COLLECTION LE MARIN. Autostop (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LE MARIN. Autostop (1/1)
C’est en nettoyant des fichiers de textes commencés et à finir que je suis tombé sur celui-ci.
Comme je l’écris au début il a été commencer dans la lignée d’histoire que j’ai eue avec ma cousine, lors de permissions alors que j’étais marin.
Deux solutions, « delete » ou le publier.
Pourquoi faire disparaître ce qui est écrit, comme auteur, impossible de le placer dans la « corbeille » alors je le reprends et je le publie ?
Le marin vous a raconté ce qui s’est passé lors des mariages de ma cousine germaine et ce qui s’en est suivi avec Robert, mon cousin pompier.
Nous avons cru punir un couple de pic assiette en incitant la jeune femme à faire du strip-tease dans une boîte de Pigalle pour rembourser les bouteilles de champagne et les petits fours sifflés par couple tout au long de la soirée.
« Ma cousine germaine » est indirectement la suite de cette histoire.
Dans le texte les pics assiette, comme je l’expliquais depuis que j’écris, ce qui m’est arrivé dans cette période de ma vie, devaient beaucoup au couvre-chef que la marine nous fournit.
Cette coiffe avec son pompon que les marins appels un bachi joue un rôle important, car suivant la légende toute fille le posant sur sa tête devra finir dans le lit du matelot un jour ou l’autre.
Cela s’est vérifié avec Espoir, la femme du pic assiette et Viviane l’une des vedettes de la boîte de strip que j’ai couchée dans mon lit en commençant par Espoir et avec les deux chez Viviane.
Je vous avais dit qu’après le mariage et ma permission, je devais quitter Toulon pour rejoindre Lorient et plus spécialement la frégate Suffren sortant des arsenaux de construction.
En septembre, je dois partir pour sa campagne d’essais en mer chaude vers le sud de l’Atlantique avec escale de quatre jours à Rio au Brésil.
J’attends avec impatience ce qui pourrait être pris pour une croisière même si je fais partie de ceux qui font avancer le bateau.
Avant ce départ, je profite du week-end du 14 juillet pour descendre en stop la côte et allée plus spécialement voir mes cousins en vacances à Saint-Palais sur mer.
En vacances pour ma cousine qui est prof de Français à la capitale, mais pas pour son mari étudiant à la fac de médecine de la Paris.
Ma cousine est en vacances, mais son mari fait des remplacements comme veilleur de nuit à l’hôtel le Cordouan pour payer ses études.
L’hôtel a le nom cordouan grâce au phare étant certainement l’un des plus beaux phares de France et même sûrement d’Europe, voir du monde dans l’estuaire de la Gironde.
Je faisais du stop très facilement dans ces années-là surtout avec ma tenue et mon pompon rouge piqué sur mon bachi, convoitise des femmes qui aiment le toucher, car il est porte-bonheur.
J’aime le stop que je pratique souvent, non seulement pour les économies que je fais, mais aussi pour les rencontres que j’ai eu la chance de faire deux fois.
Une première entre Toulon et Paris, car par sécurité le retour se fait toujours en train.
Il faut que je sois à l’heure à l’appel du lundi matin afin d’éviter quelques jours de privation de permission le week-end suivant.
Je me souviens la première fois, un copain sympa m’avait conduit à la sortie de Toulon direction Marseille où je pouvais récupérer l’autoroute pour Paris, car à cette époque il s’arrêtait aux portes de Marseille.
C’est là que j’ai la chance de monter dans la voiture de Vahiné jolie tahitienne venue à Paris avant-guerre avec un groupe de danseurs folklorique et qui y était restée pour faire ses études.
La guerre la contrainte a commencé sa vie en France, car le principal moyen de locomotion au moindre coup ces années-là était le bateau même si ça prenait beaucoup de temps.
Lorsque je monte dans sa voiture, c’est ce que certains appellent une cougar de cinquante ans.
Cougar terme de maintenant, dans ces années-là, les gens parlaient de femme mûre.
• Ou allez-vous, jeune homme ?
• Paris s’il vous plait.
• J’aime votre politesse, mais je m’arrête à Mâcon, vous aurez fait un petit bout de chemin.
Mettez votre sac sur le siège arrière et monté.
