COLLECTION JEUNE – VIEUX. Stage de ma belle-fille (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Stage de ma belle-fille (1/2)
• Chéri, pourrais-tu trouver un stage à Laure d’une semaine pour sa première année d’études de commerce.
• Rien de plus facile, donnez-moi le dossier.
Je suis représentant de commerce, je la prends avec moi la semaine de son stage.
• Comment avoir oublié d’y penser moi-même, je suis impardonnable !
En plus, ça lui fera voir du pays, elle qui passe son temps sur son téléphone et ses réseaux sociaux ?
• Je lui en parle, on en reparle.
C’est ainsi que tout a commencé, dix-huit ans Laure, quarante-deux ans Julie et trente moi Christian, je sais, je vis avec une cougar, mais avec des beaux restes.
Julie, je l’ai rencontrée il y a trois ans, elle venait de divorcer avait perdu sa confiance en elle et surtout son pouvoir de séduction envers les hommes.
Mal fagotée, reculant toujours au lendemain ce qu’elle pouvait faire le jour même.
Sans en faire une bombe, je l’ai transformé en une femme de quarante ans qui recommence à faire bander les hommes.
On en reparle, je vois bien que Laure est loin d’être enchanté, mais comme de son côté elle est bredouille, je pars avec elle un mois plus tard.
Parlons de Laure, aussi blonde que sa maman est brune, elle est la fille d’un Suédois que ma compagne avait rencontré lors d’une compétition de natation.
Ils ont vécu ensemble jusqu’à leur divorce, après qu’il ait retrouvé une amie d’enfance lors de vacances dans son pays.
Un point commun entre les deux femmes, leurs seins que je vois lors de nos vacances à Royan.
Elles se font bronzer topless sur les transats dans la villa que nous louons.
Seins en poire, ceux que je préfère et qui m’ont séduit en Julie le soir ou des amis communs me l’ont présenté.
Au début, nos douze ans de différence la choquaient, elle voulait arrêter notre relation.
C’est à force de la faire jouir avec ma queue, mes doigts et ma bouche qu’elle est devenue accro de nos jeux et a accepté de me garder.
Maintenant pour rien au monde elle souhaite me quitter.
Il faut dire que sans avoir un sexe de taille exceptionnel, je peux dire que je sais faire ce qu’il faut pour faire jouir les femmes.
Jusqu’à Julie, sans être l’étalon de mon quartier, plus d’une des femmes rencontrées ont souligné mon efficacité.
Je suis très caressant, elles me le disaient souvent.
La plupart de mes congénères sont plus proches des Bonobos que des besoins réels des femmes.
J’ai eu la chance d’être déniaisé par une femme mariée qui avait ce type d’époux.
À ce qu’elle me disait, il avait fini avant d’avoir commencé, c’était toujours un coup vite fait.
Certes, vicieux, car il aimait les endroits insolites, mais à peine pénétrer à peine fini.
C’est elle, qui m’a séduite lors de mon stage d’école dans son épicerie, j’ai appris à être aussi douce que peuvent être les femmes entre elles.
• Laure, embrasse-moi, soir sage avec Christian, évite de le gêner dans son travail.
• Oui, maman.
C’est ainsi que nous partons vers le nord de la France pour cinq jours de prospection envers divers clients.
Nous habitons vers Poitiers, première étape Lille.
Je contourne Paris, inutile de perdre du temps dans les embouteillages parisiens.
Laure est vêtue comme une jeune fille de son époque.
Je sais qu’il y a eu du tirage avec sa mère la veille, elle voulait mettre son jean troué aux genoux, tendance de maintenant.
Le ton a monté, mais Julie a gagné, elle est en minijupe, avec blouse et boléro écru.
Je vends des vêtements pour femmes, pour cela je rencontre des chefs de vente dans des magasins.
Le modernisme nous permet d’éviter de trimballer des valises de vêtements.
J’ai une tablette sur laquelle toute la collection est chargée présenter par des mannequins dignes de ceux de chez Chanel lors des défilés.
