COLLECTION JEUNE – VIEUX. Tout ça à cause d’un poignet plâtré (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-08-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Tout ça à cause d’un poignet plâtré (3/3)
• Tantine, je viens d’entendre qu’Agnès est partie s’occuper de sa voiture et en a pour un moment.
Tu voulais attendre demain, ça m’est impossible, regarde.
Devant moi, il bande de nouveau tenant sa bite de sa main valide.
Il se présente devant ma bouche.
Quel fou ce petit chérubin, profité de l’absente de mon amie pour venir me présenter sa verge, c’est osé.
Osé, mais bon, car je le prends en main et je la mets dans ma bouche.
Ce grand benêt depuis qu’il m’a sauté comme la chienne que j’étais avant de me mettre en couple avec ma femme, sait me réveiller.
• Tu as raison, pourquoi attendre demain.
Prend-moi vite comme le soudard que tu es !
Avant que j’aie le temps de comprendre, en homme fort, il me retourne et m’ayant mis en levrette il me pénètre sans le moindre ménagement.
Comme je l’ai dit avant Angel, j’étais chaude du cul et je retrouve des situations que j’ai alors connues.
• À bien, à bien, à bien, ça alors et avec ton filleul, qu’elle salope, me faire ça à moi.
Je voulais faire évoluer notre situation, mais depuis le retour d’Angel, je cherchais désespérément comment faire.
Nous nous retrouvons dans un moment où ça passe ou ça casse.
Je me dégage.
• Ma chérie, avec son plâtre Gratien est dans l’impossibilité de faire seul sa toilette intime.
Je l’ai aidé et quand j’ai vu son sexe, j’ai repensé à nos nombreuses discussions sur le moyen d’avoir nos propres enfants.
Tu refuses de faire l’amour avec un inconnu, tu refuses de trouver un donneur de sperme anonyme.
En plus la PSA en Suisse, les renseignements pris, c’est impossible pour nous deux financièrement.
Mon neveu va résoudre le problème pour nous.
Tu le vois, il est bien monté et va nous faire de beaux enfants.
D’ailleurs pour moi c’est peut-être déjà fait.
Alors qu’importe le degré de famille qu’il y a entre lui et moi, Gratien es-tu d’accord de nous féconder toutes les deux.
• Vous pourriez me demander mon avis, tantine, je pensais que tu te protégeais.
• Ingrat que tu es Gratien, à quel moment m’as-tu posé la question.
• Reste calme, je t’aurais dit oui, comme je le fais pour Agnès avec grand plaisir.
Vous aidez à enfanter tout en ayant énormément de plaisir, pourquoi refuser.
Agnès est toujours là, même si les choses sont loin d’être acquise, ce que j’espérais secrètement dès que j’ai été la maîtresse de mon filleul vient de devenir réalité.
• Je suis venue récupérer une sacoche avec mes documents dans notre chambre.
Je vais les chercher avant de retourner au garage, je réfléchis mieux en travaillant.
Partez, vous coucher, je pense que vous avez fait ça dans notre lit sans aucun scrupule, vous verrez si je vous rejoins ou si je pars dès ce soir.
Elle quitte la pièce et retourne d’où elle a déboulé, nous prenant en flagrant délit.
Même si j’adore Agnès et si j’aime vivre avec elle dans une certaine complicité, dès que j’ai eu Gratien pour amant, j’ai vu la possibilité d’avoir nos enfants.
Dans nos ébats amoureux avec Agnès, lorsque je lui fais faire des choses improbables, elle me dit que je suis un petit peu fêlé.
Il doit falloir l’être pour baiser dans la famille, même si la bite de Gratien est exceptionnelle et qu’au début, rien de calculé.
C’est aussi vrai qu’il m’aurait été impossible de travailler chez Lustucru lorsque dimanche dernier, pour la première fois je l’ai fisté.
J’avais pour habitude de lui entrer trois doigts dans sa chatte afin qu’en les recourbant j’atteigne ce que certains appellent son point G.
Jusqu’à présent, elle jouissait comme une folle, mais j’en voulais plus, j’en ai placé un quatrième, replié mon pouce, il restait à pousser lentement et j’étais en elle jusqu’au poignet.
Si moi je suis fêlée, elle est devenue folle quand j’ai manœuvré ma main bien fichée dans son vagin.
Quand tout est redevenu calme, elle s’est blottie dans mes bras me donnant des bisous partout où sa bouche pouvait se poser me remerciant de lui avoir donné tant de plaisir.
