COLLECTION JEUNES – VIEUX. La grêle (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNES – VIEUX. La grêle (1/2)
Depuis plusieurs jours, Élodie sur son portable reçoit des annonces de risque de pluie diluvienne et de grêle par l’application météo qu’elle a installée.
Pendant ces vacances en attendant les résultats de son bac pur formalité vus les notes et les épreuves terminées, elle regade aussi les infos à la télé et depuis trois jours la France est dévastée.
Des grêlons de cinq à six centimètres de diamètres traversant tout, dévastant tout, bref un désastre pour les gens à qui sa arrive et les assurances obligées de rembourser les dégâts.
Lucien, son père a encore gueulé contre les augmentations de cotisations ses revenus stagnants.
Élodie, même si elle compte faire des études pour travailler dans l’informatique, va tout faire pour quitter cette maison où le principal propriétaire est un tyran.
S’il semble que sa mère arrive à supporter le dictat de ce gilet jaune de la première heure ayant investi les ronds-points plus pour le pastis que les revendications, elle est prête à s’en séparer.
Lucien, chaumeur de longue durée, épluche les petites annonces chaque matin en vue d’un hypothétique emploi à la valeur de sa fainéantise.
Encore deux mois à être payés à flâner en slip toute la journée, à croire malgré qu’il soit son père qu’il ait plaisir à montrer son paquet dès qu’il franchit la porte de leur salle à manger salon.
Mais donnons la parole à Élodie qu’elle nous narre ce qui va lui arriver.
En attendant c’est Sylvie, ma maman qui fait bouillir la marmite travaillante comme femme de ménage à l’hôpital voisin.
Je sais que papa se croit le maître du monde, il a été beau dans sa jeunesse, ayant même fait une photo pour une marque de bombe à raser.
Je sais aussi que maman a un amant, un voisin Norbert à qui elle fait le ménage une fois par semaine le samedi matin son jour de repos.
Il a soixante ans et est veuf, je pense qu’elle est sa maîtresse depuis que papa est au chômage, le beau gosse ayant été obligé de devenir cariste dans une boîte qui a fini par se délocaliser au Maroc.
Par chance, il a préféré la glande en France à un travail à mi-salaire dans ce pays du nord de l’Afrique.
J’ai su que maman faisait la pute auprès de cet homme un matin ou papa étant bourré malgré l’heure était tombé dans la cuisine et que j’étais dans l’impossibilité de le relever.
J’avais pris mon vélo, elle savait comment faire lorsqu’elle faisait les chambres des malades et je l’avais vu faire, il était de plus en plus fréquent qu’il se vôtre.
Lorsque je suis arrivée, je suis montée jusqu’au perron du petit pavillon, j’ai entendu du bruit venant de la fenêtre sur le côté, elle était entrouverte.
Je me suis penchée et là j’ai vu et surtout j’ai entendu.
Maman était assise sur la machine à laver qui tournait, elle devait ressentir des sensations et Norbert entre ses jambes la bourrant obligé de la pénétrer étant sur la pointe des pieds.
• Baise-moi salopard, je veux que tu en aies pour ton argent.
Bien sûr, j’ai laissé cette femme de quarante ans se faire baiser par cet homme vingt ans plus vieux et je suis rentrée.
Papa avait réussi à se relever et gisait sur le canapé une autre canette en main.
Je dis que maman se prostitue avec Norbert pour deux faits.
La phrase qu’elle a prononcée voulant lui en donner pour son argent et les propos qu’elle a tenus à son retour.
• Tient pendant que tu glandes, j’ai gagné de quoi payer l’électricité.
Norbert m’a donné une prime de risque pour être montée sur un escabeau pour nettoyer les hauts de placards de la cuisine.
J’ignorais que de se faire enfiler le cul sur une machine à laver méritait une prime de risque !
Maman pour faire bouillir la marmite faisait la pute avec plus vieux qu’elle.
Si je trouve de quoi m’assumer pendant mes études, ça lui fera toujours une bouche de moins à nourrir.
