COLLECTION JEUNE – VIEUX. Les vacances de mamy Suzon (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2023 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Les vacances de mamy Suzon (2/2)
• Gaston, tu peux aller dire à nos jeunes voisins de faire un peu moins de bruit !
C’est ainsi que je me trouve prise, c’est le cas de le dire, dans une partouze entre une bande de jeunes Scandinaves en vacances dans la villa voisine de la nôtre à Gaston et à moi.
Quelques rasades de rhum et de jus de fruits agrémenté d’un peu de poudre de perlimpinpin ont suffi à abattre les barrières entre cette bande de jeunes et moi.
C’est au moment où Simen entre en moi que la sonnette de la porte par où je suis arrivée se met à tintinnabuler.
Simen était venu m’ouvrir m’entrainant dans cette débauche où je me plonge avec délice, certainement sous l’effet conjugué de l’alcool et de la poudre de perlimpinpin qu’ils semblent avoir ajouté.
J’aurais dû me méfier des propos tenus par ce beau gosse aussi blond que je suis brune lorsqu’il a dit que cette poudre allait nous permettre de faire la fête jusqu’au bout de la nuit.
La cocke, pourtant prof d’une banlieue ou des cités foisonnent de trafics en tout genre dont la cocaïne dite festive par les bobos parisiens, je connais, j’y ai été confronté dans ces dernières années, sans y toucher pour autant.
J’en ai même eu un sachet entre les mains que je me suis empressé de vider dans les toilettes de notre établissement.
Je l’avais saisi à une de mes jeunes élèves qui a ce qu’elle m’avait dit, elle l’avait trouvé dans la chambre de son frère plus vieux de dix ans.
L’opération, terminée, je dois reconnaitre que j’ai regretté d’avoir mis cette poudre dans les waters, j’aurais pu l’essayer avec Gaston, ni vu ni connu libérant sa libido comme la mienne en ce moment.
L’intrus qui vient nous emmerder dans ma recherche du plaisir que Simen a décidé de m’apporter, c’est justement Gaston qui vient aux nouvelles, car il semblerait que je sois parti depuis des lustres.
Simen m’avait reçu, Gaston c’est Britta qui le fait.
J’ai le temps de le voir boire comme moi au goulot d’une bouteille, certainement la même mixture que moi agrémenté de ce qui doit être de la coke.
J’ai plongé, il plonge, Britta devant moi se met à lui sucer la queue.
Je dois être dans le vrai concernant la poudre de perlimpinpin à part du Viagra, quel produit peut lui faire lever la queue aussi rapidement, certes celle qui le suce est jeune et cela doit faciliter sa libido.
De plus, le Viagra, j’y crois peu, ils ignoraient que deux vieux papys et mamys viendraient les déranger et qu’auraient-ils eu besoin de pilules bleues pour s’éclater entre jeunes.
C’est dans ma tête que je tente de le prévenir du danger de boire dans ces bouteilles surtout que dans mon brouillard, Simen semble se faire remplacer par Hans.
J’ai parlé de partouze, moi fidèle à celui qui est entré dans la chatte de Britta me cocufiant pour la deuxième fois depuis notre mariage.
Je rappelle avec un peu de mal que je l’ai surpris avec une remplaçante de nos collèges venue faire cours pour remplacer notre collège partie accouché.
Après cette incartade, je l’avais mis à la porte pendant quelques jours.
Incroyable, Hans est bien monté, du moins je le vois en lui suçant la bite avant qu’il prenne la place de mon premier amant depuis ma naissance.
C’est à ce moment que je vois un des garçons inconnus par moi, mais qui parlait avec une belle blonde dans la piscine lorsque je suis arrivée, venir derrière mon mari et d’un coup chercher son chemin pour l’enculer.
Du moins de là où je suis prise par Hans et la chatte de la jeune blonde passant au-dessus de ma tête, je pense qu’il vient de se faire emmancher.
Lorsque j’employais le mot de partouze qui pourrait me dire que j’exagère au moment où je sors ma langue pour caresser le premier clito de ma vie.
