COLLECTION LE MARIN. Dee de Houston (3/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LE MARIN. Dee de Houston (3/5)
Lorsque nous avons débarqué avec Alain mon copain, du Totor, j’étais loin de penser que j’allais passer l’un des plus fabuleux moments de ma jeune vie de Marin, mais surtout d’homme.
Dee m’ayant conduit chez elle, plus exactement dans sa chambre, m’ayant demandé ce que je désirais pour le petit déjeuner, je lui ai répondu, du café.
Revêtue d’un simple peignoir elle se dirige vers une autre partie de cette maison.
J’ai fait quelques villes américaines lors de mes deux tours du monde avec l’aviso Victor Schoelcher et j’ai pu voir l’ingéniosité de leur trouvaille.
Dee doit posséder une machine à café programmable qu’elle a été mettre en service pour que je sois à 7 heures à mon bateau.
Elle est dans la douche, quand je la rejoins et je vais être grivois, je la saute par-derrière, mais dans la chatte bien sûr, je sais être un garçon civilisé.
Elle semble avoir eu des amants, je suis rentré sans grande résistance.
Mais je comprends très vite que les garçons américains l’ont baisé de manière très classique, que j’aime pratiquer de temps en temps.
La classique position du missionnaire.
Après nous être séché, je sens que les French Kiss que je lui ai fait connaître sur le parking lors de notre rencontre, soit le début de son apprentissage.
J’ai moi-même eu la chance de connaître deux femmes mariées qui m’ont initié à pratiquer diverses façons de faire l’amour et surtout la patience.
Hélas, masturbation et fellation étaient un bon début, mais j’avais les couilles tellement pleines que c’est dans sa bouche que je gicle plusieurs fois de suite surpris par la brève montée de mon sperme.
Je sens Dee déglutir, je m’attends à recevoir une baffe, mais elle lève, ses magnifiques yeux verts me regardant de façon trouble et me tend ses lèvres.
C’est presque moi qui suis surpris de sentir le goût de mon sperme sur ses lèvres et sa langue, mais je l’embrasse tendrement ayant trouvé une élève exceptionnelle, faite pour l’amour.
• Les filles, chez toi, avalent la liqueur d’homme comme je viens de le faire !
• Tu ignores que tu viens de me faire une fellation en avalant mon sperme.
• Fellation en français, fellatio, blowjob en Anglais.
• Blowjob, c’est une pipe en Français.
Et si nous dormions un peu ma chère Dee, j’étais de quart à la machine avant de minuit à quatre heures et j’ai peu dormi.
De plus, tu m’as épuisé.
En parlant de machine avant, en réalité les moteurs, je pense qu’elle doit avoir du mal à comprendre, mais je dore comme un bébé.
Quelle heure est-il quand on frappe à la porte par où Dee était passée hier au soir.
Dee est lovée dans mes bras, nous sommes tous les deux dénudés, elle se saisit du drap pour recouvrir nos intimités.
• Come in mom.
« Entre mère, » panique à bord.
Une femme la quarantaine, tout le portrait de Dee se présente devant nous un plateau avec une cafetière bouillante.
• Bonjour, je m’appelle Addy, ma fille m’a dit que vous vous appeliez Chris.
Soyez sans crainte, avec mon mari nous avons toujours élevé notre fille dans le libre choix de sa vie.
À midi, Nino mon mari m’a demandé si vous étiez libre et si vous pouviez venir déjeuner avec nous.
Il est américain, mais ses parents sont des immigrés Italiens.
Ils sont venus au moment de la guerre, ils fuyaient leur dictateur dont j’ai oublié le nom.
• Benito Mussolini dit le duce, j’ai appris ça à l’école.
• Son père était maçon et il a créé une petite société que nous avons très bien développée, nous sommes dans les travaux publics.
Nous employons presque 200 personnes.
Je reconnais bien là, le gigantisme américain où tout est réalisable.
L’an dernier en février pour mon premier tour du monde, nous avons fait escale à San Francisco.
Je m’étais retrouvé dans le quartier hippy de la ville.
J’ai rencontré un Parisien d’origine comme moi qui vendait et entretenait des extincteurs.
Il avait vu un reportage à la télé expliquant qu’en 1851, les maisons étaient principalement en bois, un gigantesque incendie avait dévasté la ville.
Il avait pris l’avion avec un précontrat d’une société d’extincteur et il avait fait fortune là-bas.
