COLLECTION JEUNES – VIEUX. Voyage de noces (4/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNES – VIEUX. Voyage de noces (4/5)
Marrakech, quand j’ai préparé notre voyage de noces au Maroc voulant seulement que nous nous servions de l’argent donné par nos parents et amis lors de la jarretière.
Entre parenthèses, les temps ont bien changé lorsque Christian mon cousin est monté avec Claudine sur la scène devant les musiciens pour aller chercher la jarretière avec ses dents.
Sans être présents quand elle s’est habillée respectant la tradition mon droit de voir la robe devant monsieur le curé car nous nous étions mariés civilement la veille en tenue plus décontractée.
Je connaissais le numéro qu’est mon cousin, toujours à faire la blague qu’il croit drôle.
C’était encore le cas, lorsqu’elle a relevé sa robe longue, son pied posé sur une chaise et qu’elle a découvert la jarretière.
Il devait la faire glisser en la saisissant avec sa bouche.
Il y avait assez de dentelle pour la prendre avec ses dents et l’amener vers son pied.
Il a fait celui qui glissait au moment de la saisir et j’ai nettement vu sa langue venir lécher la culotte blanche de ma petite.
J’ai failli monter sur scène, mais il a subi la plus grande honte de sa vie.
Une magnifique baffe portée par Claudine.
Nous avons gardé l’argent et la jarretière aussi, il a quitté notre noce.
Bref cela restera une anecdote de notre mariage dont nous rirons dans nos vieilles années.
J’ai déchanté, je croyais Marrakech sur la côte mais j’ai découvert que cette ville est dans les terres et c’est sur la côte à Essaouira que j’ai axé notre voyage.
Bien m’en fais, nous sommes sur la place Jemaa-el-Fna à table au restaurant l’Argana.
C’est là que j’en apprends plus sur les rapports entre Rod et nos amis de la bouche de Michel.
Je suis tout ouï.
- Il y a vingt ans la dixième année de notre mariage, nous avons fait la connaissance de Rod, il était jeune même s’il est encore.
Nous pratiquions déjà l’échangisme et c’est sur la plage d’Essaouira que Michelle l’a rencontré et c’est dans notre chambre qu’il est devenu son amant.
Au début sur la plage, elle le trouvait hautain pour un plagiste pendant les deux premiers jours.
- Tu te souviens Rod, il a fallu que je te parle sans qu’elle nous voie pour te faire comprendre que j’étais prêt à te la prêter.
À l’autre bout de la table, je voyais Wafia parler et simplement répondre aux deux Européens.
Son regard qui semblait me fouiller jusqu’au plus profond de moi.
Comment cet homme d’une quarantaine d'années s’il baisait Michelle à 20 ans il y a 20 ans peut-il baiser cette petite perle de l’orient ?
Je sais j’ai 17 ans, j’ai séduit une jeune fille de 17 ans.
Fille de bigote par-dessus le marché.
C'est sûr, moi avant-hier, j’ai baisé cette femme la cinquantaine ancienne maîtresse de ce même Rod.
Mais là ce serait un autre mont de l’Atlas que je devrais escalader pour la mettre dans notre lit.
Dans notre lit, car si je baise avec elle je sens que ce serait plus facile si Claudine me l’amenait dans notre lit respectant par là même mon serment de protection et de fidélité.
- Tu planes Claude, je sais c’est la chaleur et le contrecoup du voyage.
- Pardon.
- Je te disais que dans ces temps lointains avant mon mariage avec mon ex, j’évitais les femmes mariées or Michelle magnifique pouliche l’était.
La proposition de Michel m’a surpris mais elle me plaisait comme ma femme semble te plaire, surtout quand lorsque je me suis retrouvé avec eux dans leur chambre, Michel tu t’es contenté de regarder.
- Oui, et depuis c’est toujours pareil, pas vrai Claude, j’aime un bon fauteuil comme à l’hôtel, une bonne coupe de champagne et avant un bon cigare.
Hélas dans la vie maintenant les cigares on oublie.
C’est à ce moment que Rod me surprend.
- Hélas pour toi Claude, si j’ai baisé Michelle avec fougue, Wafia je la garde étant jaloux comme un tigre.
- Je rêvassais simplement, tu as raison Rod, c’est la chaleur.
Je vois Michel essayer de détendre l'atmosphère tendue par nos propos sur la prunelle de ses yeux.
- Dis-nous Rod, pourquoi ce divorce et ce mariage avec ta magnifique jeune femme.
