COLLECTION JEUNE – VIEUX. Éducation sexuelle (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2020 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Éducation sexuelle (3/3)
Il est incroyable à l’air d’Internet que deux jeunes soient autant en retard sexuellement sur le reste de la jeunesse de notre pays.
Éducation rigoriste à la limite du fanatisme dicté par des lois ancestrales leur interdisant toute pratique de l’acte sexuelle avant le mariage.
Ces pratiques de moins en moins répandues qui veulent que deux êtres humains attendent le bon jour pour convoler.
Ces pratiques qui veulent surtout que l’on se serve de nos sexes seulement pour avoir des progénitures, je leur apprends à les balayer.
Une nouvelle fois ces pratiques ont frappé et ce jeune couple composé de Lory la jeune fille et Louis son mari ont été tenus à l’écart du sexe un peu hard mais naturel à notre époque.
Rapidement je comprends le problème.
Louis est un éjaculateur précoce et pour amplifier le problème d’attribut d’un enfant de jeunes âges.
J’ai l’impression que la belle-mère a piégé la petite en lui cachant cette malformation empêchant son fils de la pénétrer et de lui ôter son pucelage.
Il est impossible ayant eu un homme dans son lit, qu’elle ignore que son fils était atrophié du gland.
Mais chez ces bourges, tout est possible elle se faisait peut-être sauter dans le noir et ignore comment une bite en érection est faite.
Hier, je leur ai fait passer un cap.
La petite a perdu son pucelage grâce à la main de son mari qui l’a fisté lui faisant même prendre son plaisir.
La chatte encore béante, Louis a réussi à faire entrer sa verge et même jusqu’à décharger avant de se retirer.
Avec un coup de chance, le sperme qu’il aura propulsé atteindra un de ses ovules et dans neuf mois le petit couple aura son premier enfant, merveille pour les parents et les beaux-parents.
Un problème pour moi, j’ai envie de cette jeune fille.
La voir nue devant moi me donne envie, surtout que je suis sûr qu’avec ma verge et ma langue, je serais capable de la faire monter au septième ciel.
Voir plus s’il est possible d’aller plus haut.
Hélas, j’ai une certaine morale même si ça m’a joué des tours avec Olga qui elle en manquait ainsi qu’Olaf mon copain.
38 ans, je suis en même temps jeune et vieux comparé à leurs 18 ans.
La chance, dans mes bouquins, souvent mon inspecteur doit s’en remettre à la chance ou provoquer la chance.
C’est sur les quais où j’aime flâner même rarement que j’entrevois la solution.
Dans des boutiques je vois des souris, toutes blanches sauf une noire.
Une idée folle me vient.
Je l’achète et je rentre à notre immeuble.
Je dépose mon manteau et mettant la souris dans ma poche de pantalon, je vais sonner chez Lory.
- Aurais-tu un œuf, je préparais un gâteau afin de vous inviter ce soir au retour de Louis et j’ai mis par terre l’un d’eux et mon épicier me livre demain ?
- Entre, reste dans l’entrée, tu es notre ami mais te faire entrer serais contre notre morale même si tu en as vu beaucoup de moi.
- Aucun problème.
Elle part vers la cuisine chercher un œuf.
Allez va petite souris noire, va faire ton office.
Je la lâche vers la salle à manger où elle s’engouffre ma poche devant la mettre mal à l’aise.
Je prends l’œuf et je retourne chez moi attendre mon heure.
Je fais un gâteau, j’aime faire des gâteaux, quand j’ai entamé la carrière d’écrivain de livres érotiques et de polars, j’étais à deux doigts de prendre des cours pour confectionner des gâteaux pour les vendre.
Moins d’une heure après ça sonne.
- Christian vient vite, il y a une souris dans la salle à manger.
Je venais de prendre mon bain.
Je venais de me poser sur mon canapé quand elle est passée devant moi.
Elle m’a regardé avec ses yeux rouges avant de filer sous le meuble de la salle.
- Tu as retrouvé Poupette, c’était la souris de ceux qui étaient là avant vous, elle est gentille bien que pour une femme je sais que c’est effrayant.
Viens allons voir.