Il est 22 heures quand nous décidons de retrouver la chambre, Agnès brille par son absence.
Je sais où elle est, dans sa voiture à attendre que je vienne la supplier de revenir espérant par là même que je repousserais Gratien.
Je refuse de céder, chaque fois je cède et après je me retrouve dépendante de son amour exclusif alors que je sais que c’est elle qui est incapable de prendre une décision.
Nous dormons dans les bras l’un de l’autre quand j’entends du mouvement dans la chambre.
Je m’attends à ce qu’elle vienne se coller à moi, mais la lumière du radio-réveil me montre qu’elle vient du côté de mon filleul.
Entre mes cils, je fais très attention de lui cacher que je vois ce qu’il se passe.
Je la connais, elle serait capable de retourner dans le garage, démarrer sa voiture et se sauver pour revenir en fin de semaine pleurant que je la laisse reprendre une place dans son cœur.
Lors d’une terrible dispute, il y a presque cinq ans, c’est comme cela que ça s’est passé.
• Gratien, réveille-toi, évite de faire du bruit, j’aurais trop honte d’avoir cédé à l’idée de Françoise, tu serais d’accord de me faire un enfant à moi aussi !
• Comment te refuser ce service ?
• Veux-tu que je te suce, je crois que c’est ainsi que les filles pratiquent pour que leur mec puisse leur faire l’amour ?
• Attends, dis-moi, as-tu déjà fait l’amour avec un homme !
• Je vais être franche, nous avons des godes avec ta marraine et c’est avec l’un d’eux que je me suis fait dépuceler.
Je suis à deux doigts de pouffer de rire, c’est exact que nous faisons souvent l’amour avec nos vibros, mais de là à penser que c’est moi qui ai été la première, je tombe des nues.
• Regarde, je bande déjà, comme je suis placé, pour éviter de la réveiller, viens t’empaler sur moi, je trique comme un âne.
Je sens le lit légèrement bouger, avant de voir leurs mouvements, mais la lumière du radio-réveil m’est cachée quand elle monte sur lui.
À partir de ce moment, fini la prudence, Agnès est une chaude lapine quand je la pénètre avec notre gode ceinture.
Je me glisse au pied du lit et je m’avance au plus loin que je peux.
Je peux passer ma langue sur sa chatte, hélas, bien noir à cet endroit et la verge de Gratien qui sentant que je suis là, passe sa main valide sur l’un de mes seins.
Dommage qu’elle soit de dos, pendant que la verge monte et descend chaque fois qu’elle s’empale, j’aurais pu lui lécher le clito.
Enfin, leurs deux corps étroitement soudés, je reçois des gouttes de sperme que son vagin est dans l’impossibilité de retenir.
• Françoise, excuse-moi de t’avoir dit non tout à l’heure.
Tu as raison, tu as toujours raison, tu me rends heureuse, là avec Gratien, ça a été multiplié par dix.
C’est blotti dans ses bras, la verge de notre amant tendrement collé à mes fesses que nous nous endormons.
Il fait jour lorsque nous émergeons.
• Mettez-vous en levrette côte à côte, je vais vous prendre l’une après l’autre.
Il le fait, chacune notre tour et lorsqu’il décharge, il s’arrange pour que l’une comme l’autre nous ayons notre dose de fertilisant amenant nos grossesses.
• Agnès, tu dois prendre la route, tu es en retard.
• Je prends des vacances, si tu crois que tu vas l’avoir pour toi toute seule, tu te fourres le doigt dans l’œil.
• Ton doigt, je le préfère dans ma chatte ma biche.
Ma biche, c’est le petit nom que je lui donne lorsque tout roule entre nous.
Le regard de plénitude qu’elle me montre, me comble de joie, j’ai réussi ce que je trouvais irréalisable.
• Bonjour Françoise, votre séjour au mont Blanc, c’est bien passé !
• Non, nous avons pu monter d’un tiers et nous sommes redescendues, la tempête faisait rage à mi-sommet.
Après impossible de repartir, le temps restant exécrable, à part des promenades au village, nous sommes restés à l’hôtel.
Mon chenapan s’est-il bien comporté ?
• Maman, je reste chez marraine jusqu’à la fin des vacances !
• Tu es d’accord Françoise et toi Agnès.
C’est d’un seul jet que nous avons répondu « oui ».
Ma sœur et Jean sont restés manger le midi avant de repartir nous laissant notre étalon.
Du temps pour nous, autant de temps que nous voulons, Gratien est intarissable.