Présentement, le pognon qu’il gagnait je m’en contrefiche, Addy ayant quitté la chambre, Dee et moi passons rapidement ensemble sous la douche avant de remettre nos vêtements.
Sous la douche, j’étais à deux doigts de remettre le couvert, mais le temps nous était compté, car tout retard et mon aventure avec Dee s’arrêtait là or j’avais encore des choses à lui faire découvrir.
Je sais, cela peut paraître prétentieux, mais dans ces années-là, le jeune coq que j’étais se sentait indestructible.
Nous avons repris sa Porsche, avec une grande différence par rapport à la veille.
Ma main, sur la sienne sur le levier de vitesses, se trouvait sur sa cuisse après que j’ai remonté sa robe.
Au pied de la passerelle, elle m’a déposé me promettant de revenir pour 9 heures.
Je suis monté à bord, j’ai pointé le livre des permissionnaires, l’homme de quart étant certainement en cuisine à boire un jus.
Je suis allé me changer et à 7 heures 30, pendant une heure, je suis allé faire le poste de propreté, par chance lavage de la coursive devant les diesels avant, tache très facile.
À 9 heures, j’étais de nouveau en tenue de sortie, mais chaussures parfaitement cirées, souvent l’officier de service nous recalait à cause de la moindre trace suspecte.
Dee était là, magnifique dans sa splendeur, belle comme le jour, appuyé sur sa Porsche.
Je me suis aligné, un jeune élève officier à pointé et emprunté la coupée.
Ils venaient à bord pour quinze jours par petit groupe, eux, déjà Lieutenant sortait sans passer l’inspection.
Lorsque l’officier est passé devant moi alors que j’étais droit comme un I, je mouillais de peur, car c’était le plus vache, à deux doigts d’être le plus pourri de nos officiers.
Ouf, il est passé, mince, il recule, ouf de deux pas, jusqu’à Gasparin, un électricien originaire de Grenoble, prompt à faire des conneries.
• Gasparin, allez donner un coup à vos chaussures.
Ce con, je le vois se diriger vers un caisson où se trouvent des brassières de sécurité.
Il donne deux grands coups de latte dans le caisson, droit et gauche.
Il revient vers l’officier, il le salue !
• C’est fait capitaine, j’ai donné un coup à mes chaussures.
Connaissant ce personnage, le capitaine, je nous vois tous consignés dans nos postes et Dee seule sur le quai semblant être aux prises avec l’officier élève venant de quitter le bord.
Ouf, le capitaine soufflé par tant d’arrogance nous libère, je tairai les termes qu’il emploie.
Sans demander mon reste, je saute sur la passerelle, au risque de faire un plat.
• Excusez lieutenant, je sais, je suis un simple quartier-maître chef, mais nous aussi nous sommes séduisants.
Je prends Dee dans mes bras, même si c’est en Français, elle a compris que je rivalise avec ce jeune officier.
• Chérie, passe-moi les clefs, je vais conduire.
• C’est à mon tour de m’excuser matelot, vous avez une très belle chance.
Par chance, Dee est du côté passager, en garçon bien élevé, je lui ouvre la porte.
La voiture est basse et Dee nous fait voir les trésors que j’ai su conquérir, ce matin, je lui ai vu mettre une adorable petite culotte rose.
• Bonne escale, lieutenant, j’espère que vous trouverez chaussure à votre pied.
Installé, je place la clef, j’embraye, par chance sans caler, il y a moins d’un an que j’ai mon permis et maîtriser un tel monstre, c’est tout un exploit.
Je démarre pied au plancher, j’ai eu le temps de voir que la voiture était sur du gravier.
Je suis à deux doigts de partir en tête à queue, cette figure est prévue avec Dee, mais dans les heures prochaines maintenant que je lui ai appris à faire des fellations.
• Ou allons-nous, Dee ?
• Je te guide, nous allons au supermarché ou nous nous sommes rencontrés.
Abigail, mon employée, a ouvert à 9 heures, je vais te la présenter.
Attention aucun French Kiss, son fiancé est le quarterback des Texas de Houston, il a des bras comme tes cuisses.
Depuis les quelques ports américains que j’ai fréquentés depuis deux ans, j’ai vu ce sport inconnu en France à cette époque et il est vrai que certains sont des bêtes.
Et puis pourquoi irai-je fricoter avec une autre alors que j’ai touché le gros lot avec la plus belle fille de la ville, Dee.
Un instant, alors que je commence à bien maîtriser mon bolide, je passe le bar d’où les flics nous ont sortis.