À ce stade de mon histoire, il faut que j’avoue qu’à dix-huit ans, je suis vierge contrairement à mes copines qui pour la plupart d’entre elles entrant en fac se sont débarrassées de ce petit inconvénient.
Pour moi, je suis inscrite en BTS d’informatique dans le lycée dans la ville voisine un peu plus loin d’où habite Bastien.
C’est pourquoi malgré l’alerte orageuse, je prends mon vélo pour aller chez Bastien fermement décidé de le perdre avec lui.
Mon coup est bien préparé, je sais qu’il a une piscine et que toutes ses journées jusqu’à la rentrée en l’absence de ses parents il va se faire bronzer.
Bastien est le fils du notaire de la ville voisine de celle où j’habite.
Sans vraiment calculer, si un jour il me demande en mariage, moi la fille d’un chômeur et d’une femme de ménage, la fin serait belle, mais j’ai bien d’autres soucis à régler avant.
Tout ceci est loin d’être une fin en soi, simplement une hypothèse.
Je prends la route, j’ai mis mon mini maillot de bain mettant mes seins en valeur.
J’ai juste une petite jupe d’été dont les boutons sont ouverts en laissant deux lui permettant de tenir à ma taille de guêpe.
Il y a du vent lorsque je roule et elle vole autour de moi.
J’adore le regard des hommes passant sur le trottoir avant les premiers champs, leurs regards sont explicites, je suis certaine qu’ils aimeraient bien me baiser, mais ma cible, c’est Bastien.
J’arrive chez lui, merde le portail est fermé et lorsque je sonne, personnes pour me répondre, j’entends que l’on me parle dans mon dos.
• Mademoiselle, je les ai vue partir avec armes et bagages pour le week-end, ils ont fermé leurs volets et en sortant enclencher l’alarme.
Je serais vous, je rentrerais très vite, dans quelques minutes un déluge va s’abattre et en vélo c’est dangereux, ils annoncent de la grêle.
Si vous voulez attendre chez moi qu’il soit passé !
« Une jeune fille pour se protéger de la grêle se réfugie chez un vieux barbot qui la viole avant de la tuer enterrant son corps dans son jardin. »
Cet article du journal local passe devant mes yeux, je le remercie et je pars en sens inverse.
Est-ce possible, qu’un orage monte si vite, il est vrai que pour venir, j’avais le vent dans le dos et les nuages aussi.
J’ai cinq kilomètres à faire, j’en ai fait deux lorsque le ciel devient d’encre et que les premières éclaires zèbres.
De grosses gouttes commencent à tomber, il y a un noyer en bord de route, je m’arrête pour m’abriter lorsque les premiers grêlons commencent à tomber.
Je vois une voiture venir vers moi, je suis déjà trempé, elle s’arrête et un homme en descend malgré les trombes d’eau.
• Monter petite imprudente, un coup de foudre sous un arbre et vous êtes morte, montez !
Terminée la peur d’un serial tueur, l’homme semble avoir le même âge que le voisin de Bastien.
J’avais complètement oublié que de se réfugier sous un arbre s’était extrêmement dangereux, j’avais plus peur des grêlons de cinq centimètres de diamètre.
• Mon vélo ?
• On s’en occupera plus tard, lorsque l’orage sera passé, qui prendra un vélo sous cet orage.
J’habite à quelques kilomètres et vous pourrez vous sécher.
Nous roulons et je me retrouve à quelques maisons de chez Bastien et du voisin qui voulait prendre soin de moi.
L’homme beau gosse, certainement la cinquantaine déclenche l’ouverture auto du portail et après du garage, avant de franchir l’entrée, quelques gros grêlons tombent.
J’en entends sur le toit de la voiture et un sur le pare-brise à ma hauteur et qu’il l’éclate, en même temps qu’un éclair et que le tonnerre déclenche un bruit fracassant.
L’homme vient d’arrêter sa voiture, la peur me fait lui sauter autour du cou.