Canapé, chaise ou table de cuisine, Agnès ayant pris des congés, il est fréquent que l’une ou l’autre, voir les deux ensemble nous nous fassions baiser.
De vraies bêtes de sexe, Agnès est déchainée, je pense qu’au fond d’elle-même elle sait que ce sera la seule bite que j’accepterai que nous ayons.
Je sais qu’il en va de même pour elle.
Dimanche 28 aout, gare de Grenoble.
Adieu, notre bel étalon va vivre ta vie à Paris, j’espère seulement que les litres de sperme que tu as déversés en nous aurons été efficaces.
C’est les larmes aux yeux que nous lui faisons un geste de la main lorsque le train démarre.
Quelques semaines plus tard, nous avons rendez-vous chez notre gynéco.
• Je pense que c’est vous le père de votre fils madame !
• Oui.
• Et vous des jumelles que vous attendez madame !
• Oui.
• Deux femmes, ça vous semble normal !
• Si vous voyez ce que je vois dans mon cabinet lors des écographies.
Le cocu qui vient avec l’amant de sa femme sous couvert qu’il a peur que je leur annonce que c’est une fille.
Les deux homos avec leur mère porteuse, même si la G.P.A. est interdite en France.
Alors deux femmes semblant très éprise l’une de l’autre enceinte en même temps, quoi de plus naturelle.
Voilà j’ai mis au monde un garçon Jules et Agnès, Adèle et Alice.
Lorsque Agnès part, c’est moi qui fais la nounou pour nos trois enfants.
Je travaille la nuit et lorsque j’ai la chance qu’ils fassent la sieste.
Et Gratien me direz-vous ?
Nous le voyons une fois par an aux grandes vacances lorsqu’il s’arrête avant d’aller dans nos montagnes faire de l’escalade.
Cette année, il est accompagné de Jade qui vient de mettre au monde un autre garçon.
Tout le portrait de son papa, comme le sont Jules, Adèle et Alice.
Nul doute que dans quelques années, nous soyons obligé d’expliquer à nos enfants, comment nous les avons conçus.
Avec tact car Jade ignore que son fils a déjà trois frères et sœurs.
Nous avons quelques années devant nous, vous me pardonnez, Agnès vient de rentrer pour le week-end, elle est dans son bain, les enfants dorment, je vais la rejoindre.
Je pense que tout ceci va se finir comme à l’habitude dans son plaisir avant le mien grâce aux godes que j’ai déjà disposés sur notre lit.
Tu voulais attendre demain, ça m’est impossible, regarde.
Devant moi, il bande de nouveau tenant sa bite de sa main valide.
Il se présente devant ma bouche.
Quel fou ce petit chérubin, profité de l’absente de mon amie pour venir me présenter sa verge, c’est osé.
Osé, mais bon, car je le prends en main et je la mets dans ma bouche.
Ce grand benêt depuis qu’il m’a sauté comme la chienne que j’étais avant de me mettre en couple avec ma femme, sait me réveiller.
• Tu as raison, pourquoi attendre demain.
Prend-moi vite comme le soudard que tu es !
Avant que j’aie le temps de comprendre, en homme fort, il me retourne et m’ayant mis en levrette il me pénètre sans le moindre ménagement.
Comme je l’ai dit avant Angel, j’étais chaude du cul et je retrouve des situations que j’ai alors connues.
• À bien, à bien, à bien, ça alors et avec ton filleul, qu’elle salope, me faire ça à moi.
Je voulais faire évoluer notre situation, mais depuis le retour d’Angel, je cherchais désespérément comment faire.
Nous nous retrouvons dans un moment où ça passe ou ça casse.
Je me dégage.
• Ma chérie, avec son plâtre Gratien est dans l’impossibilité de faire seul sa toilette intime.
Je l’ai aidé et quand j’ai vu son sexe, j’ai repensé à nos nombreuses discussions sur le moyen d’avoir nos propres enfants.
Tu refuses de faire l’amour avec un inconnu, tu refuses de trouver un donneur de sperme anonyme.
En plus la PSA en Suisse, les renseignements pris, c’est impossible pour nous deux financièrement.
Mon neveu va résoudre le problème pour nous.
Tu le vois, il est bien monté et va nous faire de beaux enfants.
D’ailleurs pour moi c’est peut-être déjà fait.
Alors qu’importe le degré de famille qu’il y a entre lui et moi, Gratien es-tu d’accord de nous féconder toutes les deux.
• Vous pourriez me demander mon avis, tantine, je pensais que tu te protégeais.
• Ingrat que tu es Gratien, à quel moment m’as-tu posé la question.
