COLLECTION LE MARIN. Dee de Houston (4/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LE MARIN. Dee de Houston (4/5)
J’ai réussi, je suis le plus heureux des jeunes marins embarqués à bord du, Victor Schoelcher, aviso-escorteur du porte-hélicoptère Jeanne, navire-école des jeunes officiers de la marine française.
Certains de ces jeunes branleurs, légèrement plus vieux que nous, pensaient qu’ils pouvaient tout se permettre envers les hommes d’équipage.
La plupart étant né avec des cuillères en argent dans la bouche.
Nous en embarquions une quinzaine à chaque escale afin que nous fassions des exercices en mer et où ils étaient à la manœuvre pour apprendre en réel à manœuvrer de tel monstre.
Ce matin, au moment des permissionnaires, j’ai eu affaire à l’un d’eux qui ignorant que Dee était à moi et a tenté de la draguer alors qu’elle m’attendait près de sa Porsche.
Grâce à Dee qui m’a confié les clefs de sa voiture, j’ai pu faire voir au bas peuple que les galons étaient insuffisants pour la conquérir.
C’est dans sa boutique de la galerie marchande du supermarché où je l’ai rencontré sur le parking, grâce à un fils de breton bretonnant comme l’on disait dans ces années-là.
Nous sommes passés devant le bar à putes où des flics nous avaient exfiltré pour éviter de subir le même sort qu’un marin brésilien poignardé.
Dans sa boutique alors qu’Abigail s’occupe des clients, nous sommes entrés dans la pièce servant aux deux jeunes femmes, où elles peuvent se faire un café ou manger un morceau.
Dee a découvert qu’il était possible de prendre plus de plaisir en baisant autrement que dans un lit dans la position du missionnaire.
C’est sur une pile de disques de Sinatra que je fais l’amour à ma conquête.
J’ai déjà dit que mes maîtresses, mariées, avaient canalisé le chien fou que j’étais ayant éjaculé précipitamment les premières fois où je les ai baisées.
Je sors de la chatte de Dee, je la retourne, je balaye Sinatra et je l’assieds sur la table.
• Que fais-tu ?
• Je continue à t’apprendre the French Love, je vais te bouffer la chatte.
Aide-moi à t’enlever ton carré rose.
Elle se soulève, je tire à moi ce morceau de tissu que je mets dans ma poche de pantalon ayant simplement fait tomber mon pont.
Les dernières femmes avec lesquelles j’ai fait l’amour sont épilées à notre époque.
La toison de Dee m’oblige à écarter ses grandes lèvres pour atteindre mon centre d’intérêt, son clito.
Bien caché, j’avance ma bouche et je lèche, sa belle excroissance.
Or, les putes sexées, évitant seulement de poser ma bouche ou de nombreux mecs de toute nationalité ont planté leur chibre.
Matilde, ma deuxième femme mariée, bi-sexuelle ayant entraîné son divorce ayant été surprise par son mari faisant un 69 à sa voisine, m’avait appris à la lécher et de l’amener vers son plaisir.
C’est le cas de Dee, qui m’appuie sur la tête reposant ses jambes sur mes épaules.
Elle jouit, je replonge mon sexe et un magnifique orgasme vient ponctuer notre rapport.
Je garde mes réserves, même si grâce à mon jeune âge, mes bourses se remplissent assez rapidement.
Nous quittons le magasin, Abigail va le tenir après que nous ayons pris un café.
Nous retournons chez Dee, je suis anxieux, je me souviens que je dois rencontrer Nino, son père d’origine italienne.
Une question se pose, pourquoi son père souhaite-t-il me voir ?
Je suis jeune et responsable, lorsque j’arrête la voiture devant la maison, il est trop tard pour reculer.
C’est par l’autre porte, certainement celle de base de leur maison avant l’extension que Dee me fait entrer.
Je retrouve Addy, l’une des peurs de ma vie, lorsque Dee l’a fait entrer dans la chambre avec notre petit déjeuner ce matin.
Une des peurs, la plus ancienne, étant dans ma jeunesse, le matin lorsque des voitures se déplaçaient dans la rue de chez mes parents et que j’étais réveillé.
Par les fentes des volets, je voyais les lumières apparaitre et disparaitre.
Là j’avais réellement peur au point de tirer les draps sur ma figure, jusqu’à la voiture suivante.
