COLLECTION JEUNE – VIEUX. L’étudiant en médecine (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. L’étudiant en médecine (1/2)
• Oui, jeune homme, j’ai bien une chambre que je loue à des étudiants de la fac voisine.
Ma chambre avec coin toilette et petit coin pour se faire un petit déjeuner, voir cuir une boîte de conserve est libre et je le loue 300 € par mois.
Vous êtes en médecine, cinquième année.
On peut presque dire que vous êtes médecin.
Vous avez bientôt 24 ans, beau parcours.
Vous êtes brun et vous êtes grand.
Ça peut m’importe, jeune homme, je vis seule depuis mes 40 ans et la mort de Jean, mon mari.
Cette chambre, c’est sur son lit de mort qu’il m’a fait promettre de la louer à des étudiants principalement en médecine.
Pourquoi est-elle libre à ce prix à ce moment de l’ouverture de l’année de fac ?
J’avais un étudiant en deuxième année de médecine depuis ses débuts.
Il était très brillant, mais était faible de caractère et il a fait ce que vous médecin, appelez un burn-out et il s’est engagé dans la marine.
Lorsqu’il est venu récupérer quelques affaires, j’ai tout fait pour le retenir et continuer, car nous avons besoin de gens comme vous, mais j’ai échoué et il avait déjà signé pour cinq ans
Vous avez raison, juste le temps qui lui aurait fallu pour devenir médecin.
Bien sûr que vous pouvez venir visiter si tout vous convient.
Oui, il y a une connexion Internet, grâce à la fibre et vous pourrez connecter bien des appareils.
La seule chose que je souhaite c’est que vous soyez calme, j’ai horreur du bruit.
Mon mari en plus d’être un gros fumeur, trois paquets par jour, était sourd et il mettait la chaîne à hurler.
J’ai eu des problèmes, il y a quatre ans avec un dénommé Sylvain, qui au lieu de bosser jouait avec ce que vous appelez des consoles à des jeux de guerre.
Ça pétait dans tous les sens à m’en donner mal à la tête.
J’ai tenu une année et après j’ai eu Lionel dont je viens de vous parler.
Avec vous rien à craindre, vous avez horreur de ces jeux débiles !
Si vous pourrez amener des amis.
De façon raisonnable, oui.
Et vous, Jocelin, pourquoi semblez-vous vous trouver dans la mouise à ce moment de l’année ?
Je comprends, votre logeur est décédé et vous devez quitter votre chambre au dernier moment, car le fils vend la maison et c’était dans le contrat.
Vous verrez, j’habite dans un immeuble, que je possède depuis que George m’a quitté la veille de mes quarante ans, il avait dix ans de plus que moi.
Au rez-de-chaussée, la boutique qui est fermée, nous vendions des chaussures avec mon mari.
Au premier, mes appartements et sous les toits, cet espace que j’ai fait aménager pour vous recevoir.
Prévoyant sachant qu’il se tuait à petit feu, nous avions souscrit une assurance-vie, ce qui me permet de vivre ayant fermé boutique.
Avez-vous des questions ?
Si je connais quelqu’un pour faire votre ménage et votre lessive !
Bien sûr, moi et ça gracieusement.
Contrairement à de nombreuses femmes, j’adore m’occuper de mon ménage.
À cinquante ans, ça fait faire du sport bien que je coure tous les dimanches matin 10 à 15 kilomètres.
Je nettoierais et changerais les draps une fois par semaine.
Votre maman les change toutes les trois semaines, ce sera assez pour vous.
Nous verrons bien, mais tout sera fait pour votre confort.
Vous serez à Courbevoie samedi matin, 14 heures, c’est parfait.
Jocelin est ponctuel, visite tout lui va et moi aussi.
Nous signons un bail stipulant les petits avantages signalés par téléphone.
Trois mois qu’il est là, une perle le peu de fois que je le vois, toujours poli.
Grand, une tête de plus que moi.
Un léger collier de barbe lui donnant un air viril.
Trois mois, jusqu’à ce matin où je l’entends sortir comme pourrait le faire un chat tellement il bouge à pas feutrés.
Depuis ma petite enfance, j’ai une habitude dont j’ai du mal à me séparer.
Le descend dans ma boîte à lettres où je récupère le journal du jour qui m’est livré.