• Eh ! tranquille jeune fille attendez que nous fassions les présentations, j’ai des principes mademoiselle !
Bien à l’abri, de la grêle qui frappe les tuiles et le sol le temps que la porte du garage se referme, l’homme sort de sa voiture et ouvre le coffre de sa voiture.
Il vient m’ouvrir ma portière avant de m’ouvrir un plaide qu’il a pris dans son coffre.
• Viens, enroule-toi dans cette couverture chaude, inutile de risquer d’attraper une pneumonie.
Il me la pose sur les épaules m’enroulant dedans, il a raison dans mon maillot et ma petite jupe d’été, je commençais à frissonner.
Il me conduit devant un sèche-linge.
• Défait tes affaires comme je défais les miennes, je vais les sécher, lorsque l’orage sera passé, tu pourras te rhabiller et nous aviserons.
Il ôte sa chemise et son pantalon après avoir ôté ses escarpins.
Le temps qu’il est venu me secourir, le déluge qui s’abattait sur moi, l’a aussi rincé.
Une fraction de seconde j’ai peur qu’il enlève son boxer, mais je suis tombée sur un homme de principe.
J’ai facile à l’abri de la couverture lui donner le peu que je porte sur le dos après que j’ai, moi aussi enlevé mes escarpins en lanières de cuir complètement fichu.
• Viens, je vais nous faire boire deux doigts de Porto blanc, ça va nous réchauffer .
Par une porte de communication nous évitant de ressortir à l’extérieur, il me conduit au salon, ou il me fait assoir sur un canapé.
Il va nous servir deux verres en allant derrière deux vieux tonneaux servant de bar.
Il vient vers moi, il frissonne.
• Viens, enroule-toi dans la couverture, toi aussi tu vas attraper la mort.
Avant que j’aie le temps de comprendre ce que je fais et qu’il s’assoie, je me lève.
J’ouvre la couverture et l’enroulant je récupère un verre avant que comme des siamois nous prenons place côte à côte.
Je bois une gorgée de ce vin doux, c’est la première fois que je prends de l’alcool.
À la maison il y a assez d’un alcoolique.
La chaleur monte en moi, la chaleur monte en nous...
Pendant ces vacances en attendant les résultats de son bac pur formalité vus les notes et les épreuves terminées, elle regade aussi les infos à la télé et depuis trois jours la France est dévastée.
Des grêlons de cinq à six centimètres de diamètres traversant tout, dévastant tout, bref un désastre pour les gens à qui sa arrive et les assurances obligées de rembourser les dégâts.
Lucien, son père a encore gueulé contre les augmentations de cotisations ses revenus stagnants.
Élodie, même si elle compte faire des études pour travailler dans l’informatique, va tout faire pour quitter cette maison où le principal propriétaire est un tyran.
S’il semble que sa mère arrive à supporter le dictat de ce gilet jaune de la première heure ayant investi les ronds-points plus pour le pastis que les revendications, elle est prête à s’en séparer.
Lucien, chaumeur de longue durée, épluche les petites annonces chaque matin en vue d’un hypothétique emploi à la valeur de sa fainéantise.
Encore deux mois à être payés à flâner en slip toute la journée, à croire malgré qu’il soit son père qu’il ait plaisir à montrer son paquet dès qu’il franchit la porte de leur salle à manger salon.
Mais donnons la parole à Élodie qu’elle nous narre ce qui va lui arriver.
En attendant c’est Sylvie, ma maman qui fait bouillir la marmite travaillante comme femme de ménage à l’hôpital voisin.
Je sais que papa se croit le maître du monde, il a été beau dans sa jeunesse, ayant même fait une photo pour une marque de bombe à raser.
Je sais aussi que maman a un amant, un voisin Norbert à qui elle fait le ménage une fois par semaine le samedi matin son jour de repos.
Il a soixante ans et est veuf, je pense qu’elle est sa maîtresse depuis que papa est au chômage, le beau gosse ayant été obligé de devenir cariste dans une boîte qui a fini par se délocaliser au Maroc.