Avec Addy, le terrain semble conquis lorsqu’elle vient me poser deux grosses bises sur mes joues.
• Viens Chris, Nino vient de rentrer, le déjeuner est près.
J’entre dans la salle, un homme est là, regardant des poissons multicolores dans un aquarium et leur donnant des pincées d’aliments.
Lorsque j’écris dans ma traduction, j’emploie le « Tu, » mais il va sans le dire que les « You » peuvent dire « Vous » sans que je le sache.
• Bonjours Chris, tu dois être surpris que je t’invite à déjeuner !
La nuit dernière, lorsque ma fille est venue nous dire qu’elle était accompagnée d’un marin français avec qui elle allait passer la nuit, avec sa mère nous nous sommes interrogés ?
Nous avons élevé notre fille dans une liberté que vous avez acquis l’an passé au mois de mai 68.
Tu as pu remarquer que nous avons ajouté un morceau à notre maison pour qu’elle vive, étant chez elle sans que nous la dérangions.
Je garde pour moi, les quelques garçons qui sont venus avant toi, c’est sa vie et nous la respectons.
Tu sembles être un type bien, tu es là quelques heures, respecte là, je suis prêt s’il le faut pour vous aider.
Mais passons à table, je dois me rendre à un rendez-vous pour signer un contrat de plusieurs millions de dollars pour la construction d’un immeuble administratif.
Dee, peux-tu me laisser ta Porche cette après-midi et prendre ta Chevrolet, je souhaite impressionner mon client en le conduisant dans ton petit bolide.
Il sait que tu en as une et il voudrait que je le conduise à grande vitesse.
Voilà pendant mon séjour, comment j’ai été accepté par les parents de Dee, jusqu’au dernier soir dans trois jours, mais inutile d’aller trop vite, nous en reparlerons.
La Chevrolet, l’après-midi, je me souviens avoir découvert ce qu’en France en cette fin d’année 2021 nous venons de découvrir.
La bière de marque Bud.
Là encore j’ai quelques photos de l’usine et de la visite que nous en avons faite en buvant à la sortie.
Après, nous sommes retournés à la boutique pour la fermeture et je suis passé prendre de la bière pour les plus jeunes sur le parking.
Je sais, les 21 ans, mais la fausse carte d’identité faite tampon marine à l’appui sur une photo d’identité nous permettait bien des privautés.
Après, là encore avec cette carte, nous sommes allées dans une discothèque.
En France, je connaissais les bals bretons à Languidic ou autres avec des orchestres comme ceux d’André Verchuren.
Que les jeunes qui me lisent arrêtent de rigoler, nous sommes en 1969, un an après mai 68 dont Nino vient de parler.
Ce sont dans ces salles des fêtes ressemblant plus à des granges aménagées pour que nous puissions danser et surtout draguer que j’allais.
Une discothèque comme celle où Dee m’a emmené les Américains, une nouvelle fois avait des années-lumière sur nous.
Nous avions tellement jerké, dansé le Rock n roll, finissant par des slows langoureux que comparé à la Porsche, la Chevrolet avait de sérieux avantages.
La largeur et l’espace de sa banquette.
J’ai plusieurs fois baisé Dee dans cet espace qui m’a permis de l’envoyer en l’air chaque fois que nous le voulions.
Elle devenait aussi très douée pour me faire des fellations.
Le matin, Dee m’a dit de prendre la voiture que je désirais afin qu’elle récupère de notre folle nuit.
Dès la deuxième, je continuais son éducation sexuelle en lui apprenant à se faire prendre en levrette.
Dans cette position, j’ai été à deux doigts de lui faire connaitre la sodomie, ce que j’avais pratiqué avec une de mes vieilles maîtresses.
Mais j’ai eu peur de me retrouver à trois heures du matin à des kilomètres de mon bateau, Dee m’ayant viré.
L’avant-dernier jour Dee m’a conduit, car j’étais de service.
Dans ces ports étrangers, il nous fallait laisser tourner un diésel alternateur, car les fréquences du courant était différentes de celles que nous avions à bord.
Par chance, j’étais de quart de 8 à 12 heures et de 18 à 20 heures.
En escale, nous apprêtions le navire pour la visite de bord avec des projecteurs pour la nuit et un circuit de visite.