• Reste calme, je t’aurais dit oui, comme je le fais pour Agnès avec grand plaisir.
Vous aidez à enfanter tout en ayant énormément de plaisir, pourquoi refuser.
Agnès est toujours là, même si les choses sont loin d’être acquise, ce que j’espérais secrètement dès que j’ai été la maîtresse de mon filleul vient de devenir réalité.
• Je suis venue récupérer une sacoche avec mes documents dans notre chambre.
Je vais les chercher avant de retourner au garage, je réfléchis mieux en travaillant.
Partez, vous coucher, je pense que vous avez fait ça dans notre lit sans aucun scrupule, vous verrez si je vous rejoins ou si je pars dès ce soir.
Elle quitte la pièce et retourne d’où elle a déboulé, nous prenant en flagrant délit.
Même si j’adore Agnès et si j’aime vivre avec elle dans une certaine complicité, dès que j’ai eu Gratien pour amant, j’ai vu la possibilité d’avoir nos enfants.
Dans nos ébats amoureux avec Agnès, lorsque je lui fais faire des choses improbables, elle me dit que je suis un petit peu fêlé.
Il doit falloir l’être pour baiser dans la famille, même si la bite de Gratien est exceptionnelle et qu’au début, rien de calculé.
C’est aussi vrai qu’il m’aurait été impossible de travailler chez Lustucru lorsque dimanche dernier, pour la première fois je l’ai fisté.
J’avais pour habitude de lui entrer trois doigts dans sa chatte afin qu’en les recourbant j’atteigne ce que certains appellent son point G.
Jusqu’à présent, elle jouissait comme une folle, mais j’en voulais plus, j’en ai placé un quatrième, replié mon pouce, il restait à pousser lentement et j’étais en elle jusqu’au poignet.
Si moi je suis fêlée, elle est devenue folle quand j’ai manœuvré ma main bien fichée dans son vagin.
Quand tout est redevenu calme, elle s’est blottie dans mes bras me donnant des bisous partout où sa bouche pouvait se poser me remerciant de lui avoir donné tant de plaisir.
Il est 22 heures quand nous décidons de retrouver la chambre, Agnès brille par son absence.
Je sais où elle est, dans sa voiture à attendre que je vienne la supplier de revenir espérant par là même que je repousserais Gratien.
Je refuse de céder, chaque fois je cède et après je me retrouve dépendante de son amour exclusif alors que je sais que c’est elle qui est incapable de prendre une décision.
Nous dormons dans les bras l’un de l’autre quand j’entends du mouvement dans la chambre.
Je m’attends à ce qu’elle vienne se coller à moi, mais la lumière du radio-réveil me montre qu’elle vient du côté de mon filleul.
Entre mes cils, je fais très attention de lui cacher que je vois ce qu’il se passe.
Je la connais, elle serait capable de retourner dans le garage, démarrer sa voiture et se sauver pour revenir en fin de semaine pleurant que je la laisse reprendre une place dans son cœur.
Lors d’une terrible dispute, il y a presque cinq ans, c’est comme cela que ça s’est passé.
• Gratien, réveille-toi, évite de faire du bruit, j’aurais trop honte d’avoir cédé à l’idée de Françoise, tu serais d’accord de me faire un enfant à moi aussi !
• Comment te refuser ce service ?
• Veux-tu que je te suce, je crois que c’est ainsi que les filles pratiquent pour que leur mec puisse leur faire l’amour ?
• Attends, dis-moi, as-tu déjà fait l’amour avec un homme !
• Je vais être franche, nous avons des godes avec ta marraine et c’est avec l’un d’eux que je me suis fait dépuceler.
Je suis à deux doigts de pouffer de rire, c’est exact que nous faisons souvent l’amour avec nos vibros, mais de là à penser que c’est moi qui ai été la première, je tombe des nues.
• Regarde, je bande déjà, comme je suis placé, pour éviter de la réveiller, viens t’empaler sur moi, je trique comme un âne.
Je sens le lit légèrement bouger, avant de voir leurs mouvements, mais la lumière du radio-réveil m’est cachée quand elle monte sur lui.
À partir de ce moment, fini la prudence, Agnès est une chaude lapine quand je la pénètre avec notre gode ceinture.
Je me glisse au pied du lit et je m’avance au plus loin que je peux.
Je peux passer ma langue sur sa chatte, hélas, bien noir à cet endroit et la verge de Gratien qui sentant que je suis là, passe sa main valide sur l’un de mes seins.