- Mon ex m’exaspérait alors nous avons décidé de nous séparer.
J’étais ami avec le père de Wafia gros propriétaire terrien possédant des fermages près de Beni Hamed.
Elle avait vos âges à Claudine et à toi Claude, 17 ans.
Ça fait 5 ans et depuis le jour où j’ai soulevé son voile je suis amoureux.
Wafia a donc 22 ans, cette petite perle à 22 ans, la séduire ce sera l’Annapurna loin des monts de l’Atlas.
C’est reparti, je rêve à des vallées lointaines, à des monts inaccessibles surtout que lorsqu’elles rient toutes les deux Claudine et elle, ma femme est aussi belle qu’elle.
Le repas se termine, Rod doit partir avec sa beauté fatale afin d’être à l’heure à son avion pour le Canada, ils ont rendez-vous avec le Premier ministre pour diverses affaires.
- Tu as mon téléphone Rod, si vous passez par Paris avec…- Wafia, Michel.
- Vous pourriez vous appeler Dupont, Durant ce serait plus facile à mémoriser.
Wafia, Michel elle s’appelle Wafia.
Oh ! oui, si tu passes à Paris tu nous emmènes ta Joconde que j’emmènerai voir l’original au Louvre en trouvant un petit hôtel, non un palace où je te ferais cocu.
- Claude, il faut que tu consultes, tu planes encore.
Chez toi c’est maladif.
On se sert la main, les autres en font de même.
Michel et Rod se battent pour payer l’addition.
Rod l’emporte en faisant signe au patron de mettre ce repas sur sa note.
- À une prochaine fois Claude, j’ai été heureux de faire ta connaissance.
Ces mots dit avec quelques hésitations me vont droit au cœur surtout quand nous nous embrassons et que sa bouche vient se poser le plus près possible que la décence permet.
Je vois son petit cul s’éloigner avec bien des regrets.
- Chéri, je suis là, nous retournons dans le souk, notre budget est entier, depuis notre arrivée, je voudrais faire un cadeau à Michelle.
Reste ici avec Michel à boire un verre, nous revenons dans quelques minutes.
Combien de temps sont-elles partis, je l’ignore.
Comment suis-je rentré, je l’ignore.
Ce dont je me souviens c’est de Michel levant la main pour une dernière tournée.
J’ai une gueule de bois carabinée.
C’est la première fois que je me cuite.
Je suis seul dans mon lit nu.
Je me traîne jusqu’à la douche qui coule sur moi avec délice.
Elle coule sur moi pendant un temps infini quand je prends conscience que je suis seul.
Je prends deux aspirines trouvées dans la trousse de toilette de Claudine.
Un moment j’ai un doute que nos amis m’aient ramené alors qu’elle est restée dans le souk à se faire baiser par un beau Marocain comme l’était Rod au moment où Michel lui a offert à Michelle.
La chambre de nos amis.
Je passe maillot de bain et short avec un polo léger.
Chambre 69 et je frappe.
- Ah c’est toi, as-tu dé-cuité ?
C’est Michelle qui vient m’ouvrir cachant son corps nu par le battant.
- Viens, Claudine est là avec nous nous venons de nous réveiller.
Claudine est là mais dans le lit d’où Michelle a dû s’extraire pour venir m’ouvrir.
Mon pote est derrière elle dans une position sans équivoque.
Il a sa queue dans la chatte de ma petite et continue à la limer pendant que j’entre.
- Assieds-toi là, tu es encore faible, tu nous excuses on a commencé sans toi.
Je m’assois dans le fauteuil et pour la première fois de notre jeune vie sexuelle, je vois ma femme se faire enfiler par un autre homme que moi pendant que sa femme lui a mis elle aussi dans le vagin alors qu’elles s’embrassent à pleine bouche.
Une bite et des doigts, ma chérie est gourmande.
Je dois dire que ce tableau rapidement me fait bander.
Claudine qui la bouche de son amie la tourne et sans pudeur prend avec passion celle de Michel qui lui plote les seins en même temps que ceux de Michelle.
Elle tourne la tête et me regarde voyant mon état avancé à deux doigts de gicler ma semence sur la moquette.
Elle se lève passant devant la baie vitrée me montrant son corps entouré d’un halo de lumière.
Elle s’agenouille écarte mes jambes écartant mes mains les remplaçant par sa bouche.
Elle me pompe royalement et au moment où Claudine hurle de plaisir, mon foutre remplit la bouche de ma maîtresse.