C’est un tout autre breuvage naturel que je bois, celui-ci sans poudre de perlimpinpin.
La cyprine de cette jolie blonde, coulant avec abondance pendant que la verge d’Hans me défonce me faisant atteindre l’orgasme.
L’orgasme le premier de ma vie, avec Gaston j’ai toujours eu du plaisir, mais bien loin de la vague qui me submerge, quelle conne j’ai été de foutre cette poudre blanche dans les toilettes.
Comme je l’ai dit, j’aurais dû l’amener chez nous en prendre en donnant à mon mari, ce serait peut-être moi qui me serais fait enculer.
J’ai beau avoir été une prof respectée, j’ai moi aussi eu les fantasmes et la sodomie en faisait partie.
Je me demande si Gaston a déjà gouté à ce que certains appelaient le fruit défendu la façon dont il s’est laissé enculer semble chose habituelle pour lui.
La vie est bizarre, celui dont je partage la vie croyant bien le connaître est bi sans qu’à aucun moment ça m’ait été révélé.
Il se peut aussi que se faire enculer fasse partie de ces fantasmes et il a profité de la bite d’Alain pour le réaliser, la boisson frelaté aidant.
C’est dans notre lit que je me réveille, ignorant comment je suis rentrée.
Je sens une présence dans mon dos, je passe ma main, c’est Gaston qui bande et qui cherche son chemin.
Je lui facilite le passage et malgré ma gueule de bois, c’est à mon tour de me faire enculer.
Il est midi lorsque nous émergeons enfin, je me lève restant nue, je vais à la cuisine et je fais couler le café, Gaston me rejoint, il a dû sentir l’odeur du café.
Lui aussi est nu, ce qui est rare, il est assez pudique.
• Suzon, tu peux m’expliquer, je me réveille et j’ai énormément mal au cul, je me souviens être venu te chercher, une jeune femme m’a ouvert et après rideau.
J’ai de vagues souvenirs de t’avoir fait l’amour s’était bien plaisant, peux-tu me dire ce que nous avons-nous fait !
Dois-je le mettre au parfum de la nuit que nous avons passé ?
Si le souvenir de mes turpitudes se trouve effacé de sa mémoire, pourquoi rechercher les emmerdes en lui parlant de ce qu’il a fait et de ce que j’ai fait.
Il semblerait que la poudre de perlimpinpin ait eu des effets différents sur lui que sur moi.
Toute la journée nous récupérons des turpitudes de la nuit au bord de notre piscine.
Tout juste un déplacement vers la cuisine pour prendre les restes d’un poulet avec un paquet de chips.
Gaston ouvre une bouteille de rosé de Provence bien au frais dans notre frigo.
Il est 18 heures lorsque c’est chez nous que la sonnette sonne.
Je récupère un peignoir, inutile de faire voir ma nudité surtout à mon âge bien que je reste bien fichu, tous juste mes seins qui subissent l’attraction terrestre, mais qui restent fermes.
• Britta, Simen, que nous vos, votre visite, entrez, nous sommes dans le jardin, nous récupérons de la nuit que vous nous avez fait passer.
• Nous voulions vous dire que ce soir nous allons refaire un peu de bruit, nous avons invité des copains et des copines, dont ceux qui étaient là hier.
Ça fait trois jours que nous nous retrouvons de l’autre côté de notre mur.
Trois nuits de partouze ou nous réitérons nos débordements.
Ma chatte profite de ces jeunes pour trouver une seconde jeunesse.
Alain semble aimer les anus plus que les chattes, car c’est avec Simen qu’ils me font goutter à la double pénétration.
Si Alain aime ma rosette, il en fait de même avec Gaston, aidé par Hans.
Nous buvons toujours un peu de rhum agrémenté mais je fais attention au cœur de mon mari.
Mais comment me plaindre de nos débauches, chaque fois que nous nous retrouvons dans notre lit, en se réveillant il s’occupe de mon anus qui prend de plus en plus de plaisir au fil des jours ?