Je m’installe sur le trône et porte bien verrouillée, je fais ce que j’ai à faire en lisant les nouvelles du jour.
Une fois tout terminé, je peux commencer de faire mon ménage de prendre mon bain.
Je m’habille avant d’aller faire quelques courses au supermarché voisin.
Comme j’ai entendu Jocelin descendre, persuadez qu’il est soit en fac soit à l’hôpital où il fait ses études, je monte à sa chambre en pyjama et en peignoir.
• Jocelin, tu es remonté, je t’ai entendu descendre.
• Oui, je suis allé chercher une demi-baguette, j’ai oublié de l’acheter hier en rentrant.
• Je vais revenir.
• Inutile, madame Ariel, je me mets sur mon ordi avec mon casque et vous pouvez faire ce que vous avez à faire.
Je vois qu’il travaille sur l’anatomie des corps féminins, chaque fois que je passe derrière lui.
Une grosse chatte est à l’écran et il consulte des notes certainement prises dans l’amphi de la fac.
J’ai changé les draps et refait le lit.
Il ôte son casque.
• Je vous offre un café.
• Merci, c’est gentil, je vais avoir fini et j’allais en boire un chez moi.
Il fait chauffer de l’eau sur la petite plaque électrique à sa disposition et met de la poudre dans deux tasses.
Il y a deux chaises, nous sommes face à face.
• Vous avez l’air fatigué madame Ariel !
• Non, un peu anxieuse, je vais à l’hôpital à 15 heures, je dois passer une mammographie, tous les deux ans.
Ayant perdu mon mari d’un cancer du poumon, j’ai toujours un peu peur que l’on me détecte cette pourriture dans l’un de mes seins et que l’on me l’enlève.
• Si je peux être votre obligé, vous vous occupez si bien de moi depuis mon, arrivée, ôtez vos affaires, je vais vous palper, avant votre radio vous saurez s’il y a un risque d’une boule intempestive.
Il est jeune et pour moi est déjà un médecin.
J’ôte mon peignoir et ma veste de pyjama sans pudeur extrême comme je le ferais avec le médecin radiologue homme ou femme cette après-midi.
• Vous avez de très beaux seins, allongez-vous sur mon lit, c’est plus facile pour la palpation.
Je m’exécute et après avoir pris des gants dans une boîte sur son bureau, il me palpe, non, il me caresse tellement ses mains sont douces.
• Le droit s’est parfait.
Vos pointes de seins sont sensibles, regardez vos pointes dardent au moindre de mes touchers.
Le gauche, je pense que vous avez presque cent pour cent de chance que la radio conforme mon diagnostic, vous pourrez vivre tranquillement jusqu’ au prochain examen.
Merci Jocelin, vous êtes rassurant.
• Pendant que j’y suis, je serais votre obligé si vous me permettiez de contrôler votre col de l’utérus, à moins qu’un médecin vous ait vu ces semaines dernières.
Ça m’aiderait dans mon cursus en gynécologie que je fais actuellement.
D’où la chatte que je vois derrière lui en gros plan sur son écran.
Il m’aide à faire glisser ma culotte de pantalon que j’avais gardé pour une palpation des seins.
• Non, jamais depuis la mort de mon mari, de toute façon.
• Je comprends, assayez-vous sur le lit, les jambes dans le vide.
Bonne patiente, je l’ai toujours été, j’exécute son ordre.
Déjà fin psychologue, car la manière dont j’ai coupé ma phrase, lui a démontré que le sexe et moi s’était loin de plus de 10 ans.
En plus, veuve depuis tout ce temps, même avant dans les dernières phases de sa maladie, le sexe lui était interdit, nul besoin de cet examen.
• Vous êtes assez sportive, lever les jambes afin de bien ouvrir votre vagin avant mon toucher.
Deux doigts, je suis à deux doigts, ceux qu’il vient de m’introduire de défaillir de plaisir.
Je sens que je coule sur ses doigts et le gant qu’il a gardé.
• Jocelin, la honte me transperce, je mouille plus que jamais, que m’arrive-t-il ?
• Le manque de sexe si je peux me permettre Ariel.
Tu permets !...
Inutile de permettre, ses doigts sont remplacés par sa bouche qu’il pose sur mes lèvres les écartant pour trouver la partie de moi dont j’ignorais qu’elle était encore si sensible.
Il faut dire que je reconnaisse que Jean ignorait, les caresses préliminaires.
