COLLECTION JEUNES – VIEUX. La grêle (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNES – VIEUX. La grêle (2/2)
• Je suis vierge Cyprien.
• Je vais faire attention Élodie, fais-moi confiance.
Eh ! oui, j’en suis là, le rapprochement de nos corps dans la couverture à déclencher un irrésistible besoin de sexe, moi la jeune vierge.
J’avais prévu, presque calculer, la perte de ma virginité avec Damien, cet après-midi.
Son absence, l’orage et la grêle en ont décidé autrement.
D’un coup pour m’ouvrir la vie, sur ce canapé, malgré notre différence d’âge, c’est avec ardeur que j’accepte la langue de cet homme inconnu en début d’après-midi au fond de ma bouche.
Sa main vient me caresser un sein, il réagit positivement.
Souvent dans ma chambre de jeune fille, je les caressais autant qu’ils aimaient être caressés.
Sa main libre se pose sur ma cuisse, elle me brûle alors que les grêlons et la pluie redoublent.
Au-dessus de son épaule, les éclaires me montrent par la baie vitrée un grand jardin et une piscine, je sais que je vais m’abandonner.
Le ciel est si noir qu’on a l’impression que vers heures il fait nuit.
Les grêlons tapent sur la terrasse sur une table qui doit être en verre, car elle explose littéralement sous le nombre et leur grosseur avant de rebondir sur la baie qui par chance résiste.
Cyprien est plus enclin à s’occuper de moi que de s’inquiéter des dégâts que l’orage va faire à sa maison.
D’un côté ça me rassure, comme moi a-t-il un coup de foudre créé par le rapprochement de nos corps.
La pluie dégouline le long de la fenêtre comme ma chatte dégouline en sortant de ma chatte, par chance imbibant la couverture et en protégeant le canapé.
Les dégâts seront assez importants comme ça.
Je me caresse souvent les seins, mais aussi mon clitoris depuis l’âge de treize ans.
Il faut dire que je dors dans la chambre voisine de celle de mes parents et que la situation actuelle était bien plus cool du temps ou mon père travaillait.
Ils baisaient fréquemment et un garçon au collège m’ayant montré une vidéo de cul, je savais ce qu’ils faisaient.
Les « baises moi » « enfilent moi ton gros pieu » et autres propos assez salaces, m’ont ouverte à ma sexualité.
Sans oublier les « hans » lorsqu’il lui donnait des coups de queue bien profondément accompagnée de « encore, encore » se terminant par des « Ah ! ah ! ah ! » « ouiiii » sortant de leurs deux bouches.
Corinne aussi lorsque j’avais seize ans, ma coincée dans les toilettes et m’a fait découvrir mon clitoris bien caché derrière son capuchon.
C’est la seule expérience lesbienne que j’ai eue à ce jour.
Bizarrement mon clito semble avoir trouvé seul la porte de sortie lorsque celui que je considère déjà comme mon homme pose son doigt dessus.
« Ah ! ah ! ah, aaaaah ! »Pour la première fois, un homme vient de me faire jouir simplement en me caressant le clito.
La couverture nous a abandonnés, du moins sur nos épaules, sonnant la fin de l’orage et les quelques petits grêlons tapant sur le sol et la vitre.
Je jouis en même temps que le retour des rayons du soleil, à croire que c’est lui qui va faire de moi une femme.
Cyprien lorsqu’il se lève me montre ma première verge tendue alors qu’à ce jour, c’était dans ce film que j’en avais vu une, bien moins importante que celle plongeant dans la fille.
• Es-tu sûr ?
Il vient de s’agenouiller, j’ai posé mes pieds sur le canapé écartant ma chatte dégoulinante.
Pour toute réponse, c’est moi qui lui prends la tête et la plaque là où ça fait du bien.
Telle une vipère sa langue entre en moi et retrouve mon clito.
Je jouis avant d’avoir mal, car je sais que lorsqu’il sera en moi, j’aurais mal, mais j’étais prête à ce que Damien me fasse mal, là c’est le cœur battant que j’attends Cyprien.
Je dis bien j’attends dans cette posture que certains trouveraient indécente, mais profitant de ce que je dois revenir sur terre il me quitte partant vers le couloir.
Lorsqu’il revient,je dais, pourquoi il m’a abandonné, si ça avait été que moi dans mon délire sexuel et d’amour j’aurais oublié le bout de caoutchouc qu’il se met sur la queue.
