COLLECTION JEUNE – VIEUX. Canicule (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Canicule (1/2)
- Bonjour madame avez-vous reçu le papier de la mairie vous signalant que des jeunes du quartier passeraient cette année pour voir si vous allez bien le temps de la canicule.
- Disparaissez chenapans sinon j’appelle la police.
- Comment vous allez faire mémé, si nous passons c’est que la mairie n’a aucune possibilité de vous joindre pour vous demander si vous allez bien ?
Vous n’avez pas de téléphone, vous avez refusé qu’ils vous laissent un portable.
- On doit voir si vous avez bien bu madame.
Regardez, nous avons des bouteilles d’eau.
- Qui c’est celui-là qui vient de parler.
- Mustapha madame, avec mes parents, j’habite l’immeuble voisin.
- Nous sommes ici pour prendre contact avec vous, nous sommes cinq, chaque jour l’un ou l’autre nous passerons vous voir à l’heure que vous souhaiterez.
Regarder, nous avons des badges de la mairie avec nos noms, Rachid, Mustapha, Youssef, Kamal et je m’appelle Lionel.
À travers sa porte et son œilleton, la vieille dame semble dépassée par les événements, mais elle finit par comprendre et ouvrir sa porte.
- Venez dans ma cuisine, c’est la pièce la plus fraîche, elle est au nord.
- Ça tombe bien, le maire nous a dit de contrôler vos frigos, par ces chaleurs il faut boire et un peu manger.
- J’ai tout ce qu’il faut, Albert l’épicier me livre deux fois par semaine.
- Vous ne sortez pas !
- Si, mais je ne vais pas loin et je passe par chez lui déposer ma liste.
- Je savais bien que je savais qui vous êtes, vous étiez institutrice dans le temps.
- Kamal arrête de dire des conneries, Mamy est bien trop vieille pour que tu l’aies eue comme institutrice.
- Il a raison jeune homme, j’étais bien institutrice à l’école Jacques-Prévert, mais je suis parti en retraite ça fera vingt ans cette année.
- Bien sur Lionel, c’est mon père qui l’a eu dans notre école.
Mamy un jour vous étiez assise sur un banc dans le square, il m’a dit que vous l’aviez eu comme élève.
- Comment s’appelait-il ?
- Kamel, comme les cigarettes mais avec un K.
- Je m’en souviens, il faisait la même vanne sur son nom, c’était un sacré gredin, j’étais obligé de le mettre au fond de la classe tellement il chahutait.
- Kamal, ton père a bien changé, mamy, son père, il n’a pas intérêt à bouger une oreille avec la Fatima, il se ferait couper les couilles.
- Pardon madame, j’ai employé un mot que je n’aurais pas dû.
- Si j’ai bien compris, vous vous appelez Lionel, je vais vous dire, jusqu’à la mort de Louis, j’ai été marié pendant presque quarante ans avec lui, je sais ce que couille veut dire.
- Il n’est plus là.
- Non, il m’a quitté le lendemain de mon départ à la retraite, ça fera vingt ans demain.
- Vingt ans que vous vivez seule !
- Oui, Lionel, vous savez on s’habitue.
Je vois Mustapha quitter la cuisine, j’espère qu’il va bien se tenir, je suis le responsable de ce groupe, le maire m’a à la bonne, je vais vous faire une confidence, c’est l’amant de maman.
Beaucoup de mondes disent que nous sommes des racailles, il a voulu par cette initiative démontrer que nous avons encore du respect pour autrui.
Le problème dans nos quartiers ce sont les meufs pas pour la baise, ça c’est impossible.
Du moins les jeunes, à part moi qui ai eu comme maîtresse la sœur de Kamal.
Elle s’appelle Radia et est divorcée.
Les grands frères la laissent libre alors qu’ils surveillent la virginité de leurs sœurs plus jeunes comme l’huile sur le feu.
Certaines sont cloîtrées surveillées par les grands frères.
Dans ces quartiers le père, c’est plus rare car souvent les mères sont seules.
Avec Radia, ça s’est passé il y a peu de temps car jusqu’à il y a trois jours j’étais puceau.
Je cherchais Kamal, on m’a dit qu’il était chez sa sœur dans la tour d’en face.
Quand je suis arrivé, elle m’a ouvert enroulé dans une grande serviette blanche.
Elle avait les cheveux mouillés, elle sortait de sa douche.
Elle avait bien entendu sonnée elle attendait son frère et a pensé que c’était lui.
Du moins c’est ce qu’elle m’a dit.
Elle m’a fait entrer, j’ignore pourquoi j’ai fait ce que j’ai fait, elle avait une grande serviette bleue autour de ses seins et une plus petite dans les mains essuyant ses cheveux.
