.
Quiberon, une certaine tension, c’est fait jour entre Nat et Aline.
Tout le concert leurs regards chaque fois qu’ils se croisaient pouvaient les tuer.
C’est dans la nuit que tout se décante.
Des cris dans les couloirs, des portes qui claquent, encore des cris puis le silence.
Au matin, nous devons partir vers Saint-Gilles-Croix-de-Vie.
Départ prévu à 9 heures.
Je remarque que Nat et Aline manque à l’appel.
Christian notre régisseur nous explique pendant notre petit déjeuner ce qu’il s’est passé.
- Bonjour à tous, depuis hier, Cécilia m’a prévenu qu’il y avait de l’eau dans le gaz entre Aline et Nat.
Pourquoi, impossible de nous en mêler, c’étaient leurs affaires.
Si du bruit cette nuit vous a réveillés, c’est parce qu’Aline a pris son violon, a fait appeler un taxi par le veilleur et a immédiatement quitté l’hôtel.
Je viens d’appeler Paris, une violoniste chevronnée va arriver dans quelques minutes, c’est Hilary ta maman Isabelle qui était disponible.
Elle se reposait à La Baule.
Elle partira le 5 août après la fin de la tournée à Nice afin de se rendre à Hollywood pour tourner un film où elle jouera de son instrument.
Maman nous rejoint comme prévu.
Je comprends qu’il vaut mieux éviter de la contrarier jusqu’à la fin de tournée, quelle turpitude va-t-elle me faire.
À la Baule elle devait être en galante compagnie et venir nous rejoindre à du la déranger.
Surtout que Nat arrive, deux valises dans les mains, Aline est réellement partie juste avec son violon.
- Bonjour ma fille, je suis contente de finir cette tournée avec vous et surtout toi.
Trop gentil pour être honnête, mais le soir tout se passe bien, mère fait son solo de violon et moi celui de violoncelle.
C’est pour ce moment qu’il fallait une virtuose, il est hors de question de faire la moindre fausse note Cécilia nous arracherait les yeux.
C’est à Royan dans la soirée, que j’entends ce qu’il se passe dans la chambre voisine.
Dans cet hôtel, une porte de communication permet à des familles de rester ensemble quand il y a des enfants.
- Écarte tes cuisses, ce gode doit te permettre de devenir une femme à part entière.
Une fois que je t’aurais enlevé ton hymen, tu redemanderas des verges en toi.
Regarde-moi, tout à l’heure, j’ai été dans le camion des machinistes, ils m’ont défoncé.
Je leur ai parlé de toi, ils sont prêts à faire le voyage avec toi.
- Tu as vu la grosseur du gode qu’Aline a acheté avec ta fille pour enculer le salopard qui baisait sa belle-fille Claire.
Aline l’autre soir à voulu s’en servir comme toi en ce moment et je reconnais que j’ai pris peur.
À ce moment du dialogue entre mère et notre amie Nat, je suis avec Claire l’oreille posée sur la porte.
C’est à mots feutrés que Claire me montre son étonnement.
- Qu’est-ce que ça veut dire, qu’est-ce que Nat a voulu dire quand elle a parlé de mon beau-père ?
- Viens dans notre lit, les murs ont des oreilles et je souhaite que toi seule entende ce que je pensais te cacher.
Voilà.
Et d’expliquer à Claire la soirée passée chez Nat et ses Betty Boop avec la croix qui servait à sa maîtresse à martyriser cette femme d’une nature hors du commun.
Je lui explique pourquoi Nat a parlé de virginité et à quoi nous a servi ce gode ayant les mêmes proportions que celui vu dans sa chambre des tortures.
- Donc c’est à vous que je dois la liberté de maman et ma liberté.
Je peux voir les films et les photos que vous avez pris.
Je lui explique que par une fausse manœuvre, Nat a effacé toutes ces preuves de l’appareil surtout celle où son enculé de beau-père avait abusé d’elle certes dans sa majorité sexuelle mais tout de même loin de ses dix-huit ans.
- Je comprends surtout que ce que mon beau-père m’a fait comme cadeau ainsi qu’à ma mère, c’est à vous que je les dois et principalement à toi mon cœur.
Passant de la parole aux actes, je prends Claire dans mes bras et je l’embrasse comme j’aime le faire depuis que j’ai découvert ma bisexualité.
De l’autre côté, les soupires de plaisirs que j’entends fonts pensés que maman est venue à ses fins et que Nat doit se faire défoncer par le gode gigantesque à la hauteur de la carrure de celle qui le reçoit.
Quand nos chattes à Claire et moi se mélangent permettant à nos clitoris de se rejoindre, ce sont les gémissements de ma mère que j’entends pour la première fois.