Couleurs, tailles et le nombre sont les seules choses que j’ai à enregistrer.
Une secrétaire prépare mes tournées où toutes les commandes que je passe arrivent directement à l’usine chaque fois que la cliente valide sur ma tablette.
Je parlais de la tenue de Laure, comme je l’ai dit je l’ai déjà vue en petite tenue, en vacances en maillot une pièce.
Mais ces deux fuseaux sagement parallèles à mes côtés pour la première fois me font de l’effet.
Je suis à la limite de bander, mais moi qui en temps ordinaire, je suis seul dans ma voiture, avoir une aussi jolie pouliche à mes côtés rend la situation différente et délicate.
Surtout que rapidement au son du CD de musique douce que j’aime écouter, elle s’endort.
Je tourne la tête rapidement et je m’aperçois que le premier bouton de son chemisier est défait et que je vois son sein presque jusqu’à la pointe de son téton.
J’ai dit que je les ai déjà vues, mais une nouvelle fois dans cette circonstance sa vue, m’émoi.
C’est ainsi après un arrêt au contournement de Paris et un café pris avec une assiette de crudités manger dans un restauroute que nous arrivons à Lille.
Lille, j’y viens une fois par trimestre, je connais de nombreuses boutiques de prêt à porter féminin, et dès quatorze heures nous rencontrons notre première responsable de boutique.
• Monsieur Christian, je vous attendais, votre secrétaire m’a confirmé votre venue comme nous l’avions prévu il y a trois mois.
Je vois que vous êtes joliment accompagné aujourd’hui.
• Je vous présente Laure, ma belle-fille, en stage cette semaine, elle fait des études de commerce.
Une première discussion très professionnelle, et nous saluons cette femme avec presque 5 000 € de commande.
Deux modèle lui ont plu, elle les veut dans cinq tailles différentes allant jusqu’au 56 et en trois coloris.
Nous voyons cinq boutiques avant dix-neuf heures, chiffre de la journée secret bien sûr, mais sachez que dès aujourd’hui, j’ai couvert mes frais de ma semaine de déplacement, Laure comprise.
Le soir restaurant que je connais bien, à deux pas de l’hôtel.
Laure se déride un peu, je la sens mon tendu.
Nous parlons de choses et d’autres sans parler famille, exclusivement sur mon métier et ce que je fais dont elle a eu un bon échantillon dans cette journée.
Le lendemain départ à neuf heures.
Laure est contente, elle avait peur de se lever de bonne heure.
Arrêt à Villeneuve-d'Ascq, plusieurs boutiques le long du chemin et en fin d'après-midi Mouscron en Belgique.
Nous avons traversé Roubaix, j’évite cette ville, car elle vit encore à l’époque des filatures et je fais rarement de bonnes affaires.
• Bonsoir, monsieur Christian, voilà votre clef !
• Pas une, deux clefs, je suis avec Laure une stagiaire en étude de commerce.
• Vous aviez bien deux chambres de réservées, mais votre secrétariat nous a appelés pour en annuler une.
• Vous rigolez, redonnez-moi cette clef.
• C’est trop tard, c’est le premier jour du Carnaval annuel de Mouscron et nous sommes complets jusqu’à la fin du week-end.
• Laure, tu vas prendre la chambre, je vais coucher dans ma voiture.
• Non, Christian, nous sommes adultes, nous allons nous arranger.
Une chambre, ouf un grand lit, même pas un canapé.
C’est ainsi que je me retrouve à partager ma chambre avec Laure.
Nous devons aller dîner, elle se prépare et ressort avec son jean troué, elle l’avait tout de même mis dans sa valise.
• À droite ou à gauche je peux dormir après ces journées épuisantes.
C’est dans la nuit que les choses se gâtent quand une main me réveille en se posant sur mon sexe.
Ce coquin me trahit, je bande à ce contact.
Je vais pour la repousser, mais dans le noir, je sens Laure bouger.