Je pouvais voir qu’ils étaient très longs repliés sur son épaule.
Je l’avais toujours vu avec des chignons du temps où elle était mariée avec Younès.
Je me souviens, quand elle l’avait épousé.
Ils avaient fait une grande fête dans la cité, elle arrivait de leur bled, elle avait 17 ans et Younès 52.
Certains disaient qu’il était veuf, d'autres qu’il avait déjà deux femmes au bled.
Il y allait tous les mois par Air Algérie pendant une semaine, certains disaient qu’il trafiquait.
Ça s’est avéré, il a été arrêté pour trafic de stupéfiants, un gros paquet.
Radia en a profité pour s’émanciper en divorçant.
Elle m’a fait entrer dans sa salle et je me suis retrouvé sur son canapé.
Comme elle se séchait les cheveux, je lui ai pris la serviette et j’ai commencé à les essuyer moi-même.
Elle m’a laissé faire, mieux, elle s’est levée, ses cheveux sont tombés jusqu’au creux de ses reins, ils étaient magnifiques.
Est-ce moi où elle qui s’est empressée de défaire la serviette autour de ses seins, je l’ignore et je l’ignorerai toujours.
Surtout que je n’ai pas eu le temps de les admirer car je l’ai fait tomber sur son canapé.
Je bandais à avoir mal, j’ai sorti ma queue que j’ai plongée en elle.
J’ai déchargé immédiatement.
J’étais dans le vagin d’une femme donc j’avais perdu mon pucelage, mais je n’avais presque rien senti hormis mon sperme coulant en elle.
De honte, j’avais rentré ma queue et je m’étais sauvé en courant.
La nuit suivante, en me masturbant, repensant à ses longs cheveux, j’ai pris conscience que j’avais là à ma disposition une chatte accueillante.
Il suffisait que je trouve un plan pour recoller les morceaux après la frustration ressentie que ma précipitation avait dû engendrer.
J’ai fait gaffe.
Je suis allée acheter une rose dans la boutique de fleurs, sur la place du marché.
Bien sûr entre la boutique et l’immeuble de Radia, j’ai croisé Mustapha qui a vu la rose et s’est foutu de ma gueule.
Je m’en suis sorti en lui disant que c’était l’anniversaire de ma maman.
Je n’ai pas menti, c’était deux jours plus tôt, mais chez nous ça ne se fêtait pas.
Cependant chez lui la mère s’était sacré alors respect pour moi de lui offrir cette fleur.
Quand j’ai été hors de sa vue, je suis retournée sonner chez Radia, elle n’était pas là.
Comme dans beaucoup d'immeubles l’ascenseur était en panne, elle habitait au quatrième.
J’ai laissé la fleur sur son paillasson, je me voyais mal la ramener pour l’offrir à maman au risque de retomber sur l’un de nos cinq copains.
C’est au premier que je l’ai croisé, je lui ai pris un de ses cabas et nous sommes remontés.
Elle a vu la rose, la ramassée et m’a embrassé.
Un vrai baisé, avec sa langue et ma langue, une nouvelle fois je bandais.
Elle m’a fait entrer et c’est dans sa chambre qu’elle m’a emmenée, j’ai passé un après-midi de rêve.
Après m’avoir déshabillé elle m’a appris à la déshabiller et à lui sucer la chatte.
Mais avant, j’ai pris plaisir à lui défaire ses cheveux, les admirant lorsqu’ils sont tombés jusqu’à sa chute de reins.
Sucer sa chatte, je savais que ça se faisait, ce que j’ignorais c’est que les filles du soleil avaient une cyprine si odorante.
Nous avons baisé tranquillement, elle a joui et j’ai pu m’épancher sensation divine.
Ouf, Mustapha revient me ramenant à mon rôle de chef.
Il a un simple cadre photo à la main.
- Mamy, c’est vous là avec ce monsieur.
- Bien sûr jeune homme, c’est moi avec Louis.
Je sais que mamy s’appelle Violette, je l’ai vu sur la fiche que la mairie nous a fournie.
- Vous étiez jeune, regardez les gars la superbe poitrine que mamy avait, dit moi Kamel, ton père devait bander devant une telle paire.
- Jeune homme, sachez que cette photo, seuls ceux qui venaient dans ma chambre la voyaient, comme il n’y a eu que Louis qui y est entré, personne à part lui ne l’a vu.
Allez la remettre à sa place, sinon j’en aviserais la mairie.
- Non, madame Violette, ne faites pas ça, Mustapha va reposer ce cadre-là où tu l’as pris.
Nous voulons vous être utiles et pas vous envahir, nous allons vous quitter.
Demain c’est moi qui viendrais voir si tout va bien et vous amener des bouteilles d’eau.
