COLLECTION JEUNE – VIEUX. Les vacances de mamy Suzon (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Les vacances de mamy Suzon (1/2)
• Gaston, peux-tu aller dire à nos jeunes voisins de faire un peu moins de bruit !
• Tu m’emmerdes Suzon, j’étais dans mon premier sommeil, je vais mettre une plombe à attendre que l’envie de dormir revienne.
• Je vais encore être obligé de me déplacer, la boulangère m’a dit que ce sont des jeunes dont certains venus du nord de l’Europe.
Leurs parents sont partis plusieurs jours en vacances faire un périple en Grèce.
On a beau être à la retraite, nous sommes venus ici pour être au calme.
En effet, avec Gaston, étant nés le même jour, presque à la même heure, nous avons terminé nos fonctions de professeur des écoles le même jour, à la même heure derrière un dernier verre.
Depuis le premier jour où je l’ai rencontré à notre première rentrée où j’aie appris à être plus vieille que lui d’une heure, j’ai toujours voulue qu’il me respecte.
En retour il m’appelait sa vieille.
À soixante ans, lorsque je parle de vacance, c’est de très grandes vacances dont je parle, celles de la retraite.
Des vacances qui vont se prolonger à l’infini, la prochaine rentrée, Gaston comme moi, nous allons l’oublier.
Gaston étant réfractaire pour aller dire à ces jeunes d’avoir un peu de retenue sur le bruit qu’il fond, je retourne me coucher sans pour autant dormir.
Comme je l’ai fait pendant toutes les années de mon dur labeur, je suis debout à six heures.
Gaston quant à lui dans la région parisienne, très précisément à Chenevières sur marne a changé cette habitude.
Surtout qu’avant d’aller à notre travail il allait entretenir son petit jardin potager.
Ce qui me manque c’est la préparation des légumes qu’il me rapportait et l’équeutage des haricots verts, afin d’en remplir des bocaux que je stérilisais et que nous mangions l’hiver suivant.
Ici, les légumes nous les achetons au marché et j’ai tout le temps de les préparer à l’heure de la sieste.
La sieste, même par les temps de canicule, j’ignore ce que c’est.
Gaston, lui, dort jusqu’à neuf heures avant d’aller chercher son journal, boire un apéro au café près de chez nous en faisant son Tiercé, en fait une d’une bonne heure.
Après il rejoint un transat au bord de notre piscine où il se trempe simplement les pieds vers dix-sept heures.
Il va sans dire, que le sexe qui savait trouver sa place malgré toutes nos activités à Paris, ici est devenu lettre morte.
Ce soir, ça recommence, la sono est à fond.
Il est vingt-deux heures lorsque je mets mon peignoir sur mon maillot de bain seul vêtement que je supporte sauf au moment ou je vais au marché et qu’en femme honnête, je m’habile.
Je sonne, les hauts murs me cachent ce qu’il se passe, mais d’un coup la porte de fer s’ouvre.
• Je m’excuse de vous déranger, mais pourriez-vous baisser le niveau de bruit de votre sono, je suis votre voisine et depuis trois jours, on a du mal à trouver le sommeil.
• C’est vrai, nous profitons de l’absence de nos parents pour faire un peu la fête avec quelques amis ma sœur et moi.
Mais entrées, nous sommes à l’apéro avant de manger un barbecue.
Ce grand garçon blond a un accent scandinave, il me prend par la main et m’entraine à l’intérieur.
Le côté de la maison franchi, nous passons entre notre mur et le leur pour déboucher sur une terrasse et une piscine plus grande que la nôtre.
Ils sont une dizaine, garçons et filles, certains se trémoussent un verre à la main et d’autres sont installés sur des transats.
Une brune et un brun font même l’amour sur l’un d’eux.
Je vois nettement la queue du garçon entrer et sortir du vagin de la fille.
Je suis légèrement retournée, c’est la première fois que je vois un couple faire l’amour aux yeux de tous.