C’est sûr je suis cocu, mais comme je la cocufie moi, aussi tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes celui de la luxure, du stupre et du libertinage.
Je plane, je suis bien, je dois dormir…
Entre parenthèses, les temps ont bien changé lorsque Christian mon cousin est monté avec Claudine sur la scène devant les musiciens pour aller chercher la jarretière avec ses dents.
Sans être présents quand elle s’est habillée respectant la tradition mon droit de voir la robe devant monsieur le curé car nous nous étions mariés civilement la veille en tenue plus décontractée.
Je connaissais le numéro qu’est mon cousin, toujours à faire la blague qu’il croit drôle.
C’était encore le cas, lorsqu’elle a relevé sa robe longue, son pied posé sur une chaise et qu’elle a découvert la jarretière.
Il devait la faire glisser en la saisissant avec sa bouche.
Il y avait assez de dentelle pour la prendre avec ses dents et l’amener vers son pied.
Il a fait celui qui glissait au moment de la saisir et j’ai nettement vu sa langue venir lécher la culotte blanche de ma petite.
J’ai failli monter sur scène, mais il a subi la plus grande honte de sa vie.
Une magnifique baffe portée par Claudine.
Nous avons gardé l’argent et la jarretière aussi, il a quitté notre noce.
Bref cela restera une anecdote de notre mariage dont nous rirons dans nos vieilles années.
J’ai déchanté, je croyais Marrakech sur la côte mais j’ai découvert que cette ville est dans les terres et c’est sur la côte à Essaouira que j’ai axé notre voyage.
Bien m’en fais, nous sommes sur la place Jemaa-el-Fna à table au restaurant l’Argana.
C’est là que j’en apprends plus sur les rapports entre Rod et nos amis de la bouche de Michel.
Je suis tout ouï.
- Il y a vingt ans la dixième année de notre mariage, nous avons fait la connaissance de Rod, il était jeune même s’il est encore.
Nous pratiquions déjà l’échangisme et c’est sur la plage d’Essaouira que Michelle l’a rencontré et c’est dans notre chambre qu’il est devenu son amant.
Au début sur la plage, elle le trouvait hautain pour un plagiste pendant les deux premiers jours.
- Tu te souviens Rod, il a fallu que je te parle sans qu’elle nous voie pour te faire comprendre que j’étais prêt à te la prêter.
À l’autre bout de la table, je voyais Wafia parler et simplement répondre aux deux Européens.
Son regard qui semblait me fouiller jusqu’au plus profond de moi.
Comment cet homme d’une quarantaine d'années s’il baisait Michelle à 20 ans il y a 20 ans peut-il baiser cette petite perle de l’orient ?
Je sais j’ai 17 ans, j’ai séduit une jeune fille de 17 ans.
Fille de bigote par-dessus le marché.
C'est sûr, moi avant-hier, j’ai baisé cette femme la cinquantaine ancienne maîtresse de ce même Rod.
Mais là ce serait un autre mont de l’Atlas que je devrais escalader pour la mettre dans notre lit.
Dans notre lit, car si je baise avec elle je sens que ce serait plus facile si Claudine me l’amenait dans notre lit respectant par là même mon serment de protection et de fidélité.
- Tu planes Claude, je sais c’est la chaleur et le contrecoup du voyage.
- Pardon.
- Je te disais que dans ces temps lointains avant mon mariage avec mon ex, j’évitais les femmes mariées or Michelle magnifique pouliche l’était.
La proposition de Michel m’a surpris mais elle me plaisait comme ma femme semble te plaire, surtout quand lorsque je me suis retrouvé avec eux dans leur chambre, Michel tu t’es contenté de regarder.
- Oui, et depuis c’est toujours pareil, pas vrai Claude, j’aime un bon fauteuil comme à l’hôtel, une bonne coupe de champagne et avant un bon cigare.
Hélas dans la vie maintenant les cigares on oublie.
C’est à ce moment que Rod me surprend.
- Hélas pour toi Claude, si j’ai baisé Michelle avec fougue, Wafia je la garde étant jaloux comme un tigre.
- Je rêvassais simplement, tu as raison Rod, c’est la chaleur.
Je vois Michel essayer de détendre l'atmosphère tendue par nos propos sur la prunelle de ses yeux.
- Dis-nous Rod, pourquoi ce divorce et ce mariage avec ta magnifique jeune femme.
- Mon ex m’exaspérait alors nous avons décidé de nous séparer.
J’étais ami avec le père de Wafia gros propriétaire terrien possédant des fermages près de Beni Hamed.