Je m’appelle Vanessa et toi.
• Christian madame.
• Si nous passons, quelques heures ensemble tutoie-moi, ce sera plus convivial.
Nous partons et elle me fait la conversation principalement sur sa vie depuis qu’elle est restée en France, ses études et sa boîte de fabrication de cartes postale qu’elle a montée près de Mâcon.
En ce moment, elle travaille avec un photographe marseillais qui lui fait une série de phots pour des cartes sur la côte méditerranéenne.
À Montélimar, elle s’arrête pour que nous buvions un café et peste, car elle est partie depuis trois heures et que de nombreux bouchons sont la cause de retard pour son rendez-vous.
Elle fait le plein de nougat pour ses petits-enfants étant maman de quatre enfants et grands-mères six fois.
C’est à cet arrêt que cette jolie femme prend des risques en mettant mon bachi lorsque nous prenons le café, je l’ai posé sur la table et elle le met sur sa tête avant de retourner à la voiture.
Vers deux heures du matin, nous sommes enfin à quelques kilomètres de Mâcon et d’un coup elle me pose sa main sur ma cuisse.
• Il est tard, as-tu quelqu’un qui t’attend à Paris, une petite amie ?
• Non, juste mes parents mais ils savent que je fais ce que je veux.
Il m’est impossible de les joindre sans téléphone.
• Tu le pourras de chez moi.
• Impossible ils sont sans téléphone en attente de rattachement au réseau.
• Je te propose de passer le week-end chez moi, tu verras, j’ai une agréable maison depuis mon divorce et à mon entreprise fonctionnant très bien.
Il est difficile de dire non, même si je suis dans l’expectative, veut-elle que je la baise ?
Sa main sur ma cuisse me montre ses intentions et malgré notre différence d’âge, je veux savoir si la légende du pompon est vraie depuis qu’il est sur sa tête même en conduisant.
La résidence où elle me conduit est très spacieuse et sans perdre de temps dès que nous sommes entrés en femme de tête, elle me prend dans ses bras et elle m’embrasse me dévorant la bouche.
Une vraie morte de faim, je finis par avoir du mal à respirer ouf, nous reprenons notre souffle.
• J’ai touché ton bachi, je crois que la tradition veut que la femme qui le mette sur sa tête couche avec le marin ?
• Comment sais-tu cela ?
• Le père de mes enfants était engagé dans la marine et c’est à Paris que nous nous sommes connus.
Il m’a dépucelé après alors que j’avais mis une première fois son bachi.
Il m’a expliqué ce que ce geste entraînait comme conséquence pour moi.
J’ai été assez conne pour le croire et comme je suis tombée enceinte, je suis resté en France.
Il m’a épousé et j’ai fini mes études à Paris avec mon gros ventre, car il était affecté au ministère de la marine.
Lorsque je t’ai vu au bord de la route à faire du stop, ma jeunesse m’est revenue en boomerang dans ma mémoire.
Je suis contente d’être avec toi chez moi, car tu as été un compagnon de route très galant.
Après avoir déshabillé la dame qui était forte appétissante, je lui ai mangé les seins avant de la pousser sur son lit ou je l’ai possédé et où immédiatement j’ai déchargé, oubliant le plaisir de Vahiné.
J’étais penaud, mais elle m’a consolé.
• C’est parti trop vite, c’est sans importance Bébé, tu es jeune et trop fougueux je vais t’apprendre la patience.
Elle a pris ma verge dans sa main puis dans sa bouche, c’était la première fois qu’une femme me suçait, surtout une femme d’âge mûre.
• Tu vois, tu rebandes et si je te fais entrer dans ma chatte, tu risquerais de t’épancher aussi rapidement que la première fois.
Je suis tombé sur un merveilleux professeur d’amour qu’un homme doit apporter à sa compagne.
Les quelques fois où j’ai baisé, il est vrai que j’ai pénétré la fille sans penser à sa jouissance.
Pas par égoïsme, mais nous étions sans support pour nous former comme les jeunes dans ces années grâce à Internet.
Pendant tout le week-end, elle m’a si bien formé que j’ai fini par la massacrer dans le bon sens du terme.
Sa chatte a fini par demander grâce et mon sperme l’a rempli dans tous les trous où j’ai désiré entrer.