Ce midi nous sommes dans l’intérieur, c’est une des rares fois ou il pleut depuis que nous sommes arrivés.
• Je t’emmène au restaurant, prépare-toi.
• Je croyais qu’après les nuits que nous avons passées, tu avais oublié notre première rencontre.
• Commet pourrais-je oublier, tu m’emmènes manger des fruits de mer !
Bon restaurant avec vue sur la mer, un plateau de fruits de mer, c’est long à manger, je finis par lui poser une question.
• Gaston depuis que nous passons nos nuits chez nos jeunes voisins, je t’ai vu te faire sodomiser par ce jeune éphèbe, Alain !
Tu sembles bien à l’aise surtout lorsque Hans te donne sa queue à sucer pendant que notre jeune amie te sodomise.
Tu as déjà pratiqué avec d’autres hommes, tu m’as trompé avec Clotilde en est-il de même depuis notre mariage avec d’autres garçons ?
• Chérie, je t’ai dit la vérité lorsque je t’ai dit qu’avec Clotilde s’était la première fois que je te trompais.
Mais avant de te connaitre, je t’ai caché un pan de ma vie.
J’ai failli louper mon bac car j’étais ce que l’on appelle un glandeur.
En première, ils m’ont mis en internat, dans une boîte à bac.
Il y avait un parc où nous retrouvions le soir, j’étais chétif en ce temps-là, depuis tes petits plats on fait de moi l’homme que je suis.
Je suis devenu la vide couille d’une dizaine de mes copains.
J’en suçais et je me faisais sodomiser tous les soirs, j’y ai même rapidement pris du plaisir comme toi depuis que j’ai osé te le faire l’autre matin dans notre délire sexuel.
Je t’ai rencontré à la fac, bac avec mention en poches et j’ai arrêté cette pratique.
Est-ce que cette jeune Britta m’a fait boire, mais avec Alain j’ai reconnu un adepte de ce que je faisais à l’internat et je me suis laissé faire retrouvant les plaisirs de mon passé.
Tu vas me quitter pour t’avoir caché une partie de ma vie que je croyais révolue !
• Depuis notre mariage, je fantasmais sur la sodomie, l’autre matin, tu m’as fait partager ton monde, pourquoi m’en plaindrais je j’y prends moi aussi bien du plaisir.
Je te demande une seule chose, fais attention, depuis ton embolie pulmonaire tu te sais le coeur fragile, j’aimerais que nous ayons une deuxième vie ayant découvert les côtés cachés de nos vies.
Nous sommes revenus chez nous, nous entendions la musique dans la villa voisine, mais malgré que pendant que nous étions au restaurant à nous faire des confidences, le beau temps est revenu.
Le bruit de la sono était très supportable, nos jeunes ont-ils décidé d’être raisonnable !
Il est quatorze heures le lendemain, lorsque j’entends la sonnette de notre porte d’entrée.
• Bonjour, nous nous excusons de vous déranger, nous sommes les parents de Simen et Britta, je m’appelle Véronique et mon mari Thor.
Je suis française, nous nous sommes rencontrés lorsque je faisais mon Erasmus dans son pays.
Nous sommes revenus des îles grecques avec nos amis allemands Houla et Karl les parents d’Hans.
Les enfants et leurs copains ont pris notre place sur notre voilier, ils voulaient vous inviter à partir avec eux, nous ayant dit qu’ils vous avaient importuné.
Ce soir, nous faisons un barbecue et nous aurions aimé vous inviter.
Nous savons que vous êtes libertins comme nous le sommes aussi et comme nous avons élevé nos enfants, je pense que nous allons passer une bonne soirée.
Je suis à deux doigts de leur demander s’ils ont du rhum agrémenté de poudre de perlimpinpin, mais ignorant si les parents savent que leurs rejetons prennent des fortifiants, je garde cela pour moi.
Je sens que la soirée et la nuit vont être longues, surtout que Véronique ayant dit être libertine, me fait grandement envie.
