COLLECTION LE MARIN. Casablanca (3/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION LE MARIN. Casablanca (3/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LE MARIN. Casablanca (3/5)
Il y a quelques mois que je n’ai pas raconté une histoire du marin que j'étais quand j’avais 18 ans.
Suite à un contact avec Radia, jeune marocaine, je repense à une aventure que j’ai eue lors d’un de mes voyages, nous avions fait escale à Casablanca.
Ces moments qui ont changé ma vie d’homme sont gravés aujourd'hui encore dans ma mémoire.
C’est lors d’une corvée à l’ambassade de France, que je fais la connaissance d’une jeune femme nommée Qamar, elle avait la trentaine, elle était divorcée.
J’arrive donc à monter chez elle, mieux même, je la dévêts, lui laissant simplement bas et porte-jarretelles.
Elle a baissé mon pont, mon pantalon si vous préférez, et elle aussi me met nu, alors je vais pour lui mettre mon sexe dans son vagin.
Je me fais remettre gentiment à ma place et elle m’apprend comment satisfaire une femme.
Ayant compris la leçon, c’est-ce que je fais.
Je la prends en levrette après lui avoir bouffé la chatte et l’anus.
Je la fais jouir deux fois, une fois par ma bouche et une autre fois par mon sexe avant qu’elle ne me demande grâce.
La nuit est tombée, sur cette terrasse, non loin de nous, on entend l’appel à la prière venant de la grande mosquée de Casablanca, dont j’ai vu le minaret se dresser dans le ciel.
Chez moi, c'est différent, j’habite près d’une chapelle où mes parents m’ont emmené à la messe jusqu’à ma communion.
La cloche de cette chapelle, pour autant ne sonnait pas pour nous dire qu’il était temps de prier.
Je m’en ouvre à Qamar, l’homme au sommet du minaret est là pour diriger la prière.

Autre pays, autres mœurs, mais aussi autre religion, j’ai appris à l’école et dans ma religion, même si l’on ne la pratique pas, à être tolérant.

Je sens que Qamar bouge, mais je suis un bon dormeur et je rendors sans plus bouger.

Je dors quand je sens une main venir caresser mon sexe, je mets quelque temps à émerger.
C’est la lune face à moi que je vois, elle me rappelle que je suis sur un matelas, sur la terrasse de Qamar, jeune et jolie femme pleine de mystères qu’elle me délivre par bribes.

- Je t’ai appris à être patient avec moi, tu as très bien réussi, tu mérites une récompense, je vais te sucer, tu vas aimer.

La clarté me montre sa tête plongeant sous le drap qu’elle a dû aller chercher au moment où elle a bougé et elle l'a tiré sur nous alors que je dormais.
Il fait pourtant assez chaud, aurait-elle de la pudeur de se montrer nue hors de l’acte sexuelle ?
Je m’interroge très peu de temps car sa bouche vient glisser sur ma verge qui est déjà tendue.
Il est vrai qu’elle a pris son plaisir alors que j’ai réussi à ne pas éjaculer.
Je me réservais pour la prendre à "la cuillère", terme intéressant, inconnu de moi dans ma jeune vie, surtout sexuelle.
Je n’ai jamais été pompé comme cela, je n’ai jamais été pompé du tout.
Grâce à ma jolie petite gueule, devant les copains, je suis fier de me vanter d'éviter les putes au profit de jeunes femmes de bonnes familles, je ne connais rien.
Elle me masturbe, je rejette le drap, même si je vois mal, je vois assez pour apprécier sa bouche montante et descendante le long de ma verge et ses mains me masturbant, les couilles encore bien pleines, n’ayant pas déchargé.
Qamar m’a déjà étonné en se faisant prendre en levrette, avec le temps, je connais toutes ces positions, j’ai même acheté un livre sur le Kama-Sutra.
C'est après mon retour que je suis allé dans une librairie du boulevard Saint-Michel.
La vendeuse, charmante au demeurant, m’en a commandé un.
Elle n’en avait pas dans sa librairie, ça m’a permis d’y retourner avec mon pompon, mais je m’égare, c’est une autre histoire que je conterais un jour.
À ce moment de ma vie que je raconte, ce que je vois me sidère, Qamar quitte ma verge, du moins sa bouche quitte ma queue qui se dresse fièrement et vient me chevaucher.
Elle a retiré bas et porte-jarretelles, elle passe sa jambe au-dessus de ma verge comme si elle montait à cheval.
J’ai le temps de la voir prendre mon pieu et le placer à l’endroit où quand elle se laisse descendre doucement, je sens que je suis dans son fourreau. Oui moi suis allongé sur le dos, elle est assise sur moi, mon sexe au chaud dans son vagin.
Je lui prends les seins qui sont devant mes yeux. Ils sont si beaux, gros en forme de poire et une nouvelle fois je me souviens des leçons quelle m'a prodiguées hier au soir.
La lune s'est cachée, je ne peux plus les voir, mais je sens leurs pointes se tendre et devenir granuleuses sous mes doigts, malgré la chaleur.
Je la laisse faire, montant et descendant au gré de son envie, moi me contentant de contempler et de jouer avec ses seins.
J’ai beau être résistant, ma verge éclate dans un halo de lumière malgré la nuit noire en même temps qu’elle doit réveiller la grosse Mama qui habite au-dessous de nous, avec ses cris de plaisir, qui se mélangent aux miens.