Dee avait fermé sa boutique et était venue avec Abigail.
Je les attendais à la coupée et à leur tour, elles sont montées à bord.
La visite se faisait sur les extérieurs du bateau, les portes étaient condamnées sauf la porte donnant sur la coursive centrale permettant à l’équipage de rejoindre le pont.
Nous venions de finir suivant le sens de la visite et Abigail ou un copain nous prenait en photo, une pleine collection de diapo.
Nous allions terminer la visite, ayant traîné au maximum, faisant saliver tous les copains.
J’avais déjà impressionné ceux qui avaient vu la nana avec ses carrosseries.
La sienne en chaire, sans chaire et l’autre celle de sa voiture.
C’est à ce moment que l’officier élève qui avait baratiné Dee, le premier jour est arrivé à notre hauteur.
• C’est vous matelot avec votre beauté, je vois qu’elle est venue avec une amie.
Il s’est mis à leur parler en anglais avec une élocution bien meilleure que mes cinq ans d’anglais.
• Lieutenant Henri de la Batte, pour vous servir mesdames, matelot, comment vous appelez-vous • Chris, lieutenant.
• Voulez-vous faire visiter l’intérieur du bateau à vos amies, nous irions jusqu’au carré des officiers élèves ou mesdames, je vous ferais servir une boisson.
Dee et Abigail étaient enchantées de voir comment était fait un bateau de guerre.
Lorsque le maître d’hôtel est arrivé, c’était Alain, mon copain de l’épisode des policiers qui étaient de service.
Dee l’a embrassé, surprenant le lieutenant qui ignorait ce qui nous avait fait nous rencontrer.
Il regardait Abigail semblant avoir envie de la dévorer.
Je connaissais les risques qu’il prenait avec le fiancé de cette jolie fille, mais voir un de ces êtres supérieurs se prendre une tannée, ça m’aurait fait un grand plaisir.
Il aurait ramassé pour tous ces parvenus qui font naval fils d’amiraux et futur amiral eut même.
De plus ce, de la Batte, avec sa particule ayant voulu me soulever Dee, ça c’est impardonnable pour moi.
• Chris es-tu permissionnaire ?
• Non, je suis de service, de quart de 18 à 20 heures au diesel alternateur, impossible de descendre à terre, hélas !
• Attendez là, je vais voir ce que je peux faire...
Certains de ces jeunes branleurs, légèrement plus vieux que nous, pensaient qu’ils pouvaient tout se permettre envers les hommes d’équipage.
La plupart étant né avec des cuillères en argent dans la bouche.
Nous en embarquions une quinzaine à chaque escale afin que nous fassions des exercices en mer et où ils étaient à la manœuvre pour apprendre en réel à manœuvrer de tel monstre.
Ce matin, au moment des permissionnaires, j’ai eu affaire à l’un d’eux qui ignorant que Dee était à moi et a tenté de la draguer alors qu’elle m’attendait près de sa Porsche.
Grâce à Dee qui m’a confié les clefs de sa voiture, j’ai pu faire voir au bas peuple que les galons étaient insuffisants pour la conquérir.
C’est dans sa boutique de la galerie marchande du supermarché où je l’ai rencontré sur le parking, grâce à un fils de breton bretonnant comme l’on disait dans ces années-là.
Nous sommes passés devant le bar à putes où des flics nous avaient exfiltré pour éviter de subir le même sort qu’un marin brésilien poignardé.
Dans sa boutique alors qu’Abigail s’occupe des clients, nous sommes entrés dans la pièce servant aux deux jeunes femmes, où elles peuvent se faire un café ou manger un morceau.
Dee a découvert qu’il était possible de prendre plus de plaisir en baisant autrement que dans un lit dans la position du missionnaire.
C’est sur une pile de disques de Sinatra que je fais l’amour à ma conquête.
J’ai déjà dit que mes maîtresses, mariées, avaient canalisé le chien fou que j’étais ayant éjaculé précipitamment les premières fois où je les ai baisées.
Je sors de la chatte de Dee, je la retourne, je balaye Sinatra et je l’assieds sur la table.
• Que fais-tu ?
• Je continue à t’apprendre the French Love, je vais te bouffer la chatte.
Aide-moi à t’enlever ton carré rose.
Elle se soulève, je tire à moi ce morceau de tissu que je mets dans ma poche de pantalon ayant simplement fait tomber mon pont.