Quelques mètres et nous entrons, je suis un chanceux, Poupette passe dans nos jambes sortant par la porte et filant sans demander son reste.
- Ah !
Lory me saute dans les bras.
Du pied je referme la porte.
J’ignore où elle va aller se réfugier et pour tout dire, je m’en fiche le principal c’est que la petite s'est blottie dans mes bras tremblants.
Son contact me fait bander surtout que son peignoir s'est ouvert plaquant sa chatte sur ma verge.
Elle lève la tête on se regarde et nos bouches se trouvent.
Savait-elle embrasser avant je l’ignore et je me garderais bien de lui poser la question.
J’étais venu la baiser aidé par Poupette et je la porte la soulevant vers le canapé.
Je la dépose les jambes pendantes et me plaçant dans sa fourche, ma langue s’occupe de son clitoris.
Elle tortille du cul rapidement avant d’avoir un premier orgasme.
Je lui tenais les cuisses bien écartées, je récupère ma main et je me déboutonne.
Mon sexe en main, j’ai envie d’une fellation mais se serait allé trop vite en besogne en prenant le risque de casser le charme instauré et qu’elle se reprenne.
Je me relève et dans sa bouche intime béante d’envie, je plonge en elle.
Je voudrais être à sa place pour ressentir ce qu’elle ressent une verge dans le vagin.
Elle me le fait sentir rapidement quand la regardant ses yeux se révulse et qu’elle entonne un chant d’amour.
Je sais être patient, un orgasme s’arrête vite remplacé par un autre.
Je trahis mon ami Louis, mais c’est si bon d’avoir sa chatte à ma disposition.
Ses jambes s’entourent autour des miennes et au bout d’un temps assez long, je rends les armes et je lui remplis le vagin.
- Qu’avons-nous fait, j’ai trahi mon serment d’amour pour mon mari, mais tu m’as fait voir que mon corps était vivant ?
Nous restons dans les bras l’un de l’autre.
Qu’avons-nous fait, mais une envie d’y retourner la taraude !
Sa main prend ma verge et la caresse me faisant rebander.
Elle se penche et me fait une magnifique fellation.
Je suis content de l’évolution de sa sexualité, je suis arrivé à faire sauter les barrières que des générations de curés ont mises dans les têtes de membres de certaines familles.
Je veux pour cette première fois, éviter d’aller trop loin.
Que se passerait-il si je crachais mon sperme au fond de sa gorge, je risquerais de la traumatiser et de la ramener au point de départ de nos premiers rapports.
- Connais-tu la levrette ?
- Non !
- C’est une position sexuelle et si tu es d’accord je vais te faire connaître.
- Oh oui, j’aime ce que tu m’apprends.
Ce que tu nous apprends.
Je me lève et je la place à quatre pattes la poitrine sur le dossier du canapé.
Je me positionne et je la pénètre doucement, doucement, très doucement jusqu’à ce que mes couilles touchent ses fesses.
En faisant ma maîtresse, j’empoigne ses seins que je martyrise un petit peu.
Je sais que les femmes aiment la douceur et la rudesse.
Douceur, rudesse, douceur rudesse, rudesse, rudesse, rudesse quand je lâche les chevaux à grands coups de bite.
J’arrive à mes fins quand elle hurle de plaisir.
Elle hurle et je me dis que si le voisin était chez lui au lieu d’être dans son vagin, il se pignolerait tellement elle gueule sans discontinuer.
Nous roulons sur le canapé avant de reprendre pied sur terre car moi aussi j’ai joui en décharge inondant son utérus.
- À tout à l’heure, 20 heures, vite Louis va rentrer, il faut que je retourne dans mon bain.
J’ai un peu peur de ce qui va se passer si Louis découvre le pot aux roses.
À vingt heures, ils sonnent, tout semble normal.
Nous mangeons le baba au rhum que j’ai préparé avec une bouteille de champagne de mon copain Henri.
C’est un viticulteur ami qui me fournit ces bouteilles aimant faire sauter un bouchon de temps en temps pour une bonne occasion.
Je sais que l’occasion je l’ai créé en baisant et en la faisant jouir celle qui me regarde les yeux embués du plaisir qu’elle doit encore ressentir.
