COLLECTION LE MARIN. Dee de Houston (1/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LE MARIN. Dee de Houston (1/5)
Il y a longtemps, dès les premières aventures du marin, que je voulais mettre à l’honneur cette aventure fort mal engagée au demeurant.
Mais qui devait devenir la plus fabuleuse escale de mes deux années de tour du monde sur le Victor Schœlcher l’aviso escortant le porte-hélicoptère Jeanne d’Arc.
La Jeanne comme nous disions servait d’école en fin d’étude de plusieurs compagnies d’élèves officiers amenés à nous diriger dans nos diverses spécialités.
À bord de nos bateaux, véritable île flottante, une grande partie des corps de métiers se retrouvant à terre.
Du cuistot, au boulanger dirigé par des officiers chargés des appros, des radaristes et bien d’autres.
À bord, sur le Totor, là aussi nom donné à notre aviso, je suis mécanicien sur deux des quatre moteurs diesel 12 cylindres en V de 4 000 chevaux de marque Pielstick.
50 ans après, ces moteurs étaient si impressionnants que je me souviens de tous ces détails gravés dans ma mémoire.Je pourrais vous en dire plus sur les pistons et les cylindres, mais dans mon récit, seul mon propre piston vous intéresse.
Dans un premier temps, nous avons fait escale à Galveston le port non loin de Houston pour démonter un radar.
La Jeanne restait à Galveston, car elle était trop haute pour remonter jusqu’à Houston, un câble entre deux rives l’empêchant de passer.
En démontant ce radar, nous pouvions remonter et pour une fois représenter la France.
Nous devions rester à Houston du 27 mars 1969 au 2 avril de cette même année.
Dès le premier jour, je suis descendu à terre avec Alain mon copain maître d’hôtel du commandant.
J’avais cinq ans d’Anglais derrière moi et lui comme moi se débrouillait.
Notre objectif, dès que nous étions en escale, c'était de boire une bonne bière bien fraîche et de trouver où planter notre queue.
C’est à ce titre qu’à la sortie du port, nous sommes entrés dans un bar comme il en existe tant dans tous les ports du monde entier.
Les quelques jolies métisses ou autres blanches, en tenues légères, nous promettaient moyennant quelques dollars de pouvoir tremper notre biscuit dans des chattes bien profondes.
Rapidement, je trouvais chaussures à mon pied en offrant un verre à une brune aussi grande que moi ayant des seins à faire bander un eunuque.
Alain aussi s’orientait vers une blanche américaine.
Il nous suffisait de dire, « tu baises » et « combien », la main déjà dans mon pantalon à pont étant déjà une source de plaisir que certains disent défendu et dont à notre âge nous étions friands.
Cela faisait environ une demi-heure que nous étions rentrés dans ce bar quand nous avons entendu une sirène de police et rapidement deux flics comme ils en font aux USA, de véritables armoires à glace, sont entrés et sont venus jusqu’à nous.
Avant que je comprenne ce qui arrivait, je me suis senti soulevé et traîné jusqu’à la sortie ainsi qu’Alain.
Dehors, ils nous ont propulsé dans l’arrière de leur voiture véritable prison, car nous étions entourés de grillages, une véritable cage comme nous en avons en France pour transporter des animaux, genre chiens de chasse.
• French ambassade, French ambassade, please.
Nous en perdions notre Anglais et les flics aussi, ils nous répondaient.
• Five minutes, five minutes, please.
Dialogue de sourds tellement nous étions en colère.
Nous avons roulé, je suis dans l’impossibilité de dire où lorsqu’ils ont arrêté la voiture devant une maison comme ils en existaient tant dans ces années-là aux États-Unis.
Le copilote est descendu et a sonné à la porte, en enlevant ses rays bans très à la mode là-bas à cette époque.
Un homme, la cinquantaine, à l’œil nu, est sorti et s'est mis à discuter avec le policier.
Il devait lui dire qu’il avait compris ses mouvements de tête semblant dire « oui », ils ont fini par venir vers nous.
À travers la vitre, nous sommes étonnés d’entendre parler dans notre langue.
• Bonjour, les policiers sont venus chez moi sachant que je suis breton et que j’habite à Houston depuis trente ans.
Ils vont vous libérer et je vais vous expliquer pourquoi ils vous ont exfiltré du bar où vous étiez !
• Nous avons compris, nous allons rester calmes.