Pourtant combien de fois ai-je pensé à ce moment et même à celui avec Damien qui par chance était absent ?
Il me fait pivoter, m’allongeant sur la banquette et se place face à ma fente après lui avoir donnée deux petits coups de langue pour la remettre en condition.
C’est le moment que je veux graver à vie dans mon cerveau pour lorsque je serais vieille, ma première pénétration.
Ça rentre, ça rentre, ça fait un peu mal, mais c’est supportable et ça résiste.
Vais-je rester jusqu’à ma mort avec mon hymen, non, il cède d’un coup.
Je pousse un petit cri plus de surprise que de douleur et je dais que je viens de franchir une étape, je suis femme.
Une pensée idiote me traverse l’esprit alors que Cyprien va et vient en moi.
Combien de jeune femme à travers le monde, à la même fraction de seconde sont devenues des femmes ?
J’aimerais faire un club de cette fraction de seconde, sachant, hélas, que c’est impossible.
Inutile de le dire, c’est con, mais j’ai de temps en temps des fulgurances de ce genre, ce qui fait mon originalité.
C’est ça ou pendant qu’il se masturbe en moi, sachant que le grand frisson, ce sera pour plus tard, j’attends qu’il ait déchargé en moi et surtout dans sa capote.
Oh! oh! ah! ah! aaaah!
Excusez, les quelques minutes que je viens de m’accorder, une boule s’est formée au fond de moi, sans que je l’attende et elle vient d’éclater.
Contrairement à ce que je pensais Cyprien m’a apporté un orgasme pour mon dépucelage déjouant toutes mes pensées les plus profondes.
• Et si nous faisions un peu mieux connaissance...
Nous sommes dans les bras l’un de l’autre au fond du canapé, ma main posée sur sa poitrine musculeuse.
Je lui explique ce que j’ai déjà dit et ce que je vais faire à la rentrée de septembre, je vois son regard amusé et un peu étonné.
• Tu vas vers un BTS dans le lycée de cette ville, sais-tu que le monde est petit !
C’est moi qui suis étonnée.
• Je serais ton prof d’informatique, je serais ton prof principal dans cette classe.
• Veux-tu que je te quitte ?
• À ce que tu viens de me dire, tu voulais quitter ta famille et trouver un travail en même temps.
Malgré notre différence d’âge, j’ai senti que tu te donnais à moi avec amour, comme moi aussi.
J’ai été marié sans enfants et je suis venu dans la région pour aider maman jusqu’à sa mort.
J’ai hérité et je peux te permettre de faire tes études sans que tu travailles, accepte cette solution, nous irons voir tes parents demain.
De plus, qui mieux que moi peu t’aider à faire tes études et même d’aller plus loin, licence, master et même doctorat.
La seule chose qu’il nous faudra faire, c’est attention de cacher le plus longtemps possible notre liaison bien que je me fiche du quand ira-t-on !
Viens, met tes chaussures, le soleil est revenu, allons-nous baigner.
C’est dans les débris de verre que nous quittons la salle la main dans la main.
Ma nudité, en sa présence, me paraît déjà très normale.
À ce que j’ai compris, c’est que c’est ici, que ma vie va basculer.
S’il y a des difficultés par la suite, nous assumerons.
Nous entrons dans la piscine, des feuilles la jonchent, des glaçons finissent de fondre et lorsque nous nous retournons quelques tuiles semblent manquantes.
Je frissonne une nouvelle fois , mais c’est de plaisir, baiser dans la piscine, ma chatte refroidie, mais est chaude comme la braise de retrouver la queue de mon amant.
Nous mangeons et passons la nuit ensemble.
À part les MST, j’ai peu de chances d’être enceinte, on a le temps, car je prenais la pilule en prévision d’un éventuel dépucelage, il est célibataire et responsable.
S’il a mis une capote la première fois, c’est pour me rassurer et l’avenir va me donner raison.
Dans la matinée, nous récupérons sa Jaguar, voiture de collection récupéré dans son héritage venant de son père et qu’il avait fait mettre en l’état.
Il a téléphoné pour son pare-brise à son assureur et à son garage, ils vont commander une nouvelle vitre, car la pièce de collection doit venir de leur maison mère.
• Élodie regarde, si tu étais restée sous ton arbre, tu serais morte !