• Je vais te présenter ma sœur, lorsqu’elle aura terminé de se faire baiser par Hans notre copain allemand.
Tient, bois un coup, tu verras c’est du rhume avec du jus de fruits, c’est très doux.
Il y a aussi un peu de poudre de perlimpinpin, ça aide à faire la fête toute la nuit.
Obnubilé par ce que je vois, la bouteille qu’il porte à mes lèvres, j’en bois une grande rasade, c’est bon, j’en prends une deuxième avant que le garçon réagisse.
• Hé ! tous doux je sais que c’est bon, mais les effets risquent d’être dévastateurs surtout pour une dame de ton âge.
Suzon, je connais ton nom, j’ai entendu Gaston, ton mari t’appeler ce matin pour que tu viennes, lui préparer son petit déjeuner.
Moi, c’est Simen, je dormais sur ce lit de jardin avec Sonia, la grande rousse qui danse avec Alain notre copain.
Poudre de perlimpinpin, j’ai saisi un peu tardivement les propos de Simen, je commence à sentir que le bas de mon ventre est chamboulé.
Bien que j’aie quelques rides de vieillesse, je suis bien conservée pour mon âge.
Lorsque Simen me redonne le goulot de la bouteille après avoir bu lui-même, je reprends une gorgé de ce breuvage qui se laisse boire.
Il repose la bouteille et alors que Sardou chante « la maladie d’amour », il m’enlace et me fait danser.
Dans le brouillard qui s’est emparé de moi, je sens que ce jeune garçon qui me sert contre lui, commence à bander.
J’ai un moment de lucidité.
• Jeune homme, je pourrais être votre grand-mère, pensez-y !
• Ma grand-mère, elle est plus vieille que toi, avec elle les choses seraient bien différentes, toi, je sens que tu es frustrée et que tu as envie de moi.
Lorsqu’il descend sa main le long de mon bras pour attraper ma main.
Ses doigts enlacent les miens et insidieusement les faits glissés vers ma chatte.
Ses yeux bleus sont dans mes yeux, et nos mains viennent en contact avec mon vagin, je sens ma cyprine couler le long de nos doigts.
Je suis piégée, on dirait que mon cerveau est déconnecté du reste de mon corps, certainement dû à cette poudre de perlimpinpin.
Mais c’est bon de se laisser flotter dans les bras virils de Simen, ça aplanit la différence de nos âges.
Lorsqu’il me tire la main vers le bas, je suis dans l’obligation de suivre et je me retrouve à hauteur de la ceinture de son short.
Dans mon délire érotique, j’ai le temps de voir que des couples se sont formés et qu’en plus du bruit, tout ce petit monde se mélange allègrement.
La sœur à changer de partenaire, je me retrouve dans une partouze, Gaston dormant derrière le mur à quelques mètres de moi.
Est-ce lui ou moi qui baisse le short pour en sortir sa verge.
Fine et longue, la deuxième que je vois, mais la première qu’il me fait entrer dans ma bouche.
Je sais que des femmes font des fellations, dans mon époque, les films pornographiques accessibles à tous étaient rares et nous ignorions avec Gaston ces pratiques amoureuses.
Il doit s’être baigné avant mon arrivée et a dû enfiler son vêtement rapidement pour venir voir qui avait sonné, au début elle sens la javel sur ma langue.
Une fois le goût de la javel estompée la peau de cette bite au contact de mes muqueuses est assez agréable.
Mes mains viennent à la rescousse, elle est assez longue pour que son gland étant bien au chaud, je puisse poser la première sur sa tige et l’autre sur ses couilles.
Ayant terminé avec son partenaire de se faire baiser, la sœur passe près de nous.
• Britta...
Je comprends que Britta, c’est son nom, mais le reste passe au-dessus de ma tête, il lui parle dans une langue étrangère.