Dommage qu’elle soit de dos, pendant que la verge monte et descend chaque fois qu’elle s’empale, j’aurais pu lui lécher le clito.
Enfin, leurs deux corps étroitement soudés, je reçois des gouttes de sperme que son vagin est dans l’impossibilité de retenir.
• Françoise, excuse-moi de t’avoir dit non tout à l’heure.
Tu as raison, tu as toujours raison, tu me rends heureuse, là avec Gratien, ça a été multiplié par dix.
C’est blotti dans ses bras, la verge de notre amant tendrement collé à mes fesses que nous nous endormons.
Il fait jour lorsque nous émergeons.
• Mettez-vous en levrette côte à côte, je vais vous prendre l’une après l’autre.
Il le fait, chacune notre tour et lorsqu’il décharge, il s’arrange pour que l’une comme l’autre nous ayons notre dose de fertilisant amenant nos grossesses.
• Agnès, tu dois prendre la route, tu es en retard.
• Je prends des vacances, si tu crois que tu vas l’avoir pour toi toute seule, tu te fourres le doigt dans l’œil.
• Ton doigt, je le préfère dans ma chatte ma biche.
Ma biche, c’est le petit nom que je lui donne lorsque tout roule entre nous.
Le regard de plénitude qu’elle me montre, me comble de joie, j’ai réussi ce que je trouvais irréalisable.
• Bonjour Françoise, votre séjour au mont Blanc, c’est bien passé !
• Non, nous avons pu monter d’un tiers et nous sommes redescendues, la tempête faisait rage à mi-sommet.
Après impossible de repartir, le temps restant exécrable, à part des promenades au village, nous sommes restés à l’hôtel.
Mon chenapan s’est-il bien comporté ?
• Maman, je reste chez marraine jusqu’à la fin des vacances !
• Tu es d’accord Françoise et toi Agnès.
C’est d’un seul jet que nous avons répondu « oui ».
Ma sœur et Jean sont restés manger le midi avant de repartir nous laissant notre étalon.
Du temps pour nous, autant de temps que nous voulons, Gratien est intarissable.
Canapé, chaise ou table de cuisine, Agnès ayant pris des congés, il est fréquent que l’une ou l’autre, voir les deux ensemble nous nous fassions baiser.
De vraies bêtes de sexe, Agnès est déchainée, je pense qu’au fond d’elle-même elle sait que ce sera la seule bite que j’accepterai que nous ayons.
Je sais qu’il en va de même pour elle.
Dimanche 28 aout, gare de Grenoble.
Adieu, notre bel étalon va vivre ta vie à Paris, j’espère seulement que les litres de sperme que tu as déversés en nous aurons été efficaces.
C’est les larmes aux yeux que nous lui faisons un geste de la main lorsque le train démarre.
Quelques semaines plus tard, nous avons rendez-vous chez notre gynéco.
• Je pense que c’est vous le père de votre fils madame !
• Oui.
• Et vous des jumelles que vous attendez madame !
• Oui.
• Deux femmes, ça vous semble normal !
• Si vous voyez ce que je vois dans mon cabinet lors des écographies.
Le cocu qui vient avec l’amant de sa femme sous couvert qu’il a peur que je leur annonce que c’est une fille.
Les deux homos avec leur mère porteuse, même si la G.P.A. est interdite en France.
Alors deux femmes semblant très éprise l’une de l’autre enceinte en même temps, quoi de plus naturelle.
Voilà j’ai mis au monde un garçon Jules et Agnès, Adèle et Alice.
Lorsque Agnès part, c’est moi qui fais la nounou pour nos trois enfants.
Je travaille la nuit et lorsque j’ai la chance qu’ils fassent la sieste.
Et Gratien me direz-vous ?
Nous le voyons une fois par an aux grandes vacances lorsqu’il s’arrête avant d’aller dans nos montagnes faire de l’escalade.
Cette année, il est accompagné de Jade qui vient de mettre au monde un autre garçon.
Tout le portrait de son papa, comme le sont Jules, Adèle et Alice.
Nul doute que dans quelques années, nous soyons obligé d’expliquer à nos enfants, comment nous les avons conçus.
Avec tact car Jade ignore que son fils a déjà trois frères et sœurs.
Nous avons quelques années devant nous, vous me pardonnez, Agnès vient de rentrer pour le week-end, elle est dans son bain, les enfants dorment, je vais la rejoindre.
Je pense que tout ceci va se finir comme à l’habitude dans son plaisir avant le mien grâce aux godes que j’ai déjà disposés sur notre lit.
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