- Tu parles ou je parle Louis ?
- Je vais parler ma chérie.
Voilà Christian, quand je suis rentré, Lory m’a dit ce qui s'était passé à cause d’une souris qui était dans notre logement.
Il y a quelque temps que je m’interroge sur notre problème.
Je revenais de chez un médecin sexologue qui m’a déconseillé de me faire allonger le pénis comme je l’avais vu dans des pubs sur les journaux.
Le résultat serait plus désastreux que mon problème.
Quand elle m’a dit le plaisir qu’elle a pris avec toi, nous aimerions que tu continues à être son amant et que tous les deux nous soyons ses amants.
- C’est trop d’honneur, mais comment faire, j’aime beaucoup faire l’amour à Lory, mais toi, serais-tu capable d’être en retrait, surtout que les rapports avec les hommes sont bannis.
- Pour elle, je suis prêt à tout et avec toi je suis sûr que nous allons trouver notre équilibre.
Voilà, je suis l’amant de Lory chaque fois qu’elle a envie de mon sexe et moi du sien.
Nos couloirs menant à nos chambres étant dans le même prolongement.
Nous avons fait faire un passage entre nos appartements.
Ils m’apportent des instants de plaisir même quand je prends Lory et que Louis nous regarde s’envoyer en l’air.
La petite nous fait à manger ce qui me décharge d’une corvée et des paquets de chips que je me faisais livrer.
Elle vient de nous prévenir que l’un de nous a envoyé ses spermatozoïdes vers ses ovules et qu’elle attendait un bébé.
Demain je sors un polard qui va nous permettre de payer la chambre de notre fils à tous les trois.
Je l’ai écrit avec devant moi une petite souris noire, Poupette, qui joue dans sa cage.
Je l’ai vu passer dans ma salle trois jours après que je l’ai vu partir par la porte des jeunes.
Elle a eu assez d’espace comme savent le faire les petites souris pour venir chez moi.
J’ai réussi à l’attraper sans la tuer.
J’ai acheté une cage où je la vois vivre sa vie.
Cette cage à un avantage, Lory me laisse travailler quand la porte de mon bureau est fermée car elle refuse de l’approcher.
Éducation rigoriste à la limite du fanatisme dicté par des lois ancestrales leur interdisant toute pratique de l’acte sexuelle avant le mariage.
Ces pratiques de moins en moins répandues qui veulent que deux êtres humains attendent le bon jour pour convoler.
Ces pratiques qui veulent surtout que l’on se serve de nos sexes seulement pour avoir des progénitures, je leur apprends à les balayer.
Une nouvelle fois ces pratiques ont frappé et ce jeune couple composé de Lory la jeune fille et Louis son mari ont été tenus à l’écart du sexe un peu hard mais naturel à notre époque.
Rapidement je comprends le problème.
Louis est un éjaculateur précoce et pour amplifier le problème d’attribut d’un enfant de jeunes âges.
J’ai l’impression que la belle-mère a piégé la petite en lui cachant cette malformation empêchant son fils de la pénétrer et de lui ôter son pucelage.
Il est impossible ayant eu un homme dans son lit, qu’elle ignore que son fils était atrophié du gland.
Mais chez ces bourges, tout est possible elle se faisait peut-être sauter dans le noir et ignore comment une bite en érection est faite.
Hier, je leur ai fait passer un cap.
La petite a perdu son pucelage grâce à la main de son mari qui l’a fisté lui faisant même prendre son plaisir.
La chatte encore béante, Louis a réussi à faire entrer sa verge et même jusqu’à décharger avant de se retirer.
Avec un coup de chance, le sperme qu’il aura propulsé atteindra un de ses ovules et dans neuf mois le petit couple aura son premier enfant, merveille pour les parents et les beaux-parents.
Un problème pour moi, j’ai envie de cette jeune fille.
La voir nue devant moi me donne envie, surtout que je suis sûr qu’avec ma verge et ma langue, je serais capable de la faire monter au septième ciel.
Voir plus s’il est possible d’aller plus haut.
Hélas, j’ai une certaine morale même si ça m’a joué des tours avec Olga qui elle en manquait ainsi qu’Olaf mon copain.