L’homme parlait mieux anglais que nous et surtout, les policiers ont semblé avoir comme seul objectif de nous éloigner du lieu où il semblerait que nous étions en danger, d’où les « Fives minutes. »
Ils nous ont fait descendre et contre toute attente le policier a réajusté ses lunettes et est remonté dans sa voiture.
Sans plus de question, la voiture disparaissait.
• Venez, je vais vous offrir un verre de cidre et tout vous expliquer.
Il nous fait entrer et nous installe autour de la table dans sa salle à manger.
Il va dans sa cuisine, il revient avec des verres et une bouteille de cidre bouché.
• Ce cidre, je le reçois de mon cousin directement de Paimpol tous les ans.
Je m’appelle Loïc et je suis de Carnac.
À vingt ans, j’avais une vie tumultueuse et un jour je suis monté sur un cargo qui faisait route vers le monde nouveau.
C’est ici qu’un jour j’ai atterri et que j’ai ouvert une quincaillerie.
Je me suis marié avec une Américaine et j’ai eu Johnny mon fils.
Hélas, un cancer l’a emportée et je suis tombé en dépression.
Johnny tient la boutique et il va arriver dans les minutes prochaines.
Lana, sa mère m’avait appris l’Anglais lorsque je l’ai rencontré, j’ai appris le français à mon fils.
En effet, le bruit d’une voiture se garant devant la maison nous est parvenu.
Un grand garçon nous est apparu.
Une vraie tête d’américain surtout avec ses bottes de cow-boy et son chapeau texan.
• Ces jeunes garçons de la marine française nous ont été amenés par ton cousin Elvis, j’allais leur dire, pourquoi il les a sortis du bar où ils se trouvaient.
Buvez, vous aimez le cidre !
Nous avons trinqué.
• Voilà ce que m’a dit Elvis, ils ont reçu un appel leur signalant la présence de deux marins français dans le bar où vous étiez.
Il semblerait que ce soit une vieille dame habitant en face qui vous a vu entrer.
Or la semaine dernière, des marins qui étaient Brésiliens seraient venus dans ce même bar et après une bagarre, l’un d’eux serait mort poignardé.
Ils sont intervenus pour vous sortir de là et comme Elvis savait où j’habitais, il vous a conduit ici.
Apprendre que nous avions risqué notre vie sans le savoir, bien que nous ignorions ce qui s’est passé avec ces Brésiliens.
Nous, les seuls petits culs et les chattes des putes présents nous interressaient et elles semblaient peu farouches.
Nous avons parlé de la France, et nous avons décidé de reprendre notre route, bien décidés à nous vider les couilles dans le premier tabernacle disponible.
• Johnny conduit Chris et Alain là où il souhaite que tu les emmènes !
Nous étions bien chez ces Bretons, mais nous sentions le besoin de découvrir autre chose.
Nous sommes montés dans sa grosse américaine et nous nous sommes mis à rouler.
• Ou vous voulez que je vous conduise.
• Johnny, nous allons être direct, nous arrivons de plusieurs jours de mer et ce que nous désirons trouver, c’est des filles pour baiser.
• Je vous comprends, j’ai moi-même une fiancée qui accepte de coucher, ici, les filles sont plutôt coincées du cul, c’est leur éducation qui veut ça.
Mais je peux vous aider si vous savez baratiner, vous avez un peu d’Anglais, les filles que je vais vous faire rencontrer, si vous savez bien les repérer, ce soir vous finirez dans leur lit.
• Chris, qu’en penses-tu, les putes, c’est pratique, mais des jeunes américains assez libre pour nous mettre dans leur lit, ça me plairait !
• Johnny fait nous voir ton plan.
Nous avons roulé quelques kilomètres et je l’ai vu s’engager dans un parking de supermarché.
Il faut dire que c’était la première fois que j’avais découvert ce genre de centre commercial avec galerie marchande.
À cette époque en France, à la place du marché de Champigny-sur-Marne où j’habitais avec mes parents, ce que nous avions c’était un Prisunic aussi grand qu’un Market actuel.
C’est dans un coin retiré du parking, qu’il a garé sa voiture à côté d’autres et d’un groupe de personnes, environ une vingtaine.
Et c’est là que je l’ai vue, appuyé sur une Porsche.
Dee, du moins je devais rapidement l’apprendre.
Ma taille, brune avec une queue-de-cheval et un bandeau autour de sa tête, une beauté.