Nat a-t-elle chaussé le gode autour de sa taille et à son tour défonce ma mère.
Quand tous nous avons pris notre plaisir, le calme revient dans l’hôtel et que repu de sexe nous nous endormons d’un sommeil réparateur.
Il en va de même dans la chambre voisine.
Après Saint-Gilles, Royan, l’une des étapes de notre tournée.
Trois jours d’arrêt dont deux sans spectacle.
La loi oblige à des repos pour chacun et chacune d’entre nous.
Mère connaissant la région nous entraîne sur la plage de la grande côte endroit très isolé.
Sur cette immense plage il est impossible de se baigner tellement les vagues sont dangereuses.
Mère nous fait déposer Claire, Nat et moi par un taxi qu’elle a commandé.
Cette plage est naturiste et pour la première fois je me mets intégralement nue devant d’autres personnes.
J’aime jouer déshabillé avec mon violoncelle hélas la sensation est tout autre.
Le soleil depuis Lorient est revenu.
Quel meilleur endroit pour s’endormir après que nous nous sommes enduits de crème solaire au plus grand pouvoir couvrant.
Près de nous deux hommes, deux bels hommes ont eux aussi posés leurs serviettes.
Mère nue elle aussi les regarde.
Quand je me réveille, Nat et elles ont disparu.
Les deux hommes aussi.
Je laisse Claire dormir, les empreintes dans le sable montrent qu’elles sont allées vers les dunes et la pinède.
Je marche dans les traces jusqu’à la lisière où les quatre sont là.
Maman semble maîtresse du jeu et Nat son but quand elle a aguiché les deux mâles près de nous.
Ils sont tous les deux partis à l’assaut de cette femme gigantesque comparée à eux.
On dirait deux abeilles voulant dominer un bourdon.
L’un d’eux écarte sa chatte et plonge sa langue dans cette fente qui a à ce jour n’a connu qu’un gode.
- Natalie met toi à quatre pattes.
Messieurs choisissez sa bouche où sa chatte et prenez mon amie.
Ce sera la première fois que vos verges la pénétreront.
- Elle est vierge.
- Oui, seul un gode dont je me sers l’a défoncé, c’est lui qui en a fait une femme.
Désolée pour vous.
- Nat, tu es prête ?
- Je suis fébrile mais je t’ai promis de rester calme, messieurs à vous, que le spectacle commence.
J’ai l’impression que notre amie se met en scène comme nous nous mettons en scène quand nous montons sur les planches au-dessus de notre public à la différence que Natalie est la seule actrice devant moi et mère qui a posé une main sur son épaule.
Quand je parlais d’abeille et de bourdon, que ce soit le bourdon qui reçoive les deux verges en elle semble contre nature.
Mais c’est vraiment l’image que ça me donne.
Le blond s’étant placé derrière et entre centimètres par centimètres dans son vagin de femme à part entière que Nat lui présente.
Le brun dans sa bouche se masturbe la tenant par ses oreilles.
Par malchance, mon portable est dans mon sac près de Claire.
J’aurais bien immortalisé ce moment où Natalie est enfin la femme qu’elle a mérité d’être.
Je bas en retraite, connaissant mère, elle va vouloir elle aussi profiter de ces deux verges.
J’ignore comment et je veux continuer à l’ignorer même si je sais qu’elle est une aussi grande salope que j’aspire à l’être.
Voir la chatte d’où je suis sortie se faire défoncer, est loin de mes plans sexes aussi je rejoins Claire.
- Où étiez-vous, je vous aurais bien suivi mais je voulais éviter de laisser nos affaires seules.
Dis-moi.
Je lui raconte comment mère a offert deux verges à Nat et que je suis partie persuader qu’Hilary allait elle aussi en profiter.
- Je peux aller voir, je suis loin d’avoir les mêmes scrupules de voir ta mère se faire sauter.
Elle me quitte, je trouve le temps long.
Je prends le risque de tout laisser, à perte de vues des couples peu d’hommes peu de risques que l’on se fasse voler.
Je retourne dans la pinède.
La ruche bat son plein.
Le bourdon est là appuyé sur un pin un homme lui mettant sa verge dans la chatte.
C’est elle qui le soutient.
Deux reines, mère et Claire entourées d’abeilles qui les baises se font sucer et même Claire prise en double pénétration.
Je sais quand je les ai quittés, ils étaient deux.
Là ils sont six petites abeilles butinant les unes ou les autres.
Mère a réussi l’exploit d’organiser une partouze en plein air.
Devant moi deux hommes s’embrassent en se paluchant, je m’en approche, leurs verges sont déjà tendues.
Que le bal commence…
J’ai même récompensé ma petite amie en la faisant prendre en double pénétration par les garçons.