J’espère pour Gaston que les deux hommes avec qui nous allons passer cette première soirée sont eux aussi adepte de la sodomie.
C’est ainsi que je me trouve prise, c’est le cas de le dire, dans une partouze entre une bande de jeunes Scandinaves en vacances dans la villa voisine de la nôtre à Gaston et à moi.
Quelques rasades de rhum et de jus de fruits agrémenté d’un peu de poudre de perlimpinpin ont suffi à abattre les barrières entre cette bande de jeunes et moi.
C’est au moment où Simen entre en moi que la sonnette de la porte par où je suis arrivée se met à tintinnabuler.
Simen était venu m’ouvrir m’entrainant dans cette débauche où je me plonge avec délice, certainement sous l’effet conjugué de l’alcool et de la poudre de perlimpinpin qu’ils semblent avoir ajouté.
J’aurais dû me méfier des propos tenus par ce beau gosse aussi blond que je suis brune lorsqu’il a dit que cette poudre allait nous permettre de faire la fête jusqu’au bout de la nuit.
La cocke, pourtant prof d’une banlieue ou des cités foisonnent de trafics en tout genre dont la cocaïne dite festive par les bobos parisiens, je connais, j’y ai été confronté dans ces dernières années, sans y toucher pour autant.
J’en ai même eu un sachet entre les mains que je me suis empressé de vider dans les toilettes de notre établissement.
Je l’avais saisi à une de mes jeunes élèves qui a ce qu’elle m’avait dit, elle l’avait trouvé dans la chambre de son frère plus vieux de dix ans.
L’opération, terminée, je dois reconnaitre que j’ai regretté d’avoir mis cette poudre dans les waters, j’aurais pu l’essayer avec Gaston, ni vu ni connu libérant sa libido comme la mienne en ce moment.
L’intrus qui vient nous emmerder dans ma recherche du plaisir que Simen a décidé de m’apporter, c’est justement Gaston qui vient aux nouvelles, car il semblerait que je sois parti depuis des lustres.
Simen m’avait reçu, Gaston c’est Britta qui le fait.
J’ai le temps de le voir boire comme moi au goulot d’une bouteille, certainement la même mixture que moi agrémenté de ce qui doit être de la coke.
J’ai plongé, il plonge, Britta devant moi se met à lui sucer la queue.
Je dois être dans le vrai concernant la poudre de perlimpinpin à part du Viagra, quel produit peut lui faire lever la queue aussi rapidement, certes celle qui le suce est jeune et cela doit faciliter sa libido.
De plus, le Viagra, j’y crois peu, ils ignoraient que deux vieux papys et mamys viendraient les déranger et qu’auraient-ils eu besoin de pilules bleues pour s’éclater entre jeunes.
C’est dans ma tête que je tente de le prévenir du danger de boire dans ces bouteilles surtout que dans mon brouillard, Simen semble se faire remplacer par Hans.
J’ai parlé de partouze, moi fidèle à celui qui est entré dans la chatte de Britta me cocufiant pour la deuxième fois depuis notre mariage.
Je rappelle avec un peu de mal que je l’ai surpris avec une remplaçante de nos collèges venue faire cours pour remplacer notre collège partie accouché.
Après cette incartade, je l’avais mis à la porte pendant quelques jours.
Incroyable, Hans est bien monté, du moins je le vois en lui suçant la bite avant qu’il prenne la place de mon premier amant depuis ma naissance.
C’est à ce moment que je vois un des garçons inconnus par moi, mais qui parlait avec une belle blonde dans la piscine lorsque je suis arrivée, venir derrière mon mari et d’un coup chercher son chemin pour l’enculer.
Du moins de là où je suis prise par Hans et la chatte de la jeune blonde passant au-dessus de ma tête, je pense qu’il vient de se faire emmancher.
Lorsque j’employais le mot de partouze qui pourrait me dire que j’exagère au moment où je sors ma langue pour caresser le premier clito de ma vie.
C’est un tout autre breuvage naturel que je bois, celui-ci sans poudre de perlimpinpin.