Par chance, il a préféré la glande en France à un travail à mi-salaire dans ce pays du nord de l’Afrique.
J’ai su que maman faisait la pute auprès de cet homme un matin ou papa étant bourré malgré l’heure était tombé dans la cuisine et que j’étais dans l’impossibilité de le relever.
J’avais pris mon vélo, elle savait comment faire lorsqu’elle faisait les chambres des malades et je l’avais vu faire, il était de plus en plus fréquent qu’il se vôtre.
Lorsque je suis arrivée, je suis montée jusqu’au perron du petit pavillon, j’ai entendu du bruit venant de la fenêtre sur le côté, elle était entrouverte.
Je me suis penchée et là j’ai vu et surtout j’ai entendu.
Maman était assise sur la machine à laver qui tournait, elle devait ressentir des sensations et Norbert entre ses jambes la bourrant obligé de la pénétrer étant sur la pointe des pieds.
• Baise-moi salopard, je veux que tu en aies pour ton argent.
Bien sûr, j’ai laissé cette femme de quarante ans se faire baiser par cet homme vingt ans plus vieux et je suis rentrée.
Papa avait réussi à se relever et gisait sur le canapé une autre canette en main.
Je dis que maman se prostitue avec Norbert pour deux faits.
La phrase qu’elle a prononcée voulant lui en donner pour son argent et les propos qu’elle a tenus à son retour.
• Tient pendant que tu glandes, j’ai gagné de quoi payer l’électricité.
Norbert m’a donné une prime de risque pour être montée sur un escabeau pour nettoyer les hauts de placards de la cuisine.
J’ignorais que de se faire enfiler le cul sur une machine à laver méritait une prime de risque !
Maman pour faire bouillir la marmite faisait la pute avec plus vieux qu’elle.
Si je trouve de quoi m’assumer pendant mes études, ça lui fera toujours une bouche de moins à nourrir.
À ce stade de mon histoire, il faut que j’avoue qu’à dix-huit ans, je suis vierge contrairement à mes copines qui pour la plupart d’entre elles entrant en fac se sont débarrassées de ce petit inconvénient.
Pour moi, je suis inscrite en BTS d’informatique dans le lycée dans la ville voisine un peu plus loin d’où habite Bastien.
C’est pourquoi malgré l’alerte orageuse, je prends mon vélo pour aller chez Bastien fermement décidé de le perdre avec lui.
Mon coup est bien préparé, je sais qu’il a une piscine et que toutes ses journées jusqu’à la rentrée en l’absence de ses parents il va se faire bronzer.
Bastien est le fils du notaire de la ville voisine de celle où j’habite.
Sans vraiment calculer, si un jour il me demande en mariage, moi la fille d’un chômeur et d’une femme de ménage, la fin serait belle, mais j’ai bien d’autres soucis à régler avant.
Tout ceci est loin d’être une fin en soi, simplement une hypothèse.
Je prends la route, j’ai mis mon mini maillot de bain mettant mes seins en valeur.
J’ai juste une petite jupe d’été dont les boutons sont ouverts en laissant deux lui permettant de tenir à ma taille de guêpe.
Il y a du vent lorsque je roule et elle vole autour de moi.
J’adore le regard des hommes passant sur le trottoir avant les premiers champs, leurs regards sont explicites, je suis certaine qu’ils aimeraient bien me baiser, mais ma cible, c’est Bastien.
J’arrive chez lui, merde le portail est fermé et lorsque je sonne, personnes pour me répondre, j’entends que l’on me parle dans mon dos.
• Mademoiselle, je les ai vue partir avec armes et bagages pour le week-end, ils ont fermé leurs volets et en sortant enclencher l’alarme.
Je serais vous, je rentrerais très vite, dans quelques minutes un déluge va s’abattre et en vélo c’est dangereux, ils annoncent de la grêle.
Si vous voulez attendre chez moi qu’il soit passé !