Elle m’a carrément passé sa main dans la fente de mon pyjama et semble vouloir aller plus loin.
Sans que je l’aie voulu, les draps bougent et je sens un souffle chaud se rapprocher avant de me commencer une bonne fellation.
De nombreuses femmes m'ont sucé même Julie, mais j’ignore si ma belle-fille prémédite son geste ou si elle rêve.
Excusez, le temps d’éjaculer dans cette jolie bouche.
C’est fait, je sens et surtout j’entends Laure déglutir alors que sa mère Julie évite à le faire.
Elle se lève et part dans notre salle de bain.
J’entends l’eau couler, elle doit se laver les dents.
Un temps, j’entends ses jets d’urine tomber dans la cuvette avant qu’elle tire la chasse d’eau.
Elle se recouche sans un mot de plus et quelques minutes après ses « zzz » me font comprendre qu’elle dort.
Moi non, jusqu’au matin où elle se réveille et que nous nous préparons sans un mot.
Nous sommes devant une boutique quand je prends mon téléphone.
• Tu appelles maman !
• Non, Jennifer la secrétaire de la boîte, je veux savoir qui a décommandé la deuxième chambre hier soir.
• Raccroche, cette nuit ça t’a déplu, pourtant sur les réseaux, ils disent que vous les hommes, les fellations avec avalement de votre sperme, vous adorez.
Je tombe de haut, cette sucette était préméditée en rapport avec les réseaux sociaux.
• C’est moi qui ai décommandé la chambre, hier.
J’ai regardé sur ta tablette quand tu t’es arrêté pour aller boire un café.
J’en ai eu l’idée quand j’ai voulu voir ta réaction quand, lorsque j’avais fait sauter le bouton de mon chemisier dévoilant un peu de mon sein et que tu le mattais.
Tu aurais passé ta main sous ma mini comme je l’espérais tu aurais senti que j’étais mouillée.
Ce soir, après que maman nous aura téléphoné, tu vas me dépuceler.
En me disant ces mots, elle me place sa main sur mon pantalon de costume.
Je bande…
• Rien de plus facile, donnez-moi le dossier.
Je suis représentant de commerce, je la prends avec moi la semaine de son stage.
• Comment avoir oublié d’y penser moi-même, je suis impardonnable !
En plus, ça lui fera voir du pays, elle qui passe son temps sur son téléphone et ses réseaux sociaux ?
• Je lui en parle, on en reparle.
C’est ainsi que tout a commencé, dix-huit ans Laure, quarante-deux ans Julie et trente moi Christian, je sais, je vis avec une cougar, mais avec des beaux restes.
Julie, je l’ai rencontrée il y a trois ans, elle venait de divorcer avait perdu sa confiance en elle et surtout son pouvoir de séduction envers les hommes.
Mal fagotée, reculant toujours au lendemain ce qu’elle pouvait faire le jour même.
Sans en faire une bombe, je l’ai transformé en une femme de quarante ans qui recommence à faire bander les hommes.
On en reparle, je vois bien que Laure est loin d’être enchanté, mais comme de son côté elle est bredouille, je pars avec elle un mois plus tard.
Parlons de Laure, aussi blonde que sa maman est brune, elle est la fille d’un Suédois que ma compagne avait rencontré lors d’une compétition de natation.
Ils ont vécu ensemble jusqu’à leur divorce, après qu’il ait retrouvé une amie d’enfance lors de vacances dans son pays.
Un point commun entre les deux femmes, leurs seins que je vois lors de nos vacances à Royan.
Elles se font bronzer topless sur les transats dans la villa que nous louons.
Seins en poire, ceux que je préfère et qui m’ont séduit en Julie le soir ou des amis communs me l’ont présenté.
Au début, nos douze ans de différence la choquaient, elle voulait arrêter notre relation.
C’est à force de la faire jouir avec ma queue, mes doigts et ma bouche qu’elle est devenue accro de nos jeux et a accepté de me garder.
Maintenant pour rien au monde elle souhaite me quitter.
