COLLECTION JEUNE – VIEUX. Stage de ma belle-fille (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-01-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Stage de ma belle-fille (2/2)
Laure, ma belle-fille cherchait un stage de formation dans le cadre de ses études en gestion commerciale.
Étant moi-même commercial pour une entreprise de prêt à porter féminin, je propose qu’elle fasse son stage avec moi.
Laure est la fille de Julie, mon amie plus qu’intime depuis trois ans.
Issus d’un précédent mariage avec un athlète suédois qu’elle a connu lorsqu’elle faisait de la compétition de natation.
Je fais réserver deux chambres à Lille par Jennifer notre secrétaire qui s’occupe de mon planning.
Lille, la petite qui a 18 ans, observe, comment je pratique.
Puis nous faisons route vers la Belgique à Mouscron où j’ai la surprise de voir que la deuxième chambre est annulée m’obligeant à dormir avec ma belle-fille.
Dans la nuit, je sens une main s’emparer de ma queue.
Alors que j’allais la repousser, c’est la bouche de la mutine qui vient me pomper allant même jusqu’à déglutir lorsque j’ai éjaculé.
Au matin je veux appeler Jennifer quand Laure me dit que c’est elle qui a fait annuler la chambre allant même jusqu’à appeler l’hôtel pour leur demander que nous ayons un lit deux places.
Elle m’avoue aussi que la fellation de cette nuit était volontaire et que ce soir dans cette deuxième nuit à l’hôtel de Mouscron, elle souhaite que je la dépucelle.
Mon premier réflexe est que Jennifer rétablisse les deux chambres pour le reste de la semaine.
Inutile de la faire, pour les deux nuits restantes à Mouscron s’est râpée, les hôtels étant complets suite au début du carnaval annuel de la ville.
Il nous restera une nuit à Tourcoing avant de la ramener chez nous, pourquoi mettre la puce à l’oreille de Jennifer d’annulation puis retour à la situation précédente
Il faut aussi dire que Laure sait être persuasive quand elle me met la main sur ma braguette et qu’elle soulève sa jupe me montrant sa toison blonde non rasée.
Toute la journée est merdique, j’arrive difficilement à me concentrer.
Que dois-je faire, céder et me mettre en porte-à-faux vis-à-vis de Julie que malgré notre différence d’âge, j’aime profondément ?
Je fais peu d’affaire, il semblerait qu’un concurrent soit passé avant moi et il faut que je note ce carnaval, car bien des commerçants ont déjà commencé la fête.
Mais c’est le métier que je peux faire découvrir à Laure, hier tout roulait, aujourd’hui je couvre à peine mes frais.
Quand nous retrouvons notre chambre, je suis fermement décidé à refuser de lui céder.
Elle va dans la salle de bain, ouf elle était encore habillée.
• Christian, je vais me faire belle pour toi.
Je veux que ma première fois soit un moment exceptionnel même si je sais que ta queue quand elle va déchirer mon hymen me fera mal.
J’entends l’eau coulée et ça dure, elle barbotte, ça m’arrange.
Les bonnes résolutions sont faites pour être abandonnées, c'est bien connu, surtout quand elle sort de la salle d’eau.
J’ai pris une posture m’allongeant sur le lit, mon livre que j’ai toujours avec moi en mains, faisant semblant de le lire.
Cette petite et belle salope m’existe, elle sort de la salle de bain une serviette autour de mes reins qu’elle ôte pour s’allonger à mes côtés.
De nouveau je bande, je me lève précipitamment manquant presque de la faire tomber du lit et je m’enferme à mon tour pour prendre une douche froide.
Dans ma précipitation, j’ai oublié mon pyjama ou tout autre sous-vêtement.
Hygiène oblige, il est hors de question que je remette mon slip usagé.
Je vais tenter une percée jusqu’à mon sac de voyage pour remettre une tenue décente.
Quand j’entre dans la chambre, le spectacle que me présente Laure abas mes dernières réticences, malgré la douche froide, je me remets à bander.
• C’est bien mon grand, viens voir, maman, elle va te lire une histoire.
Laure est au milieu du lit, elle a mis mes lunettes dont je me sers pour lire, tient mon livre d’une main, son majeur caressant son clitoris.
Je suis à deux doigts de le comparer à celui de Julie, mais la situation est déjà fort gênante pour que j’hésite à faire des comparaisons.
Hélas, je suis un homme.
Un faible homme aussi je monte sur le lit, je me place dans la fourche de la petite mutine et alors que sa main se retire de son bouton, elle la replace sur le derrière de ma tête.