À cette heure, il est fermé, mais aurais-je dit à celle avec qui j’ai passé la nuit que je voulais sauter une pute.
Enfin, je reconnais l’entrée du parking, mais c’est près de l’entrée principale que je gare la voiture.
Comme je l’ai dit, je découvre ce genre de centre avec une galerie marchande et le magasin, dont après temps d’années j’ai oublié l’enseigne.
Au plus loin que je me souvienne, en France, Mammouth écrasait les prix.
C’est dans la troisième boutique que Dee entre.
Heureusement, que Dee m’a prévenu, Abigail est une magnifique rousse, que j’aurais eu envie de draguer si cette nuit j’étais resté sage.
Mon dieu, ma première impression a été celle-là, comment peut-on réunir autant de disques, je passe quelques minutes à regarder la façon dont les jeunes femmes ont classé tous ces vinyles.
Foreign Artist.
Artiste étranger.
Par ordre alphabétique, je découvre surtout des Anglais, aucun Français, pourtant Johnny se déchaînait à l’Olympia.
Un couple entre, la serveuse vient s’en occuper.
Je rejoins Dee dans la pièce au fond du magasin, elle regarde une série de 33 tours, mon dieu les 33 tours, les 45, les mange-disques toute une époque.
Dee est dos à la porte, légèrement penchée, je lui entoure le corps, je soulève sa jupe retrouvant son carré rose.
Elle sait que c’est moi sans nul doute, car elle écarte ses jambes comme je lui ai fait faire sous sa douche.
Merci, au tailleur de la marine ayant conçu les ponts des pantalons, je défais les boutons, je sors ma lance et écartant le tissu, je la plante rapidement pour son plus grand plaisir.
Je dégage ses seins qu’elle vient poser sur les pochettes de vinyle.
J’ai le temps de voir Sinatra, My Way, sans dans ce moment-là savoir que ce morceau deviendrait mythique alors que c’est notre cloclo national qui l’avait créé.
Labourer ma belle pouliche, qu’un petit con de lieutenant voulait me souffler, fait de moi, le plus heureux des marins français.
Je vais pouvoir profiter de Dee encore quelques jours.
Je me souviens que j’ai rencontré son père et que nous avons visité quelques endroits de la ville, mais de façon très floue.
J’ai 1 200 diapos de mes voyages, mais seulement quelques-unes de la ville de Houston et, hélas, une seule de Dee.
Mais nous en reparlerons dans le dernier chapitre de la plus belle histoire de la vie du « marin »...
Dee m’ayant conduit chez elle, plus exactement dans sa chambre, m’ayant demandé ce que je désirais pour le petit déjeuner, je lui ai répondu, du café.
Revêtue d’un simple peignoir elle se dirige vers une autre partie de cette maison.
J’ai fait quelques villes américaines lors de mes deux tours du monde avec l’aviso Victor Schoelcher et j’ai pu voir l’ingéniosité de leur trouvaille.
Dee doit posséder une machine à café programmable qu’elle a été mettre en service pour que je sois à 7 heures à mon bateau.
Elle est dans la douche, quand je la rejoins et je vais être grivois, je la saute par-derrière, mais dans la chatte bien sûr, je sais être un garçon civilisé.
Elle semble avoir eu des amants, je suis rentré sans grande résistance.
Mais je comprends très vite que les garçons américains l’ont baisé de manière très classique, que j’aime pratiquer de temps en temps.
La classique position du missionnaire.
Après nous être séché, je sens que les French Kiss que je lui ai fait connaître sur le parking lors de notre rencontre, soit le début de son apprentissage.
J’ai moi-même eu la chance de connaître deux femmes mariées qui m’ont initié à pratiquer diverses façons de faire l’amour et surtout la patience.
Hélas, masturbation et fellation étaient un bon début, mais j’avais les couilles tellement pleines que c’est dans sa bouche que je gicle plusieurs fois de suite surpris par la brève montée de mon sperme.
Je sens Dee déglutir, je m’attends à recevoir une baffe, mais elle lève, ses magnifiques yeux verts me regardant de façon trouble et me tend ses lèvres.
C’est presque moi qui suis surpris de sentir le goût de mon sperme sur ses lèvres et sa langue, mais je l’embrasse tendrement ayant trouvé une élève exceptionnelle, faite pour l’amour.
• Les filles, chez toi, avalent la liqueur d’homme comme je viens de le faire !
• Tu ignores que tu viens de me faire une fellation en avalant mon sperme.
• Fellation en français, fellatio, blowjob en Anglais.