Je sentais les moments où il était chaud, il regardait son paquet de cigarettes
Ma chambre avec coin toilette et petit coin pour se faire un petit déjeuner, voir cuir une boîte de conserve est libre et je le loue 300 € par mois.
Vous êtes en médecine, cinquième année.
On peut presque dire que vous êtes médecin.
Vous avez bientôt 24 ans, beau parcours.
Vous êtes brun et vous êtes grand.
Ça peut m’importe, jeune homme, je vis seule depuis mes 40 ans et la mort de Jean, mon mari.
Cette chambre, c’est sur son lit de mort qu’il m’a fait promettre de la louer à des étudiants principalement en médecine.
Pourquoi est-elle libre à ce prix à ce moment de l’ouverture de l’année de fac ?
J’avais un étudiant en deuxième année de médecine depuis ses débuts.
Il était très brillant, mais était faible de caractère et il a fait ce que vous médecin, appelez un burn-out et il s’est engagé dans la marine.
Lorsqu’il est venu récupérer quelques affaires, j’ai tout fait pour le retenir et continuer, car nous avons besoin de gens comme vous, mais j’ai échoué et il avait déjà signé pour cinq ans
Vous avez raison, juste le temps qui lui aurait fallu pour devenir médecin.
Bien sûr que vous pouvez venir visiter si tout vous convient.
Oui, il y a une connexion Internet, grâce à la fibre et vous pourrez connecter bien des appareils.
La seule chose que je souhaite c’est que vous soyez calme, j’ai horreur du bruit.
Mon mari en plus d’être un gros fumeur, trois paquets par jour, était sourd et il mettait la chaîne à hurler.
J’ai eu des problèmes, il y a quatre ans avec un dénommé Sylvain, qui au lieu de bosser jouait avec ce que vous appelez des consoles à des jeux de guerre.
Ça pétait dans tous les sens à m’en donner mal à la tête.
J’ai tenu une année et après j’ai eu Lionel dont je viens de vous parler.
Avec vous rien à craindre, vous avez horreur de ces jeux débiles !
Si vous pourrez amener des amis.
De façon raisonnable, oui.
Et vous, Jocelin, pourquoi semblez-vous vous trouver dans la mouise à ce moment de l’année ?
Je comprends, votre logeur est décédé et vous devez quitter votre chambre au dernier moment, car le fils vend la maison et c’était dans le contrat.
Vous verrez, j’habite dans un immeuble, que je possède depuis que George m’a quitté la veille de mes quarante ans, il avait dix ans de plus que moi.
Au rez-de-chaussée, la boutique qui est fermée, nous vendions des chaussures avec mon mari.
Au premier, mes appartements et sous les toits, cet espace que j’ai fait aménager pour vous recevoir.
Prévoyant sachant qu’il se tuait à petit feu, nous avions souscrit une assurance-vie, ce qui me permet de vivre ayant fermé boutique.
Avez-vous des questions ?
Si je connais quelqu’un pour faire votre ménage et votre lessive !
Bien sûr, moi et ça gracieusement.
Contrairement à de nombreuses femmes, j’adore m’occuper de mon ménage.
À cinquante ans, ça fait faire du sport bien que je coure tous les dimanches matin 10 à 15 kilomètres.
Je nettoierais et changerais les draps une fois par semaine.
Votre maman les change toutes les trois semaines, ce sera assez pour vous.
Nous verrons bien, mais tout sera fait pour votre confort.
Vous serez à Courbevoie samedi matin, 14 heures, c’est parfait.
Jocelin est ponctuel, visite tout lui va et moi aussi.
Nous signons un bail stipulant les petits avantages signalés par téléphone.
Trois mois qu’il est là, une perle le peu de fois que je le vois, toujours poli.
Grand, une tête de plus que moi.
Un léger collier de barbe lui donnant un air viril.
Trois mois, jusqu’à ce matin où je l’entends sortir comme pourrait le faire un chat tellement il bouge à pas feutrés.
Depuis ma petite enfance, j’ai une habitude dont j’ai du mal à me séparer.
Le descend dans ma boîte à lettres où je récupère le journal du jour qui m’est livré.
Je m’installe sur le trône et porte bien verrouillée, je fais ce que j’ai à faire en lisant les nouvelles du jour.