Depuis le début de ma jeune vie, j'ai connu des femmes, souvent contre monnaie trébuchante.
L’an passé pendant mai 68, deux femmes mariées, mais c’est là une autre histoire.
L’une de celles-là se trouve déjà chez HDS avant que je crée mes collections dont celle du marin.
Vous la trouverez sous le titre, « Le marin. La copine de ma mère, publié le 25 décembre 2015, tout juste 6 ans.
Que le temps m’a paru court pendant toutes ces années où je vous ai écrit toutes ces histoires.
Mais revenons à Dee...
Deux carrosseries d’exception, la Porche, mais surtout elle.
Revenons à ces temps anciens, la majorité aux États-Unis pour les jeunes était de 21 ans.
J’étais loin de les avoir, mais grâce à de fausses cartes que nous fabriquions en douce à bord, nous contournions ce problème du moins dans les bars.
Pour les jeunes Américains, la carte officielle ou les permis, c’était impossible de tricher.
Ils se réunissaient donc sur ce genre de parking et les plus vieux se rendaient au magasin pour ressortir avec un caddy d’alcool qu’ils partageaient entre tous.
Dee avait 22 ans et moi 20 à cette époque.
Elle voulait tous savoir de ma vie, des croisières que j’avais fait jusqu’à ce que j’arrive à la prendre dans mes bras.
Je l’ai embrassé, d’un coup lorsque je lui ai mis la langue, elle s’est retirée comme si une guêpe l’avait piqué.
The French kiss, Dee venait de découvrir qu’en France, nous m’étions la langue alors qu’eux non.
Les baisers hollywoodiens devaient faire leurs effets sur toute la population.
Du moins c’est ce que je pensais à ce moment, ayant aucune expérience des femmes de ce pays.
C’est Johnny resté venant de revenir d’approvisionner en bière qui a débloqué la situation.
Effet immédiat, Dee a mis la langue et j’ai senti que ma verge reposant sur son ventre, ça elle appréciait.
Nous avons quitté le groupe, nous avons quitté Alain faisant, lui aussi goûter les Frenchs Kiss à Manon, c’est par ce nom qu’elle nous avait été présentée.
C’est assis, dans la Porche, que Dee va m’emmener vers un lieu qui va être très vite surprenant sans que j’en prenne conscience...
Mais qui devait devenir la plus fabuleuse escale de mes deux années de tour du monde sur le Victor Schœlcher l’aviso escortant le porte-hélicoptère Jeanne d’Arc.
La Jeanne comme nous disions servait d’école en fin d’étude de plusieurs compagnies d’élèves officiers amenés à nous diriger dans nos diverses spécialités.
À bord de nos bateaux, véritable île flottante, une grande partie des corps de métiers se retrouvant à terre.
Du cuistot, au boulanger dirigé par des officiers chargés des appros, des radaristes et bien d’autres.
À bord, sur le Totor, là aussi nom donné à notre aviso, je suis mécanicien sur deux des quatre moteurs diesel 12 cylindres en V de 4 000 chevaux de marque Pielstick.
50 ans après, ces moteurs étaient si impressionnants que je me souviens de tous ces détails gravés dans ma mémoire.Je pourrais vous en dire plus sur les pistons et les cylindres, mais dans mon récit, seul mon propre piston vous intéresse.
Dans un premier temps, nous avons fait escale à Galveston le port non loin de Houston pour démonter un radar.
La Jeanne restait à Galveston, car elle était trop haute pour remonter jusqu’à Houston, un câble entre deux rives l’empêchant de passer.
En démontant ce radar, nous pouvions remonter et pour une fois représenter la France.
Nous devions rester à Houston du 27 mars 1969 au 2 avril de cette même année.
Dès le premier jour, je suis descendu à terre avec Alain mon copain maître d’hôtel du commandant.
J’avais cinq ans d’Anglais derrière moi et lui comme moi se débrouillait.
Notre objectif, dès que nous étions en escale, c'était de boire une bonne bière bien fraîche et de trouver où planter notre queue.
C’est à ce titre qu’à la sortie du port, nous sommes entrés dans un bar comme il en existe tant dans tous les ports du monde entier.
Les quelques jolies métisses ou autres blanches, en tenues légères, nous promettaient moyennant quelques dollars de pouvoir tremper notre biscuit dans des chattes bien profondes.
Rapidement, je trouvais chaussures à mon pied en offrant un verre à une brune aussi grande que moi ayant des seins à faire bander un eunuque.