38 ans, je suis en même temps jeune et vieux comparé à leurs 18 ans.
La chance, dans mes bouquins, souvent mon inspecteur doit s’en remettre à la chance ou provoquer la chance.
C’est sur les quais où j’aime flâner même rarement que j’entrevois la solution.
Dans des boutiques je vois des souris, toutes blanches sauf une noire.
Une idée folle me vient.
Je l’achète et je rentre à notre immeuble.
Je dépose mon manteau et mettant la souris dans ma poche de pantalon, je vais sonner chez Lory.
- Aurais-tu un œuf, je préparais un gâteau afin de vous inviter ce soir au retour de Louis et j’ai mis par terre l’un d’eux et mon épicier me livre demain ?
- Entre, reste dans l’entrée, tu es notre ami mais te faire entrer serais contre notre morale même si tu en as vu beaucoup de moi.
- Aucun problème.
Elle part vers la cuisine chercher un œuf.
Allez va petite souris noire, va faire ton office.
Je la lâche vers la salle à manger où elle s’engouffre ma poche devant la mettre mal à l’aise.
Je prends l’œuf et je retourne chez moi attendre mon heure.
Je fais un gâteau, j’aime faire des gâteaux, quand j’ai entamé la carrière d’écrivain de livres érotiques et de polars, j’étais à deux doigts de prendre des cours pour confectionner des gâteaux pour les vendre.
Moins d’une heure après ça sonne.
- Christian vient vite, il y a une souris dans la salle à manger.
Je venais de prendre mon bain.
Je venais de me poser sur mon canapé quand elle est passée devant moi.
Elle m’a regardé avec ses yeux rouges avant de filer sous le meuble de la salle.
- Tu as retrouvé Poupette, c’était la souris de ceux qui étaient là avant vous, elle est gentille bien que pour une femme je sais que c’est effrayant.
Viens allons voir.
Quelques mètres et nous entrons, je suis un chanceux, Poupette passe dans nos jambes sortant par la porte et filant sans demander son reste.
- Ah !
Lory me saute dans les bras.
Du pied je referme la porte.
J’ignore où elle va aller se réfugier et pour tout dire, je m’en fiche le principal c’est que la petite s'est blottie dans mes bras tremblants.
Son contact me fait bander surtout que son peignoir s'est ouvert plaquant sa chatte sur ma verge.
Elle lève la tête on se regarde et nos bouches se trouvent.
Savait-elle embrasser avant je l’ignore et je me garderais bien de lui poser la question.
J’étais venu la baiser aidé par Poupette et je la porte la soulevant vers le canapé.
Je la dépose les jambes pendantes et me plaçant dans sa fourche, ma langue s’occupe de son clitoris.
Elle tortille du cul rapidement avant d’avoir un premier orgasme.
Je lui tenais les cuisses bien écartées, je récupère ma main et je me déboutonne.
Mon sexe en main, j’ai envie d’une fellation mais se serait allé trop vite en besogne en prenant le risque de casser le charme instauré et qu’elle se reprenne.
Je me relève et dans sa bouche intime béante d’envie, je plonge en elle.
Je voudrais être à sa place pour ressentir ce qu’elle ressent une verge dans le vagin.
Elle me le fait sentir rapidement quand la regardant ses yeux se révulse et qu’elle entonne un chant d’amour.
Je sais être patient, un orgasme s’arrête vite remplacé par un autre.
Je trahis mon ami Louis, mais c’est si bon d’avoir sa chatte à ma disposition.
Ses jambes s’entourent autour des miennes et au bout d’un temps assez long, je rends les armes et je lui remplis le vagin.
- Qu’avons-nous fait, j’ai trahi mon serment d’amour pour mon mari, mais tu m’as fait voir que mon corps était vivant ?
Nous restons dans les bras l’un de l’autre.
Qu’avons-nous fait, mais une envie d’y retourner la taraude !
Sa main prend ma verge et la caresse me faisant rebander.
Elle se penche et me fait une magnifique fellation.
Je suis content de l’évolution de sa sexualité, je suis arrivé à faire sauter les barrières que des générations de curés ont mises dans les têtes de membres de certaines familles.