Il faut dire que sans avoir un sexe de taille exceptionnel, je peux dire que je sais faire ce qu’il faut pour faire jouir les femmes.
Jusqu’à Julie, sans être l’étalon de mon quartier, plus d’une des femmes rencontrées ont souligné mon efficacité.
Je suis très caressant, elles me le disaient souvent.
La plupart de mes congénères sont plus proches des Bonobos que des besoins réels des femmes.
J’ai eu la chance d’être déniaisé par une femme mariée qui avait ce type d’époux.
À ce qu’elle me disait, il avait fini avant d’avoir commencé, c’était toujours un coup vite fait.
Certes, vicieux, car il aimait les endroits insolites, mais à peine pénétrer à peine fini.
C’est elle, qui m’a séduite lors de mon stage d’école dans son épicerie, j’ai appris à être aussi douce que peuvent être les femmes entre elles.
• Laure, embrasse-moi, soir sage avec Christian, évite de le gêner dans son travail.
• Oui, maman.
C’est ainsi que nous partons vers le nord de la France pour cinq jours de prospection envers divers clients.
Nous habitons vers Poitiers, première étape Lille.
Je contourne Paris, inutile de perdre du temps dans les embouteillages parisiens.
Laure est vêtue comme une jeune fille de son époque.
Je sais qu’il y a eu du tirage avec sa mère la veille, elle voulait mettre son jean troué aux genoux, tendance de maintenant.
Le ton a monté, mais Julie a gagné, elle est en minijupe, avec blouse et boléro écru.
Je vends des vêtements pour femmes, pour cela je rencontre des chefs de vente dans des magasins.
Le modernisme nous permet d’éviter de trimballer des valises de vêtements.
J’ai une tablette sur laquelle toute la collection est chargée présenter par des mannequins dignes de ceux de chez Chanel lors des défilés.
Couleurs, tailles et le nombre sont les seules choses que j’ai à enregistrer.
Une secrétaire prépare mes tournées où toutes les commandes que je passe arrivent directement à l’usine chaque fois que la cliente valide sur ma tablette.
Je parlais de la tenue de Laure, comme je l’ai dit je l’ai déjà vue en petite tenue, en vacances en maillot une pièce.
Mais ces deux fuseaux sagement parallèles à mes côtés pour la première fois me font de l’effet.
Je suis à la limite de bander, mais moi qui en temps ordinaire, je suis seul dans ma voiture, avoir une aussi jolie pouliche à mes côtés rend la situation différente et délicate.
Surtout que rapidement au son du CD de musique douce que j’aime écouter, elle s’endort.
Je tourne la tête rapidement et je m’aperçois que le premier bouton de son chemisier est défait et que je vois son sein presque jusqu’à la pointe de son téton.
J’ai dit que je les ai déjà vues, mais une nouvelle fois dans cette circonstance sa vue, m’émoi.
C’est ainsi après un arrêt au contournement de Paris et un café pris avec une assiette de crudités manger dans un restauroute que nous arrivons à Lille.
Lille, j’y viens une fois par trimestre, je connais de nombreuses boutiques de prêt à porter féminin, et dès quatorze heures nous rencontrons notre première responsable de boutique.
• Monsieur Christian, je vous attendais, votre secrétaire m’a confirmé votre venue comme nous l’avions prévu il y a trois mois.
Je vois que vous êtes joliment accompagné aujourd’hui.
• Je vous présente Laure, ma belle-fille, en stage cette semaine, elle fait des études de commerce.
Une première discussion très professionnelle, et nous saluons cette femme avec presque 5 000 € de commande.
Deux modèle lui ont plu, elle les veut dans cinq tailles différentes allant jusqu’au 56 et en trois coloris.
Nous voyons cinq boutiques avant dix-neuf heures, chiffre de la journée secret bien sûr, mais sachez que dès aujourd’hui, j’ai couvert mes frais de ma semaine de déplacement, Laure comprise.
Le soir restaurant que je connais bien, à deux pas de l’hôtel.
Laure se déride un peu, je la sens mon tendu.