Alain aussi s’orientait vers une blanche américaine.
Il nous suffisait de dire, « tu baises » et « combien », la main déjà dans mon pantalon à pont étant déjà une source de plaisir que certains disent défendu et dont à notre âge nous étions friands.
Cela faisait environ une demi-heure que nous étions rentrés dans ce bar quand nous avons entendu une sirène de police et rapidement deux flics comme ils en font aux USA, de véritables armoires à glace, sont entrés et sont venus jusqu’à nous.
Avant que je comprenne ce qui arrivait, je me suis senti soulevé et traîné jusqu’à la sortie ainsi qu’Alain.
Dehors, ils nous ont propulsé dans l’arrière de leur voiture véritable prison, car nous étions entourés de grillages, une véritable cage comme nous en avons en France pour transporter des animaux, genre chiens de chasse.
• French ambassade, French ambassade, please.
Nous en perdions notre Anglais et les flics aussi, ils nous répondaient.
• Five minutes, five minutes, please.
Dialogue de sourds tellement nous étions en colère.
Nous avons roulé, je suis dans l’impossibilité de dire où lorsqu’ils ont arrêté la voiture devant une maison comme ils en existaient tant dans ces années-là aux États-Unis.
Le copilote est descendu et a sonné à la porte, en enlevant ses rays bans très à la mode là-bas à cette époque.
Un homme, la cinquantaine, à l’œil nu, est sorti et s'est mis à discuter avec le policier.
Il devait lui dire qu’il avait compris ses mouvements de tête semblant dire « oui », ils ont fini par venir vers nous.
À travers la vitre, nous sommes étonnés d’entendre parler dans notre langue.
• Bonjour, les policiers sont venus chez moi sachant que je suis breton et que j’habite à Houston depuis trente ans.
Ils vont vous libérer et je vais vous expliquer pourquoi ils vous ont exfiltré du bar où vous étiez !
• Nous avons compris, nous allons rester calmes.
L’homme parlait mieux anglais que nous et surtout, les policiers ont semblé avoir comme seul objectif de nous éloigner du lieu où il semblerait que nous étions en danger, d’où les « Fives minutes. »
Ils nous ont fait descendre et contre toute attente le policier a réajusté ses lunettes et est remonté dans sa voiture.
Sans plus de question, la voiture disparaissait.
• Venez, je vais vous offrir un verre de cidre et tout vous expliquer.
Il nous fait entrer et nous installe autour de la table dans sa salle à manger.
Il va dans sa cuisine, il revient avec des verres et une bouteille de cidre bouché.
• Ce cidre, je le reçois de mon cousin directement de Paimpol tous les ans.
Je m’appelle Loïc et je suis de Carnac.
À vingt ans, j’avais une vie tumultueuse et un jour je suis monté sur un cargo qui faisait route vers le monde nouveau.
C’est ici qu’un jour j’ai atterri et que j’ai ouvert une quincaillerie.
Je me suis marié avec une Américaine et j’ai eu Johnny mon fils.
Hélas, un cancer l’a emportée et je suis tombé en dépression.
Johnny tient la boutique et il va arriver dans les minutes prochaines.
Lana, sa mère m’avait appris l’Anglais lorsque je l’ai rencontré, j’ai appris le français à mon fils.
En effet, le bruit d’une voiture se garant devant la maison nous est parvenu.
Un grand garçon nous est apparu.
Une vraie tête d’américain surtout avec ses bottes de cow-boy et son chapeau texan.
• Ces jeunes garçons de la marine française nous ont été amenés par ton cousin Elvis, j’allais leur dire, pourquoi il les a sortis du bar où ils se trouvaient.
Buvez, vous aimez le cidre !
Nous avons trinqué.
• Voilà ce que m’a dit Elvis, ils ont reçu un appel leur signalant la présence de deux marins français dans le bar où vous étiez.
Il semblerait que ce soit une vieille dame habitant en face qui vous a vu entrer.
Or la semaine dernière, des marins qui étaient Brésiliens seraient venus dans ce même bar et après une bagarre, l’un d’eux serait mort poignardé.
Ils sont intervenus pour vous sortir de là et comme Elvis savait où j’habitais, il vous a conduit ici.
Apprendre que nous avions risqué notre vie sans le savoir, bien que nous ignorions ce qui s’est passé avec ces Brésiliens.
Nous, les seuls petits culs et les chattes des putes présents nous interressaient et elles semblaient peu farouches.