Lit, cuisine, lit, cuisine jusque dans la nuit de dimanche à lundi.
Nous nous sommes habillés et elle a pris le chemin de la ville de Lyon, où j’ai pu récupérer un train pour Toulon.
Ce voyage a été la première fois avec changement de programme.
Je suis retourné chez ma cousine deux fois en week-end chez Vahiné, montant en stop jusqu’à Mâcon où elle m’attendait à la première sortie.
Hélas, j’aurais bien continué, mais j’ai reçu une lettre m’annonçant qu’elle se remariait avec un homme qui était sans bachi.
La deuxième fois, d’une façon identique à la sortie de Toulon des jumeaux mon pris, eux remontant directement à Paris.
Je dis jumeaux, je devrais dire faux jumeaux, car il y avait un garçon et une jeune fille de mon âge.
Ils venaient de Nice et Ulla à Lyon a repris le volant pendant que son frère se reposait sur le siège arrière, rapidement il s’est endormi.
Avec Ulla, nous avons sympathisé.
Regardant dans le rétro que son frère dormait, c’est à ce moment qu’elle a commis l’irréparable, comme pour jouer, elle a pris puis placé mon bachi sur sa tête.
• Alain réveille-toi, tu vas prendre le volant, il faut que je me repose.
Nous étions au relais de Beaune en côte d’or, nous descendons, leur 403 est moins prestigieux que la DS, mais avec déjà une grande classe pour l’époque.
Nous prenons un café et nous rejoignons la voiture.
• Christian montes avec moi à l’arrière ?
Son frère a semblé étonné, mais laisse faire sa sœur.
Nous démarrons, rapidement Ulla vient s’appuyer sur mon épaule sa main se posant sur le pantalon.
• Ulla qu’est-ce que tu fais ?
• Tais-toi roule et regarde devant toi, je fais ce que je veux, je suis majeure.
Rapidement sa main ouvre mon pantalon à pont et sort mon sexe.
Je sais, souvent nous sommes dénudés sous notre pantalon afin de faciliter ces dames qui aiment glisser leur main comme si elles allaient dans notre poche.
C’est la première fois que j’en profite lorsque ma verge vient remplir sa bouche.
• Ulla arrête, pense à Gontran que vas-tu lui dire lorsque nous serons arrivés.
Elle recrache le morceau qui est déjà bien bandé.
• Rien, bien sûr, surtout si tu te la fermes, s’il croit que je vais devenir none jusqu’à notre mariage, maman nous a donné un sexe, c’est pour nous en servir.
Tu as bien baissé la mère de Pauline, l’autre soir.
• Comment sais-tu cela ?
• Pauline t’a vu et elle me la dit, d’ailleurs vas-la voir, après la mère, je suis sûr que la fille acceptera de prendre la suite, elle en bave pour toi.
Elle perdra son pucelage comme sa mère t’a enlevé le tient.
Nous avons passé un bon moment commençant par cette sucette.
Nous avions passé Mâcons endroit où Vahiné m’avait appris la patience.
L’exiguïté de l’habitacle a aidé à mettre du piment lorsqu’il a fallu la coucher pour que je la pénètre.
Pas de problème pour elle pas de culotte lorsque je l’ai caressé, elle m’a avoué l’avoir enlevé au restauroute de Beaune.
Elle a fini par se mettre en levrette sur le siège pour que j’arrive à pénétrer sa chatte bien accueillante ma foi.
Le dénommé Gontran risque de se perdre dans ce gouffre qu’était son vagin.
Elle avait dû être visitée de nombreuses fois depuis qu’elle a perdu son pucelage.
Elle a hurlé son plaisir après que je l’ai pilonné et j’ai déchargé une grande quantité de sperme qui m’a vidé les couilles pendant quelques heures.
Quelques heures, car arrivée à Paris, elle est repartie vers Gontran, certainement grand cocu devant l’éternel s’ils sont encore de ce monde.
Pour ma part, j’ai passé un week-end entre les cuisses d’une autre femme mûre son mari l’ayant quitté pour la fiancée de son fils.
Mais si je m’en souviens, je vous ai déjà conté cette histoire.
