COLLECTION JEUNE – VIEUX. Tout ça à cause d’un poignet plâtré (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-08-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Tout ça à cause d’un poignet plâtré (2/3)
J’ai fini par accepter de recevoir chez moi à Grenoble mon filleul venant de se casser le poignet et portant un plâtre.
Je pensais que mon filleul ignorait que je vivais en couple avec Agnès depuis plus de dix ans.
Angelle, ma sœur ainée me détrompe alors je finis par accepter, malgré l’absence d’Agnès qui étant commerciale est partie en tournée.
Elle doit rentrer demain, mais dès le premier soir, je suis confrontée à un problème.
La toilette intime de Gratien incapable de faire sa toilette seul.
Ma soeur est partie gravir le mont Blanc avec mon beau-frère et me le dépose sur le chemin, ils sont parisiens.
Pour ce travail assez spécial, elle semble avoir une certaine décontraction avec ce beau jeune homme bien monté, dès que je le vois nu.
J’ai plus de mal, mais par obligation ayant accepté de m’en occuper, je franchis le pas, mais là encore au début tout dérape.
Au début, car au fond de moi lorsque je sens sa semence se déverser en moi, une idée folle me viens à l’esprit.
Dès le matin, je recommence de moi-même à sucer Gratien pour qu’il puisse m’honorer et me donner autant de plaisir qu’hier au soir.
• Tantine, tu es formidable, je vais t’avouer que tu es la première femme à qui je fais l’amour, j’étais puceau.
Quand il me fait cet aveu me remplissant de fierté, je suis moi-même placée en levrette après son injonction de prendre cette position.
Je prends souvent cette position avec l’amour de ma vie quand elle me prend avec Firmin.
Firmin, c’est le nom que nous avons donné Agnès et moi à notre gode ceinture qui est rangé dans la table de nuit.
Comment un puceau peut-il être capable de me donner tant de plaisir dans diverses positions ?
Lorsqu’il me déverse de nouveaux flots de sperme au fond de moi, je finis par me blottir dans ses bras.
• Gratien tu es un garçon formidable, tu m’as fait tellement jouir, au maximum de mon extase, que je me demande comment tu peux connaît autant de chose sur la manière de satisfaire une femme.
• Ma chérie, mon portable et les films avec lesquels je me masturbe et où j’ai tout appris.
• Peux-tu m’en faire voir, tu sais je suis restée vieux jeu.
• Détrompe-toi, tu as été parfaite, bien loin d’imaginer le plaisir que la pénétration de ta chatte a pu m’apporter.
Et ta bouche, tu suces comme une reine tu es ma reine.
Je me lève, me rendant dans la salle de bain, je fais couler un bain.
Il faut que je me remette au boulot, la société, pour laquelle je travaille depuis deux jours, souhaite sa nouvelle formule pour la mettre en ligne dès demain.
À peine dans l’eau, Gratien me rejoint et entre, lui aussi, en face de moi faisant attention à son plâtre.
Un amant jeune a des avantages, comme l’on dit, toujours prêt, mais Gratien dépasse ce simple cap, il a une boulimie de sexe.
Sa main valide plonge dans l’eau et vient me caresser.
Un bain en commun avec Agnès, c’est fréquent et des caresses de fille à fille aussi, c’est facile nos doigts étant suffisants.
Mais là, lorsqu’il m’attire à lui me faisant sentir que sous l’eau sa verge est tendue, je me demande si c’est un sérial baiseur ou un sérial menteur que j’ai accepté chez moi.
Dans le lit comme dans notre bain, le plaisir qu’il me procure est bien supérieur à tout ce que j’ai connu.
Mon portable m’appelle.
Ce doit être le directeur du super marché qui vient aux nouvelles.
Par habitude quand je suis dans ma salle de bains je le pose sur un tabouret placé là pour lui.
• Allo ! Françoise !
Agnès tu as un problème jamais, tu m’appelles !
• Non, je voulais te dire que je rentrais plus tôt, je serais là pour midi.
Je veux éviter de te trouver en tête à tête avec un beau blond ou une belle blonde dans tes bras.
Pendant ce temps, Gratien entend, mon portable étant sur haut-parleur.
Il me suce les seins, bien sûr, ils réagissent et il bande autant que la queue qui est en moi.