Nous parlons de choses et d’autres sans parler famille, exclusivement sur mon métier et ce que je fais dont elle a eu un bon échantillon dans cette journée.
Le lendemain départ à neuf heures.
Laure est contente, elle avait peur de se lever de bonne heure.
Arrêt à Villeneuve-d'Ascq, plusieurs boutiques le long du chemin et en fin d'après-midi Mouscron en Belgique.
Nous avons traversé Roubaix, j’évite cette ville, car elle vit encore à l’époque des filatures et je fais rarement de bonnes affaires.
• Bonsoir, monsieur Christian, voilà votre clef !
• Pas une, deux clefs, je suis avec Laure une stagiaire en étude de commerce.
• Vous aviez bien deux chambres de réservées, mais votre secrétariat nous a appelés pour en annuler une.
• Vous rigolez, redonnez-moi cette clef.
• C’est trop tard, c’est le premier jour du Carnaval annuel de Mouscron et nous sommes complets jusqu’à la fin du week-end.
• Laure, tu vas prendre la chambre, je vais coucher dans ma voiture.
• Non, Christian, nous sommes adultes, nous allons nous arranger.
Une chambre, ouf un grand lit, même pas un canapé.
C’est ainsi que je me retrouve à partager ma chambre avec Laure.
Nous devons aller dîner, elle se prépare et ressort avec son jean troué, elle l’avait tout de même mis dans sa valise.
• À droite ou à gauche je peux dormir après ces journées épuisantes.
C’est dans la nuit que les choses se gâtent quand une main me réveille en se posant sur mon sexe.
Ce coquin me trahit, je bande à ce contact.
Je vais pour la repousser, mais dans le noir, je sens Laure bouger.
Elle m’a carrément passé sa main dans la fente de mon pyjama et semble vouloir aller plus loin.
Sans que je l’aie voulu, les draps bougent et je sens un souffle chaud se rapprocher avant de me commencer une bonne fellation.
De nombreuses femmes m'ont sucé même Julie, mais j’ignore si ma belle-fille prémédite son geste ou si elle rêve.
Excusez, le temps d’éjaculer dans cette jolie bouche.
C’est fait, je sens et surtout j’entends Laure déglutir alors que sa mère Julie évite à le faire.
Elle se lève et part dans notre salle de bain.
J’entends l’eau couler, elle doit se laver les dents.
Un temps, j’entends ses jets d’urine tomber dans la cuvette avant qu’elle tire la chasse d’eau.
Elle se recouche sans un mot de plus et quelques minutes après ses « zzz » me font comprendre qu’elle dort.
Moi non, jusqu’au matin où elle se réveille et que nous nous préparons sans un mot.
Nous sommes devant une boutique quand je prends mon téléphone.
• Tu appelles maman !
• Non, Jennifer la secrétaire de la boîte, je veux savoir qui a décommandé la deuxième chambre hier soir.
• Raccroche, cette nuit ça t’a déplu, pourtant sur les réseaux, ils disent que vous les hommes, les fellations avec avalement de votre sperme, vous adorez.
Je tombe de haut, cette sucette était préméditée en rapport avec les réseaux sociaux.
• C’est moi qui ai décommandé la chambre, hier.
J’ai regardé sur ta tablette quand tu t’es arrêté pour aller boire un café.
J’en ai eu l’idée quand j’ai voulu voir ta réaction quand, lorsque j’avais fait sauter le bouton de mon chemisier dévoilant un peu de mon sein et que tu le mattais.
Tu aurais passé ta main sous ma mini comme je l’espérais tu aurais senti que j’étais mouillée.
Ce soir, après que maman nous aura téléphoné, tu vas me dépuceler.
En me disant ces mots, elle me place sa main sur mon pantalon de costume.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un bon trader pour la suite.... cette Laure est peut être vierge mais semble très
délurée....
Bise
Mikel
délurée....
Bise
Mikel
Pardon , 8 ou 9 heures
très belle histoire vivement la suite