Je sors ma langue, et je commence un cunnilingus que la petite semble apprécier.
Elle mouille, elle semble accepter cette première fois, son corps est prêt à recevoir ma verge en elle.
Je veux que ma langue lui apporte du plaisir, si je le peux après ce moment intense pour elle, j’essayerais de m’échapper.
Je laisserais à un autre plus jeune que moi le soin de la déflorer.
J’arrive à mes fins, elle doit déjà avoir jouis avec ses propres doigts, mais je suis fière quand j’arrive à ce qu’elle se contorsionne quand le plaisir, la frappe.
Je bande comme un malade.
• Viens !
Que c’est doux, que c’est serré, que ça crie quand j’entre en elle.
Non pas un cri de douleur, mais un cri de plaisir naissant.
Se peut-il que cette grotte dont je touche le fond se soit rendue sans pour autant traumatiser Laure ?
Quand ces jambes enserrent mes reins, je suis très fière de l’homme que je suis.
Je suis entré si doucement que j’ai senti sa paroi intime céder finissant par ce cri de femme comblée.
Je sors ma queue, j’ai les traces que Laure était bien une jeune fille avant d’en faire une jeune femme.
Je suis satisfait, j’ai gardé mon sperme, espérant que la puissance de sa jouissance lui suffira et que je vais pouvoir reprendre le contrôle de mes sens et de ma vie avec Julie.
Il me restera le souvenir de ce bon moment que j’essayerais de garder dans un coin de ma mémoire.
Si nécessaire, je pourrais la ressortir quand je serais vieillissant au côté de celle qui sera bientôt ma femme, moi qui ai toujours dit, jamais de lien.
Quand je m’agenouillerais pour lui offrir sa bague et qu’elle dira oui, tout ce merdier créé par Laure sera oublié et jusqu’à notre mort, je reprendrais la ligne droite.
Je glisse à ses côtés sur mon dos, ma flamme se dressant vers le ciel.
Laure semble l’entendre d’une autre oreille, féline, chatte, elle vient se placer au-dessus de moi et s’empale littéralement sur mon pieu.
• Mon chéri, je t’aime, je suis fière que ce soit toi qui aies été le premier.
Laure, ta maman, comment vais-je pouvoir la retrouver vendredi soir sans grande confusion dans notre couple.
Tu l’ignores, mais ta maman, je vais l’épouser et tu deviendras ma belle-fille.
Sa belle-fille, impossible pour la bonne marche de mon couple que je la baise, je suis un homme ayant des principes.
Je commence à avoir cette pensée quand elle monte et descend faisant entendre aux personnes de la chambre voisine le plaisir qu’elle prend quand son chant de plaisir recommence à la travailler.
C’est dans un même cri que nous jouissons en parfaite osmose.
• Merci, mon cœur, tu as été merveilleux, tu m’as donné faim, dans mon contrat de stage, je pense qu’il y a écrit remplissage de l’estomac de sa stagiaire.
• Laure, j’ignore ce qu’il y a dans ce foutu contrat, ignorant même s’il y en a un.
Mais dit-moi, dans un contrat de ce genre, existe-t-il un article disant que la stagiaire monte une usine à gaz pour se taper son maître de stage.
• Mais c’est qu’il est en colère mon gros doudou, pourtant il a fait jouir sa petite salope des ça première fois.
• C’est un mec super.
• Mais ta mère tu y pense, j’avais dans l’idée de l’épouser, ce que nous venons de faire à l’insu de mon plein gré, va me poser une tonne d’emmerde.
• Oui, mais moi j’ai faim.
Complètement amorale, la petite surtout quand elle se lève entrainant en moi une impression de manque.
Que la chair est faible pour un garçon avec une jolie femme même depuis peu complètement nue.
• Tu vas bien le donner un baiser avant de cacher ton corps de rêve.
• Oui, mon bébé, comment refuser une telle demande à celui qui vous a fait femme.
Elle se recouche sur moi, ses seins agressant avec bonheur les miens.
Le baiser que nous nous échangeons est loin d’être un baiser de rupture.
Mieux, je rebande et c’est elle qui se renverse m’entrainant ma queue rentrante seule dans sa minette dans la position du missionnaire.
Ses jambes viennent m’enserrer, pour bien me souder à elle.
Bouches et sexes étroitement soudés, je prends mon temps une nouvelle fois pour la faire jouir et jouir en elle.