Nous avons parlé de la France, et nous avons décidé de reprendre notre route, bien décidés à nous vider les couilles dans le premier tabernacle disponible.
• Johnny conduit Chris et Alain là où il souhaite que tu les emmènes !
Nous étions bien chez ces Bretons, mais nous sentions le besoin de découvrir autre chose.
Nous sommes montés dans sa grosse américaine et nous nous sommes mis à rouler.
• Ou vous voulez que je vous conduise.
• Johnny, nous allons être direct, nous arrivons de plusieurs jours de mer et ce que nous désirons trouver, c’est des filles pour baiser.
• Je vous comprends, j’ai moi-même une fiancée qui accepte de coucher, ici, les filles sont plutôt coincées du cul, c’est leur éducation qui veut ça.
Mais je peux vous aider si vous savez baratiner, vous avez un peu d’Anglais, les filles que je vais vous faire rencontrer, si vous savez bien les repérer, ce soir vous finirez dans leur lit.
• Chris, qu’en penses-tu, les putes, c’est pratique, mais des jeunes américains assez libre pour nous mettre dans leur lit, ça me plairait !
• Johnny fait nous voir ton plan.
Nous avons roulé quelques kilomètres et je l’ai vu s’engager dans un parking de supermarché.
Il faut dire que c’était la première fois que j’avais découvert ce genre de centre commercial avec galerie marchande.
À cette époque en France, à la place du marché de Champigny-sur-Marne où j’habitais avec mes parents, ce que nous avions c’était un Prisunic aussi grand qu’un Market actuel.
C’est dans un coin retiré du parking, qu’il a garé sa voiture à côté d’autres et d’un groupe de personnes, environ une vingtaine.
Et c’est là que je l’ai vue, appuyé sur une Porsche.
Dee, du moins je devais rapidement l’apprendre.
Ma taille, brune avec une queue-de-cheval et un bandeau autour de sa tête, une beauté.
Depuis le début de ma jeune vie, j'ai connu des femmes, souvent contre monnaie trébuchante.
L’an passé pendant mai 68, deux femmes mariées, mais c’est là une autre histoire.
L’une de celles-là se trouve déjà chez HDS avant que je crée mes collections dont celle du marin.
Vous la trouverez sous le titre, « Le marin. La copine de ma mère, publié le 25 décembre 2015, tout juste 6 ans.
Que le temps m’a paru court pendant toutes ces années où je vous ai écrit toutes ces histoires.
Mais revenons à Dee...
Deux carrosseries d’exception, la Porche, mais surtout elle.
Revenons à ces temps anciens, la majorité aux États-Unis pour les jeunes était de 21 ans.
J’étais loin de les avoir, mais grâce à de fausses cartes que nous fabriquions en douce à bord, nous contournions ce problème du moins dans les bars.
Pour les jeunes Américains, la carte officielle ou les permis, c’était impossible de tricher.
Ils se réunissaient donc sur ce genre de parking et les plus vieux se rendaient au magasin pour ressortir avec un caddy d’alcool qu’ils partageaient entre tous.
Dee avait 22 ans et moi 20 à cette époque.
Elle voulait tous savoir de ma vie, des croisières que j’avais fait jusqu’à ce que j’arrive à la prendre dans mes bras.
Je l’ai embrassé, d’un coup lorsque je lui ai mis la langue, elle s’est retirée comme si une guêpe l’avait piqué.
The French kiss, Dee venait de découvrir qu’en France, nous m’étions la langue alors qu’eux non.
Les baisers hollywoodiens devaient faire leurs effets sur toute la population.
Du moins c’est ce que je pensais à ce moment, ayant aucune expérience des femmes de ce pays.
C’est Johnny resté venant de revenir d’approvisionner en bière qui a débloqué la situation.
Effet immédiat, Dee a mis la langue et j’ai senti que ma verge reposant sur son ventre, ça elle appréciait.
Nous avons quitté le groupe, nous avons quitté Alain faisant, lui aussi goûter les Frenchs Kiss à Manon, c’est par ce nom qu’elle nous avait été présentée.
C’est assis, dans la Porche, que Dee va m’emmener vers un lieu qui va être très vite surprenant sans que j’en prenne conscience...
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Les avis des lecteurs
début de cette histoire
Histoire curieuse; je n'ai pas compris ce qu'il y avait de sexuel ou d'érotique dans ce
récit .....
récit .....