Une nouvelle fois, nous tombons dans les bras l’un de l’autre et je repars dans les bras de Morphée.
Je suis réveillé en sursaut, le mec sur le minaret appelle une nouvelle fois à la prière.
Féline, Qamar se redresse et part vers l’intérieur de l’appartement, j’entends l’eau couler puis plus rien.
J’avais demandé à Qamar de mettre son réveil, il n’a pas sonné.
Je me dirige vers la salle de bains où je pense la retrouver, elle brille par son absence.
Je monte dans la baignoire, la douche me rafraîchit, j’ai du sperme plein le sexe.
Je sors, je m’essuie avec la serviette à ma portée qui est humide, elle a dû s’en servir avant moi.
Je pars à sa recherche, plus de jolie fille, je suis surpris, une porte, est-elle là, je baisse la poignée, non, elle est fermée à clef.
Je vais dans la cuisine, je m’assieds et j’attends.
Elle arrive recouverte uniquement d’un slip. Ses seins m'éblouissent de nouveau.
Elle aime rire, elle est de nature joyeuse, elle le fait me faisant penser qu’elle se fiche de moi.

- Où étais-tu, je t’ai cherchée ?
- C’était le « Muezzin » que nous avons entendu qui appelait à la « Adham » la prière chez les musulmans.
Je suis allée faire mes ablutions pour être propre pour ce moment, et après m’être vêtue, j’ai rejoint ma salle de prière.
En cette période, il fait appel à la prière dès le lever du jour, en ce moment ça concordait avec l’heure où tu m’avais dit devoir retourner à bord pour ton appel.
Mais c’est inutile de te préparer, nous avons tout notre temps.
Quand nous sommes entrés hier au soir, l’Adham a appelé à la prière, tu es resté couché, je me suis levée, j’ai fait trois choses.
Me laver, surtout après ce que nous venions de faire même si tu n’avais pas déchargé, j'avais eu un orgasme et j’étais impure.
M’habiller, j’ai tout dans ma pièce à prière, je viens de les laisser jusqu’à la prochaine prière.
Tu m’as distraite quand j’ai entendu la poignée de la porte, j’ai eu un doute de l’avoir fermé à clef.
Quand je suis seule, elle reste ouverte, j’ai dû m’en excuser par une prière supplémentaire.
Enfin, je dois dire que tu as le sommeil profond, j’étais fière, je t’avais épuisé, j’ai pu téléphoner à Madame, l’une de ses servantes va s’occuper des enfants, je suis libre toute la journée.