Une fois tout terminé, je peux commencer de faire mon ménage de prendre mon bain.
Je m’habille avant d’aller faire quelques courses au supermarché voisin.
Comme j’ai entendu Jocelin descendre, persuadez qu’il est soit en fac soit à l’hôpital où il fait ses études, je monte à sa chambre en pyjama et en peignoir.
• Jocelin, tu es remonté, je t’ai entendu descendre.
• Oui, je suis allé chercher une demi-baguette, j’ai oublié de l’acheter hier en rentrant.
• Je vais revenir.
• Inutile, madame Ariel, je me mets sur mon ordi avec mon casque et vous pouvez faire ce que vous avez à faire.
Je vois qu’il travaille sur l’anatomie des corps féminins, chaque fois que je passe derrière lui.
Une grosse chatte est à l’écran et il consulte des notes certainement prises dans l’amphi de la fac.
J’ai changé les draps et refait le lit.
Il ôte son casque.
• Je vous offre un café.
• Merci, c’est gentil, je vais avoir fini et j’allais en boire un chez moi.
Il fait chauffer de l’eau sur la petite plaque électrique à sa disposition et met de la poudre dans deux tasses.
Il y a deux chaises, nous sommes face à face.
• Vous avez l’air fatigué madame Ariel !
• Non, un peu anxieuse, je vais à l’hôpital à 15 heures, je dois passer une mammographie, tous les deux ans.
Ayant perdu mon mari d’un cancer du poumon, j’ai toujours un peu peur que l’on me détecte cette pourriture dans l’un de mes seins et que l’on me l’enlève.
• Si je peux être votre obligé, vous vous occupez si bien de moi depuis mon, arrivée, ôtez vos affaires, je vais vous palper, avant votre radio vous saurez s’il y a un risque d’une boule intempestive.
Il est jeune et pour moi est déjà un médecin.
J’ôte mon peignoir et ma veste de pyjama sans pudeur extrême comme je le ferais avec le médecin radiologue homme ou femme cette après-midi.
• Vous avez de très beaux seins, allongez-vous sur mon lit, c’est plus facile pour la palpation.
Je m’exécute et après avoir pris des gants dans une boîte sur son bureau, il me palpe, non, il me caresse tellement ses mains sont douces.
• Le droit s’est parfait.
Vos pointes de seins sont sensibles, regardez vos pointes dardent au moindre de mes touchers.
Le gauche, je pense que vous avez presque cent pour cent de chance que la radio conforme mon diagnostic, vous pourrez vivre tranquillement jusqu’ au prochain examen.
Merci Jocelin, vous êtes rassurant.
• Pendant que j’y suis, je serais votre obligé si vous me permettiez de contrôler votre col de l’utérus, à moins qu’un médecin vous ait vu ces semaines dernières.
Ça m’aiderait dans mon cursus en gynécologie que je fais actuellement.
D’où la chatte que je vois derrière lui en gros plan sur son écran.
Il m’aide à faire glisser ma culotte de pantalon que j’avais gardé pour une palpation des seins.
• Non, jamais depuis la mort de mon mari, de toute façon.
• Je comprends, assayez-vous sur le lit, les jambes dans le vide.
Bonne patiente, je l’ai toujours été, j’exécute son ordre.
Déjà fin psychologue, car la manière dont j’ai coupé ma phrase, lui a démontré que le sexe et moi s’était loin de plus de 10 ans.
En plus, veuve depuis tout ce temps, même avant dans les dernières phases de sa maladie, le sexe lui était interdit, nul besoin de cet examen.
• Vous êtes assez sportive, lever les jambes afin de bien ouvrir votre vagin avant mon toucher.
Deux doigts, je suis à deux doigts, ceux qu’il vient de m’introduire de défaillir de plaisir.
Je sens que je coule sur ses doigts et le gant qu’il a gardé.
• Jocelin, la honte me transperce, je mouille plus que jamais, que m’arrive-t-il ?
• Le manque de sexe si je peux me permettre Ariel.
Tu permets !...
Inutile de permettre, ses doigts sont remplacés par sa bouche qu’il pose sur mes lèvres les écartant pour trouver la partie de moi dont j’ignorais qu’elle était encore si sensible.
Il faut dire que je reconnaisse que Jean ignorait, les caresses préliminaires.
Je sentais les moments où il était chaud, il regardait son paquet de cigarettes
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