• Blowjob, c’est une pipe en Français.
Et si nous dormions un peu ma chère Dee, j’étais de quart à la machine avant de minuit à quatre heures et j’ai peu dormi.
De plus, tu m’as épuisé.
En parlant de machine avant, en réalité les moteurs, je pense qu’elle doit avoir du mal à comprendre, mais je dore comme un bébé.
Quelle heure est-il quand on frappe à la porte par où Dee était passée hier au soir.
Dee est lovée dans mes bras, nous sommes tous les deux dénudés, elle se saisit du drap pour recouvrir nos intimités.
• Come in mom.
« Entre mère, » panique à bord.
Une femme la quarantaine, tout le portrait de Dee se présente devant nous un plateau avec une cafetière bouillante.
• Bonjour, je m’appelle Addy, ma fille m’a dit que vous vous appeliez Chris.
Soyez sans crainte, avec mon mari nous avons toujours élevé notre fille dans le libre choix de sa vie.
À midi, Nino mon mari m’a demandé si vous étiez libre et si vous pouviez venir déjeuner avec nous.
Il est américain, mais ses parents sont des immigrés Italiens.
Ils sont venus au moment de la guerre, ils fuyaient leur dictateur dont j’ai oublié le nom.
• Benito Mussolini dit le duce, j’ai appris ça à l’école.
• Son père était maçon et il a créé une petite société que nous avons très bien développée, nous sommes dans les travaux publics.
Nous employons presque 200 personnes.
Je reconnais bien là, le gigantisme américain où tout est réalisable.
L’an dernier en février pour mon premier tour du monde, nous avons fait escale à San Francisco.
Je m’étais retrouvé dans le quartier hippy de la ville.
J’ai rencontré un Parisien d’origine comme moi qui vendait et entretenait des extincteurs.
Il avait vu un reportage à la télé expliquant qu’en 1851, les maisons étaient principalement en bois, un gigantesque incendie avait dévasté la ville.
Il avait pris l’avion avec un précontrat d’une société d’extincteur et il avait fait fortune là-bas.
Présentement, le pognon qu’il gagnait je m’en contrefiche, Addy ayant quitté la chambre, Dee et moi passons rapidement ensemble sous la douche avant de remettre nos vêtements.
Sous la douche, j’étais à deux doigts de remettre le couvert, mais le temps nous était compté, car tout retard et mon aventure avec Dee s’arrêtait là or j’avais encore des choses à lui faire découvrir.
Je sais, cela peut paraître prétentieux, mais dans ces années-là, le jeune coq que j’étais se sentait indestructible.
Nous avons repris sa Porsche, avec une grande différence par rapport à la veille.
Ma main, sur la sienne sur le levier de vitesses, se trouvait sur sa cuisse après que j’ai remonté sa robe.
Au pied de la passerelle, elle m’a déposé me promettant de revenir pour 9 heures.
Je suis monté à bord, j’ai pointé le livre des permissionnaires, l’homme de quart étant certainement en cuisine à boire un jus.
Je suis allé me changer et à 7 heures 30, pendant une heure, je suis allé faire le poste de propreté, par chance lavage de la coursive devant les diesels avant, tache très facile.
À 9 heures, j’étais de nouveau en tenue de sortie, mais chaussures parfaitement cirées, souvent l’officier de service nous recalait à cause de la moindre trace suspecte.
Dee était là, magnifique dans sa splendeur, belle comme le jour, appuyé sur sa Porsche.
Je me suis aligné, un jeune élève officier à pointé et emprunté la coupée.
Ils venaient à bord pour quinze jours par petit groupe, eux, déjà Lieutenant sortait sans passer l’inspection.
Lorsque l’officier est passé devant moi alors que j’étais droit comme un I, je mouillais de peur, car c’était le plus vache, à deux doigts d’être le plus pourri de nos officiers.
Ouf, il est passé, mince, il recule, ouf de deux pas, jusqu’à Gasparin, un électricien originaire de Grenoble, prompt à faire des conneries.
• Gasparin, allez donner un coup à vos chaussures.
Ce con, je le vois se diriger vers un caisson où se trouvent des brassières de sécurité.
Il donne deux grands coups de latte dans le caisson, droit et gauche.
Il revient vers l’officier, il le salue !
• C’est fait capitaine, j’ai donné un coup à mes chaussures.
Connaissant ce personnage, le capitaine, je nous vois tous consignés dans nos postes et Dee seule sur le quai semblant être aux prises avec l’officier élève venant de quitter le bord.