• Une blonde non, un brun oui, mais soit tranquille, c’est Gratien, mon filleul, il est là pour une semaine Angelle est parti avec sa moitié atteindre le sommet du mont Blanc.
Mon neveu s’est cassé le bras et a été dans l’impossibilité de les accompagner.
• Tu es dans ton bain, j’ai entendu le clapotis de l’eau.
• Oui.
• Tu vas voir, quand je vais être là, j’en préparerais un et nous le prendrons ensemble.
• Aie !
C’est Gratien qui vient de me mordre la pointe de mon sein droit avec un sourire ironique.
• Tu t’es fait mal !
• Non, je me suis juste cogné le coude en me redressant, sans gravité.
• Je te l’embrasse !
Gratien à la limite de pouffer de rire me saisit le bras et m’embrasse le coude.
• Voilà c’est fait, j’ai reçu ton baiser.
Incroyable, j’ai la verge de Gratien en moi et ma copine me fait l’amour par téléphone.
Je suis désemparé à la limite de jouir tellement la situation est tendue.
• Je te perds, tu roules, je te perds, je t’attends.
Je coupe la communication.
• Ah ! Oh ! Ah !
Je pars, à une seconde près, Agnès m’entendait jouir.
Je suis à deux doigts de laisser tomber mon portable dans l’eau de la baignoire, mais il atterrit sur le tapi de bain.
Je me redresse, il faut savoir finir de jouer et c’est en pyjama que je me remets au travail.
• Il est où, il a dû grandir depuis la dernière fois où je l’ai vu ?
• Dans sa chambre, il lit.
J’ai préparé la mise en scène, je sais le degré de jalousie d’Agnès.
Je suis devant mon portable à faire croire que je travaille.
Comme je l’ai dit, j’ai une idée en tête, mais comment arriver à la concrétiser.
Gratien va m’y aider par sa boulimie de sexe que je semble avoir déclenché en me laissant faire, malgré le degré d’inceste que représentent nos rapports intimes.
Les deux premiers jours tout se passe bien, mais sans que je trouve l’ouverture.
Dans la nuit, Gratien dans sa chambre, lorsque je vois Agnès mettre notre gode autour de ses reins, je sais qu’elle va me défoncer.
Au début, la texture de l’objet est bien différente de la verge de mon amant, mais rapidement lorsque je suis en levrette, je finis par avoir un orgasme.
J’ai toujours un orgasme quand je suis prise à quatre pattes.
Le matin, Agnès après les débordements de notre nuit adore faire la grâce matinée lorsqu’elle est chez nous.
Gratien vient près de moi alors que je soutire de l’eau pour la cafetière et m’enlace.
• Dis, Françoise, vos nuits sont chaudes, je suis allée aux toilettes pendant la nuit et tu hurlais de plaisir autant que tu hurles avec moi !
Je me suis masturbé en t’entendant, il faudra nettoyer la porte, j’ai éjaculé dessus.
En me disant cela il m’embrasse dans le cou sa main valide dans ma culotte deux doigts dans ma chatte.
Je suis obligée de plier légèrement les genoux et de m’agripper au rebore de l’évier, sinon je tombe, mais je me reprends et j’arrive à le repousser.
• Arrête, demain elle s’en va jusqu’à jeudi je serai entièrement à toi.
Cette promesse le calme et dans l’après-midi, c’est au Parc Paul Mistral que tous les trois nous nous promenons.
Nous avons l’habitude de nous y promener Agnès et moi, quelques mémés souvent croisées sont étonnées de voir ce beau jeune homme avec nous.
C’est là que je prends conscience que nous sommes catalogués comme des gouines vu l’étonnement qu’elles affichent.
Pour autant, Agnès repart demain pour autant, je suis un peu déçu, j’espérais trouver l’ouverture, mais ça semble foutu.
Il est 17 heures, je suis sur le canapé à regarder la télé dans ma robe que je portais lors de la promenade.
Agnès m’adore dedans et comme elle aime aussi, je me promène sans petits sous-vêtements.
• Je descends au garage, je vais préparer ma voiture pour être prête à partir demain, j’en ai pour une heure.
Chaque dimanche soir, Agnès me dit la même chose après notre promenade et part au garage où elle trie ses différentes valises remettant tout en place.