Le lendemain, tout va dépasser largement le cadre fixé par l’amant de ma mère…
- Disparaissez chenapans sinon j’appelle la police.
- Comment vous allez faire mémé, si nous passons c’est que la mairie n’a aucune possibilité de vous joindre pour vous demander si vous allez bien ?
Vous n’avez pas de téléphone, vous avez refusé qu’ils vous laissent un portable.
- On doit voir si vous avez bien bu madame.
Regardez, nous avons des bouteilles d’eau.
- Qui c’est celui-là qui vient de parler.
- Mustapha madame, avec mes parents, j’habite l’immeuble voisin.
- Nous sommes ici pour prendre contact avec vous, nous sommes cinq, chaque jour l’un ou l’autre nous passerons vous voir à l’heure que vous souhaiterez.
Regarder, nous avons des badges de la mairie avec nos noms, Rachid, Mustapha, Youssef, Kamal et je m’appelle Lionel.
À travers sa porte et son œilleton, la vieille dame semble dépassée par les événements, mais elle finit par comprendre et ouvrir sa porte.
- Venez dans ma cuisine, c’est la pièce la plus fraîche, elle est au nord.
- Ça tombe bien, le maire nous a dit de contrôler vos frigos, par ces chaleurs il faut boire et un peu manger.
- J’ai tout ce qu’il faut, Albert l’épicier me livre deux fois par semaine.
- Vous ne sortez pas !
- Si, mais je ne vais pas loin et je passe par chez lui déposer ma liste.
- Je savais bien que je savais qui vous êtes, vous étiez institutrice dans le temps.
- Kamal arrête de dire des conneries, Mamy est bien trop vieille pour que tu l’aies eue comme institutrice.
- Il a raison jeune homme, j’étais bien institutrice à l’école Jacques-Prévert, mais je suis parti en retraite ça fera vingt ans cette année.
- Bien sur Lionel, c’est mon père qui l’a eu dans notre école.
Mamy un jour vous étiez assise sur un banc dans le square, il m’a dit que vous l’aviez eu comme élève.
- Comment s’appelait-il ?
- Kamel, comme les cigarettes mais avec un K.
- Je m’en souviens, il faisait la même vanne sur son nom, c’était un sacré gredin, j’étais obligé de le mettre au fond de la classe tellement il chahutait.
- Kamal, ton père a bien changé, mamy, son père, il n’a pas intérêt à bouger une oreille avec la Fatima, il se ferait couper les couilles.
- Pardon madame, j’ai employé un mot que je n’aurais pas dû.
- Si j’ai bien compris, vous vous appelez Lionel, je vais vous dire, jusqu’à la mort de Louis, j’ai été marié pendant presque quarante ans avec lui, je sais ce que couille veut dire.
- Il n’est plus là.
- Non, il m’a quitté le lendemain de mon départ à la retraite, ça fera vingt ans demain.
- Vingt ans que vous vivez seule !
- Oui, Lionel, vous savez on s’habitue.
Je vois Mustapha quitter la cuisine, j’espère qu’il va bien se tenir, je suis le responsable de ce groupe, le maire m’a à la bonne, je vais vous faire une confidence, c’est l’amant de maman.
Beaucoup de mondes disent que nous sommes des racailles, il a voulu par cette initiative démontrer que nous avons encore du respect pour autrui.
Le problème dans nos quartiers ce sont les meufs pas pour la baise, ça c’est impossible.
Du moins les jeunes, à part moi qui ai eu comme maîtresse la sœur de Kamal.
Elle s’appelle Radia et est divorcée.
Les grands frères la laissent libre alors qu’ils surveillent la virginité de leurs sœurs plus jeunes comme l’huile sur le feu.
Certaines sont cloîtrées surveillées par les grands frères.
Dans ces quartiers le père, c’est plus rare car souvent les mères sont seules.
Avec Radia, ça s’est passé il y a peu de temps car jusqu’à il y a trois jours j’étais puceau.
Je cherchais Kamal, on m’a dit qu’il était chez sa sœur dans la tour d’en face.
Quand je suis arrivé, elle m’a ouvert enroulé dans une grande serviette blanche.
Elle avait les cheveux mouillés, elle sortait de sa douche.
Elle avait bien entendu sonnée elle attendait son frère et a pensé que c’était lui.
Du moins c’est ce qu’elle m’a dit.
Elle m’a fait entrer, j’ignore pourquoi j’ai fait ce que j’ai fait, elle avait une grande serviette bleue autour de ses seins et une plus petite dans les mains essuyant ses cheveux.
Je pouvais voir qu’ils étaient très longs repliés sur son épaule.