Ouf, le capitaine soufflé par tant d’arrogance nous libère, je tairai les termes qu’il emploie.
Sans demander mon reste, je saute sur la passerelle, au risque de faire un plat.
• Excusez lieutenant, je sais, je suis un simple quartier-maître chef, mais nous aussi nous sommes séduisants.
Je prends Dee dans mes bras, même si c’est en Français, elle a compris que je rivalise avec ce jeune officier.
• Chérie, passe-moi les clefs, je vais conduire.
• C’est à mon tour de m’excuser matelot, vous avez une très belle chance.
Par chance, Dee est du côté passager, en garçon bien élevé, je lui ouvre la porte.
La voiture est basse et Dee nous fait voir les trésors que j’ai su conquérir, ce matin, je lui ai vu mettre une adorable petite culotte rose.
• Bonne escale, lieutenant, j’espère que vous trouverez chaussure à votre pied.
Installé, je place la clef, j’embraye, par chance sans caler, il y a moins d’un an que j’ai mon permis et maîtriser un tel monstre, c’est tout un exploit.
Je démarre pied au plancher, j’ai eu le temps de voir que la voiture était sur du gravier.
Je suis à deux doigts de partir en tête à queue, cette figure est prévue avec Dee, mais dans les heures prochaines maintenant que je lui ai appris à faire des fellations.
• Ou allons-nous, Dee ?
• Je te guide, nous allons au supermarché ou nous nous sommes rencontrés.
Abigail, mon employée, a ouvert à 9 heures, je vais te la présenter.
Attention aucun French Kiss, son fiancé est le quarterback des Texas de Houston, il a des bras comme tes cuisses.
Depuis les quelques ports américains que j’ai fréquentés depuis deux ans, j’ai vu ce sport inconnu en France à cette époque et il est vrai que certains sont des bêtes.
Et puis pourquoi irai-je fricoter avec une autre alors que j’ai touché le gros lot avec la plus belle fille de la ville, Dee.
Un instant, alors que je commence à bien maîtriser mon bolide, je passe le bar d’où les flics nous ont sortis.
À cette heure, il est fermé, mais aurais-je dit à celle avec qui j’ai passé la nuit que je voulais sauter une pute.
Enfin, je reconnais l’entrée du parking, mais c’est près de l’entrée principale que je gare la voiture.
Comme je l’ai dit, je découvre ce genre de centre avec une galerie marchande et le magasin, dont après temps d’années j’ai oublié l’enseigne.
Au plus loin que je me souvienne, en France, Mammouth écrasait les prix.
C’est dans la troisième boutique que Dee entre.
Heureusement, que Dee m’a prévenu, Abigail est une magnifique rousse, que j’aurais eu envie de draguer si cette nuit j’étais resté sage.
Mon dieu, ma première impression a été celle-là, comment peut-on réunir autant de disques, je passe quelques minutes à regarder la façon dont les jeunes femmes ont classé tous ces vinyles.
Foreign Artist.
Artiste étranger.
Par ordre alphabétique, je découvre surtout des Anglais, aucun Français, pourtant Johnny se déchaînait à l’Olympia.
Un couple entre, la serveuse vient s’en occuper.
Je rejoins Dee dans la pièce au fond du magasin, elle regarde une série de 33 tours, mon dieu les 33 tours, les 45, les mange-disques toute une époque.
Dee est dos à la porte, légèrement penchée, je lui entoure le corps, je soulève sa jupe retrouvant son carré rose.
Elle sait que c’est moi sans nul doute, car elle écarte ses jambes comme je lui ai fait faire sous sa douche.
Merci, au tailleur de la marine ayant conçu les ponts des pantalons, je défais les boutons, je sors ma lance et écartant le tissu, je la plante rapidement pour son plus grand plaisir.
Je dégage ses seins qu’elle vient poser sur les pochettes de vinyle.
J’ai le temps de voir Sinatra, My Way, sans dans ce moment-là savoir que ce morceau deviendrait mythique alors que c’est notre cloclo national qui l’avait créé.
Labourer ma belle pouliche, qu’un petit con de lieutenant voulait me souffler, fait de moi, le plus heureux des marins français.
Je vais pouvoir profiter de Dee encore quelques jours.
Je me souviens que j’ai rencontré son père et que nous avons visité quelques endroits de la ville, mais de façon très floue.
J’ai 1 200 diapos de mes voyages, mais seulement quelques-unes de la ville de Houston et, hélas, une seule de Dee.
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