COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Saison V (18/21)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Saison V (18/21) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(18.0 / 10)

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COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Saison V (18/21)
« Je rentre chez moi à Bordeaux, veux-tu m’accompagner ? »
C’est cette phrase que prononce Daniel qui me met en joie.
Chez lui à Bordeaux, alors qu’il y a encore peu de nombreuses femmes bien plus belles que moi étaient présentes.

- Il faut que je ramène Valentin, l’orage est imminent.
- Valentin tu me trompes déjà, dit moi où est-il, je vais lui faire sa fête.
- Tu es bête, embrasse-moi, j’adore ta façon d’embrasser.
Valentin c’est mon violoncelle, regarde il est seul sur son estrade, à part ce couple là-bas roulant sur la pelouse, il doit se sentir abandonné.

Si je lui disais les moments fusionnels que l’on peut avoir ensemble, surtout comme ce soir où j’ai joué nue.
Il le prend en main après que je l’ai rentré dans son étui avec mon archet et comme s’il s’agissait d’un kilo de plume il le porte vers la chambre où j’ai mes vêtements.
Moi qui me casse le dos quand je le transporte, la facilité qu’il a grâce à ses muscles me promet des moments non dénués d’intérêt.
Nous arrivons à la chambre, la pièce est éclairée et pour la deuxième fois en quelques heures je vois maman dans une position sans équivoque.
Émilie et elle se broute tête-bêche et David comme derrière l’estrade est dans une de ses intimités.
Où est-il, dans le trou d’où je suis sortie ou la sodomise-t-il ?
Je me garde bien de lui demander c’est leur affaire.

- Tient Baby te voilà, viens embrasser ta grand-mère.
Je vois que tu as pris sous ta coupe notre petite violoncelliste.
Avec Bijou nous rentrons à Biarritz.
On se téléphone les enfants.
Vous venez Baby, je refermerais le portail.

Trois minutes et je suis prête.
Marie monte au volant dans une Ferrari rouge habillée d'une combinaison blanche.
Bijou étant le trans qui embrassait Daniel, lui aussi dans une combinaison justaucorps bleu à paillettes qui lui va très bien, tellement il est effilé.
Il marche dans des chaussures à très hauts talons genre drag-queen.
Il ou elle a refait son maquillage digne de la gay pride parisienne.
Pour ma part c’est dans une Porche décapotable que Daniel m’installe en parfait homme du monde m’ayant ouvert la portière.
La voiture est si basse que ma courte jupe remonte, montrant ma chatte sans culotte.
Nous prenons la route de Bordeaux suivie par Marie conduisant ce bolide malgré son grand âge.
Le vent prend mes cheveux car il appuie sur le champignon.
Je me penche à son oreille pour qu’il m’entende.

- Dis-moi, pourquoi ta grand-mère t’a appelé Baby.
- Dois-je te le dire c’est loin d’être un épisode simple de ma vie.
- Raconte, je veux tous savoir de toi.
- Bon, d’accord.
Quand j’étais enfant, j’étais petit et chétif.
J’étais l’héritier et je devais faire honneur à la famille.
Ça a créé des frustrations en moi alors que j’étais un esprit brillant.
Je confondais les M et les B c’est ainsi qu’au lieu de dire Mamy, je disais Baby.
Seule ma grand-mère a le droit de m’appeler comme ça.
On m’a élevé dans un cocon, nurse, prof perso.
Ils faisaient tous mes caprices.
Un jour j’ai vu des jeunes jouer au foot.
J’avais déjà 12 ans.
J’ai demandé d’en faire, alors on m’a acheté tout l’équipement et inscrit aux Girondin de Bordeaux.
Mes parents venaient de s’installer à la Teste alors qu’ils avaient leurs affaires à Bordeaux.
Je suis allé au club une seule fois pour un match.
J’étais arrivé avec mes crampons et ma belle tenue.
Tout le match je suis resté sur le banc des remplaçants à espérer rentrer.
Les deux autres l’on fait mais moi non.
Le plus dur restait à venir, quand nous sommes revenus au vestiaire l'entraîneur a donné l’ordre d’aller à la douche obligatoire.
Les autres garçons se sont dénudés me montrant leur anatomie mieux développée que moi.
Certains plus vieux avaient déjà des poils alors qu’à part ma bite tendu le matin ayant mouillé mes draps, aucun.
Je suis parti en courant évitant à jamais de revenir.
J’ai tellement eu honte d’être un gringalet que je me suis fait payer par Mamy.
Tu remarqueras que j’arrive à le dire après de nombreuses années dans les mains d’une orthophoniste qui a gommé ce défaut de prononciation.
Mamy donc m’a payé ma salle de musculation et en plus d’un diplôme d’architecte et d’une agence à Bordeaux, voilà l’homme que je suis devenu.