« Une jeune fille pour se protéger de la grêle se réfugie chez un vieux barbot qui la viole avant de la tuer enterrant son corps dans son jardin. »
Cet article du journal local passe devant mes yeux, je le remercie et je pars en sens inverse.
Est-ce possible, qu’un orage monte si vite, il est vrai que pour venir, j’avais le vent dans le dos et les nuages aussi.
J’ai cinq kilomètres à faire, j’en ai fait deux lorsque le ciel devient d’encre et que les premières éclaires zèbres.
De grosses gouttes commencent à tomber, il y a un noyer en bord de route, je m’arrête pour m’abriter lorsque les premiers grêlons commencent à tomber.
Je vois une voiture venir vers moi, je suis déjà trempé, elle s’arrête et un homme en descend malgré les trombes d’eau.
• Monter petite imprudente, un coup de foudre sous un arbre et vous êtes morte, montez !
Terminée la peur d’un serial tueur, l’homme semble avoir le même âge que le voisin de Bastien.
J’avais complètement oublié que de se réfugier sous un arbre s’était extrêmement dangereux, j’avais plus peur des grêlons de cinq centimètres de diamètre.
• Mon vélo ?
• On s’en occupera plus tard, lorsque l’orage sera passé, qui prendra un vélo sous cet orage.
J’habite à quelques kilomètres et vous pourrez vous sécher.
Nous roulons et je me retrouve à quelques maisons de chez Bastien et du voisin qui voulait prendre soin de moi.
L’homme beau gosse, certainement la cinquantaine déclenche l’ouverture auto du portail et après du garage, avant de franchir l’entrée, quelques gros grêlons tombent.
J’en entends sur le toit de la voiture et un sur le pare-brise à ma hauteur et qu’il l’éclate, en même temps qu’un éclair et que le tonnerre déclenche un bruit fracassant.
L’homme vient d’arrêter sa voiture, la peur me fait lui sauter autour du cou.
• Eh ! tranquille jeune fille attendez que nous fassions les présentations, j’ai des principes mademoiselle !
Bien à l’abri, de la grêle qui frappe les tuiles et le sol le temps que la porte du garage se referme, l’homme sort de sa voiture et ouvre le coffre de sa voiture.
Il vient m’ouvrir ma portière avant de m’ouvrir un plaide qu’il a pris dans son coffre.
• Viens, enroule-toi dans cette couverture chaude, inutile de risquer d’attraper une pneumonie.
Il me la pose sur les épaules m’enroulant dedans, il a raison dans mon maillot et ma petite jupe d’été, je commençais à frissonner.
Il me conduit devant un sèche-linge.
• Défait tes affaires comme je défais les miennes, je vais les sécher, lorsque l’orage sera passé, tu pourras te rhabiller et nous aviserons.
Il ôte sa chemise et son pantalon après avoir ôté ses escarpins.
Le temps qu’il est venu me secourir, le déluge qui s’abattait sur moi, l’a aussi rincé.
Une fraction de seconde j’ai peur qu’il enlève son boxer, mais je suis tombée sur un homme de principe.
J’ai facile à l’abri de la couverture lui donner le peu que je porte sur le dos après que j’ai, moi aussi enlevé mes escarpins en lanières de cuir complètement fichu.
• Viens, je vais nous faire boire deux doigts de Porto blanc, ça va nous réchauffer .
Par une porte de communication nous évitant de ressortir à l’extérieur, il me conduit au salon, ou il me fait assoir sur un canapé.
Il va nous servir deux verres en allant derrière deux vieux tonneaux servant de bar.
Il vient vers moi, il frissonne.
• Viens, enroule-toi dans la couverture, toi aussi tu vas attraper la mort.
Avant que j’aie le temps de comprendre ce que je fais et qu’il s’assoie, je me lève.
J’ouvre la couverture et l’enroulant je récupère un verre avant que comme des siamois nous prenons place côte à côte.
Je bois une gorgée de ce vin doux, c’est la première fois que je prends de l’alcool.
À la maison il y a assez d’un alcoolique.
La chaleur monte en moi, la chaleur monte en nous...
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