Au moment où mon sperme gicle en elle, une pensée me vient.
Julie a-t-elle appris à sa fille de se protéger.
Que vais-je faire si la fille de ma femme accouche de mon enfant le jour de mes noces avec sa mère en faisant ma femme ?
Je décide de laisser voire venir, tout ça c’est de sa faute si elle avait trouvé un autre stage à sa salope de fille, tout ceci serait resté lettre morte.
Une lettre, j’en trouve une lorsque nous revenons à la maison.
Elle est là bien en évidence au milieu de la table de la cuisine avec un trousseau de clefs, celles de notre logement.
Avec appréhension je l’ouvre.
« Christian, je m’excuse de la peine que je vais te faire.
J’ai toujours été franche avec toi, notre différence d’âge m’a toujours posé problème.
Par hasard, j’ai rencontré un homme de mon âge et nous sommes devenues amants.
Je l’aime et j’ai accepté sa bague et nous allons nous marier dès que possible.
Je m’excuse encore de te faire du mal, mais la vie est courte et je sais que tu trouveras rapidement à me remplacer.
J’espère que Laure a été sage, elle est un peu espiègle quand elle si met.
Si elle est près de toi quand tu liras cette lettre, dit lui que lorsque je rentrerais du voyage que nous entreprenons je lui téléphonerais.
Merci de m’avoir donné goût à la vie.
• Veux-tu m’épouser ?
• Oui, mon chéri, je t’aime et ce sera pour toute notre vie.
Julie, non, c’est une histoire oubliée depuis neuf mois.
Le temps pour Laure de me donner ma fille qui tète le sein de sa maman que j’ai aimé téter à Mouscron et depuis dans notre chez-nous.
Ma pensée quand j’ai déchargé dans cette chambre s’est avérée exacte.
Sa mère avait omis de dire à sa fille que lorsque l’on joue avec le sexe d’un homme des fois, on se brûle.
Mais pour mon plus grand bonheur.
Au moment où elle dit « j’accepte », une nouvelle pensée me vient.
Une femme qui baise avec un garçon de douze ans son cadet, on l’appelle une cougar.
Un homme qui baise et qui épouse une jeune salope de douze ans plus jeune, c’est un vieux beau, non, ceux-là ils ont la cinquantaine ?
Moi j’en ai trente.
Oui, j’ai ma réponse, c’est un homme amoureux.
Étant moi-même commercial pour une entreprise de prêt à porter féminin, je propose qu’elle fasse son stage avec moi.
Laure est la fille de Julie, mon amie plus qu’intime depuis trois ans.
Issus d’un précédent mariage avec un athlète suédois qu’elle a connu lorsqu’elle faisait de la compétition de natation.
Je fais réserver deux chambres à Lille par Jennifer notre secrétaire qui s’occupe de mon planning.
Lille, la petite qui a 18 ans, observe, comment je pratique.
Puis nous faisons route vers la Belgique à Mouscron où j’ai la surprise de voir que la deuxième chambre est annulée m’obligeant à dormir avec ma belle-fille.
Dans la nuit, je sens une main s’emparer de ma queue.
Alors que j’allais la repousser, c’est la bouche de la mutine qui vient me pomper allant même jusqu’à déglutir lorsque j’ai éjaculé.
Au matin je veux appeler Jennifer quand Laure me dit que c’est elle qui a fait annuler la chambre allant même jusqu’à appeler l’hôtel pour leur demander que nous ayons un lit deux places.
Elle m’avoue aussi que la fellation de cette nuit était volontaire et que ce soir dans cette deuxième nuit à l’hôtel de Mouscron, elle souhaite que je la dépucelle.
Mon premier réflexe est que Jennifer rétablisse les deux chambres pour le reste de la semaine.
Inutile de la faire, pour les deux nuits restantes à Mouscron s’est râpée, les hôtels étant complets suite au début du carnaval annuel de la ville.
Il nous restera une nuit à Tourcoing avant de la ramener chez nous, pourquoi mettre la puce à l’oreille de Jennifer d’annulation puis retour à la situation précédente
Il faut aussi dire que Laure sait être persuasive quand elle me met la main sur ma braguette et qu’elle soulève sa jupe me montrant sa toison blonde non rasée.
Toute la journée est merdique, j’arrive difficilement à me concentrer.
Que dois-je faire, céder et me mettre en porte-à-faux vis-à-vis de Julie que malgré notre différence d’âge, j’aime profondément ?