• Tantine, elle est partie, tu voulais attendre demain,ça m’est impossible, regarde.
Devant moi, il bande de nouveau tenant sa bite de sa main valide.
Il se présente devant ma bouche...
Je pensais que mon filleul ignorait que je vivais en couple avec Agnès depuis plus de dix ans.
Angelle, ma sœur ainée me détrompe alors je finis par accepter, malgré l’absence d’Agnès qui étant commerciale est partie en tournée.
Elle doit rentrer demain, mais dès le premier soir, je suis confrontée à un problème.
La toilette intime de Gratien incapable de faire sa toilette seul.
Ma soeur est partie gravir le mont Blanc avec mon beau-frère et me le dépose sur le chemin, ils sont parisiens.
Pour ce travail assez spécial, elle semble avoir une certaine décontraction avec ce beau jeune homme bien monté, dès que je le vois nu.
J’ai plus de mal, mais par obligation ayant accepté de m’en occuper, je franchis le pas, mais là encore au début tout dérape.
Au début, car au fond de moi lorsque je sens sa semence se déverser en moi, une idée folle me viens à l’esprit.
Dès le matin, je recommence de moi-même à sucer Gratien pour qu’il puisse m’honorer et me donner autant de plaisir qu’hier au soir.
• Tantine, tu es formidable, je vais t’avouer que tu es la première femme à qui je fais l’amour, j’étais puceau.
Quand il me fait cet aveu me remplissant de fierté, je suis moi-même placée en levrette après son injonction de prendre cette position.
Je prends souvent cette position avec l’amour de ma vie quand elle me prend avec Firmin.
Firmin, c’est le nom que nous avons donné Agnès et moi à notre gode ceinture qui est rangé dans la table de nuit.
Comment un puceau peut-il être capable de me donner tant de plaisir dans diverses positions ?
Lorsqu’il me déverse de nouveaux flots de sperme au fond de moi, je finis par me blottir dans ses bras.
• Gratien tu es un garçon formidable, tu m’as fait tellement jouir, au maximum de mon extase, que je me demande comment tu peux connaît autant de chose sur la manière de satisfaire une femme.
• Ma chérie, mon portable et les films avec lesquels je me masturbe et où j’ai tout appris.
• Peux-tu m’en faire voir, tu sais je suis restée vieux jeu.
• Détrompe-toi, tu as été parfaite, bien loin d’imaginer le plaisir que la pénétration de ta chatte a pu m’apporter.
Et ta bouche, tu suces comme une reine tu es ma reine.
Je me lève, me rendant dans la salle de bain, je fais couler un bain.
Il faut que je me remette au boulot, la société, pour laquelle je travaille depuis deux jours, souhaite sa nouvelle formule pour la mettre en ligne dès demain.
À peine dans l’eau, Gratien me rejoint et entre, lui aussi, en face de moi faisant attention à son plâtre.
Un amant jeune a des avantages, comme l’on dit, toujours prêt, mais Gratien dépasse ce simple cap, il a une boulimie de sexe.
Sa main valide plonge dans l’eau et vient me caresser.
Un bain en commun avec Agnès, c’est fréquent et des caresses de fille à fille aussi, c’est facile nos doigts étant suffisants.
Mais là, lorsqu’il m’attire à lui me faisant sentir que sous l’eau sa verge est tendue, je me demande si c’est un sérial baiseur ou un sérial menteur que j’ai accepté chez moi.
Dans le lit comme dans notre bain, le plaisir qu’il me procure est bien supérieur à tout ce que j’ai connu.
Mon portable m’appelle.
Ce doit être le directeur du super marché qui vient aux nouvelles.
Par habitude quand je suis dans ma salle de bains je le pose sur un tabouret placé là pour lui.
• Allo ! Françoise !
Agnès tu as un problème jamais, tu m’appelles !
• Non, je voulais te dire que je rentrais plus tôt, je serais là pour midi.
Je veux éviter de te trouver en tête à tête avec un beau blond ou une belle blonde dans tes bras.
Pendant ce temps, Gratien entend, mon portable étant sur haut-parleur.
Il me suce les seins, bien sûr, ils réagissent et il bande autant que la queue qui est en moi.
• Une blonde non, un brun oui, mais soit tranquille, c’est Gratien, mon filleul, il est là pour une semaine Angelle est parti avec sa moitié atteindre le sommet du mont Blanc.