Je veux pour cette première fois, éviter d’aller trop loin.
Que se passerait-il si je crachais mon sperme au fond de sa gorge, je risquerais de la traumatiser et de la ramener au point de départ de nos premiers rapports.
- Connais-tu la levrette ?
- Non !
- C’est une position sexuelle et si tu es d’accord je vais te faire connaître.
- Oh oui, j’aime ce que tu m’apprends.
Ce que tu nous apprends.
Je me lève et je la place à quatre pattes la poitrine sur le dossier du canapé.
Je me positionne et je la pénètre doucement, doucement, très doucement jusqu’à ce que mes couilles touchent ses fesses.
En faisant ma maîtresse, j’empoigne ses seins que je martyrise un petit peu.
Je sais que les femmes aiment la douceur et la rudesse.
Douceur, rudesse, douceur rudesse, rudesse, rudesse, rudesse quand je lâche les chevaux à grands coups de bite.
J’arrive à mes fins quand elle hurle de plaisir.
Elle hurle et je me dis que si le voisin était chez lui au lieu d’être dans son vagin, il se pignolerait tellement elle gueule sans discontinuer.
Nous roulons sur le canapé avant de reprendre pied sur terre car moi aussi j’ai joui en décharge inondant son utérus.
- À tout à l’heure, 20 heures, vite Louis va rentrer, il faut que je retourne dans mon bain.
J’ai un peu peur de ce qui va se passer si Louis découvre le pot aux roses.
À vingt heures, ils sonnent, tout semble normal.
Nous mangeons le baba au rhum que j’ai préparé avec une bouteille de champagne de mon copain Henri.
C’est un viticulteur ami qui me fournit ces bouteilles aimant faire sauter un bouchon de temps en temps pour une bonne occasion.
Je sais que l’occasion je l’ai créé en baisant et en la faisant jouir celle qui me regarde les yeux embués du plaisir qu’elle doit encore ressentir.
- Tu parles ou je parle Louis ?
- Je vais parler ma chérie.
Voilà Christian, quand je suis rentré, Lory m’a dit ce qui s'était passé à cause d’une souris qui était dans notre logement.
Il y a quelque temps que je m’interroge sur notre problème.
Je revenais de chez un médecin sexologue qui m’a déconseillé de me faire allonger le pénis comme je l’avais vu dans des pubs sur les journaux.
Le résultat serait plus désastreux que mon problème.
Quand elle m’a dit le plaisir qu’elle a pris avec toi, nous aimerions que tu continues à être son amant et que tous les deux nous soyons ses amants.
- C’est trop d’honneur, mais comment faire, j’aime beaucoup faire l’amour à Lory, mais toi, serais-tu capable d’être en retrait, surtout que les rapports avec les hommes sont bannis.
- Pour elle, je suis prêt à tout et avec toi je suis sûr que nous allons trouver notre équilibre.
Voilà, je suis l’amant de Lory chaque fois qu’elle a envie de mon sexe et moi du sien.
Nos couloirs menant à nos chambres étant dans le même prolongement.
Nous avons fait faire un passage entre nos appartements.
Ils m’apportent des instants de plaisir même quand je prends Lory et que Louis nous regarde s’envoyer en l’air.
La petite nous fait à manger ce qui me décharge d’une corvée et des paquets de chips que je me faisais livrer.
Elle vient de nous prévenir que l’un de nous a envoyé ses spermatozoïdes vers ses ovules et qu’elle attendait un bébé.
Demain je sors un polard qui va nous permettre de payer la chambre de notre fils à tous les trois.
Je l’ai écrit avec devant moi une petite souris noire, Poupette, qui joue dans sa cage.
Je l’ai vu passer dans ma salle trois jours après que je l’ai vu partir par la porte des jeunes.
Elle a eu assez d’espace comme savent le faire les petites souris pour venir chez moi.
J’ai réussi à l’attraper sans la tuer.
J’ai acheté une cage où je la vois vivre sa vie.
Cette cage à un avantage, Lory me laisse travailler quand la porte de mon bureau est fermée car elle refuse de l’approcher.
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