Je fais peu d’affaire, il semblerait qu’un concurrent soit passé avant moi et il faut que je note ce carnaval, car bien des commerçants ont déjà commencé la fête.
Mais c’est le métier que je peux faire découvrir à Laure, hier tout roulait, aujourd’hui je couvre à peine mes frais.
Quand nous retrouvons notre chambre, je suis fermement décidé à refuser de lui céder.
Elle va dans la salle de bain, ouf elle était encore habillée.
• Christian, je vais me faire belle pour toi.
Je veux que ma première fois soit un moment exceptionnel même si je sais que ta queue quand elle va déchirer mon hymen me fera mal.
J’entends l’eau coulée et ça dure, elle barbotte, ça m’arrange.
Les bonnes résolutions sont faites pour être abandonnées, c'est bien connu, surtout quand elle sort de la salle d’eau.
J’ai pris une posture m’allongeant sur le lit, mon livre que j’ai toujours avec moi en mains, faisant semblant de le lire.
Cette petite et belle salope m’existe, elle sort de la salle de bain une serviette autour de mes reins qu’elle ôte pour s’allonger à mes côtés.
De nouveau je bande, je me lève précipitamment manquant presque de la faire tomber du lit et je m’enferme à mon tour pour prendre une douche froide.
Dans ma précipitation, j’ai oublié mon pyjama ou tout autre sous-vêtement.
Hygiène oblige, il est hors de question que je remette mon slip usagé.
Je vais tenter une percée jusqu’à mon sac de voyage pour remettre une tenue décente.
Quand j’entre dans la chambre, le spectacle que me présente Laure abas mes dernières réticences, malgré la douche froide, je me remets à bander.
• C’est bien mon grand, viens voir, maman, elle va te lire une histoire.
Laure est au milieu du lit, elle a mis mes lunettes dont je me sers pour lire, tient mon livre d’une main, son majeur caressant son clitoris.
Je suis à deux doigts de le comparer à celui de Julie, mais la situation est déjà fort gênante pour que j’hésite à faire des comparaisons.
Hélas, je suis un homme.
Un faible homme aussi je monte sur le lit, je me place dans la fourche de la petite mutine et alors que sa main se retire de son bouton, elle la replace sur le derrière de ma tête.
Je sors ma langue, et je commence un cunnilingus que la petite semble apprécier.
Elle mouille, elle semble accepter cette première fois, son corps est prêt à recevoir ma verge en elle.
Je veux que ma langue lui apporte du plaisir, si je le peux après ce moment intense pour elle, j’essayerais de m’échapper.
Je laisserais à un autre plus jeune que moi le soin de la déflorer.
J’arrive à mes fins, elle doit déjà avoir jouis avec ses propres doigts, mais je suis fière quand j’arrive à ce qu’elle se contorsionne quand le plaisir, la frappe.
Je bande comme un malade.
• Viens !
Que c’est doux, que c’est serré, que ça crie quand j’entre en elle.
Non pas un cri de douleur, mais un cri de plaisir naissant.
Se peut-il que cette grotte dont je touche le fond se soit rendue sans pour autant traumatiser Laure ?
Quand ces jambes enserrent mes reins, je suis très fière de l’homme que je suis.
Je suis entré si doucement que j’ai senti sa paroi intime céder finissant par ce cri de femme comblée.
Je sors ma queue, j’ai les traces que Laure était bien une jeune fille avant d’en faire une jeune femme.
Je suis satisfait, j’ai gardé mon sperme, espérant que la puissance de sa jouissance lui suffira et que je vais pouvoir reprendre le contrôle de mes sens et de ma vie avec Julie.
Il me restera le souvenir de ce bon moment que j’essayerais de garder dans un coin de ma mémoire.
Si nécessaire, je pourrais la ressortir quand je serais vieillissant au côté de celle qui sera bientôt ma femme, moi qui ai toujours dit, jamais de lien.
Quand je m’agenouillerais pour lui offrir sa bague et qu’elle dira oui, tout ce merdier créé par Laure sera oublié et jusqu’à notre mort, je reprendrais la ligne droite.
Je glisse à ses côtés sur mon dos, ma flamme se dressant vers le ciel.
Laure semble l’entendre d’une autre oreille, féline, chatte, elle vient se placer au-dessus de moi et s’empale littéralement sur mon pieu.
• Mon chéri, je t’aime, je suis fière que ce soit toi qui aies été le premier.
Laure, ta maman, comment vais-je pouvoir la retrouver vendredi soir sans grande confusion dans notre couple.