Il s’arrête, nous descendons, le pare-brise cassé m’empêchait de voir le désastre.
La foudre est tombée sur l’arbre qui finit de cramer.
Mon vélo a lui aussi passé de vie à trépas, il reste juste de la ferraille calcinée.
Je saute dans les bras de mon homme, il m’a sauvé la vie et ouverte à la vie d’une façon.
J’arrive chez les parents, ma mère est là, je lui rapporte mes décisions, Cyprien m’attendant dans la voiture pour retourner dans notre nid d’amours.
• Pardon, tu pars avec un homme plus vieux que moi de dix ans !
Tu es sûr de faire le bon choix !
• Maman et toi en te prostituant avec un homme de soixante ans, tu es sûr que tu fais le bon choix pour approvisionner ton ivrogne de mari !
• Élodie, de quoi tu parles, ta mère se prostitue !
Je vous dis ces mots en femme lucide, mon père venant de rentrer dans la cuisine, c’est d’une voix plus que pâteuse, une voix d’ivrogne en quelque sorte qui vient se mêler à notre conversation.
Il va sans dire que j’évite de répondre, j’ai ma valise en main, je quitte la maison pour rejoindre celui qui en moins d’un jour a su conquérir mon cœur.
Ça fait dix ans que je suis avec Cyprien, nous avons une fille Aline de six ans et nous sommes mariés depuis sept ans !
Mon prof a été efficace, car je gère une boîte d’informatique ou j’emploie huit personnes.
Certes, mon mari en plus des heures de travail qu’il m’a fait faire pour que j’aie un master m’a apporté le capital dont j’avais besoin.
Maman quinze jours après mon départ à avouer que Norbert lui donnait du fric pour qu’elle se laisse baiser.
Elle en a profité pour le foutre dehors.
Ni elle ni moi nous savons où il est et même s’il a fini clodo.
J’ai récupéré la carcasse de mon vélo, elle est ranger dans la remise, c’est un témoin à qui je tiens, de l’orage de grêle où j’aurais pu perdre la vie.
Je m’excuse, je vous quitte, mon mari nous allons mettre en train notre deuxième enfant espérant un garçon.
Cyprien, me fait toujours aussi divinement l’amour et si la vie nous donne une longévité, j’espère que ça durera longtemps malgré nos trente ans d’écart.
• Je vais faire attention Élodie, fais-moi confiance.
Eh ! oui, j’en suis là, le rapprochement de nos corps dans la couverture à déclencher un irrésistible besoin de sexe, moi la jeune vierge.
J’avais prévu, presque calculer, la perte de ma virginité avec Damien, cet après-midi.
Son absence, l’orage et la grêle en ont décidé autrement.
D’un coup pour m’ouvrir la vie, sur ce canapé, malgré notre différence d’âge, c’est avec ardeur que j’accepte la langue de cet homme inconnu en début d’après-midi au fond de ma bouche.
Sa main vient me caresser un sein, il réagit positivement.
Souvent dans ma chambre de jeune fille, je les caressais autant qu’ils aimaient être caressés.
Sa main libre se pose sur ma cuisse, elle me brûle alors que les grêlons et la pluie redoublent.
Au-dessus de son épaule, les éclaires me montrent par la baie vitrée un grand jardin et une piscine, je sais que je vais m’abandonner.
Le ciel est si noir qu’on a l’impression que vers heures il fait nuit.
Les grêlons tapent sur la terrasse sur une table qui doit être en verre, car elle explose littéralement sous le nombre et leur grosseur avant de rebondir sur la baie qui par chance résiste.
Cyprien est plus enclin à s’occuper de moi que de s’inquiéter des dégâts que l’orage va faire à sa maison.
D’un côté ça me rassure, comme moi a-t-il un coup de foudre créé par le rapprochement de nos corps.
La pluie dégouline le long de la fenêtre comme ma chatte dégouline en sortant de ma chatte, par chance imbibant la couverture et en protégeant le canapé.
Les dégâts seront assez importants comme ça.
Je me caresse souvent les seins, mais aussi mon clitoris depuis l’âge de treize ans.
Il faut dire que je dors dans la chambre voisine de celle de mes parents et que la situation actuelle était bien plus cool du temps ou mon père travaillait.
Ils baisaient fréquemment et un garçon au collège m’ayant montré une vidéo de cul, je savais ce qu’ils faisaient.