La cyprine de cette jolie blonde, coulant avec abondance pendant que la verge d’Hans me défonce me faisant atteindre l’orgasme.
L’orgasme le premier de ma vie, avec Gaston j’ai toujours eu du plaisir, mais bien loin de la vague qui me submerge, quelle conne j’ai été de foutre cette poudre blanche dans les toilettes.
Comme je l’ai dit, j’aurais dû l’amener chez nous en prendre en donnant à mon mari, ce serait peut-être moi qui me serais fait enculer.
J’ai beau avoir été une prof respectée, j’ai moi aussi eu les fantasmes et la sodomie en faisait partie.
Je me demande si Gaston a déjà gouté à ce que certains appelaient le fruit défendu la façon dont il s’est laissé enculer semble chose habituelle pour lui.
La vie est bizarre, celui dont je partage la vie croyant bien le connaître est bi sans qu’à aucun moment ça m’ait été révélé.
Il se peut aussi que se faire enculer fasse partie de ces fantasmes et il a profité de la bite d’Alain pour le réaliser, la boisson frelaté aidant.
C’est dans notre lit que je me réveille, ignorant comment je suis rentrée.
Je sens une présence dans mon dos, je passe ma main, c’est Gaston qui bande et qui cherche son chemin.
Je lui facilite le passage et malgré ma gueule de bois, c’est à mon tour de me faire enculer.
Il est midi lorsque nous émergeons enfin, je me lève restant nue, je vais à la cuisine et je fais couler le café, Gaston me rejoint, il a dû sentir l’odeur du café.
Lui aussi est nu, ce qui est rare, il est assez pudique.
• Suzon, tu peux m’expliquer, je me réveille et j’ai énormément mal au cul, je me souviens être venu te chercher, une jeune femme m’a ouvert et après rideau.
J’ai de vagues souvenirs de t’avoir fait l’amour s’était bien plaisant, peux-tu me dire ce que nous avons-nous fait !
Dois-je le mettre au parfum de la nuit que nous avons passé ?
Si le souvenir de mes turpitudes se trouve effacé de sa mémoire, pourquoi rechercher les emmerdes en lui parlant de ce qu’il a fait et de ce que j’ai fait.
Il semblerait que la poudre de perlimpinpin ait eu des effets différents sur lui que sur moi.
Toute la journée nous récupérons des turpitudes de la nuit au bord de notre piscine.
Tout juste un déplacement vers la cuisine pour prendre les restes d’un poulet avec un paquet de chips.
Gaston ouvre une bouteille de rosé de Provence bien au frais dans notre frigo.
Il est 18 heures lorsque c’est chez nous que la sonnette sonne.
Je récupère un peignoir, inutile de faire voir ma nudité surtout à mon âge bien que je reste bien fichu, tous juste mes seins qui subissent l’attraction terrestre, mais qui restent fermes.
• Britta, Simen, que nous vos, votre visite, entrez, nous sommes dans le jardin, nous récupérons de la nuit que vous nous avez fait passer.
• Nous voulions vous dire que ce soir nous allons refaire un peu de bruit, nous avons invité des copains et des copines, dont ceux qui étaient là hier.
Ça fait trois jours que nous nous retrouvons de l’autre côté de notre mur.
Trois nuits de partouze ou nous réitérons nos débordements.
Ma chatte profite de ces jeunes pour trouver une seconde jeunesse.
Alain semble aimer les anus plus que les chattes, car c’est avec Simen qu’ils me font goutter à la double pénétration.
Si Alain aime ma rosette, il en fait de même avec Gaston, aidé par Hans.
Nous buvons toujours un peu de rhum agrémenté mais je fais attention au cœur de mon mari.
Mais comment me plaindre de nos débauches, chaque fois que nous nous retrouvons dans notre lit, en se réveillant il s’occupe de mon anus qui prend de plus en plus de plaisir au fil des jours ?
Ce midi nous sommes dans l’intérieur, c’est une des rares fois ou il pleut depuis que nous sommes arrivés.