Bref, l’étape de Lorient sur le plan musical aura été un échec mais sur le plan sexuel, une parfaite réussite.
Quiberon, une certaine tension, c’est fait jour entre Nat et Aline.
Tout le concert leurs regards chaque fois qu’ils se croisaient pouvaient les tuer.
C’est dans la nuit que tout se décante.
Des cris dans les couloirs, des portes qui claquent, encore des cris puis le silence.
Au matin, nous devons partir vers Saint-Gilles-Croix-de-Vie.
Départ prévu à 9 heures.
Je remarque que Nat et Aline manque à l’appel.
Christian notre régisseur nous explique pendant notre petit déjeuner ce qu’il s’est passé.
- Bonjour à tous, depuis hier, Cécilia m’a prévenu qu’il y avait de l’eau dans le gaz entre Aline et Nat.
Pourquoi, impossible de nous en mêler, c’étaient leurs affaires.
Si du bruit cette nuit vous a réveillés, c’est parce qu’Aline a pris son violon, a fait appeler un taxi par le veilleur et a immédiatement quitté l’hôtel.
Je viens d’appeler Paris, une violoniste chevronnée va arriver dans quelques minutes, c’est Hilary ta maman Isabelle qui était disponible.
Elle se reposait à La Baule.
Elle partira le 5 août après la fin de la tournée à Nice afin de se rendre à Hollywood pour tourner un film où elle jouera de son instrument.
Maman nous rejoint comme prévu.
Je comprends qu’il vaut mieux éviter de la contrarier jusqu’à la fin de tournée, quelle turpitude va-t-elle me faire.
À la Baule elle devait être en galante compagnie et venir nous rejoindre à du la déranger.
Surtout que Nat arrive, deux valises dans les mains, Aline est réellement partie juste avec son violon.
- Bonjour ma fille, je suis contente de finir cette tournée avec vous et surtout toi.
Trop gentil pour être honnête, mais le soir tout se passe bien, mère fait son solo de violon et moi celui de violoncelle.
C’est pour ce moment qu’il fallait une virtuose, il est hors de question de faire la moindre fausse note Cécilia nous arracherait les yeux.
C’est à Royan dans la soirée, que j’entends ce qu’il se passe dans la chambre voisine.
Dans cet hôtel, une porte de communication permet à des familles de rester ensemble quand il y a des enfants.
- Écarte tes cuisses, ce gode doit te permettre de devenir une femme à part entière.
Une fois que je t’aurais enlevé ton hymen, tu redemanderas des verges en toi.
Regarde-moi, tout à l’heure, j’ai été dans le camion des machinistes, ils m’ont défoncé.
Je leur ai parlé de toi, ils sont prêts à faire le voyage avec toi.
- Tu as vu la grosseur du gode qu’Aline a acheté avec ta fille pour enculer le salopard qui baisait sa belle-fille Claire.
Aline l’autre soir à voulu s’en servir comme toi en ce moment et je reconnais que j’ai pris peur.
À ce moment du dialogue entre mère et notre amie Nat, je suis avec Claire l’oreille posée sur la porte.
C’est à mots feutrés que Claire me montre son étonnement.
- Qu’est-ce que ça veut dire, qu’est-ce que Nat a voulu dire quand elle a parlé de mon beau-père ?
- Viens dans notre lit, les murs ont des oreilles et je souhaite que toi seule entende ce que je pensais te cacher.
Voilà.
Et d’expliquer à Claire la soirée passée chez Nat et ses Betty Boop avec la croix qui servait à sa maîtresse à martyriser cette femme d’une nature hors du commun.
Je lui explique pourquoi Nat a parlé de virginité et à quoi nous a servi ce gode ayant les mêmes proportions que celui vu dans sa chambre des tortures.
- Donc c’est à vous que je dois la liberté de maman et ma liberté.
Je peux voir les films et les photos que vous avez pris.
Je lui explique que par une fausse manœuvre, Nat a effacé toutes ces preuves de l’appareil surtout celle où son enculé de beau-père avait abusé d’elle certes dans sa majorité sexuelle mais tout de même loin de ses dix-huit ans.
- Je comprends surtout que ce que mon beau-père m’a fait comme cadeau ainsi qu’à ma mère, c’est à vous que je les dois et principalement à toi mon cœur.
Passant de la parole aux actes, je prends Claire dans mes bras et je l’embrasse comme j’aime le faire depuis que j’ai découvert ma bisexualité.
De l’autre côté, les soupires de plaisirs que j’entends fonts pensés que maman est venue à ses fins et que Nat doit se faire défoncer par le gode gigantesque à la hauteur de la carrure de celle qui le reçoit.