J’évite de poser des questions incongrues et inutiles.
Madame doit être l’ambassadrice, fort jolie femme au surcroît qui était à côté de son mari hier aux pinces fesses, ça me revient son "casque" blond était l’un des seuls qui n’avait pas de châle.
Je me lance, comme me l’a appris Qamar.
Longiligne, seins haut perchés, mais petits, du moins plus petits que ceux de ma maîtresse.
Elle ne doit pas faire partie des seins tombants, surtout qu’elle n’avait pas de soutien, vu la chaleur, elle portant un tailleur élégant avec de hauts talons et comme Qamar des bas.
C’est quand elle s’est baissée pour récupérer une petite serviette qui lui avait échappé que j’ai nettement vu qu’ils étaient libres.
C’est drôle mon œil et mon cerveau avaient enregistré tout cela sans que je le sache.
Quand nous buvions une coupe de champagne aux frais de notre république, je l’ai vu passer d’un groupe d’officiers à l’autre et surtout s’attarder auprès du commandant en second, un jeune capitaine que je sais marier à une belle brune.
Je le sais, car je l’ai croisé en ville avec elle, au supermarché poussant son caddy avec une petite fille de moins de deux ans dans le siège enfant.

- Dis-moi, tu es mal réveillé ou c’est l’annonce que nous pouvons rester ensemble qui te trouble ?

Je reviens sur terre, Qamar est magnifique dans sa nudité simplement recouverte de sa petite culotte que je lui arracherais bien avec mes dents.
Inutile, elle s’agenouille, écarte mes cuisses et approche ses mains de ma verge.
Je sais depuis cette nuit qu’elle pompe divinement bien, vais-je voir de mes yeux sa jolie bouche m’engamer une nouvelle fois ?
Ça se passe dans la minute qui suit, c’est formidable d’être au premier plan de cette bouche qui s’ouvre, de ses grands yeux noirs qui vous regardent et de cette langue mutine qui vient donner un coup sur le méat de mon gland.
Je bande.

- Qamar, masse-moi entre tes seins.

Plus tard, dans ma vie sexuelle d’homme, j’apprendrais que ce que je lui demande c'est de me faire une "branlette espagnole".
Je lui demande ça, pour mettre en musique ce qu’elle m’a appris, ce sont ses seins que je veux honorer et non ma bite.
Elle, je sais qu’avant que l’on ne se quitte demain matin, grâce à la forme de permission qu’elle m’a obtenu par l’ambassadrice, après je l’espère une nuit de sexe, surtout la cuillère que j’espère bien expérimenter.
Je suis à deux doigts de décharger, à force qu’elle frotte ses mappemondes sur mon sexe.
Ayant l’expérience de ses années de sexualité, elle sent ma panique, se redresse et me laisse là en plan.

- Il faut savoir apprendre à être patient BB, je vais te préparer un bon petit déjeuner.

Il est vrai que j’ai faim, baiser, ça creuse l’estomac, mais je reste assis sur cette chaise, la bite en l’air, alors que je me serais bien vu glisser dans son tabernacle.

- Aimes-tu les Batbouts, ce sont des petites galettes marocaines, j’en ai préparé hier, je gardais les enfants de Madame ici ?

Je pense que sa patronne recevait un amant à l’ambassade, je sais qu’elle est très proche d’un attaché américain et l’ambassadeur était retenu au Palais par le roi Hassan II, toute l’après-midi !

- Elle est gourmande Madame l’ambassadrice ?
- Elle ne laisse pas sa part aux autres.
Ce qui est drôle c’est que Monsieur semble s’en satisfaire, quelquefois même s’ils font chambre à part, il doit lui être difficile de ne pas entendre que Madame n’est pas seule.

Incroyable, cette femme que j’ai vue si fière dans son tailleur et ses talons hauts est une salope, je croyais qu’il n’y avait que dans les gens du peuple que l’adultère se pratiquait !
J’en sais quelque chose, papa est un chaud lapin, mais maman sait lui rendre la monnaie de sa pièce.
Le facteur vient toujours quand il pense que papa et moi sommes à la pêche pendant son repos.
Un jour il y est allé seul, j’avais la varicelle, elle ne savait pas quoi faire pour qu’il parte sans faire de bruit.
J’ai faim, je dévore les galettes.
Cependant, gros problème, elle me donne à boire du thé, j’ai horreur de ça.
Quand j’étais enfant, nous allions tous les dimanches chez mes grands-parents et à 16 heures immanquablement ma grand'mère nous en faisait boire.

- Dis donc, tu avais faim, tu as aimé mes batbouts, tu les as tous finis, je te redonne une tasse de thé, tu sembles l’apprécier ?
N’ai crainte, tu as bien fait de tout manger, c’est normal à ton âge…

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Texte coquin : COLLECTION LE MARIN. Casablanca (3/5)
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