Tout en roulant, à grande vitesse, sa main débute par la cuisse trouvant rapidement ma chatte dénudée.
Un petit regard vers moi et ses doigts viennent me caresser.
Heureusement nous sommes aux abords de Bordeaux et il doit ralentir et faire plus attention.
Il me caresse jusqu’à quitter mon vagin pour appuyer sur un bouton et que la porte d’un garage souterrain s’ouvre.
J’ai le temps de voir qu’en bas il y a ce que doivent être son cabinet d’architecte une plaque l’indiquant.
Dans le garage, plusieurs voitures qui doivent être de collection.
Il y a des voitures bizarres.

- Tu regardes ma collection, 2 cv Citroën, celle-là c’est une 4L Renault, elle a appartenu à Mamy, je savais à qui elle l’avait vendu et je l’ai racheté à prix d’or.
Elle marche impeccable.
Chaque fois que Mamy vient me voir, elle adore la conduire ça lui rappelle sa jeunesse.
- Elle est riche pour rouler en Ferrari ?
- Crois-tu que je t’aie emmené chez moi pour parler de cette DS21 coupée sport ou de ma grand-mère avec tout le respect que je lui dois ?

Il me prend dans ses bras et nous nous échangeons un baiser qui me fait fondre.
Ça doit être ça le coup de foudre.
Surtout que j’aurais pu choisir un plus moche, du genre de ce qu’il était avant de se transformer en Schwarzenegger.

- Faire ça dans une voiture surtout une Porche, il y a plus confortable, montons chez moi.

C’est en courant que nous arrivons au troisième, il a un ascenseur mais semble pressé de me sauter.
Il ouvre sa porte et me prend dans ses bras.
Nous nous embrassons fougueusement, il défait sa ceinture et me prenant sous les cuisses me permettant de m’empaler littéralement sur ce morceau bien supérieur à ce qu’il aurait pu montrer à ses copains dans son vestiaire de foot.
Je suis de nouveau rincée, trempée et sa verge semble infinie quand je sens que j’ai atteint ses couilles.
Il me fait monter et descendre à grande vitesse.
Il faut que je trouve de l’air mais l’orgasme qui me submerge est si fort que c’est une femme amoureuse qu’il emmène toujours sa verge au fond de moi vers sa chambre.
Il me pose, me montrant toute sa vigueur aussi je plonge sur elle et je la lèche récupérant ma cyprine qui la macule.

- J’ai faim, nous sommes partis sans que tu aies le temps de prendre une collation au buffet.
Je vais voir ce que ma mère m’a mis dans mes frigos.
- C’est Émilie ta maman qui gère ton frigo ?
- Oui, je suis dans l’incapacité de le faire et surtout mon temps m’est compté.
J’ai un boulot monstre dans mon cabinet malgré les deux collègues que je dirige.

Il quitte sa chambre me montrant son joli petit cul, il a deux magnifiques fossettes.
Je l’entends farfouiller dans la cuisine et revenir avec un plateau où se trouvent quatre choux à la crème avec une bombe de chantilly et dans son autre main une bouteille de champagne et deux coupes.

- Ma mère connaît mon péché mignon, les choux à la crème surmontés d’une tonne de chantilly.
Chaque fois qu’elle remplit mon frigo, j’en trouve quatre.
Avec toi je vais les partager.
C’est rare, mais avec toi, je ferais une exception.

J’avais peur qu’il me trouve moche comparé aux filles qui étaient à la soirée de ses parents.
Pourtant c’est moi qu’il a choisi.
Je regrette que Valentin soit resté chez son père, je me serais dénudée.
Non, ça s’est fait.
Nue donc, j’aurais fait vibrer mon instrument comme je vais faire vibrer le sien quand prenant la bombe de chantilly, je lui en badigeonne sa queue…

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