Mon neveu s’est cassé le bras et a été dans l’impossibilité de les accompagner.
• Tu es dans ton bain, j’ai entendu le clapotis de l’eau.
• Oui.
• Tu vas voir, quand je vais être là, j’en préparerais un et nous le prendrons ensemble.
• Aie !
C’est Gratien qui vient de me mordre la pointe de mon sein droit avec un sourire ironique.
• Tu t’es fait mal !
• Non, je me suis juste cogné le coude en me redressant, sans gravité.
• Je te l’embrasse !
Gratien à la limite de pouffer de rire me saisit le bras et m’embrasse le coude.
• Voilà c’est fait, j’ai reçu ton baiser.
Incroyable, j’ai la verge de Gratien en moi et ma copine me fait l’amour par téléphone.
Je suis désemparé à la limite de jouir tellement la situation est tendue.
• Je te perds, tu roules, je te perds, je t’attends.
Je coupe la communication.
• Ah ! Oh ! Ah !
Je pars, à une seconde près, Agnès m’entendait jouir.
Je suis à deux doigts de laisser tomber mon portable dans l’eau de la baignoire, mais il atterrit sur le tapi de bain.
Je me redresse, il faut savoir finir de jouer et c’est en pyjama que je me remets au travail.
• Il est où, il a dû grandir depuis la dernière fois où je l’ai vu ?
• Dans sa chambre, il lit.
J’ai préparé la mise en scène, je sais le degré de jalousie d’Agnès.
Je suis devant mon portable à faire croire que je travaille.
Comme je l’ai dit, j’ai une idée en tête, mais comment arriver à la concrétiser.
Gratien va m’y aider par sa boulimie de sexe que je semble avoir déclenché en me laissant faire, malgré le degré d’inceste que représentent nos rapports intimes.
Les deux premiers jours tout se passe bien, mais sans que je trouve l’ouverture.
Dans la nuit, Gratien dans sa chambre, lorsque je vois Agnès mettre notre gode autour de ses reins, je sais qu’elle va me défoncer.
Au début, la texture de l’objet est bien différente de la verge de mon amant, mais rapidement lorsque je suis en levrette, je finis par avoir un orgasme.
J’ai toujours un orgasme quand je suis prise à quatre pattes.
Le matin, Agnès après les débordements de notre nuit adore faire la grâce matinée lorsqu’elle est chez nous.
Gratien vient près de moi alors que je soutire de l’eau pour la cafetière et m’enlace.
• Dis, Françoise, vos nuits sont chaudes, je suis allée aux toilettes pendant la nuit et tu hurlais de plaisir autant que tu hurles avec moi !
Je me suis masturbé en t’entendant, il faudra nettoyer la porte, j’ai éjaculé dessus.
En me disant cela il m’embrasse dans le cou sa main valide dans ma culotte deux doigts dans ma chatte.
Je suis obligée de plier légèrement les genoux et de m’agripper au rebore de l’évier, sinon je tombe, mais je me reprends et j’arrive à le repousser.
• Arrête, demain elle s’en va jusqu’à jeudi je serai entièrement à toi.
Cette promesse le calme et dans l’après-midi, c’est au Parc Paul Mistral que tous les trois nous nous promenons.
Nous avons l’habitude de nous y promener Agnès et moi, quelques mémés souvent croisées sont étonnées de voir ce beau jeune homme avec nous.
C’est là que je prends conscience que nous sommes catalogués comme des gouines vu l’étonnement qu’elles affichent.
Pour autant, Agnès repart demain pour autant, je suis un peu déçu, j’espérais trouver l’ouverture, mais ça semble foutu.
Il est 17 heures, je suis sur le canapé à regarder la télé dans ma robe que je portais lors de la promenade.
Agnès m’adore dedans et comme elle aime aussi, je me promène sans petits sous-vêtements.
• Je descends au garage, je vais préparer ma voiture pour être prête à partir demain, j’en ai pour une heure.
Chaque dimanche soir, Agnès me dit la même chose après notre promenade et part au garage où elle trie ses différentes valises remettant tout en place.
• Tantine, elle est partie, tu voulais attendre demain,ça m’est impossible, regarde.
Devant moi, il bande de nouveau tenant sa bite de sa main valide.
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