Elle avait vos âges à Claudine et à toi Claude, 17 ans.
Ça fait 5 ans et depuis le jour où j’ai soulevé son voile je suis amoureux.
Wafia a donc 22 ans, cette petite perle à 22 ans, la séduire ce sera l’Annapurna loin des monts de l’Atlas.
C’est reparti, je rêve à des vallées lointaines, à des monts inaccessibles surtout que lorsqu’elles rient toutes les deux Claudine et elle, ma femme est aussi belle qu’elle.
Le repas se termine, Rod doit partir avec sa beauté fatale afin d’être à l’heure à son avion pour le Canada, ils ont rendez-vous avec le Premier ministre pour diverses affaires.
- Tu as mon téléphone Rod, si vous passez par Paris avec…- Wafia, Michel.
- Vous pourriez vous appeler Dupont, Durant ce serait plus facile à mémoriser.
Wafia, Michel elle s’appelle Wafia.
Oh ! oui, si tu passes à Paris tu nous emmènes ta Joconde que j’emmènerai voir l’original au Louvre en trouvant un petit hôtel, non un palace où je te ferais cocu.
- Claude, il faut que tu consultes, tu planes encore.
Chez toi c’est maladif.
On se sert la main, les autres en font de même.
Michel et Rod se battent pour payer l’addition.
Rod l’emporte en faisant signe au patron de mettre ce repas sur sa note.
- À une prochaine fois Claude, j’ai été heureux de faire ta connaissance.
Ces mots dit avec quelques hésitations me vont droit au cœur surtout quand nous nous embrassons et que sa bouche vient se poser le plus près possible que la décence permet.
Je vois son petit cul s’éloigner avec bien des regrets.
- Chéri, je suis là, nous retournons dans le souk, notre budget est entier, depuis notre arrivée, je voudrais faire un cadeau à Michelle.
Reste ici avec Michel à boire un verre, nous revenons dans quelques minutes.
Combien de temps sont-elles partis, je l’ignore.
Comment suis-je rentré, je l’ignore.
Ce dont je me souviens c’est de Michel levant la main pour une dernière tournée.
J’ai une gueule de bois carabinée.
C’est la première fois que je me cuite.
Je suis seul dans mon lit nu.
Je me traîne jusqu’à la douche qui coule sur moi avec délice.
Elle coule sur moi pendant un temps infini quand je prends conscience que je suis seul.
Je prends deux aspirines trouvées dans la trousse de toilette de Claudine.
Un moment j’ai un doute que nos amis m’aient ramené alors qu’elle est restée dans le souk à se faire baiser par un beau Marocain comme l’était Rod au moment où Michel lui a offert à Michelle.
La chambre de nos amis.
Je passe maillot de bain et short avec un polo léger.
Chambre 69 et je frappe.
- Ah c’est toi, as-tu dé-cuité ?
C’est Michelle qui vient m’ouvrir cachant son corps nu par le battant.
- Viens, Claudine est là avec nous nous venons de nous réveiller.
Claudine est là mais dans le lit d’où Michelle a dû s’extraire pour venir m’ouvrir.
Mon pote est derrière elle dans une position sans équivoque.
Il a sa queue dans la chatte de ma petite et continue à la limer pendant que j’entre.
- Assieds-toi là, tu es encore faible, tu nous excuses on a commencé sans toi.
Je m’assois dans le fauteuil et pour la première fois de notre jeune vie sexuelle, je vois ma femme se faire enfiler par un autre homme que moi pendant que sa femme lui a mis elle aussi dans le vagin alors qu’elles s’embrassent à pleine bouche.
Une bite et des doigts, ma chérie est gourmande.
Je dois dire que ce tableau rapidement me fait bander.
Claudine qui la bouche de son amie la tourne et sans pudeur prend avec passion celle de Michel qui lui plote les seins en même temps que ceux de Michelle.
Elle tourne la tête et me regarde voyant mon état avancé à deux doigts de gicler ma semence sur la moquette.
Elle se lève passant devant la baie vitrée me montrant son corps entouré d’un halo de lumière.
Elle s’agenouille écarte mes jambes écartant mes mains les remplaçant par sa bouche.
Elle me pompe royalement et au moment où Claudine hurle de plaisir, mon foutre remplit la bouche de ma maîtresse.
C’est sûr je suis cocu, mais comme je la cocufie moi, aussi tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes celui de la luxure, du stupre et du libertinage.
Je plane, je suis bien, je dois dormir…
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