Les « baises moi » « enfilent moi ton gros pieu » et autres propos assez salaces, m’ont ouverte à ma sexualité.
Sans oublier les « hans » lorsqu’il lui donnait des coups de queue bien profondément accompagnée de « encore, encore » se terminant par des « Ah ! ah ! ah ! » « ouiiii » sortant de leurs deux bouches.
Corinne aussi lorsque j’avais seize ans, ma coincée dans les toilettes et m’a fait découvrir mon clitoris bien caché derrière son capuchon.
C’est la seule expérience lesbienne que j’ai eue à ce jour.
Bizarrement mon clito semble avoir trouvé seul la porte de sortie lorsque celui que je considère déjà comme mon homme pose son doigt dessus.
« Ah ! ah ! ah, aaaaah ! »Pour la première fois, un homme vient de me faire jouir simplement en me caressant le clito.
La couverture nous a abandonnés, du moins sur nos épaules, sonnant la fin de l’orage et les quelques petits grêlons tapant sur le sol et la vitre.
Je jouis en même temps que le retour des rayons du soleil, à croire que c’est lui qui va faire de moi une femme.
Cyprien lorsqu’il se lève me montre ma première verge tendue alors qu’à ce jour, c’était dans ce film que j’en avais vu une, bien moins importante que celle plongeant dans la fille.
• Es-tu sûr ?
Il vient de s’agenouiller, j’ai posé mes pieds sur le canapé écartant ma chatte dégoulinante.
Pour toute réponse, c’est moi qui lui prends la tête et la plaque là où ça fait du bien.
Telle une vipère sa langue entre en moi et retrouve mon clito.
Je jouis avant d’avoir mal, car je sais que lorsqu’il sera en moi, j’aurais mal, mais j’étais prête à ce que Damien me fasse mal, là c’est le cœur battant que j’attends Cyprien.
Je dis bien j’attends dans cette posture que certains trouveraient indécente, mais profitant de ce que je dois revenir sur terre il me quitte partant vers le couloir.
Lorsqu’il revient,je dais, pourquoi il m’a abandonné, si ça avait été que moi dans mon délire sexuel et d’amour j’aurais oublié le bout de caoutchouc qu’il se met sur la queue.
Pourtant combien de fois ai-je pensé à ce moment et même à celui avec Damien qui par chance était absent ?
Il me fait pivoter, m’allongeant sur la banquette et se place face à ma fente après lui avoir donnée deux petits coups de langue pour la remettre en condition.
C’est le moment que je veux graver à vie dans mon cerveau pour lorsque je serais vieille, ma première pénétration.
Ça rentre, ça rentre, ça fait un peu mal, mais c’est supportable et ça résiste.
Vais-je rester jusqu’à ma mort avec mon hymen, non, il cède d’un coup.
Je pousse un petit cri plus de surprise que de douleur et je dais que je viens de franchir une étape, je suis femme.
Une pensée idiote me traverse l’esprit alors que Cyprien va et vient en moi.
Combien de jeune femme à travers le monde, à la même fraction de seconde sont devenues des femmes ?
J’aimerais faire un club de cette fraction de seconde, sachant, hélas, que c’est impossible.
Inutile de le dire, c’est con, mais j’ai de temps en temps des fulgurances de ce genre, ce qui fait mon originalité.
C’est ça ou pendant qu’il se masturbe en moi, sachant que le grand frisson, ce sera pour plus tard, j’attends qu’il ait déchargé en moi et surtout dans sa capote.
Oh! oh! ah! ah! aaaah!
Excusez, les quelques minutes que je viens de m’accorder, une boule s’est formée au fond de moi, sans que je l’attende et elle vient d’éclater.
Contrairement à ce que je pensais Cyprien m’a apporté un orgasme pour mon dépucelage déjouant toutes mes pensées les plus profondes.
• Et si nous faisions un peu mieux connaissance...
Nous sommes dans les bras l’un de l’autre au fond du canapé, ma main posée sur sa poitrine musculeuse.
Je lui explique ce que j’ai déjà dit et ce que je vais faire à la rentrée de septembre, je vois son regard amusé et un peu étonné.
• Tu vas vers un BTS dans le lycée de cette ville, sais-tu que le monde est petit !
C’est moi qui suis étonnée.
• Je serais ton prof d’informatique, je serais ton prof principal dans cette classe.
• Veux-tu que je te quitte ?