Dans le même temps ou sa sœur passe près de nous, il m’ouvre, mon peignoir l’ôte et détache mon slip de mon maillot de bain.
Ayant gardé la forme, je cours les mercredis, samedis et dimanches dans le parc du château d’Ormesson, j’aime aussi aller à la piscine et je porte toujours des maillots deux pièces.
Heureusement, que ces jeunes sont plus habituées aux MST que moi, car il sort une capote de son étui la prenant sur une table basse à porter de sa main et se l’enfile avec célérité.
Dans mon délire érotique, j’avais oublié que ces saloperies existaient étant certaines de la fidélité de Gaston.
Gaston m’a été infidèle lui pendants environ quinze jours, je sentais bien que quelque chose tournait de travers, une femme sent ce genre de chose.
Il la voyait les dimanches matin pendant que j’allais courir alors qu’il me disait aller faire son Tiercé.
Clotilde habitait, elle aussi un pavillon près du parc d’Ormesson, c’était une institutrice remplaçante qui était à notre école pour remplacer Simone qui venait d’accoucher.
Notre voiture se trouvait devant chez elle, quand j’ai sonné, comme ça vient de sonner à la porte d’ici, j’ai dérangé les amants de leur nid douillais.
Après avoir fichu une paire de baffes à la voleuse de mari, mon jogging étant compromis, je suis rentrée chez nous et j’ai attendu mon salopard en lui préparant sa valise.
Avec moi, la fidélité s’est sacrée bien que lentement la verge de Simen entre en moi.
Il est allé coucher trois jours à l’hôtel près du centre commercial sur la nationale 4 avant que je le rappelle pour mettre les choses au point.
Voir mon mari en pleurs m’a ému et j’ai su pardonner.
• Suzon, salope, qu’est-ce que tu fais, je me faisais du mauvais sang, tu es parti depuis si longtemps.
• Bois un coup pépère, ça va te détendre.
À l’accent dans un Français pourtant parfait, ce doit être Britta qui s’exprime.
Gaston évite de boire de la poudre de perlimpinpin, je sens l’effet que cela fait...
• Tu m’emmerdes Suzon, j’étais dans mon premier sommeil, je vais mettre une plombe à attendre que l’envie de dormir revienne.
• Je vais encore être obligé de me déplacer, la boulangère m’a dit que ce sont des jeunes dont certains venus du nord de l’Europe.
Leurs parents sont partis plusieurs jours en vacances faire un périple en Grèce.
On a beau être à la retraite, nous sommes venus ici pour être au calme.
En effet, avec Gaston, étant nés le même jour, presque à la même heure, nous avons terminé nos fonctions de professeur des écoles le même jour, à la même heure derrière un dernier verre.
Depuis le premier jour où je l’ai rencontré à notre première rentrée où j’aie appris à être plus vieille que lui d’une heure, j’ai toujours voulue qu’il me respecte.
En retour il m’appelait sa vieille.
À soixante ans, lorsque je parle de vacance, c’est de très grandes vacances dont je parle, celles de la retraite.
Des vacances qui vont se prolonger à l’infini, la prochaine rentrée, Gaston comme moi, nous allons l’oublier.
Gaston étant réfractaire pour aller dire à ces jeunes d’avoir un peu de retenue sur le bruit qu’il fond, je retourne me coucher sans pour autant dormir.
Comme je l’ai fait pendant toutes les années de mon dur labeur, je suis debout à six heures.
Gaston quant à lui dans la région parisienne, très précisément à Chenevières sur marne a changé cette habitude.
Surtout qu’avant d’aller à notre travail il allait entretenir son petit jardin potager.
Ce qui me manque c’est la préparation des légumes qu’il me rapportait et l’équeutage des haricots verts, afin d’en remplir des bocaux que je stérilisais et que nous mangions l’hiver suivant.
Ici, les légumes nous les achetons au marché et j’ai tout le temps de les préparer à l’heure de la sieste.