Autostop, car lorsque j’ai rejoint ma cousine, en stop, me rappelant ces deux aventures, je suis certain que d’autres aventures vont m’arriver grâce à mon bachi.
Comme je l’écris au début il a été commencer dans la lignée d’histoire que j’ai eue avec ma cousine, lors de permissions alors que j’étais marin.
Deux solutions, « delete » ou le publier.
Pourquoi faire disparaître ce qui est écrit, comme auteur, impossible de le placer dans la « corbeille » alors je le reprends et je le publie ?
Le marin vous a raconté ce qui s’est passé lors des mariages de ma cousine germaine et ce qui s’en est suivi avec Robert, mon cousin pompier.
Nous avons cru punir un couple de pic assiette en incitant la jeune femme à faire du strip-tease dans une boîte de Pigalle pour rembourser les bouteilles de champagne et les petits fours sifflés par couple tout au long de la soirée.
« Ma cousine germaine » est indirectement la suite de cette histoire.
Dans le texte les pics assiette, comme je l’expliquais depuis que j’écris, ce qui m’est arrivé dans cette période de ma vie, devaient beaucoup au couvre-chef que la marine nous fournit.
Cette coiffe avec son pompon que les marins appels un bachi joue un rôle important, car suivant la légende toute fille le posant sur sa tête devra finir dans le lit du matelot un jour ou l’autre.
Cela s’est vérifié avec Espoir, la femme du pic assiette et Viviane l’une des vedettes de la boîte de strip que j’ai couchée dans mon lit en commençant par Espoir et avec les deux chez Viviane.
Je vous avais dit qu’après le mariage et ma permission, je devais quitter Toulon pour rejoindre Lorient et plus spécialement la frégate Suffren sortant des arsenaux de construction.
En septembre, je dois partir pour sa campagne d’essais en mer chaude vers le sud de l’Atlantique avec escale de quatre jours à Rio au Brésil.
J’attends avec impatience ce qui pourrait être pris pour une croisière même si je fais partie de ceux qui font avancer le bateau.
Avant ce départ, je profite du week-end du 14 juillet pour descendre en stop la côte et allée plus spécialement voir mes cousins en vacances à Saint-Palais sur mer.
En vacances pour ma cousine qui est prof de Français à la capitale, mais pas pour son mari étudiant à la fac de médecine de la Paris.
Ma cousine est en vacances, mais son mari fait des remplacements comme veilleur de nuit à l’hôtel le Cordouan pour payer ses études.
L’hôtel a le nom cordouan grâce au phare étant certainement l’un des plus beaux phares de France et même sûrement d’Europe, voir du monde dans l’estuaire de la Gironde.
Je faisais du stop très facilement dans ces années-là surtout avec ma tenue et mon pompon rouge piqué sur mon bachi, convoitise des femmes qui aiment le toucher, car il est porte-bonheur.
J’aime le stop que je pratique souvent, non seulement pour les économies que je fais, mais aussi pour les rencontres que j’ai eu la chance de faire deux fois.
Une première entre Toulon et Paris, car par sécurité le retour se fait toujours en train.
Il faut que je sois à l’heure à l’appel du lundi matin afin d’éviter quelques jours de privation de permission le week-end suivant.
Je me souviens la première fois, un copain sympa m’avait conduit à la sortie de Toulon direction Marseille où je pouvais récupérer l’autoroute pour Paris, car à cette époque il s’arrêtait aux portes de Marseille.
C’est là que j’ai la chance de monter dans la voiture de Vahiné jolie tahitienne venue à Paris avant-guerre avec un groupe de danseurs folklorique et qui y était restée pour faire ses études.
La guerre la contrainte a commencé sa vie en France, car le principal moyen de locomotion au moindre coup ces années-là était le bateau même si ça prenait beaucoup de temps.
Lorsque je monte dans sa voiture, c’est ce que certains appellent une cougar de cinquante ans.
Cougar terme de maintenant, dans ces années-là, les gens parlaient de femme mûre.
• Ou allez-vous, jeune homme ?
• Paris s’il vous plait.
• J’aime votre politesse, mais je m’arrête à Mâcon, vous aurez fait un petit bout de chemin.
Mettez votre sac sur le siège arrière et monté.
Je m’appelle Vanessa et toi.
• Christian madame.