• Je t’emmène au restaurant, prépare-toi.
• Je croyais qu’après les nuits que nous avons passées, tu avais oublié notre première rencontre.
• Commet pourrais-je oublier, tu m’emmènes manger des fruits de mer !
Bon restaurant avec vue sur la mer, un plateau de fruits de mer, c’est long à manger, je finis par lui poser une question.
• Gaston depuis que nous passons nos nuits chez nos jeunes voisins, je t’ai vu te faire sodomiser par ce jeune éphèbe, Alain !
Tu sembles bien à l’aise surtout lorsque Hans te donne sa queue à sucer pendant que notre jeune amie te sodomise.
Tu as déjà pratiqué avec d’autres hommes, tu m’as trompé avec Clotilde en est-il de même depuis notre mariage avec d’autres garçons ?
• Chérie, je t’ai dit la vérité lorsque je t’ai dit qu’avec Clotilde s’était la première fois que je te trompais.
Mais avant de te connaitre, je t’ai caché un pan de ma vie.
J’ai failli louper mon bac car j’étais ce que l’on appelle un glandeur.
En première, ils m’ont mis en internat, dans une boîte à bac.
Il y avait un parc où nous retrouvions le soir, j’étais chétif en ce temps-là, depuis tes petits plats on fait de moi l’homme que je suis.
Je suis devenu la vide couille d’une dizaine de mes copains.
J’en suçais et je me faisais sodomiser tous les soirs, j’y ai même rapidement pris du plaisir comme toi depuis que j’ai osé te le faire l’autre matin dans notre délire sexuel.
Je t’ai rencontré à la fac, bac avec mention en poches et j’ai arrêté cette pratique.
Est-ce que cette jeune Britta m’a fait boire, mais avec Alain j’ai reconnu un adepte de ce que je faisais à l’internat et je me suis laissé faire retrouvant les plaisirs de mon passé.
Tu vas me quitter pour t’avoir caché une partie de ma vie que je croyais révolue !
• Depuis notre mariage, je fantasmais sur la sodomie, l’autre matin, tu m’as fait partager ton monde, pourquoi m’en plaindrais je j’y prends moi aussi bien du plaisir.
Je te demande une seule chose, fais attention, depuis ton embolie pulmonaire tu te sais le coeur fragile, j’aimerais que nous ayons une deuxième vie ayant découvert les côtés cachés de nos vies.
Nous sommes revenus chez nous, nous entendions la musique dans la villa voisine, mais malgré que pendant que nous étions au restaurant à nous faire des confidences, le beau temps est revenu.
Le bruit de la sono était très supportable, nos jeunes ont-ils décidé d’être raisonnable !
Il est quatorze heures le lendemain, lorsque j’entends la sonnette de notre porte d’entrée.
• Bonjour, nous nous excusons de vous déranger, nous sommes les parents de Simen et Britta, je m’appelle Véronique et mon mari Thor.
Je suis française, nous nous sommes rencontrés lorsque je faisais mon Erasmus dans son pays.
Nous sommes revenus des îles grecques avec nos amis allemands Houla et Karl les parents d’Hans.
Les enfants et leurs copains ont pris notre place sur notre voilier, ils voulaient vous inviter à partir avec eux, nous ayant dit qu’ils vous avaient importuné.
Ce soir, nous faisons un barbecue et nous aurions aimé vous inviter.
Nous savons que vous êtes libertins comme nous le sommes aussi et comme nous avons élevé nos enfants, je pense que nous allons passer une bonne soirée.
Je suis à deux doigts de leur demander s’ils ont du rhum agrémenté de poudre de perlimpinpin, mais ignorant si les parents savent que leurs rejetons prennent des fortifiants, je garde cela pour moi.
Je sens que la soirée et la nuit vont être longues, surtout que Véronique ayant dit être libertine, me fait grandement envie.
J’espère pour Gaston que les deux hommes avec qui nous allons passer cette première soirée sont eux aussi adepte de la sodomie.
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