La sieste, même par les temps de canicule, j’ignore ce que c’est.
Gaston, lui, dort jusqu’à neuf heures avant d’aller chercher son journal, boire un apéro au café près de chez nous en faisant son Tiercé, en fait une d’une bonne heure.
Après il rejoint un transat au bord de notre piscine où il se trempe simplement les pieds vers dix-sept heures.
Il va sans dire, que le sexe qui savait trouver sa place malgré toutes nos activités à Paris, ici est devenu lettre morte.
Ce soir, ça recommence, la sono est à fond.
Il est vingt-deux heures lorsque je mets mon peignoir sur mon maillot de bain seul vêtement que je supporte sauf au moment ou je vais au marché et qu’en femme honnête, je m’habile.
Je sonne, les hauts murs me cachent ce qu’il se passe, mais d’un coup la porte de fer s’ouvre.
• Je m’excuse de vous déranger, mais pourriez-vous baisser le niveau de bruit de votre sono, je suis votre voisine et depuis trois jours, on a du mal à trouver le sommeil.
• C’est vrai, nous profitons de l’absence de nos parents pour faire un peu la fête avec quelques amis ma sœur et moi.
Mais entrées, nous sommes à l’apéro avant de manger un barbecue.
Ce grand garçon blond a un accent scandinave, il me prend par la main et m’entraine à l’intérieur.
Le côté de la maison franchi, nous passons entre notre mur et le leur pour déboucher sur une terrasse et une piscine plus grande que la nôtre.
Ils sont une dizaine, garçons et filles, certains se trémoussent un verre à la main et d’autres sont installés sur des transats.
Une brune et un brun font même l’amour sur l’un d’eux.
Je vois nettement la queue du garçon entrer et sortir du vagin de la fille.
Je suis légèrement retournée, c’est la première fois que je vois un couple faire l’amour aux yeux de tous.
• Je vais te présenter ma sœur, lorsqu’elle aura terminé de se faire baiser par Hans notre copain allemand.
Tient, bois un coup, tu verras c’est du rhume avec du jus de fruits, c’est très doux.
Il y a aussi un peu de poudre de perlimpinpin, ça aide à faire la fête toute la nuit.
Obnubilé par ce que je vois, la bouteille qu’il porte à mes lèvres, j’en bois une grande rasade, c’est bon, j’en prends une deuxième avant que le garçon réagisse.
• Hé ! tous doux je sais que c’est bon, mais les effets risquent d’être dévastateurs surtout pour une dame de ton âge.
Suzon, je connais ton nom, j’ai entendu Gaston, ton mari t’appeler ce matin pour que tu viennes, lui préparer son petit déjeuner.
Moi, c’est Simen, je dormais sur ce lit de jardin avec Sonia, la grande rousse qui danse avec Alain notre copain.
Poudre de perlimpinpin, j’ai saisi un peu tardivement les propos de Simen, je commence à sentir que le bas de mon ventre est chamboulé.
Bien que j’aie quelques rides de vieillesse, je suis bien conservée pour mon âge.
Lorsque Simen me redonne le goulot de la bouteille après avoir bu lui-même, je reprends une gorgé de ce breuvage qui se laisse boire.
Il repose la bouteille et alors que Sardou chante « la maladie d’amour », il m’enlace et me fait danser.
Dans le brouillard qui s’est emparé de moi, je sens que ce jeune garçon qui me sert contre lui, commence à bander.
J’ai un moment de lucidité.
• Jeune homme, je pourrais être votre grand-mère, pensez-y !
• Ma grand-mère, elle est plus vieille que toi, avec elle les choses seraient bien différentes, toi, je sens que tu es frustrée et que tu as envie de moi.
Lorsqu’il descend sa main le long de mon bras pour attraper ma main.
Ses doigts enlacent les miens et insidieusement les faits glissés vers ma chatte.