Les dernières femmes avec lesquelles j’ai fait l’amour sont épilées à notre époque.
La toison de Dee m’oblige à écarter ses grandes lèvres pour atteindre mon centre d’intérêt, son clito.
Bien caché, j’avance ma bouche et je lèche, sa belle excroissance.
Or, les putes sexées, évitant seulement de poser ma bouche ou de nombreux mecs de toute nationalité ont planté leur chibre.
Matilde, ma deuxième femme mariée, bi-sexuelle ayant entraîné son divorce ayant été surprise par son mari faisant un 69 à sa voisine, m’avait appris à la lécher et de l’amener vers son plaisir.
C’est le cas de Dee, qui m’appuie sur la tête reposant ses jambes sur mes épaules.
Elle jouit, je replonge mon sexe et un magnifique orgasme vient ponctuer notre rapport.
Je garde mes réserves, même si grâce à mon jeune âge, mes bourses se remplissent assez rapidement.
Nous quittons le magasin, Abigail va le tenir après que nous ayons pris un café.
Nous retournons chez Dee, je suis anxieux, je me souviens que je dois rencontrer Nino, son père d’origine italienne.
Une question se pose, pourquoi son père souhaite-t-il me voir ?
Je suis jeune et responsable, lorsque j’arrête la voiture devant la maison, il est trop tard pour reculer.
C’est par l’autre porte, certainement celle de base de leur maison avant l’extension que Dee me fait entrer.
Je retrouve Addy, l’une des peurs de ma vie, lorsque Dee l’a fait entrer dans la chambre avec notre petit déjeuner ce matin.
Une des peurs, la plus ancienne, étant dans ma jeunesse, le matin lorsque des voitures se déplaçaient dans la rue de chez mes parents et que j’étais réveillé.
Par les fentes des volets, je voyais les lumières apparaitre et disparaitre.
Là j’avais réellement peur au point de tirer les draps sur ma figure, jusqu’à la voiture suivante.
Avec Addy, le terrain semble conquis lorsqu’elle vient me poser deux grosses bises sur mes joues.
• Viens Chris, Nino vient de rentrer, le déjeuner est près.
J’entre dans la salle, un homme est là, regardant des poissons multicolores dans un aquarium et leur donnant des pincées d’aliments.
Lorsque j’écris dans ma traduction, j’emploie le « Tu, » mais il va sans le dire que les « You » peuvent dire « Vous » sans que je le sache.
• Bonjours Chris, tu dois être surpris que je t’invite à déjeuner !
La nuit dernière, lorsque ma fille est venue nous dire qu’elle était accompagnée d’un marin français avec qui elle allait passer la nuit, avec sa mère nous nous sommes interrogés ?
Nous avons élevé notre fille dans une liberté que vous avez acquis l’an passé au mois de mai 68.
Tu as pu remarquer que nous avons ajouté un morceau à notre maison pour qu’elle vive, étant chez elle sans que nous la dérangions.
Je garde pour moi, les quelques garçons qui sont venus avant toi, c’est sa vie et nous la respectons.
Tu sembles être un type bien, tu es là quelques heures, respecte là, je suis prêt s’il le faut pour vous aider.
Mais passons à table, je dois me rendre à un rendez-vous pour signer un contrat de plusieurs millions de dollars pour la construction d’un immeuble administratif.
Dee, peux-tu me laisser ta Porche cette après-midi et prendre ta Chevrolet, je souhaite impressionner mon client en le conduisant dans ton petit bolide.
Il sait que tu en as une et il voudrait que je le conduise à grande vitesse.
Voilà pendant mon séjour, comment j’ai été accepté par les parents de Dee, jusqu’au dernier soir dans trois jours, mais inutile d’aller trop vite, nous en reparlerons.
La Chevrolet, l’après-midi, je me souviens avoir découvert ce qu’en France en cette fin d’année 2021 nous venons de découvrir.
La bière de marque Bud.
Là encore j’ai quelques photos de l’usine et de la visite que nous en avons faite en buvant à la sortie.
Après, nous sommes retournés à la boutique pour la fermeture et je suis passé prendre de la bière pour les plus jeunes sur le parking.
Je sais, les 21 ans, mais la fausse carte d’identité faite tampon marine à l’appui sur une photo d’identité nous permettait bien des privautés.