• Si nous passons, quelques heures ensemble tutoie-moi, ce sera plus convivial.
Nous partons et elle me fait la conversation principalement sur sa vie depuis qu’elle est restée en France, ses études et sa boîte de fabrication de cartes postale qu’elle a montée près de Mâcon.
En ce moment, elle travaille avec un photographe marseillais qui lui fait une série de phots pour des cartes sur la côte méditerranéenne.
À Montélimar, elle s’arrête pour que nous buvions un café et peste, car elle est partie depuis trois heures et que de nombreux bouchons sont la cause de retard pour son rendez-vous.
Elle fait le plein de nougat pour ses petits-enfants étant maman de quatre enfants et grands-mères six fois.
C’est à cet arrêt que cette jolie femme prend des risques en mettant mon bachi lorsque nous prenons le café, je l’ai posé sur la table et elle le met sur sa tête avant de retourner à la voiture.
Vers deux heures du matin, nous sommes enfin à quelques kilomètres de Mâcon et d’un coup elle me pose sa main sur ma cuisse.
• Il est tard, as-tu quelqu’un qui t’attend à Paris, une petite amie ?
• Non, juste mes parents mais ils savent que je fais ce que je veux.
Il m’est impossible de les joindre sans téléphone.
• Tu le pourras de chez moi.
• Impossible ils sont sans téléphone en attente de rattachement au réseau.
• Je te propose de passer le week-end chez moi, tu verras, j’ai une agréable maison depuis mon divorce et à mon entreprise fonctionnant très bien.
Il est difficile de dire non, même si je suis dans l’expectative, veut-elle que je la baise ?
Sa main sur ma cuisse me montre ses intentions et malgré notre différence d’âge, je veux savoir si la légende du pompon est vraie depuis qu’il est sur sa tête même en conduisant.
La résidence où elle me conduit est très spacieuse et sans perdre de temps dès que nous sommes entrés en femme de tête, elle me prend dans ses bras et elle m’embrasse me dévorant la bouche.
Une vraie morte de faim, je finis par avoir du mal à respirer ouf, nous reprenons notre souffle.
• J’ai touché ton bachi, je crois que la tradition veut que la femme qui le mette sur sa tête couche avec le marin ?
• Comment sais-tu cela ?
• Le père de mes enfants était engagé dans la marine et c’est à Paris que nous nous sommes connus.
Il m’a dépucelé après alors que j’avais mis une première fois son bachi.
Il m’a expliqué ce que ce geste entraînait comme conséquence pour moi.
J’ai été assez conne pour le croire et comme je suis tombée enceinte, je suis resté en France.
Il m’a épousé et j’ai fini mes études à Paris avec mon gros ventre, car il était affecté au ministère de la marine.
Lorsque je t’ai vu au bord de la route à faire du stop, ma jeunesse m’est revenue en boomerang dans ma mémoire.
Je suis contente d’être avec toi chez moi, car tu as été un compagnon de route très galant.
Après avoir déshabillé la dame qui était forte appétissante, je lui ai mangé les seins avant de la pousser sur son lit ou je l’ai possédé et où immédiatement j’ai déchargé, oubliant le plaisir de Vahiné.
J’étais penaud, mais elle m’a consolé.
• C’est parti trop vite, c’est sans importance Bébé, tu es jeune et trop fougueux je vais t’apprendre la patience.
Elle a pris ma verge dans sa main puis dans sa bouche, c’était la première fois qu’une femme me suçait, surtout une femme d’âge mûre.
• Tu vois, tu rebandes et si je te fais entrer dans ma chatte, tu risquerais de t’épancher aussi rapidement que la première fois.
Je suis tombé sur un merveilleux professeur d’amour qu’un homme doit apporter à sa compagne.
Les quelques fois où j’ai baisé, il est vrai que j’ai pénétré la fille sans penser à sa jouissance.
Pas par égoïsme, mais nous étions sans support pour nous former comme les jeunes dans ces années grâce à Internet.
Pendant tout le week-end, elle m’a si bien formé que j’ai fini par la massacrer dans le bon sens du terme.
Sa chatte a fini par demander grâce et mon sperme l’a rempli dans tous les trous où j’ai désiré entrer.
Lit, cuisine, lit, cuisine jusque dans la nuit de dimanche à lundi.