Ses yeux bleus sont dans mes yeux, et nos mains viennent en contact avec mon vagin, je sens ma cyprine couler le long de nos doigts.
Je suis piégée, on dirait que mon cerveau est déconnecté du reste de mon corps, certainement dû à cette poudre de perlimpinpin.
Mais c’est bon de se laisser flotter dans les bras virils de Simen, ça aplanit la différence de nos âges.
Lorsqu’il me tire la main vers le bas, je suis dans l’obligation de suivre et je me retrouve à hauteur de la ceinture de son short.
Dans mon délire érotique, j’ai le temps de voir que des couples se sont formés et qu’en plus du bruit, tout ce petit monde se mélange allègrement.
La sœur à changer de partenaire, je me retrouve dans une partouze, Gaston dormant derrière le mur à quelques mètres de moi.
Est-ce lui ou moi qui baisse le short pour en sortir sa verge.
Fine et longue, la deuxième que je vois, mais la première qu’il me fait entrer dans ma bouche.
Je sais que des femmes font des fellations, dans mon époque, les films pornographiques accessibles à tous étaient rares et nous ignorions avec Gaston ces pratiques amoureuses.
Il doit s’être baigné avant mon arrivée et a dû enfiler son vêtement rapidement pour venir voir qui avait sonné, au début elle sens la javel sur ma langue.
Une fois le goût de la javel estompée la peau de cette bite au contact de mes muqueuses est assez agréable.
Mes mains viennent à la rescousse, elle est assez longue pour que son gland étant bien au chaud, je puisse poser la première sur sa tige et l’autre sur ses couilles.
Ayant terminé avec son partenaire de se faire baiser, la sœur passe près de nous.
• Britta...
Je comprends que Britta, c’est son nom, mais le reste passe au-dessus de ma tête, il lui parle dans une langue étrangère.
Dans le même temps ou sa sœur passe près de nous, il m’ouvre, mon peignoir l’ôte et détache mon slip de mon maillot de bain.
Ayant gardé la forme, je cours les mercredis, samedis et dimanches dans le parc du château d’Ormesson, j’aime aussi aller à la piscine et je porte toujours des maillots deux pièces.
Heureusement, que ces jeunes sont plus habituées aux MST que moi, car il sort une capote de son étui la prenant sur une table basse à porter de sa main et se l’enfile avec célérité.
Dans mon délire érotique, j’avais oublié que ces saloperies existaient étant certaines de la fidélité de Gaston.
Gaston m’a été infidèle lui pendants environ quinze jours, je sentais bien que quelque chose tournait de travers, une femme sent ce genre de chose.
Il la voyait les dimanches matin pendant que j’allais courir alors qu’il me disait aller faire son Tiercé.
Clotilde habitait, elle aussi un pavillon près du parc d’Ormesson, c’était une institutrice remplaçante qui était à notre école pour remplacer Simone qui venait d’accoucher.
Notre voiture se trouvait devant chez elle, quand j’ai sonné, comme ça vient de sonner à la porte d’ici, j’ai dérangé les amants de leur nid douillais.
Après avoir fichu une paire de baffes à la voleuse de mari, mon jogging étant compromis, je suis rentrée chez nous et j’ai attendu mon salopard en lui préparant sa valise.
Avec moi, la fidélité s’est sacrée bien que lentement la verge de Simen entre en moi.
Il est allé coucher trois jours à l’hôtel près du centre commercial sur la nationale 4 avant que je le rappelle pour mettre les choses au point.
Voir mon mari en pleurs m’a ému et j’ai su pardonner.
• Suzon, salope, qu’est-ce que tu fais, je me faisais du mauvais sang, tu es parti depuis si longtemps.
• Bois un coup pépère, ça va te détendre.
À l’accent dans un Français pourtant parfait, ce doit être Britta qui s’exprime.
Gaston évite de boire de la poudre de perlimpinpin, je sens l’effet que cela fait...
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