Je l’avais toujours vu avec des chignons du temps où elle était mariée avec Younès.
Je me souviens, quand elle l’avait épousé.
Ils avaient fait une grande fête dans la cité, elle arrivait de leur bled, elle avait 17 ans et Younès 52.
Certains disaient qu’il était veuf, d'autres qu’il avait déjà deux femmes au bled.
Il y allait tous les mois par Air Algérie pendant une semaine, certains disaient qu’il trafiquait.
Ça s’est avéré, il a été arrêté pour trafic de stupéfiants, un gros paquet.
Radia en a profité pour s’émanciper en divorçant.
Elle m’a fait entrer dans sa salle et je me suis retrouvé sur son canapé.
Comme elle se séchait les cheveux, je lui ai pris la serviette et j’ai commencé à les essuyer moi-même.
Elle m’a laissé faire, mieux, elle s’est levée, ses cheveux sont tombés jusqu’au creux de ses reins, ils étaient magnifiques.
Est-ce moi où elle qui s’est empressée de défaire la serviette autour de ses seins, je l’ignore et je l’ignorerai toujours.
Surtout que je n’ai pas eu le temps de les admirer car je l’ai fait tomber sur son canapé.
Je bandais à avoir mal, j’ai sorti ma queue que j’ai plongée en elle.
J’ai déchargé immédiatement.
J’étais dans le vagin d’une femme donc j’avais perdu mon pucelage, mais je n’avais presque rien senti hormis mon sperme coulant en elle.
De honte, j’avais rentré ma queue et je m’étais sauvé en courant.
La nuit suivante, en me masturbant, repensant à ses longs cheveux, j’ai pris conscience que j’avais là à ma disposition une chatte accueillante.
Il suffisait que je trouve un plan pour recoller les morceaux après la frustration ressentie que ma précipitation avait dû engendrer.
J’ai fait gaffe.
Je suis allée acheter une rose dans la boutique de fleurs, sur la place du marché.
Bien sûr entre la boutique et l’immeuble de Radia, j’ai croisé Mustapha qui a vu la rose et s’est foutu de ma gueule.
Je m’en suis sorti en lui disant que c’était l’anniversaire de ma maman.
Je n’ai pas menti, c’était deux jours plus tôt, mais chez nous ça ne se fêtait pas.
Cependant chez lui la mère s’était sacré alors respect pour moi de lui offrir cette fleur.
Quand j’ai été hors de sa vue, je suis retournée sonner chez Radia, elle n’était pas là.
Comme dans beaucoup d'immeubles l’ascenseur était en panne, elle habitait au quatrième.
J’ai laissé la fleur sur son paillasson, je me voyais mal la ramener pour l’offrir à maman au risque de retomber sur l’un de nos cinq copains.
C’est au premier que je l’ai croisé, je lui ai pris un de ses cabas et nous sommes remontés.
Elle a vu la rose, la ramassée et m’a embrassé.
Un vrai baisé, avec sa langue et ma langue, une nouvelle fois je bandais.
Elle m’a fait entrer et c’est dans sa chambre qu’elle m’a emmenée, j’ai passé un après-midi de rêve.
Après m’avoir déshabillé elle m’a appris à la déshabiller et à lui sucer la chatte.
Mais avant, j’ai pris plaisir à lui défaire ses cheveux, les admirant lorsqu’ils sont tombés jusqu’à sa chute de reins.
Sucer sa chatte, je savais que ça se faisait, ce que j’ignorais c’est que les filles du soleil avaient une cyprine si odorante.
Nous avons baisé tranquillement, elle a joui et j’ai pu m’épancher sensation divine.
Ouf, Mustapha revient me ramenant à mon rôle de chef.
Il a un simple cadre photo à la main.
- Mamy, c’est vous là avec ce monsieur.
- Bien sûr jeune homme, c’est moi avec Louis.
Je sais que mamy s’appelle Violette, je l’ai vu sur la fiche que la mairie nous a fournie.
- Vous étiez jeune, regardez les gars la superbe poitrine que mamy avait, dit moi Kamel, ton père devait bander devant une telle paire.
- Jeune homme, sachez que cette photo, seuls ceux qui venaient dans ma chambre la voyaient, comme il n’y a eu que Louis qui y est entré, personne à part lui ne l’a vu.
Allez la remettre à sa place, sinon j’en aviserais la mairie.
- Non, madame Violette, ne faites pas ça, Mustapha va reposer ce cadre-là où tu l’as pris.
Nous voulons vous être utiles et pas vous envahir, nous allons vous quitter.
Demain c’est moi qui viendrais voir si tout va bien et vous amener des bouteilles d’eau.
Le lendemain, tout va dépasser largement le cadre fixé par l’amant de ma mère…
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