• À ce que tu viens de me dire, tu voulais quitter ta famille et trouver un travail en même temps.
Malgré notre différence d’âge, j’ai senti que tu te donnais à moi avec amour, comme moi aussi.
J’ai été marié sans enfants et je suis venu dans la région pour aider maman jusqu’à sa mort.
J’ai hérité et je peux te permettre de faire tes études sans que tu travailles, accepte cette solution, nous irons voir tes parents demain.
De plus, qui mieux que moi peu t’aider à faire tes études et même d’aller plus loin, licence, master et même doctorat.
La seule chose qu’il nous faudra faire, c’est attention de cacher le plus longtemps possible notre liaison bien que je me fiche du quand ira-t-on !
Viens, met tes chaussures, le soleil est revenu, allons-nous baigner.
C’est dans les débris de verre que nous quittons la salle la main dans la main.
Ma nudité, en sa présence, me paraît déjà très normale.
À ce que j’ai compris, c’est que c’est ici, que ma vie va basculer.
S’il y a des difficultés par la suite, nous assumerons.
Nous entrons dans la piscine, des feuilles la jonchent, des glaçons finissent de fondre et lorsque nous nous retournons quelques tuiles semblent manquantes.
Je frissonne une nouvelle fois , mais c’est de plaisir, baiser dans la piscine, ma chatte refroidie, mais est chaude comme la braise de retrouver la queue de mon amant.
Nous mangeons et passons la nuit ensemble.
À part les MST, j’ai peu de chances d’être enceinte, on a le temps, car je prenais la pilule en prévision d’un éventuel dépucelage, il est célibataire et responsable.
S’il a mis une capote la première fois, c’est pour me rassurer et l’avenir va me donner raison.
Dans la matinée, nous récupérons sa Jaguar, voiture de collection récupéré dans son héritage venant de son père et qu’il avait fait mettre en l’état.
Il a téléphoné pour son pare-brise à son assureur et à son garage, ils vont commander une nouvelle vitre, car la pièce de collection doit venir de leur maison mère.
• Élodie regarde, si tu étais restée sous ton arbre, tu serais morte !
Il s’arrête, nous descendons, le pare-brise cassé m’empêchait de voir le désastre.
La foudre est tombée sur l’arbre qui finit de cramer.
Mon vélo a lui aussi passé de vie à trépas, il reste juste de la ferraille calcinée.
Je saute dans les bras de mon homme, il m’a sauvé la vie et ouverte à la vie d’une façon.
J’arrive chez les parents, ma mère est là, je lui rapporte mes décisions, Cyprien m’attendant dans la voiture pour retourner dans notre nid d’amours.
• Pardon, tu pars avec un homme plus vieux que moi de dix ans !
Tu es sûr de faire le bon choix !
• Maman et toi en te prostituant avec un homme de soixante ans, tu es sûr que tu fais le bon choix pour approvisionner ton ivrogne de mari !
• Élodie, de quoi tu parles, ta mère se prostitue !
Je vous dis ces mots en femme lucide, mon père venant de rentrer dans la cuisine, c’est d’une voix plus que pâteuse, une voix d’ivrogne en quelque sorte qui vient se mêler à notre conversation.
Il va sans dire que j’évite de répondre, j’ai ma valise en main, je quitte la maison pour rejoindre celui qui en moins d’un jour a su conquérir mon cœur.
Ça fait dix ans que je suis avec Cyprien, nous avons une fille Aline de six ans et nous sommes mariés depuis sept ans !
Mon prof a été efficace, car je gère une boîte d’informatique ou j’emploie huit personnes.
Certes, mon mari en plus des heures de travail qu’il m’a fait faire pour que j’aie un master m’a apporté le capital dont j’avais besoin.
Maman quinze jours après mon départ à avouer que Norbert lui donnait du fric pour qu’elle se laisse baiser.
Elle en a profité pour le foutre dehors.
Ni elle ni moi nous savons où il est et même s’il a fini clodo.
J’ai récupéré la carcasse de mon vélo, elle est ranger dans la remise, c’est un témoin à qui je tiens, de l’orage de grêle où j’aurais pu perdre la vie.
Je m’excuse, je vous quitte, mon mari nous allons mettre en train notre deuxième enfant espérant un garçon.
Cyprien, me fait toujours aussi divinement l’amour et si la vie nous donne une longévité, j’espère que ça durera longtemps malgré nos trente ans d’écart.
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