Tu l’ignores, mais ta maman, je vais l’épouser et tu deviendras ma belle-fille.
Sa belle-fille, impossible pour la bonne marche de mon couple que je la baise, je suis un homme ayant des principes.
Je commence à avoir cette pensée quand elle monte et descend faisant entendre aux personnes de la chambre voisine le plaisir qu’elle prend quand son chant de plaisir recommence à la travailler.
C’est dans un même cri que nous jouissons en parfaite osmose.
• Merci, mon cœur, tu as été merveilleux, tu m’as donné faim, dans mon contrat de stage, je pense qu’il y a écrit remplissage de l’estomac de sa stagiaire.
• Laure, j’ignore ce qu’il y a dans ce foutu contrat, ignorant même s’il y en a un.
Mais dit-moi, dans un contrat de ce genre, existe-t-il un article disant que la stagiaire monte une usine à gaz pour se taper son maître de stage.
• Mais c’est qu’il est en colère mon gros doudou, pourtant il a fait jouir sa petite salope des ça première fois.
• C’est un mec super.
• Mais ta mère tu y pense, j’avais dans l’idée de l’épouser, ce que nous venons de faire à l’insu de mon plein gré, va me poser une tonne d’emmerde.
• Oui, mais moi j’ai faim.
Complètement amorale, la petite surtout quand elle se lève entrainant en moi une impression de manque.
Que la chair est faible pour un garçon avec une jolie femme même depuis peu complètement nue.
• Tu vas bien le donner un baiser avant de cacher ton corps de rêve.
• Oui, mon bébé, comment refuser une telle demande à celui qui vous a fait femme.
Elle se recouche sur moi, ses seins agressant avec bonheur les miens.
Le baiser que nous nous échangeons est loin d’être un baiser de rupture.
Mieux, je rebande et c’est elle qui se renverse m’entrainant ma queue rentrante seule dans sa minette dans la position du missionnaire.
Ses jambes viennent m’enserrer, pour bien me souder à elle.
Bouches et sexes étroitement soudés, je prends mon temps une nouvelle fois pour la faire jouir et jouir en elle.
Au moment où mon sperme gicle en elle, une pensée me vient.
Julie a-t-elle appris à sa fille de se protéger.
Que vais-je faire si la fille de ma femme accouche de mon enfant le jour de mes noces avec sa mère en faisant ma femme ?
Je décide de laisser voire venir, tout ça c’est de sa faute si elle avait trouvé un autre stage à sa salope de fille, tout ceci serait resté lettre morte.
Une lettre, j’en trouve une lorsque nous revenons à la maison.
Elle est là bien en évidence au milieu de la table de la cuisine avec un trousseau de clefs, celles de notre logement.
Avec appréhension je l’ouvre.
« Christian, je m’excuse de la peine que je vais te faire.
J’ai toujours été franche avec toi, notre différence d’âge m’a toujours posé problème.
Par hasard, j’ai rencontré un homme de mon âge et nous sommes devenues amants.
Je l’aime et j’ai accepté sa bague et nous allons nous marier dès que possible.
Je m’excuse encore de te faire du mal, mais la vie est courte et je sais que tu trouveras rapidement à me remplacer.
J’espère que Laure a été sage, elle est un peu espiègle quand elle si met.
Si elle est près de toi quand tu liras cette lettre, dit lui que lorsque je rentrerais du voyage que nous entreprenons je lui téléphonerais.
Merci de m’avoir donné goût à la vie.
• Veux-tu m’épouser ?
• Oui, mon chéri, je t’aime et ce sera pour toute notre vie.
Julie, non, c’est une histoire oubliée depuis neuf mois.
Le temps pour Laure de me donner ma fille qui tète le sein de sa maman que j’ai aimé téter à Mouscron et depuis dans notre chez-nous.
Ma pensée quand j’ai déchargé dans cette chambre s’est avérée exacte.
Sa mère avait omis de dire à sa fille que lorsque l’on joue avec le sexe d’un homme des fois, on se brûle.
Mais pour mon plus grand bonheur.
Au moment où elle dit « j’accepte », une nouvelle pensée me vient.
Une femme qui baise avec un garçon de douze ans son cadet, on l’appelle une cougar.
Un homme qui baise et qui épouse une jeune salope de douze ans plus jeune, c’est un vieux beau, non, ceux-là ils ont la cinquantaine ?
Moi j’en ai trente.
Oui, j’ai ma réponse, c’est un homme amoureux.
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