Nous nous sommes habillés et elle a pris le chemin de la ville de Lyon, où j’ai pu récupérer un train pour Toulon.
Ce voyage a été la première fois avec changement de programme.
Je suis retourné chez ma cousine deux fois en week-end chez Vahiné, montant en stop jusqu’à Mâcon où elle m’attendait à la première sortie.
Hélas, j’aurais bien continué, mais j’ai reçu une lettre m’annonçant qu’elle se remariait avec un homme qui était sans bachi.
La deuxième fois, d’une façon identique à la sortie de Toulon des jumeaux mon pris, eux remontant directement à Paris.
Je dis jumeaux, je devrais dire faux jumeaux, car il y avait un garçon et une jeune fille de mon âge.
Ils venaient de Nice et Ulla à Lyon a repris le volant pendant que son frère se reposait sur le siège arrière, rapidement il s’est endormi.
Avec Ulla, nous avons sympathisé.
Regardant dans le rétro que son frère dormait, c’est à ce moment qu’elle a commis l’irréparable, comme pour jouer, elle a pris puis placé mon bachi sur sa tête.
• Alain réveille-toi, tu vas prendre le volant, il faut que je me repose.
Nous étions au relais de Beaune en côte d’or, nous descendons, leur 403 est moins prestigieux que la DS, mais avec déjà une grande classe pour l’époque.
Nous prenons un café et nous rejoignons la voiture.
• Christian montes avec moi à l’arrière ?
Son frère a semblé étonné, mais laisse faire sa sœur.
Nous démarrons, rapidement Ulla vient s’appuyer sur mon épaule sa main se posant sur le pantalon.
• Ulla qu’est-ce que tu fais ?
• Tais-toi roule et regarde devant toi, je fais ce que je veux, je suis majeure.
Rapidement sa main ouvre mon pantalon à pont et sort mon sexe.
Je sais, souvent nous sommes dénudés sous notre pantalon afin de faciliter ces dames qui aiment glisser leur main comme si elles allaient dans notre poche.
C’est la première fois que j’en profite lorsque ma verge vient remplir sa bouche.
• Ulla arrête, pense à Gontran que vas-tu lui dire lorsque nous serons arrivés.
Elle recrache le morceau qui est déjà bien bandé.
• Rien, bien sûr, surtout si tu te la fermes, s’il croit que je vais devenir none jusqu’à notre mariage, maman nous a donné un sexe, c’est pour nous en servir.
Tu as bien baissé la mère de Pauline, l’autre soir.
• Comment sais-tu cela ?
• Pauline t’a vu et elle me la dit, d’ailleurs vas-la voir, après la mère, je suis sûr que la fille acceptera de prendre la suite, elle en bave pour toi.
Elle perdra son pucelage comme sa mère t’a enlevé le tient.
Nous avons passé un bon moment commençant par cette sucette.
Nous avions passé Mâcons endroit où Vahiné m’avait appris la patience.
L’exiguïté de l’habitacle a aidé à mettre du piment lorsqu’il a fallu la coucher pour que je la pénètre.
Pas de problème pour elle pas de culotte lorsque je l’ai caressé, elle m’a avoué l’avoir enlevé au restauroute de Beaune.
Elle a fini par se mettre en levrette sur le siège pour que j’arrive à pénétrer sa chatte bien accueillante ma foi.
Le dénommé Gontran risque de se perdre dans ce gouffre qu’était son vagin.
Elle avait dû être visitée de nombreuses fois depuis qu’elle a perdu son pucelage.
Elle a hurlé son plaisir après que je l’ai pilonné et j’ai déchargé une grande quantité de sperme qui m’a vidé les couilles pendant quelques heures.
Quelques heures, car arrivée à Paris, elle est repartie vers Gontran, certainement grand cocu devant l’éternel s’ils sont encore de ce monde.
Pour ma part, j’ai passé un week-end entre les cuisses d’une autre femme mûre son mari l’ayant quitté pour la fiancée de son fils.
Mais si je m’en souviens, je vous ai déjà conté cette histoire.
Autostop, car lorsque j’ai rejoint ma cousine, en stop, me rappelant ces deux aventures, je suis certain que d’autres aventures vont m’arriver grâce à mon bachi.
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