Quand nos chattes à Claire et moi se mélangent permettant à nos clitoris de se rejoindre, ce sont les gémissements de ma mère que j’entends pour la première fois.
Nat a-t-elle chaussé le gode autour de sa taille et à son tour défonce ma mère.
Quand tous nous avons pris notre plaisir, le calme revient dans l’hôtel et que repu de sexe nous nous endormons d’un sommeil réparateur.
Il en va de même dans la chambre voisine.
Après Saint-Gilles, Royan, l’une des étapes de notre tournée.
Trois jours d’arrêt dont deux sans spectacle.
La loi oblige à des repos pour chacun et chacune d’entre nous.
Mère connaissant la région nous entraîne sur la plage de la grande côte endroit très isolé.
Sur cette immense plage il est impossible de se baigner tellement les vagues sont dangereuses.
Mère nous fait déposer Claire, Nat et moi par un taxi qu’elle a commandé.
Cette plage est naturiste et pour la première fois je me mets intégralement nue devant d’autres personnes.
J’aime jouer déshabillé avec mon violoncelle hélas la sensation est tout autre.
Le soleil depuis Lorient est revenu.
Quel meilleur endroit pour s’endormir après que nous nous sommes enduits de crème solaire au plus grand pouvoir couvrant.
Près de nous deux hommes, deux bels hommes ont eux aussi posés leurs serviettes.
Mère nue elle aussi les regarde.
Quand je me réveille, Nat et elles ont disparu.
Les deux hommes aussi.
Je laisse Claire dormir, les empreintes dans le sable montrent qu’elles sont allées vers les dunes et la pinède.
Je marche dans les traces jusqu’à la lisière où les quatre sont là.
Maman semble maîtresse du jeu et Nat son but quand elle a aguiché les deux mâles près de nous.
Ils sont tous les deux partis à l’assaut de cette femme gigantesque comparée à eux.
On dirait deux abeilles voulant dominer un bourdon.
L’un d’eux écarte sa chatte et plonge sa langue dans cette fente qui a à ce jour n’a connu qu’un gode.
- Natalie met toi à quatre pattes.
Messieurs choisissez sa bouche où sa chatte et prenez mon amie.
Ce sera la première fois que vos verges la pénétreront.
- Elle est vierge.
- Oui, seul un gode dont je me sers l’a défoncé, c’est lui qui en a fait une femme.
Désolée pour vous.
- Nat, tu es prête ?
- Je suis fébrile mais je t’ai promis de rester calme, messieurs à vous, que le spectacle commence.
J’ai l’impression que notre amie se met en scène comme nous nous mettons en scène quand nous montons sur les planches au-dessus de notre public à la différence que Natalie est la seule actrice devant moi et mère qui a posé une main sur son épaule.
Quand je parlais d’abeille et de bourdon, que ce soit le bourdon qui reçoive les deux verges en elle semble contre nature.
Mais c’est vraiment l’image que ça me donne.
Le blond s’étant placé derrière et entre centimètres par centimètres dans son vagin de femme à part entière que Nat lui présente.
Le brun dans sa bouche se masturbe la tenant par ses oreilles.
Par malchance, mon portable est dans mon sac près de Claire.
J’aurais bien immortalisé ce moment où Natalie est enfin la femme qu’elle a mérité d’être.
Je bas en retraite, connaissant mère, elle va vouloir elle aussi profiter de ces deux verges.
J’ignore comment et je veux continuer à l’ignorer même si je sais qu’elle est une aussi grande salope que j’aspire à l’être.
Voir la chatte d’où je suis sortie se faire défoncer, est loin de mes plans sexes aussi je rejoins Claire.
- Où étiez-vous, je vous aurais bien suivi mais je voulais éviter de laisser nos affaires seules.
Dis-moi.
Je lui raconte comment mère a offert deux verges à Nat et que je suis partie persuader qu’Hilary allait elle aussi en profiter.
- Je peux aller voir, je suis loin d’avoir les mêmes scrupules de voir ta mère se faire sauter.
Elle me quitte, je trouve le temps long.
Je prends le risque de tout laisser, à perte de vues des couples peu d’hommes peu de risques que l’on se fasse voler.
Je retourne dans la pinède.
La ruche bat son plein.
Le bourdon est là appuyé sur un pin un homme lui mettant sa verge dans la chatte.
C’est elle qui le soutient.
Deux reines, mère et Claire entourées d’abeilles qui les baises se font sucer et même Claire prise en double pénétration.
Je sais quand je les ai quittés, ils étaient deux.
Là ils sont six petites abeilles butinant les unes ou les autres.
Mère a réussi l’exploit d’organiser une partouze en plein air.
Devant moi deux hommes s’embrassent en se paluchant, je m’en approche, leurs verges sont déjà tendues.
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