Après, là encore avec cette carte, nous sommes allées dans une discothèque.
En France, je connaissais les bals bretons à Languidic ou autres avec des orchestres comme ceux d’André Verchuren.
Que les jeunes qui me lisent arrêtent de rigoler, nous sommes en 1969, un an après mai 68 dont Nino vient de parler.
Ce sont dans ces salles des fêtes ressemblant plus à des granges aménagées pour que nous puissions danser et surtout draguer que j’allais.
Une discothèque comme celle où Dee m’a emmené les Américains, une nouvelle fois avait des années-lumière sur nous.
Nous avions tellement jerké, dansé le Rock n roll, finissant par des slows langoureux que comparé à la Porsche, la Chevrolet avait de sérieux avantages.
La largeur et l’espace de sa banquette.
J’ai plusieurs fois baisé Dee dans cet espace qui m’a permis de l’envoyer en l’air chaque fois que nous le voulions.
Elle devenait aussi très douée pour me faire des fellations.
Le matin, Dee m’a dit de prendre la voiture que je désirais afin qu’elle récupère de notre folle nuit.
Dès la deuxième, je continuais son éducation sexuelle en lui apprenant à se faire prendre en levrette.
Dans cette position, j’ai été à deux doigts de lui faire connaitre la sodomie, ce que j’avais pratiqué avec une de mes vieilles maîtresses.
Mais j’ai eu peur de me retrouver à trois heures du matin à des kilomètres de mon bateau, Dee m’ayant viré.
L’avant-dernier jour Dee m’a conduit, car j’étais de service.
Dans ces ports étrangers, il nous fallait laisser tourner un diésel alternateur, car les fréquences du courant était différentes de celles que nous avions à bord.
Par chance, j’étais de quart de 8 à 12 heures et de 18 à 20 heures.
En escale, nous apprêtions le navire pour la visite de bord avec des projecteurs pour la nuit et un circuit de visite.
Dee avait fermé sa boutique et était venue avec Abigail.
Je les attendais à la coupée et à leur tour, elles sont montées à bord.
La visite se faisait sur les extérieurs du bateau, les portes étaient condamnées sauf la porte donnant sur la coursive centrale permettant à l’équipage de rejoindre le pont.
Nous venions de finir suivant le sens de la visite et Abigail ou un copain nous prenait en photo, une pleine collection de diapo.
Nous allions terminer la visite, ayant traîné au maximum, faisant saliver tous les copains.
J’avais déjà impressionné ceux qui avaient vu la nana avec ses carrosseries.
La sienne en chaire, sans chaire et l’autre celle de sa voiture.
C’est à ce moment que l’officier élève qui avait baratiné Dee, le premier jour est arrivé à notre hauteur.
• C’est vous matelot avec votre beauté, je vois qu’elle est venue avec une amie.
Il s’est mis à leur parler en anglais avec une élocution bien meilleure que mes cinq ans d’anglais.
• Lieutenant Henri de la Batte, pour vous servir mesdames, matelot, comment vous appelez-vous • Chris, lieutenant.
• Voulez-vous faire visiter l’intérieur du bateau à vos amies, nous irions jusqu’au carré des officiers élèves ou mesdames, je vous ferais servir une boisson.
Dee et Abigail étaient enchantées de voir comment était fait un bateau de guerre.
Lorsque le maître d’hôtel est arrivé, c’était Alain, mon copain de l’épisode des policiers qui étaient de service.
Dee l’a embrassé, surprenant le lieutenant qui ignorait ce qui nous avait fait nous rencontrer.
Il regardait Abigail semblant avoir envie de la dévorer.
Je connaissais les risques qu’il prenait avec le fiancé de cette jolie fille, mais voir un de ces êtres supérieurs se prendre une tannée, ça m’aurait fait un grand plaisir.
Il aurait ramassé pour tous ces parvenus qui font naval fils d’amiraux et futur amiral eut même.
De plus ce, de la Batte, avec sa particule ayant voulu me soulever Dee, ça c’est impardonnable pour moi.
• Chris es-tu permissionnaire ?
• Non, je suis de service, de quart de 18 à 20 heures au diesel alternateur, impossible de descendre à terre, hélas !
• Attendez là, je vais voir ce que je peux faire...
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